-F1 Saison 2009-
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- Seigneur de la Causerie
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Le Grand Prix d’Australie – la première manche du championnat du monde de F1 2008 – s’est achevée sur un résultat frustrant pour l’équipe Honda.
Rubens Barrichello a réalisé une course solide et déterminée sur le circuit d’Albert Park. Cependant, sa joie s’est rapidement transformée en déception suite à son déclassement pour non-respect du feu rouge lors de sa sortie des stands après son dernier ravitaillement.
Jenson Button fait partie des nombreux concurrents contraints à l’abandon à Melbourne. Après un bon départ, le premier virage lui a été fatal : la faute à un accrochage avec Vettel.
Néanmoins, les performances affichées par la RA108 laissent entrevoir le bout du tunnel à l’écurie japonaise.
Ross Brawn, le directeur de l’équipe Honda, quitte Melbourne sur une note positive – même s’il estime que le potentiel de la RA108 n’a pas encore été complètement dévoilé.
« En qualifications, nous avons vu que le rythme de la voiture nous permettait de jouer le milieu de tableau, et la course a démontré que nous pouvons nous battre pour les points, ce qui est notre objectif cette année » déclarait-il. « Le kit aérodynamique a été performant, mais nous devons passer au niveau supérieur afin de participer régulièrement à Q3 et accéder aux meilleures places de la grille de départ. »
Rubens Barrichello a réalisé une course solide et déterminée sur le circuit d’Albert Park. Cependant, sa joie s’est rapidement transformée en déception suite à son déclassement pour non-respect du feu rouge lors de sa sortie des stands après son dernier ravitaillement.
Jenson Button fait partie des nombreux concurrents contraints à l’abandon à Melbourne. Après un bon départ, le premier virage lui a été fatal : la faute à un accrochage avec Vettel.
Néanmoins, les performances affichées par la RA108 laissent entrevoir le bout du tunnel à l’écurie japonaise.
Ross Brawn, le directeur de l’équipe Honda, quitte Melbourne sur une note positive – même s’il estime que le potentiel de la RA108 n’a pas encore été complètement dévoilé.
« En qualifications, nous avons vu que le rythme de la voiture nous permettait de jouer le milieu de tableau, et la course a démontré que nous pouvons nous battre pour les points, ce qui est notre objectif cette année » déclarait-il. « Le kit aérodynamique a été performant, mais nous devons passer au niveau supérieur afin de participer régulièrement à Q3 et accéder aux meilleures places de la grille de départ. »
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Descrïption Complete de la course :
La température est caniculaire à quelques minutes du départ du Grand Prix d'Australie, première manche du championnat 2008. Les pilotes et les mécaniques ont souffert aujourd'hui et il y a peu de monde à l'arrivée, comme c'est souvent le cas à Melbourne.
Pour Lewis Hamilton ce Grand Prix a été plutôt calme, avec une victoire au bout du chemin. Quant à la Scuderia Ferrari, elle essayera d'oublier cette course d'ouverture au plus vite...
Ils sont 21 à venir s'aligner sur la grille de départ, Adrian Sutil étant obligé de partir depuis les stands pour changement de moteur et de châssis après la séance qualificative d'hier.
Les Ferrari et la Toyota de Glock sont les seules à se présenter au départ en pneus tendres. A l'extinction des feux, Lewis Hamilton garde son avantage et s'engouffre en tête dans le premier virage. Il est suivi (de très près) par Kubica, Kovalainen, Rosberg, Heidfeld et Trulli. Mais Vettel et Fisichella s'accrochent à l'arrière du peloton. Massa, Piquet, Kovalainen, Nakajima et d'autres ont aussi eu un contact et la voiture de sécurité entre immédiatement en action.
Le classement derrière la voiture de sécurité est le suivant: Hamilton, Kubica, Kovalainen, Rosberg, Heidfeld, Trulli, Barrichello, Raikkonen, Coulthard, Alonso, Sato, Piquet et le reste du peloton.
La voiture de sécurité libère les concurrents à l'entame du 2e tour.
Massa qui s'était arrêté au stand pendant la neutralisation, pour changer son aileron avant, fait un nouveau passage par les stands. Sa course commence vraiment très mal...
Les autres victimes de ce début de course sont: Webber, Button, Davidson, Vettel et Fisichella. Ces cinq-là ont déjà abandonné. Sutil abandonnera à son tour quelques minutes plus tard.
En tête de la course, Hamilton prend le large. A l'entame du cinquième tour, il a déjà 2"6 d'avance sur Kubica, 5"2 sur Kovalainen, 7"2 sur Rosberg, 8"1 sur Heidfeld, 10"4 sur Trulli, 12"5 sur Barrichello, 13"6 sur Raikkonen, 16"6 sur Coulthard et 17"5 sur Alonso. Massa est 17e et dernier avec un retard de près de 50 secondes!
Hamilton se construit immédiatement un petit avantage: au 9e passage, son avance est de 6"7 sur Kubica, 8"1 sur Kovalainen et 12"7 sur Rosberg. En ce début de course, Lewis Hamilton est clairement le plus rapide. Quant à Raikkonen, il a du mal à prendre l'avantage sur Barrichello et il compte déjà un retard de 24"5 sur Hamilton au 10e passage. Ce début de course de Barrichello est d'ailleurs assez étonnant, même s'il a profité de circonstances favorables pour se retrouver en 7e position.
Au 13e tour, Hamilton a une avance de 9"4 sur Kubica, 10"9 sur Kovalainen, 17"3 sur Rosberg, 18"5 sur Heidfeld, 22"7 sur Trulli, 29"5 sur Barrichello, 30 sur Raikkonen, 33"5 sur Coulthard et 25"2 sur Alonso. Felipe Massa est 16e avec un retard de 60 secondes sur Hamilton.
Kubica est le premier à ravitailler au 16e tour. Hamilton ravitaille à son tour au 18e passage, Bourdais au 19e, Trulli au 20e (son arrêt s'éternise), Rosberg et Heidfeld au 21e, Kovalainen et Coulthard au 22e, Barrichello au 23e et Sato au 25e.
Pendant cette première vague de ravitaillements, Raikkonen a pris l'avantage sur Barrichello (au 19e tour), ce qui a quelque peu libéré son rythme. A la faveur des ravitaillements, il se retrouve même en troisième position.
Au 25e tour, Felipe Massa envoie Coulthard hors de la piste et la voiture de sécurité entre immédiatement en action.
Alors que la voiture de sécurité est toujours en piste, Bourdais ravitaille au 28e tour, Kubica, Alonso, Glock et Sato au 29e. Kimi Raikkonen, qui n'a toujours pas effectué son premier ravitaillement, décide de rester en piste.
La voiture de sécurité s'efface au début du 30e tour et Kimi Raikkonen se montre immédiatement très agressif et parvient à prendre l'avantage sur Kovalainen le temps de... quelques secondes. Le Finlandais sort en effet dans le bac à graviers et est obligé de rejoindre son stand pour ravitailler et enlever le gravier de ses pontons. Il remonte en piste en 12e position à plus de 30 secondes des leaders de la course. Il fera une autre erreur un peu plus tard. Pendant ce temps, Felipe Massa abandonne. Un dimanche noir pour la Scuderia.
Le classement au 33e passage: Hamilton, Kovalainen à 3"4, Heidfeld à 4"8, Rosberg à 5"9, Barrichello à 8"4, Bourdais à 12", Kubica à 12"6, Alonso à 13", Nakajima à 17"7, Glock à 19"4 et Raikkonen à 39"5. Il n'y a plus que 11 voitures en course!
Hamilton et Rosberg ravitaillent pour la seconde fois au 43e tour, Heidfeld passe à son stand au 44e passage... mais Timo Glock sort violemment de la piste. La voiture de sécurité entre immédiatement en action. Timo Glock ne semble heureusement pas blessé. Profitant de cette neutralisation, Barrichello rentre pour ravitailler et repart avec le tuyau d'essence et le mécanicien qui le tenait. Pas de blessé là non plus, mais Barrichello sera pénalisé car il n'avait pas le droit de ravitailler à ce moment-là de la course.
Le classement au 46e passage, derrière la voiture de sécurité: Kovalainen, Hamilton, Heidfeld, Barrichello, Rosberg, Bourdais, Kubica, Alonso, Nakajima et Raikkonen. Ils ne sont plus que 10 en course.
Kovalainen et Alonso ravitaillent pour la seconde fois au 47e tour, alors que la voiture de sécurité est encore en piste. C'est une mauvaise affaire pour ces deux-là, puisqu'ils remontent en piste aux deux dernières positions.
La voiture de sécurité s'efface à l'entame du 48e tour. Kubica et Nakajima rentrent pour un dernier ravitaillement. Ces deux-là ont eu un contact dans le peloton. Kubica ne ressortira pas de son stand: il abandonne.
Pendant ce temps, Alonso a pris l'avantage sur Kovalainen et est à l'attaque de la 4e place de Sébastien Bourdais. Il ne reste que huit voitures en piste et ceux qui rejoindront l'arrivée sont assurés de marquer au moins un point.
C'est probablement à ça que doit penser Kimi Raikkonen qui au 52e tour est au ralenti. Le Finlandais boira finalement le calice jusqu'à la lie puisqu'il s'immobilisera à 3 tours de l'arrivée.
Lewis Hamilton remporte donc ce Grand Prix d'Australie très mouvementé pour tout le monde, sauf pour lui. Heidfeld termine deuxième et devance Rosberg, Alonso, Kovalainen et Barrichello (qui sera déclassé après l'arrivée). Alonso et Kovalainen se livrent un beau duel en fin de course. Ils échangeront leurs positions le temps de quelques centaines de mètres, mais c'est Alonso qui aura le dernier mot.
Sébastien Bourdais était en passe de terminer son remarquable premier Grand Prix de F1 en 4e position, mais sa Toro Rosso s'immobilise à seulement deux tours de l'arrivée. Pas de chance pour le pilote français, mais ce n'est sûrement que partie remise. Bourdais marque cependant les deux points de la septième place.
Prochain rendez-vous: le Grand Prix de Malaisie qui se disputera la semaine prochaine sur le circuit de Sepang --Message edité par rey cheevas le 2008-03-16 08:56:22--
La température est caniculaire à quelques minutes du départ du Grand Prix d'Australie, première manche du championnat 2008. Les pilotes et les mécaniques ont souffert aujourd'hui et il y a peu de monde à l'arrivée, comme c'est souvent le cas à Melbourne.
Pour Lewis Hamilton ce Grand Prix a été plutôt calme, avec une victoire au bout du chemin. Quant à la Scuderia Ferrari, elle essayera d'oublier cette course d'ouverture au plus vite...
Ils sont 21 à venir s'aligner sur la grille de départ, Adrian Sutil étant obligé de partir depuis les stands pour changement de moteur et de châssis après la séance qualificative d'hier.
Les Ferrari et la Toyota de Glock sont les seules à se présenter au départ en pneus tendres. A l'extinction des feux, Lewis Hamilton garde son avantage et s'engouffre en tête dans le premier virage. Il est suivi (de très près) par Kubica, Kovalainen, Rosberg, Heidfeld et Trulli. Mais Vettel et Fisichella s'accrochent à l'arrière du peloton. Massa, Piquet, Kovalainen, Nakajima et d'autres ont aussi eu un contact et la voiture de sécurité entre immédiatement en action.
Le classement derrière la voiture de sécurité est le suivant: Hamilton, Kubica, Kovalainen, Rosberg, Heidfeld, Trulli, Barrichello, Raikkonen, Coulthard, Alonso, Sato, Piquet et le reste du peloton.
La voiture de sécurité libère les concurrents à l'entame du 2e tour.
Massa qui s'était arrêté au stand pendant la neutralisation, pour changer son aileron avant, fait un nouveau passage par les stands. Sa course commence vraiment très mal...
Les autres victimes de ce début de course sont: Webber, Button, Davidson, Vettel et Fisichella. Ces cinq-là ont déjà abandonné. Sutil abandonnera à son tour quelques minutes plus tard.
En tête de la course, Hamilton prend le large. A l'entame du cinquième tour, il a déjà 2"6 d'avance sur Kubica, 5"2 sur Kovalainen, 7"2 sur Rosberg, 8"1 sur Heidfeld, 10"4 sur Trulli, 12"5 sur Barrichello, 13"6 sur Raikkonen, 16"6 sur Coulthard et 17"5 sur Alonso. Massa est 17e et dernier avec un retard de près de 50 secondes!
Hamilton se construit immédiatement un petit avantage: au 9e passage, son avance est de 6"7 sur Kubica, 8"1 sur Kovalainen et 12"7 sur Rosberg. En ce début de course, Lewis Hamilton est clairement le plus rapide. Quant à Raikkonen, il a du mal à prendre l'avantage sur Barrichello et il compte déjà un retard de 24"5 sur Hamilton au 10e passage. Ce début de course de Barrichello est d'ailleurs assez étonnant, même s'il a profité de circonstances favorables pour se retrouver en 7e position.
Au 13e tour, Hamilton a une avance de 9"4 sur Kubica, 10"9 sur Kovalainen, 17"3 sur Rosberg, 18"5 sur Heidfeld, 22"7 sur Trulli, 29"5 sur Barrichello, 30 sur Raikkonen, 33"5 sur Coulthard et 25"2 sur Alonso. Felipe Massa est 16e avec un retard de 60 secondes sur Hamilton.
Kubica est le premier à ravitailler au 16e tour. Hamilton ravitaille à son tour au 18e passage, Bourdais au 19e, Trulli au 20e (son arrêt s'éternise), Rosberg et Heidfeld au 21e, Kovalainen et Coulthard au 22e, Barrichello au 23e et Sato au 25e.
Pendant cette première vague de ravitaillements, Raikkonen a pris l'avantage sur Barrichello (au 19e tour), ce qui a quelque peu libéré son rythme. A la faveur des ravitaillements, il se retrouve même en troisième position.
Au 25e tour, Felipe Massa envoie Coulthard hors de la piste et la voiture de sécurité entre immédiatement en action.
Alors que la voiture de sécurité est toujours en piste, Bourdais ravitaille au 28e tour, Kubica, Alonso, Glock et Sato au 29e. Kimi Raikkonen, qui n'a toujours pas effectué son premier ravitaillement, décide de rester en piste.
La voiture de sécurité s'efface au début du 30e tour et Kimi Raikkonen se montre immédiatement très agressif et parvient à prendre l'avantage sur Kovalainen le temps de... quelques secondes. Le Finlandais sort en effet dans le bac à graviers et est obligé de rejoindre son stand pour ravitailler et enlever le gravier de ses pontons. Il remonte en piste en 12e position à plus de 30 secondes des leaders de la course. Il fera une autre erreur un peu plus tard. Pendant ce temps, Felipe Massa abandonne. Un dimanche noir pour la Scuderia.
Le classement au 33e passage: Hamilton, Kovalainen à 3"4, Heidfeld à 4"8, Rosberg à 5"9, Barrichello à 8"4, Bourdais à 12", Kubica à 12"6, Alonso à 13", Nakajima à 17"7, Glock à 19"4 et Raikkonen à 39"5. Il n'y a plus que 11 voitures en course!
Hamilton et Rosberg ravitaillent pour la seconde fois au 43e tour, Heidfeld passe à son stand au 44e passage... mais Timo Glock sort violemment de la piste. La voiture de sécurité entre immédiatement en action. Timo Glock ne semble heureusement pas blessé. Profitant de cette neutralisation, Barrichello rentre pour ravitailler et repart avec le tuyau d'essence et le mécanicien qui le tenait. Pas de blessé là non plus, mais Barrichello sera pénalisé car il n'avait pas le droit de ravitailler à ce moment-là de la course.
Le classement au 46e passage, derrière la voiture de sécurité: Kovalainen, Hamilton, Heidfeld, Barrichello, Rosberg, Bourdais, Kubica, Alonso, Nakajima et Raikkonen. Ils ne sont plus que 10 en course.
Kovalainen et Alonso ravitaillent pour la seconde fois au 47e tour, alors que la voiture de sécurité est encore en piste. C'est une mauvaise affaire pour ces deux-là, puisqu'ils remontent en piste aux deux dernières positions.
La voiture de sécurité s'efface à l'entame du 48e tour. Kubica et Nakajima rentrent pour un dernier ravitaillement. Ces deux-là ont eu un contact dans le peloton. Kubica ne ressortira pas de son stand: il abandonne.
Pendant ce temps, Alonso a pris l'avantage sur Kovalainen et est à l'attaque de la 4e place de Sébastien Bourdais. Il ne reste que huit voitures en piste et ceux qui rejoindront l'arrivée sont assurés de marquer au moins un point.
C'est probablement à ça que doit penser Kimi Raikkonen qui au 52e tour est au ralenti. Le Finlandais boira finalement le calice jusqu'à la lie puisqu'il s'immobilisera à 3 tours de l'arrivée.
Lewis Hamilton remporte donc ce Grand Prix d'Australie très mouvementé pour tout le monde, sauf pour lui. Heidfeld termine deuxième et devance Rosberg, Alonso, Kovalainen et Barrichello (qui sera déclassé après l'arrivée). Alonso et Kovalainen se livrent un beau duel en fin de course. Ils échangeront leurs positions le temps de quelques centaines de mètres, mais c'est Alonso qui aura le dernier mot.
Sébastien Bourdais était en passe de terminer son remarquable premier Grand Prix de F1 en 4e position, mais sa Toro Rosso s'immobilise à seulement deux tours de l'arrivée. Pas de chance pour le pilote français, mais ce n'est sûrement que partie remise. Bourdais marque cependant les deux points de la septième place.
Prochain rendez-vous: le Grand Prix de Malaisie qui se disputera la semaine prochaine sur le circuit de Sepang --Message edité par rey cheevas le 2008-03-16 08:56:22--
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Moins de 4 jous Avant Sépang ...
Deuxième round du championnat du monde 2008 de F1, le Grand Prix de Malaisie se déroulera sur le circuit de Sepang, près de Kuala Lumpur.
Bien que distant de 9778 km de Munich – plus de 10000 de l’usine d’Hinwil – cette course est comme un rendez-vous ‘à domicile’ pour BMW Sauber, dont le principal commanditaire est Petronas, le géant pétrolier malais – également sponsor du Grand Prix.
Monté sur la deuxième marche du podium à Melbourne, Nick Heidfeld est bien décidé à continuer sur la lancée.
Sur le circuit de Sepang, le pilote allemand avait pris la 5ème place au volant d’une Sauber en 2002. Il y a terminé 3ème avec une Williams BMW en 2005. L’an dernier, avec sa BMW Sauber, il s’était classé 4ème derrière Alonso, Hamilton et Raikkonen !
« Depuis des années déjà, le Grand Prix de Malaisie est une course spéciale pour moi. Petronas, bien sûr, était déjà un partenaire de Sauber quand j’ai roulé pour eux, et nous avons l'habitude de faire des tournées promotionnelles à travers le pays » expliquait-il.
« Quand vous êtes pilotes de F1, vous n'avez pas souvent l'occasion de voir au-delà des aéroports, des hôtels et des circuits car il n'y a tout simplement pas le temps d'apprendre à connaître un pays et son peuple » regrettait Nick.
« Mais en Malaisie, j'ai déjà réussi à m’y promener un peu, et je me sens très bien, comme à la maison ! »
« Ça prend toujours du temps pour bien s’acclimater à la chaleur et au taux d’humidité élevé, mais cela n'a jamais été un problème pour moi » déclarait-il. « Le circuit est beau et difficile. L'année dernière, j'y ai fait une bonne course que j’avais terminée quatrième. J'avais réussi à passer Felipe Massa et à le garder derrière moi ! »
Qualifié en première ligne en Australie, Robert Kubica n’a pas vu le drapeau à damiers, la faute à un contact avec la Williams de Nakajima. L’an dernier en Malaisie, le Polonais s’était classé dernier après une crevaison et des problèmes avec la boîte de vitesses.
« Je suis impatient de prendre le départ de la course en Malaisie parce que Sepang est une piste très difficile que j’apprécie beaucoup. Bien entendu, les conditions climatiques sont extrêmes, c’est un gros défi » reconnaissait-il. « Mais, heureusement, nous avons déjà eu de très hautes températures à Melbourne, donc nous avons eu l’occasion de nous y adapter un peu. »
« L'année dernière, notre voiture était très compétitive, mais pour moi, à peu près tout s'est mal passé. J’ai un score à faire à Sepang. Le Grand Prix de Malaisie est une course très spéciale pour nous en raison de notre partenaire Petronas. Nous avons beaucoup de fans là-bas » ajoutait Robert.
Comme chaque année, le Grand Prix de Malaisie sera marqué par des conditions climatiques extrêmes. A Sepang, les hommes et les mécaniques risquent en effet de souffrir de la forte chaleur et du taux d'humidité toujours très élevé.
« La course en Australie nous a donné une première indication sur le rapport de forces entre les équipes, mais rien de plus – car le circuit de l’Albert Park a ses caractéristiques propres qui ne sont pas très représentatives. Donc, je pense que nous aurons une image plus claire après le Grand Prix de Malaisie » estimait Willy Rampf, directeur technique de l’équipe germanique. « En raison de ses nombreux virages différents, Sepang a de grosses exigences sur le set-up des voitures. »
« La section lente réclame beaucoup de motricité. Un niveau élevé de stabilité est crucial, en particulier pour les nombreuses courbes rapides. Une bonne efficacité aérodynamique est un autre élément essentiel. A Sepang, en outre, les pneus arrière souffrent énormément – ce qui sera aggravé cette année par l'absence de contrôle de traction » concluait Willy.
Deuxième round du championnat du monde 2008 de F1, le Grand Prix de Malaisie se déroulera sur le circuit de Sepang, près de Kuala Lumpur.
Bien que distant de 9778 km de Munich – plus de 10000 de l’usine d’Hinwil – cette course est comme un rendez-vous ‘à domicile’ pour BMW Sauber, dont le principal commanditaire est Petronas, le géant pétrolier malais – également sponsor du Grand Prix.
Monté sur la deuxième marche du podium à Melbourne, Nick Heidfeld est bien décidé à continuer sur la lancée.
Sur le circuit de Sepang, le pilote allemand avait pris la 5ème place au volant d’une Sauber en 2002. Il y a terminé 3ème avec une Williams BMW en 2005. L’an dernier, avec sa BMW Sauber, il s’était classé 4ème derrière Alonso, Hamilton et Raikkonen !
« Depuis des années déjà, le Grand Prix de Malaisie est une course spéciale pour moi. Petronas, bien sûr, était déjà un partenaire de Sauber quand j’ai roulé pour eux, et nous avons l'habitude de faire des tournées promotionnelles à travers le pays » expliquait-il.
« Quand vous êtes pilotes de F1, vous n'avez pas souvent l'occasion de voir au-delà des aéroports, des hôtels et des circuits car il n'y a tout simplement pas le temps d'apprendre à connaître un pays et son peuple » regrettait Nick.
« Mais en Malaisie, j'ai déjà réussi à m’y promener un peu, et je me sens très bien, comme à la maison ! »
« Ça prend toujours du temps pour bien s’acclimater à la chaleur et au taux d’humidité élevé, mais cela n'a jamais été un problème pour moi » déclarait-il. « Le circuit est beau et difficile. L'année dernière, j'y ai fait une bonne course que j’avais terminée quatrième. J'avais réussi à passer Felipe Massa et à le garder derrière moi ! »
Qualifié en première ligne en Australie, Robert Kubica n’a pas vu le drapeau à damiers, la faute à un contact avec la Williams de Nakajima. L’an dernier en Malaisie, le Polonais s’était classé dernier après une crevaison et des problèmes avec la boîte de vitesses.
« Je suis impatient de prendre le départ de la course en Malaisie parce que Sepang est une piste très difficile que j’apprécie beaucoup. Bien entendu, les conditions climatiques sont extrêmes, c’est un gros défi » reconnaissait-il. « Mais, heureusement, nous avons déjà eu de très hautes températures à Melbourne, donc nous avons eu l’occasion de nous y adapter un peu. »
« L'année dernière, notre voiture était très compétitive, mais pour moi, à peu près tout s'est mal passé. J’ai un score à faire à Sepang. Le Grand Prix de Malaisie est une course très spéciale pour nous en raison de notre partenaire Petronas. Nous avons beaucoup de fans là-bas » ajoutait Robert.
Comme chaque année, le Grand Prix de Malaisie sera marqué par des conditions climatiques extrêmes. A Sepang, les hommes et les mécaniques risquent en effet de souffrir de la forte chaleur et du taux d'humidité toujours très élevé.
« La course en Australie nous a donné une première indication sur le rapport de forces entre les équipes, mais rien de plus – car le circuit de l’Albert Park a ses caractéristiques propres qui ne sont pas très représentatives. Donc, je pense que nous aurons une image plus claire après le Grand Prix de Malaisie » estimait Willy Rampf, directeur technique de l’équipe germanique. « En raison de ses nombreux virages différents, Sepang a de grosses exigences sur le set-up des voitures. »
« La section lente réclame beaucoup de motricité. Un niveau élevé de stabilité est crucial, en particulier pour les nombreuses courbes rapides. Une bonne efficacité aérodynamique est un autre élément essentiel. A Sepang, en outre, les pneus arrière souffrent énormément – ce qui sera aggravé cette année par l'absence de contrôle de traction » concluait Willy.
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Quatrième à Melbourne, Fernando Alonso va attaquer avec confiance le prochain Grand Prix de Malaisie. Le circuit de Sepang est en effet l'un de ceux qu'il préfère et il espère donc y briller une fois de plus.
Fernando, vous avez fait une course remarquable en Australie pour remonter à la quatrième place. Un bon début pour ce championnat 2008?
Fernando Alonso: Oui, ce résultat est très important pour l'équipe; il nous redonne confiance et une motivation supplémentaire pour poursuivre nos efforts. Nous avons su profiter d'une course aux circonstances particulières, mais il fallait également être en mesure de le faire. Cependant, ce n'est que la première course et nous devons encore progresser pour revenir dans le rythme des autres équipes. Il y a du travail, mais un résultat comme celui de Melbourne, nous donne envie d'y croire.
Vous êtes maintenant prêt à disputer le Grand Prix de Malaisie, une épreuve qui vous a toujours réussi. Impatient?
FA: Oui, sans aucun doute. Sepang est vraiment mon circuit préféré. J'ai décroché ma première pole position sur ce tracé en 2003, avec Renault déjà, et j'ai remporté deux fois cette course. C'est vraiment un circuit que j'apprécie et j'ai toujours tendance à attaquer un petit plus en Malaisie. J'espère que cette année, je pourrai encore en profiter, je suis vraiment impatient.
La Malaisie est réputée pour être un Grand Prix difficile pour les hommes et les machines.
Etes-vous inquiet?
FA: Non, pas particulièrement. Nous avons déjà été confrontés à des températures étonnement élevées la semaine dernière en Australie; nous ne devrions pas avoir de problème particulier dans ce domaine. Sur le plan physique, j'ai beaucoup tourné cet hiver, je suis donc affûté et là encore, il ne devrait pas y avoir de problème.
Après l'Australie, quels sont selon vous les domaines sur lesquels vous devrez vous concentrer dans la préparation de la prochaine épreuve?
FA: Je pense que nous devons surtout améliorer notre niveau de performance sur un tour, en configuration de qualifications, pour pouvoir prétendre à une meilleure position sur la grille, car cela facilite énormément les choses ensuite pour la course. Après, il est important d'avoir un bon rythme en course pour maintenir sa position et éventuellement remonter et je pense que c'est ce que nous devrons garder en tête lors des premiers essais vendredi à Sepang.
Fernando, vous avez fait une course remarquable en Australie pour remonter à la quatrième place. Un bon début pour ce championnat 2008?
Fernando Alonso: Oui, ce résultat est très important pour l'équipe; il nous redonne confiance et une motivation supplémentaire pour poursuivre nos efforts. Nous avons su profiter d'une course aux circonstances particulières, mais il fallait également être en mesure de le faire. Cependant, ce n'est que la première course et nous devons encore progresser pour revenir dans le rythme des autres équipes. Il y a du travail, mais un résultat comme celui de Melbourne, nous donne envie d'y croire.
Vous êtes maintenant prêt à disputer le Grand Prix de Malaisie, une épreuve qui vous a toujours réussi. Impatient?
FA: Oui, sans aucun doute. Sepang est vraiment mon circuit préféré. J'ai décroché ma première pole position sur ce tracé en 2003, avec Renault déjà, et j'ai remporté deux fois cette course. C'est vraiment un circuit que j'apprécie et j'ai toujours tendance à attaquer un petit plus en Malaisie. J'espère que cette année, je pourrai encore en profiter, je suis vraiment impatient.
La Malaisie est réputée pour être un Grand Prix difficile pour les hommes et les machines.
Etes-vous inquiet?
FA: Non, pas particulièrement. Nous avons déjà été confrontés à des températures étonnement élevées la semaine dernière en Australie; nous ne devrions pas avoir de problème particulier dans ce domaine. Sur le plan physique, j'ai beaucoup tourné cet hiver, je suis donc affûté et là encore, il ne devrait pas y avoir de problème.
Après l'Australie, quels sont selon vous les domaines sur lesquels vous devrez vous concentrer dans la préparation de la prochaine épreuve?
FA: Je pense que nous devons surtout améliorer notre niveau de performance sur un tour, en configuration de qualifications, pour pouvoir prétendre à une meilleure position sur la grille, car cela facilite énormément les choses ensuite pour la course. Après, il est important d'avoir un bon rythme en course pour maintenir sa position et éventuellement remonter et je pense que c'est ce que nous devrons garder en tête lors des premiers essais vendredi à Sepang.
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Comme l'a dit Felipe Massa en Australie, la Scuderia Ferrari estime aussi, par la force des choses, que sa saison commencera ce week-end en Malaisie. Il est en effet évident que ce n'est pas le petit point marqué par Raikkonen à Melbourne qui fera oublier l'énorme déconvenue de la semaine passée.
Chez Ferrari, on garde cependant toute sa lucidité en affirmant, non sans ironie, que rien n'est perdu puisque Kimi Raikkonen n'a que neuf points de retard alors qu'il reste 17 courses à disputer. Vu sous cet angle, l'argument est inattaquable!
Kimi Raikkonen et Felipe Massa ayant chacun cassé leur moteur en Australie, ce sont donc de nouveaux blocs qui ont été expédiés d'Italie vers la Malaisie. Aucune des deux voitures n'étant à l'arrivée en Australie, ce changement de moteur n'entraînera aucune pénalité.
Malgré sa déconvenue de Melbourne, Kimi Raikkonen dit avoir toujours confiance en son équipe. "Il n'y a pas grand-chose à dire après ce premier week-end de course de la saison. La seule chose qui soit positive, c'est que c'est archivé maintenant. Nous avions eu des problèmes dès le samedi et nous n'avons jamais eu l'occasion de rouler comme nous l'avions prévu. Nous sommes bien sûr très déçus. Cela ne sert à rien de se demander ce que nous aurions pu faire le vendredi, le samedi ou le dimanche puisque nous n'avons de toute façon pas terminé la course.
L'importance du point que j'ai marqué en Australie, nous ne le découvrirons qu'à la fin de l'année."
"Le manque de fiabilité est un problème sérieux, mais je sais qu'ils travaillent tous à Maranello afin de résoudre nos problèmes. Je ne suis pas préoccupé par la compétitivité de la voiture. La première course s'est déroulée comme on le sait, mais nous sommes cependant persuadés d'avoir une bonne voiture," poursuit le champion du monde.
"J'ai gagné en Malaisie en 2003, c'était ma première victoire en F1. Nous pourrions bien faire les choses à Sepang, à la condition que la voiture soit fiable. Il fera chaud là-bas, mais certainement pas beaucoup plus qu'à Melbourne! Cette saison sera longue et nous devons faire en sorte de marquer à chaque fois le maximum de points. J'ai confiance en l'équipe qui ne perd jamais de vue ses objectifs comme elle l'a souvent démontré par le passé. La Scuderia reviendra à l'avant," conclut Kimi Raikkonen.
Felipe Massa se souvient aussi de sa course en Australie. "Ce fut une course incroyable et une journée très frustrante. J'espère que notre saison commencera réellement en Malaisie. Nous avons examiné les moteurs défaillants de la course de Melbourne et nous pensons avoir résolu nos problèmes. Avec ces problèmes et mon accrochage avec David Coulthard, j'espère que nous avons concentré tous nos soucis en une seule course et que nous pourrons maintenant aller de l'avant."
Alors qu'il vient de boucler le premier Grand Prix de la saison et qu'il s'apprête à attaquer le suivant en Malaisie, la rumeur qui veut que Massa quitte la Scuderia à la fin de l'année se fait de plus en plus insistante. Felipe Massa se devait donc de répondre à cette rumeur...
"J'ai signé un contrat de trois ans avec Ferrari et je me sens très bien au sein de cette équipe. Tout le monde est content dans l'équipe, si ce n'est la déception du week-end passé. Ce n'est pas le résultat d'une seule course qui changera quoi que ce soit dans l'équipe ou dans mon contrat," affirme le Brésilien.
La Scuderia Ferrari s'est déjà imposée quatre fois à Sepang. Cela ne peut que rendre Massa confiant. "C'est un circuit que j'aime beaucoup. Le Grand Prix de l'année dernière ne s'est pas très bien passé pour moi, mais je suis néanmoins impatient d'attaquer celui de cette année en espérant que cela se passe enfin bien, surtout le dimanche."
Chez Ferrari, on garde cependant toute sa lucidité en affirmant, non sans ironie, que rien n'est perdu puisque Kimi Raikkonen n'a que neuf points de retard alors qu'il reste 17 courses à disputer. Vu sous cet angle, l'argument est inattaquable!
Kimi Raikkonen et Felipe Massa ayant chacun cassé leur moteur en Australie, ce sont donc de nouveaux blocs qui ont été expédiés d'Italie vers la Malaisie. Aucune des deux voitures n'étant à l'arrivée en Australie, ce changement de moteur n'entraînera aucune pénalité.
Malgré sa déconvenue de Melbourne, Kimi Raikkonen dit avoir toujours confiance en son équipe. "Il n'y a pas grand-chose à dire après ce premier week-end de course de la saison. La seule chose qui soit positive, c'est que c'est archivé maintenant. Nous avions eu des problèmes dès le samedi et nous n'avons jamais eu l'occasion de rouler comme nous l'avions prévu. Nous sommes bien sûr très déçus. Cela ne sert à rien de se demander ce que nous aurions pu faire le vendredi, le samedi ou le dimanche puisque nous n'avons de toute façon pas terminé la course.
L'importance du point que j'ai marqué en Australie, nous ne le découvrirons qu'à la fin de l'année."
"Le manque de fiabilité est un problème sérieux, mais je sais qu'ils travaillent tous à Maranello afin de résoudre nos problèmes. Je ne suis pas préoccupé par la compétitivité de la voiture. La première course s'est déroulée comme on le sait, mais nous sommes cependant persuadés d'avoir une bonne voiture," poursuit le champion du monde.
"J'ai gagné en Malaisie en 2003, c'était ma première victoire en F1. Nous pourrions bien faire les choses à Sepang, à la condition que la voiture soit fiable. Il fera chaud là-bas, mais certainement pas beaucoup plus qu'à Melbourne! Cette saison sera longue et nous devons faire en sorte de marquer à chaque fois le maximum de points. J'ai confiance en l'équipe qui ne perd jamais de vue ses objectifs comme elle l'a souvent démontré par le passé. La Scuderia reviendra à l'avant," conclut Kimi Raikkonen.
Felipe Massa se souvient aussi de sa course en Australie. "Ce fut une course incroyable et une journée très frustrante. J'espère que notre saison commencera réellement en Malaisie. Nous avons examiné les moteurs défaillants de la course de Melbourne et nous pensons avoir résolu nos problèmes. Avec ces problèmes et mon accrochage avec David Coulthard, j'espère que nous avons concentré tous nos soucis en une seule course et que nous pourrons maintenant aller de l'avant."
Alors qu'il vient de boucler le premier Grand Prix de la saison et qu'il s'apprête à attaquer le suivant en Malaisie, la rumeur qui veut que Massa quitte la Scuderia à la fin de l'année se fait de plus en plus insistante. Felipe Massa se devait donc de répondre à cette rumeur...
"J'ai signé un contrat de trois ans avec Ferrari et je me sens très bien au sein de cette équipe. Tout le monde est content dans l'équipe, si ce n'est la déception du week-end passé. Ce n'est pas le résultat d'une seule course qui changera quoi que ce soit dans l'équipe ou dans mon contrat," affirme le Brésilien.
La Scuderia Ferrari s'est déjà imposée quatre fois à Sepang. Cela ne peut que rendre Massa confiant. "C'est un circuit que j'aime beaucoup. Le Grand Prix de l'année dernière ne s'est pas très bien passé pour moi, mais je suis néanmoins impatient d'attaquer celui de cette année en espérant que cela se passe enfin bien, surtout le dimanche."
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
L'Espagnol Fernando Alonso a considéré jeudi qu'il avait été "chanceux" de terminer quatrième du premier Grand Prix de la saison dimanche dernier à Melbourne, et que sa Renault est encore "loin derrière" les équipes de pointe, Ferrari et McLaren-Mercedes.
"En Australie on a clairement été chanceux, a indiqué l'Espagnol avant le GP de Malaisie, qui a lieu dimanche. Heikki Kovalainen était une minute devant nous avant que la voiture de sécurité n'entre en piste", a-t-il détaillé.
L'Espagnol a en effet profité du ralentissement de la course pour se rapprocher de Kovalainen, qu'il a ensuite doublé pour la 4e place.
"J'aimerais me battre avec Ferrari et McLaren dans une course normale. C'est notre objectif pour la saison et en Australie on était trop loin derrière", a-t-il ajouté.
Alonso a remporté deux titres de champion du monde des pilotes avec l'écurie française en 2005 et 2006 avant de connaître un intermède délicat la saison passée avec McLaren-Mercedes.
Revenu cette saison chez Renault, il sait que sa voiture ne lui permet pas encore de se battre pour la victoire.
"En Australie on n'était pas assez près pour se battre pour les points importants. On est loin derrière Ferrari, McLaren et même BMW. On est dans le groupe avec Red Bull, Williams et Toyota. Parfois on sera devant eux, parfois on sera derrière", a encore estimé Alonso.
"C'est un peu comme en 2003 et 2004: il faut se battre pour réduire l'écart. En même temps les courses sont un peu plus intéressantes pour moi, vous êtes toujours au milieu d'un groupe et la bagarre est permanente, dès le départ. J'apprécie ce nouveau défi", a-t-il ajouté.
"En Australie on a clairement été chanceux, a indiqué l'Espagnol avant le GP de Malaisie, qui a lieu dimanche. Heikki Kovalainen était une minute devant nous avant que la voiture de sécurité n'entre en piste", a-t-il détaillé.
L'Espagnol a en effet profité du ralentissement de la course pour se rapprocher de Kovalainen, qu'il a ensuite doublé pour la 4e place.
"J'aimerais me battre avec Ferrari et McLaren dans une course normale. C'est notre objectif pour la saison et en Australie on était trop loin derrière", a-t-il ajouté.
Alonso a remporté deux titres de champion du monde des pilotes avec l'écurie française en 2005 et 2006 avant de connaître un intermède délicat la saison passée avec McLaren-Mercedes.
Revenu cette saison chez Renault, il sait que sa voiture ne lui permet pas encore de se battre pour la victoire.
"En Australie on n'était pas assez près pour se battre pour les points importants. On est loin derrière Ferrari, McLaren et même BMW. On est dans le groupe avec Red Bull, Williams et Toyota. Parfois on sera devant eux, parfois on sera derrière", a encore estimé Alonso.
"C'est un peu comme en 2003 et 2004: il faut se battre pour réduire l'écart. En même temps les courses sont un peu plus intéressantes pour moi, vous êtes toujours au milieu d'un groupe et la bagarre est permanente, dès le départ. J'apprécie ce nouveau défi", a-t-il ajouté.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Rosberg est impatient d'être à Bahreïn
Troisième à Melbourne, Nico Rosberg espérait rééditer cette performance en Malaisie, mais c'est au contraire un week-end très décevant qui l'attendait.
"Nous n'avons pas été compétitifs de tout le week-end en Malaisie et une analyse complète de ce qui nous est arrivé là-bas est en cours à l'usine de Grove - explique Nico Rosberg - Nos problèmes à Sepang étaient principalement dus à l'utilisation de nos pneumatiques. Aucun des deux mélanges ne nous offrait assez d'adhérence sur le nouvel asphalte, et ce, malgré les températures très élevées. Il me semble que McLaren a aussi souffert de ce problème; notre cas n'était donc pas isolé."
"A cause de ses problèmes, je me suis qualifié en 16e position. En course, je pensais que la dixième place était un objectif à atteindre réaliste, car j'avais pris un bon départ, mais cet espoir a été réduit à néant lorsque je me suis accroché avec Timo Glock dès le premier tour.
J'ai en effet été obligé de passer par mon stand pour changer le nez de ma monoplace," poursuit le jeune pilote allemand.
"J'ai finalement terminé cette course en 14e position et mon équipier à la 17e place. Le côté positif de ce week-end est que nous avons eu un excellent niveau de fiabilité, comme en Australie. Il est temps maintenant de penser à la course de Bahreïn où Bridgestone nous proposera les mêmes pneus qu'en Australie, ce qui est une bonne nouvelle pour nous. Nous aurons aussi quelques petites nouveautés sur la voiture et j'attends donc cette course avec impatience," conclut Nico Rosberg.
Troisième à Melbourne, Nico Rosberg espérait rééditer cette performance en Malaisie, mais c'est au contraire un week-end très décevant qui l'attendait.
"Nous n'avons pas été compétitifs de tout le week-end en Malaisie et une analyse complète de ce qui nous est arrivé là-bas est en cours à l'usine de Grove - explique Nico Rosberg - Nos problèmes à Sepang étaient principalement dus à l'utilisation de nos pneumatiques. Aucun des deux mélanges ne nous offrait assez d'adhérence sur le nouvel asphalte, et ce, malgré les températures très élevées. Il me semble que McLaren a aussi souffert de ce problème; notre cas n'était donc pas isolé."
"A cause de ses problèmes, je me suis qualifié en 16e position. En course, je pensais que la dixième place était un objectif à atteindre réaliste, car j'avais pris un bon départ, mais cet espoir a été réduit à néant lorsque je me suis accroché avec Timo Glock dès le premier tour.
J'ai en effet été obligé de passer par mon stand pour changer le nez de ma monoplace," poursuit le jeune pilote allemand.
"J'ai finalement terminé cette course en 14e position et mon équipier à la 17e place. Le côté positif de ce week-end est que nous avons eu un excellent niveau de fiabilité, comme en Australie. Il est temps maintenant de penser à la course de Bahreïn où Bridgestone nous proposera les mêmes pneus qu'en Australie, ce qui est une bonne nouvelle pour nous. Nous aurons aussi quelques petites nouveautés sur la voiture et j'attends donc cette course avec impatience," conclut Nico Rosberg.
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Sad Day :
Jean-Marie Balestre, ancien journaliste puis président de la Fédération internationale de l’automobile (FIA), est mort à l’âge de 86 ans, a-t-on appris vendredi de source proche des milieux de l’automobile.
La famille de M. Balestre n’a pas souhaité communiquer, et aucun détail n’a été donné sur la date ou les causes de son décès.
« C'est une perte immense pour le sport automobile. Il avait toujours su porter haut la voix des institutions qu'il a dirigées », a déclaré le président de la Fédération française du sport automobile (FFSA), Nicolas Deschaux en apprenant son décès.
Jean-Marie Balestre fut longtemps président de la Fédération Française de Sport Automobile puis, par la suite, Président de la FISA (Fédération internationale du sport automobile) et de la FIA (Fédération internationale de l'automobile).
Jean-Marie Balestre, ancien journaliste puis président de la Fédération internationale de l’automobile (FIA), est mort à l’âge de 86 ans, a-t-on appris vendredi de source proche des milieux de l’automobile.
La famille de M. Balestre n’a pas souhaité communiquer, et aucun détail n’a été donné sur la date ou les causes de son décès.
« C'est une perte immense pour le sport automobile. Il avait toujours su porter haut la voix des institutions qu'il a dirigées », a déclaré le président de la Fédération française du sport automobile (FFSA), Nicolas Deschaux en apprenant son décès.
Jean-Marie Balestre fut longtemps président de la Fédération Française de Sport Automobile puis, par la suite, Président de la FISA (Fédération internationale du sport automobile) et de la FIA (Fédération internationale de l'automobile).
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Massa a les oreilles qui sifflent...
En Italie, la critique de Felipe Massa est sévère. Chacun y va de son avis et il n'est pas toujours tendre pour le pilote brésilien de la Scuderia.
Cesare Fiorio, ancien directeur de la Scuderia avant l'arrivée de Jean Todt, n'hésite pas à évoquer, dans les colonnes du magazine italien Autosprint, les probables successeurs de Massa chez Ferrari.
"Je n'aimerais pas être dans la peau de Felipe Massa : deux week-ends de Grand Prix et trois grosses erreurs," déclare Fiorio.
Pour remplacer Felipe Massa chez Ferrari, Fiorio a déjà deux favoris et Sebastian Vettel n'est pas l'un d'eux : "Même si je suis convaincu que ce jeune pilote allemand a un grand potentiel, il y a deux pilotes sur le marché qui représenteraient une garantie de succès pour Ferrari.
"
Cesare Fiorio précise ensuite qu'il pense à Fernando Alonso et Robert Kubica, deux pilotes qui seront libres à la fin de cette saison.
Pour faire taire ces critiques et empêcher la rumeur de le déstabiliser un peu plus encore, Felipe Massa se doit de boucler un excellent Grand Prix de Bahreïn. C'est son objectif.
En Italie, la critique de Felipe Massa est sévère. Chacun y va de son avis et il n'est pas toujours tendre pour le pilote brésilien de la Scuderia.
Cesare Fiorio, ancien directeur de la Scuderia avant l'arrivée de Jean Todt, n'hésite pas à évoquer, dans les colonnes du magazine italien Autosprint, les probables successeurs de Massa chez Ferrari.
"Je n'aimerais pas être dans la peau de Felipe Massa : deux week-ends de Grand Prix et trois grosses erreurs," déclare Fiorio.
Pour remplacer Felipe Massa chez Ferrari, Fiorio a déjà deux favoris et Sebastian Vettel n'est pas l'un d'eux : "Même si je suis convaincu que ce jeune pilote allemand a un grand potentiel, il y a deux pilotes sur le marché qui représenteraient une garantie de succès pour Ferrari.
"
Cesare Fiorio précise ensuite qu'il pense à Fernando Alonso et Robert Kubica, deux pilotes qui seront libres à la fin de cette saison.
Pour faire taire ces critiques et empêcher la rumeur de le déstabiliser un peu plus encore, Felipe Massa se doit de boucler un excellent Grand Prix de Bahreïn. C'est son objectif.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
A la fin des qualifications de Sepang, Nick Heidfeld et Fernando Alonso ont dû se frayer un chemin au milieu de voitures qui étaient au ralenti en dehors ou sur la bonne trajectoire.
Ces voitures, qui avaient bouclé leur tour rapide un peu plus tôt, rejoignaient tout simplement leur stand avec l'objectif d'économiser leur essence en vue de la course du lendemain.
En plus de gêner les pilotes qui sont encore dans un tour rapide, ces manoeuvres sont très dangereuses, car en Malaisie par exemple, il y avait jusqu'à 200 km/h de différence entre deux voitures en piste au même moment. La FIA se devait de réagir et c'est donc ce qu'elle a fait.
Dorénavant, lorsqu'un pilote rejoindra son stand, il devra le faire à un bon rythme. "Notre clarification communiquée aux équipes et aux pilotes concerne le tour pour rejoindre les stands après avoir bouclé un tour rapide.
Ce tour devrait être désormais bouclé à une vitesse que nous devons encore déterminer," explique un porte-parole de la FIA.
"Ca pourrait représenter 120% d'un chrono normal, comme nous le faisons déjà pour le tour qu'ils font pour se placer sur la grille de départ. L'objectif étant d'empêcher les pilotes de rouler trop lentement pour économiser de l'essence," ajoute-t-il.
Ces voitures, qui avaient bouclé leur tour rapide un peu plus tôt, rejoignaient tout simplement leur stand avec l'objectif d'économiser leur essence en vue de la course du lendemain.
En plus de gêner les pilotes qui sont encore dans un tour rapide, ces manoeuvres sont très dangereuses, car en Malaisie par exemple, il y avait jusqu'à 200 km/h de différence entre deux voitures en piste au même moment. La FIA se devait de réagir et c'est donc ce qu'elle a fait.
Dorénavant, lorsqu'un pilote rejoindra son stand, il devra le faire à un bon rythme. "Notre clarification communiquée aux équipes et aux pilotes concerne le tour pour rejoindre les stands après avoir bouclé un tour rapide.
Ce tour devrait être désormais bouclé à une vitesse que nous devons encore déterminer," explique un porte-parole de la FIA.
"Ca pourrait représenter 120% d'un chrono normal, comme nous le faisons déjà pour le tour qu'ils font pour se placer sur la grille de départ. L'objectif étant d'empêcher les pilotes de rouler trop lentement pour économiser de l'essence," ajoute-t-il.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
’écurie McLaren Mercedes occupera les deux derniers stands dans la ‘pit-lane’ du circuit de Sakhir à l’occasion du prochain Grand Prix de Bahreïn.
L’allocation des garages est basée sur les positions acquises l'année précédente au championnat du monde des constructeurs – où l’équipe anglo-allemande s’est retrouvée en dernière position après avoir perdu tous leurs points en raison de l’affaire d’espionnage.
A Melbourne, comme à Sepang, McLaren Mercedes s’était toutefois vue attribuée le cinquième stand. A Bahreïn, le garage McLaren sera voisin à celui de Force India.
Les organisateurs bahreïnis s’en sont excusés, arguant avoir été informés trop tard par les autorités de la F1 !
« Nous avons compris qu'il était en conformité avec les règlements de ce sport que McLaren, qui n’a pas marqué de point en 2007, prenne les deux derniers garages » confiait Sheikh Salman bin Isa Al Khalifa, responsable du circuit.
« Nous faisons tout notre possible pour que les fans de chaque équipe puissent avoir une place dans la tribune en face du stand de leur équipe favorite. Malheureusement, cette fois-ci, nous devons présenter nos excuses aux supporters de McLaren Mercedes et accepter qu’il s’agisse d’un cas de force majeure » concluait-il.
L’allocation des garages est basée sur les positions acquises l'année précédente au championnat du monde des constructeurs – où l’équipe anglo-allemande s’est retrouvée en dernière position après avoir perdu tous leurs points en raison de l’affaire d’espionnage.
A Melbourne, comme à Sepang, McLaren Mercedes s’était toutefois vue attribuée le cinquième stand. A Bahreïn, le garage McLaren sera voisin à celui de Force India.
Les organisateurs bahreïnis s’en sont excusés, arguant avoir été informés trop tard par les autorités de la F1 !
« Nous avons compris qu'il était en conformité avec les règlements de ce sport que McLaren, qui n’a pas marqué de point en 2007, prenne les deux derniers garages » confiait Sheikh Salman bin Isa Al Khalifa, responsable du circuit.
« Nous faisons tout notre possible pour que les fans de chaque équipe puissent avoir une place dans la tribune en face du stand de leur équipe favorite. Malheureusement, cette fois-ci, nous devons présenter nos excuses aux supporters de McLaren Mercedes et accepter qu’il s’agisse d’un cas de force majeure » concluait-il.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Y roule vite le Lewis ...
Le pilote britannique Lewis Hamilton, flashé au volant d'une Mercedes à près de 200 km/h en décembre 2007 sur l'autoroute A26, a été condamné lundi à une amende de 578 euros par le tribunal de police de Laon.
La condamnation est conforme aux réquisitions du ministère public et correspond -moins les frais- à la provision de 600 euros versée par le pilote après l'infraction.
Le vice-champion du monde de F1 2007 avait été contrôlé le 16 décembre à 196 km/h à hauteur de la commune de Chéry-les-Pouilly (Aisne), alors qu'il roulait seul à bord d'une Mercedes CLK 63 AMG dans le sens Calais-Reims.
Outre la provision de 600 euros, Lewis Hamilton avait vu son permis suspendu administrativement pour une durée d'un mois.
Il avait également dû abandonner la voiture, immatriculée en Allemagne et dont il n'était pas propriétaire. Ce bolide, dont certains modèles sont utilisés comme safety-car sur les circuit de F1, avait été récupéré le lendemain par un de ses amis.
Lors de l'audience lundi, à laquelle Lewis Hamilton n'assistait pas, son avocat, Me Jean-François Veroux, a déclaré que "pour lui c'est comme s'il avait commis une faute à l'occasion d'un Grand Prix car il est conscient de sa responsabilité vis-à-vis des jeunes".
Le conseil a précisé que son client était volontaire pour participer à des actions de communication en matière de Sécurité routière.
Lors de son interception par les gendarmes du peloton autoroutier de Laon, Lewis Hamilton avait, selon eux, "reconnu l'infraction tout de suite" et s'était montré "très cordial". Il avait déclaré, pour expliquer son excès de vitesse, que l'autoroute était "très dégagée" à ce moment-là. --Message edité par rey cheevas le 2008-03-31 14:08:52--
Le pilote britannique Lewis Hamilton, flashé au volant d'une Mercedes à près de 200 km/h en décembre 2007 sur l'autoroute A26, a été condamné lundi à une amende de 578 euros par le tribunal de police de Laon.
La condamnation est conforme aux réquisitions du ministère public et correspond -moins les frais- à la provision de 600 euros versée par le pilote après l'infraction.
Le vice-champion du monde de F1 2007 avait été contrôlé le 16 décembre à 196 km/h à hauteur de la commune de Chéry-les-Pouilly (Aisne), alors qu'il roulait seul à bord d'une Mercedes CLK 63 AMG dans le sens Calais-Reims.
Outre la provision de 600 euros, Lewis Hamilton avait vu son permis suspendu administrativement pour une durée d'un mois.
Il avait également dû abandonner la voiture, immatriculée en Allemagne et dont il n'était pas propriétaire. Ce bolide, dont certains modèles sont utilisés comme safety-car sur les circuit de F1, avait été récupéré le lendemain par un de ses amis.
Lors de l'audience lundi, à laquelle Lewis Hamilton n'assistait pas, son avocat, Me Jean-François Veroux, a déclaré que "pour lui c'est comme s'il avait commis une faute à l'occasion d'un Grand Prix car il est conscient de sa responsabilité vis-à-vis des jeunes".
Le conseil a précisé que son client était volontaire pour participer à des actions de communication en matière de Sécurité routière.
Lors de son interception par les gendarmes du peloton autoroutier de Laon, Lewis Hamilton avait, selon eux, "reconnu l'infraction tout de suite" et s'était montré "très cordial". Il avait déclaré, pour expliquer son excès de vitesse, que l'autoroute était "très dégagée" à ce moment-là. --Message edité par rey cheevas le 2008-03-31 14:08:52--
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Un porte-parole de la Fédération Internationale de l’Automobile a déclaré que le Président de la FIA - Max Mosley – consultait ses avocats après avoir été accusé d'être au centre d'un scandale où se mélange sexe et racisme.
Le tabloïd britannique News of the World a diffusé une vidéo - en caméra cachée – où un homme identifié comme Max Mosley se retrouve dans un jeu de rôle avec cinq prostituées.
Accueilli par une femme déguisée en gardienne de prison, l’homme est ensuite pris en main par d’autres femmes vêtues d'uniformes de prisonniers – et lui parlent en Allemand !
News of the World a déclaré avoir obtenu cette vidéo de l'un de ses "enquêteurs", sans donner plus de détails.
« En ce qui concerne la FIA, il s'agit d'une affaire entre Mr Mosley et le journal », a déclaré un porte-parole. « Nous comprenons que les avocats de Mr Mosley sont maintenant en contact avec ce journal et la FIA n'a pas de commentaire à faire.
»
Compagnon et ami de longue date de Max Mosley, Bernie Ecclestone s’est exprimé sur le sujet : « Il m'est difficile de croire ça ! »
« C'est son affaire, mais pour moi, ça ressemble à une mise en scène. A-t-il nuit à la F1 ? Non » insistait Ecclestone dans les colonnes du Guardian.
Fils d’Oswald Mosley - fondateur de l’Union Fasciste Britannique, dont le mariage s’était déroulé en présence d’un certain Adolf Hitler – Max Mosley n’est pas raciste d’après son ami Bernie.
« Connaissant Max, il n’a absolument rien contre le peuple juif » affirmait-il dans le Daily Mail.
« En supposant que c'est vrai, ce que les gens font en privé les regardent » estimait Ecclestone dans le Times.
Le tabloïd britannique News of the World a diffusé une vidéo - en caméra cachée – où un homme identifié comme Max Mosley se retrouve dans un jeu de rôle avec cinq prostituées.
Accueilli par une femme déguisée en gardienne de prison, l’homme est ensuite pris en main par d’autres femmes vêtues d'uniformes de prisonniers – et lui parlent en Allemand !
News of the World a déclaré avoir obtenu cette vidéo de l'un de ses "enquêteurs", sans donner plus de détails.
« En ce qui concerne la FIA, il s'agit d'une affaire entre Mr Mosley et le journal », a déclaré un porte-parole. « Nous comprenons que les avocats de Mr Mosley sont maintenant en contact avec ce journal et la FIA n'a pas de commentaire à faire.
»
Compagnon et ami de longue date de Max Mosley, Bernie Ecclestone s’est exprimé sur le sujet : « Il m'est difficile de croire ça ! »
« C'est son affaire, mais pour moi, ça ressemble à une mise en scène. A-t-il nuit à la F1 ? Non » insistait Ecclestone dans les colonnes du Guardian.
Fils d’Oswald Mosley - fondateur de l’Union Fasciste Britannique, dont le mariage s’était déroulé en présence d’un certain Adolf Hitler – Max Mosley n’est pas raciste d’après son ami Bernie.
« Connaissant Max, il n’a absolument rien contre le peuple juif » affirmait-il dans le Daily Mail.
« En supposant que c'est vrai, ce que les gens font en privé les regardent » estimait Ecclestone dans le Times.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Le Directeur général de McLaren,
Martin Whitmarsh est persuadé que l’écurie britannique saura tirer son épingle du jeu à Bahreïn – en dépit du désavantage de ne pas y avoir effectué d’essais privés cet hiver, au contraire de leur principal rival, la Scuderia Ferrari.
« Bien sûr, nous aurions aimé aller à Bahreïn, mais nous devions établir des priorités – savoir comment occuper notre temps » confie le bras droit de Ron Dennis. « Cet hiver, nous avons amélioré l'efficacité aérodynamique de la voiture et le refroidissement en général – ce n’est pas l'un de nos points faibles. »
« Nous avons de bonnes données sur la marche à suivre pour Bahreïn grâce aux années précédentes. Nous sommes convaincus que cela ne sera pas un handicap » affirme Martin. « La nature du circuit de Sakhir est semblable à celle du Canada. En conséquence, il est exigeant pour les freins car il y a quelques gros freinages - ce qui rend les choses excitantes sur le plan du spectacle, mais c’est très dur pour la mécanique.
»
« En outre, le manque de repères autour de la piste signifie que les pilotes doivent vraiment se concentrer sur leurs points de freinages. Lors de nos préparatifs pour cette course, avec nos partenaires japonais Akebono, nous avons concentré nos efforts sur l'amélioration de l'efficacité des freins et du refroidissement » précise-t-il.
« Nous avons une voiture compétitive, et la nécessité de maintenir notre élan est évidemment la priorité. Nous avons continué à développer la MP4-23 en soufflerie, mais nous évaluons encore la possibilité d’utiliser certains développements aérodynamiques à Bahreïn » concluait Martin Whitmarsh.
Martin Whitmarsh est persuadé que l’écurie britannique saura tirer son épingle du jeu à Bahreïn – en dépit du désavantage de ne pas y avoir effectué d’essais privés cet hiver, au contraire de leur principal rival, la Scuderia Ferrari.
« Bien sûr, nous aurions aimé aller à Bahreïn, mais nous devions établir des priorités – savoir comment occuper notre temps » confie le bras droit de Ron Dennis. « Cet hiver, nous avons amélioré l'efficacité aérodynamique de la voiture et le refroidissement en général – ce n’est pas l'un de nos points faibles. »
« Nous avons de bonnes données sur la marche à suivre pour Bahreïn grâce aux années précédentes. Nous sommes convaincus que cela ne sera pas un handicap » affirme Martin. « La nature du circuit de Sakhir est semblable à celle du Canada. En conséquence, il est exigeant pour les freins car il y a quelques gros freinages - ce qui rend les choses excitantes sur le plan du spectacle, mais c’est très dur pour la mécanique.
»
« En outre, le manque de repères autour de la piste signifie que les pilotes doivent vraiment se concentrer sur leurs points de freinages. Lors de nos préparatifs pour cette course, avec nos partenaires japonais Akebono, nous avons concentré nos efforts sur l'amélioration de l'efficacité des freins et du refroidissement » précise-t-il.
« Nous avons une voiture compétitive, et la nécessité de maintenir notre élan est évidemment la priorité. Nous avons continué à développer la MP4-23 en soufflerie, mais nous évaluons encore la possibilité d’utiliser certains développements aérodynamiques à Bahreïn » concluait Martin Whitmarsh.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
La F1 à Londres et Paris en 2009...
Organiser un Grand Prix de F1 dans les rues de Londres et de Paris, voilà une idée que Bernie Ecclestone a du mal à abandonner. Ces courses il en rêve jour et nuit et il a finalement décidé de nous faire partager ses rêves.
Afin de nous convaincre que ces courses valent la peine d'être organisées, même si le coût doit être prohibitif pour les mairies respectives, Bernie Ecclestone a en effet décidé de contacter Electronic Arts pour organiser ces épreuves sur console de jeu, notamment la PS3 de Sony et la Xbox 360 de Microsoft.
Ecclestone a donc demandé à Electronic Arts de numériser un parcours dans les villes de Londres et de Paris afin que chacun puisse se rendre compte de la beauté des décors. Ce jeu sera proposé au téléchargement, sur les consoles respectives de Sony et Microsoft, vers le milieu de l'année prochaine.
En outre, afin d'assurer la promotion de son idée à l'échelle mondiale, Bernie Ecclestone espère organiser les Grands Prix de Paris et de Londres à la télévision grâce à la collaboration de vrais pilotes qui disputeront en direct une fausse course de F1. Ca promet!
Lewis Hamilton, déjà sous contrat avec Electronic Arts, aurait déjà donné son accord à Bernie Ecclestone.
D'autres pilotes comme Kimi Raikkonen seraient très hostiles à cette idée.
"Tout d'abord, je n'aime pas les jeux vidéo. Et puis, si c'est pour me faire battre par mon neveu ou par ma grand-mère chez moi, non merci! Le comble serait de se faire battre par la Force India d'Adrian Sutil en direct à la télévision. Je ne suis pas sûr que Ferrari apprécierait la plaisanterie. Cela se fera donc sans moi, sauf si j'y suis contraint," déclare le champion du monde finlandais.
Jacques Villeneuve aurait déjà contacté la Scuderia Ferrari pour remplacer Kimi Raikkonen au volant de l'une des deux F2009 lors des courses de Londres et de Paris. Une façon comme une autre de relancer sa carrière en F1, car on sait que le pilote québécois est un habitué des jeux vidéo.
Organiser un Grand Prix de F1 dans les rues de Londres et de Paris, voilà une idée que Bernie Ecclestone a du mal à abandonner. Ces courses il en rêve jour et nuit et il a finalement décidé de nous faire partager ses rêves.
Afin de nous convaincre que ces courses valent la peine d'être organisées, même si le coût doit être prohibitif pour les mairies respectives, Bernie Ecclestone a en effet décidé de contacter Electronic Arts pour organiser ces épreuves sur console de jeu, notamment la PS3 de Sony et la Xbox 360 de Microsoft.
Ecclestone a donc demandé à Electronic Arts de numériser un parcours dans les villes de Londres et de Paris afin que chacun puisse se rendre compte de la beauté des décors. Ce jeu sera proposé au téléchargement, sur les consoles respectives de Sony et Microsoft, vers le milieu de l'année prochaine.
En outre, afin d'assurer la promotion de son idée à l'échelle mondiale, Bernie Ecclestone espère organiser les Grands Prix de Paris et de Londres à la télévision grâce à la collaboration de vrais pilotes qui disputeront en direct une fausse course de F1. Ca promet!
Lewis Hamilton, déjà sous contrat avec Electronic Arts, aurait déjà donné son accord à Bernie Ecclestone.
D'autres pilotes comme Kimi Raikkonen seraient très hostiles à cette idée.
"Tout d'abord, je n'aime pas les jeux vidéo. Et puis, si c'est pour me faire battre par mon neveu ou par ma grand-mère chez moi, non merci! Le comble serait de se faire battre par la Force India d'Adrian Sutil en direct à la télévision. Je ne suis pas sûr que Ferrari apprécierait la plaisanterie. Cela se fera donc sans moi, sauf si j'y suis contraint," déclare le champion du monde finlandais.
Jacques Villeneuve aurait déjà contacté la Scuderia Ferrari pour remplacer Kimi Raikkonen au volant de l'une des deux F2009 lors des courses de Londres et de Paris. Une façon comme une autre de relancer sa carrière en F1, car on sait que le pilote québécois est un habitué des jeux vidéo.
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Bahrein 2008:
L'année dernière, Bridgestone avait proposé ses mélanges "dur" et médium" pour le Grand Prix de Bahreïn. Après avoir analysé les données de la course de l'année dernière, Bridgestone a décidé de jouer la carte de la tendresse cette fois-ci.
Ce week-end à Bahreïn, ce sont en effet les mélanges "médium" et "tendre" qui seront proposés aux équipes. Celles-ci vont donc découvrir les gommes tendres sur ce tracé, y compris Ferrari et Toyota, car Bridgestone n'a proposé que son mélange dur pour les essais privés de cet hiver.
"Le circuit de Bahreïn est difficile, mais ce sera un rendez-vous intéressant, car seules deux équipes ont effectué des essais privés sur ce circuit avant le début de la saison. Après avoir analysé les données du Grand Prix de l'année dernière, nous avons décidé de modifier notre sélection de pneus.
Ces données nous ont en effet démontré que nous pouvions proposer des gommes plus tendres cette année," explique Hirohide Hamashima, le directeur du développement chez Bridgestone Motorsport.
"Avoir une bonne traction à la sortie des virages lents sera crucial pour faire un bon tour ce week-end. Il sera intéressant de voir comment les pilotes vont se débrouiller pour régler leur monoplace afin d'avoir la meilleure traction possible sans antipatinage. Comme l'année dernière, nous devrions voir une belle course à Bahreïn," ajoute l'ingénieur japonais
L'année dernière, Bridgestone avait proposé ses mélanges "dur" et médium" pour le Grand Prix de Bahreïn. Après avoir analysé les données de la course de l'année dernière, Bridgestone a décidé de jouer la carte de la tendresse cette fois-ci.
Ce week-end à Bahreïn, ce sont en effet les mélanges "médium" et "tendre" qui seront proposés aux équipes. Celles-ci vont donc découvrir les gommes tendres sur ce tracé, y compris Ferrari et Toyota, car Bridgestone n'a proposé que son mélange dur pour les essais privés de cet hiver.
"Le circuit de Bahreïn est difficile, mais ce sera un rendez-vous intéressant, car seules deux équipes ont effectué des essais privés sur ce circuit avant le début de la saison. Après avoir analysé les données du Grand Prix de l'année dernière, nous avons décidé de modifier notre sélection de pneus.
Ces données nous ont en effet démontré que nous pouvions proposer des gommes plus tendres cette année," explique Hirohide Hamashima, le directeur du développement chez Bridgestone Motorsport.
"Avoir une bonne traction à la sortie des virages lents sera crucial pour faire un bon tour ce week-end. Il sera intéressant de voir comment les pilotes vont se débrouiller pour régler leur monoplace afin d'avoir la meilleure traction possible sans antipatinage. Comme l'année dernière, nous devrions voir une belle course à Bahreïn," ajoute l'ingénieur japonais
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Un circuit très familier pour la Scuderia
C'est le circuit de Sakhir, à Bahreïn, qui accueillera cette fin de semaine la troisième manche du Championnat du monde de F1. C'est une piste que la Scuderia Ferrari connait très bien, car elle y a déjà effectué plusieurs séances d'essais privés ces dernières années.
Cette année encore, en février, Ferrari et Toyota sont les seules équipes à s'être déplacées à Bahreïn pour y effectuer des essais privés.
"Dans un sport aussi difficile que la F1, l'avantage que nous aurions pu avoir grâce à notre participation aux essais hivernaux sur ce circuit sera probablement réduit à néant à la fin des premiers essais libres du vendredi - explique Aldo Costa, le directeur technique de Ferrari - Il n'est même pas question pour nous d'avoir un avantage au niveau des pneumatiques, puisque Bridgestone a proposé des pneus durs pour toutes les séances d'essais privés."
"Le seul avantage de tourner à Bahreïn en hiver, c'est la température qui y est stable, même s'il faisait 10° que ce que nous aurons ce week-end.
Cette stabilité des températures est un grand avantage lorsqu'on travaille sur la mise au point d'une monoplace," poursuit l'ingénieur italien.
Sakhir est un circuit moderne qui offre tous les types de virages, du plus lent au plus rapide. En outre, il y a de longues lignes droites. La piste est large et offre donc plusieurs trajectoires possibles. C'est aussi une piste sur laquelle on peut dépasser un concurrent, comme on l'a vu lors des quatre éditions précédentes de cette course.
Ferrari s'est déjà imposée deux fois à Bahreïn. La première fois avec Michael Schumacher, à l'occasion de la première édition de cette course en 2004. La seconde fois, c'était l'année dernière grâce à Felipe Massa. C'est donc un circuit qui réussit plutôt bien au Brésilien et il pourrait en profiter ce week-end pour redorer son blason.
Quant à Kimi Raikkonen, il ne s'est pas encore imposé là-bas, mais on se souvient de sa très belle course en 2006 lorsque relégué en fond de grille pour un changement de moteur, il était remonté en course jusqu'à la plus petite marche du podium.
Pour préparer la course de Sepang, la Scuderia Ferrari n'a pas seulement travaillé dans son usine de Maranello, puisque dès samedi passé, Marc Gené a testé quelques nouveaux éléments aérodynamiques sur la ligne droite de Vairano.
"L'objectif de cette année est d'avoir de nouveaux éléments à tester tout au long de la saison. Nous avons l'intention d'améliorer notre voiture petit à petit, grâce à des nouveautés introduites lors de chaque course. Ce week-end, à Bahreïn, nous aurons donc de nouveaux éléments aérodynamiques," ajoute Costa.
Felipe Massa avait droit à un nouveau moteur pour le Grand Prix de Bahreïn, étant donné qu'il n'était pas à l'arrivée en Malaisie. Mais Ferrari choisira peut-être une autre stratégie pour lui. Aldo Costa affirme en effet que Massa utilisera probablement son moteur de Sepang. Une décision définitive à ce sujet devrait être prise très bientôt.
C'est le circuit de Sakhir, à Bahreïn, qui accueillera cette fin de semaine la troisième manche du Championnat du monde de F1. C'est une piste que la Scuderia Ferrari connait très bien, car elle y a déjà effectué plusieurs séances d'essais privés ces dernières années.
Cette année encore, en février, Ferrari et Toyota sont les seules équipes à s'être déplacées à Bahreïn pour y effectuer des essais privés.
"Dans un sport aussi difficile que la F1, l'avantage que nous aurions pu avoir grâce à notre participation aux essais hivernaux sur ce circuit sera probablement réduit à néant à la fin des premiers essais libres du vendredi - explique Aldo Costa, le directeur technique de Ferrari - Il n'est même pas question pour nous d'avoir un avantage au niveau des pneumatiques, puisque Bridgestone a proposé des pneus durs pour toutes les séances d'essais privés."
"Le seul avantage de tourner à Bahreïn en hiver, c'est la température qui y est stable, même s'il faisait 10° que ce que nous aurons ce week-end.
Cette stabilité des températures est un grand avantage lorsqu'on travaille sur la mise au point d'une monoplace," poursuit l'ingénieur italien.
Sakhir est un circuit moderne qui offre tous les types de virages, du plus lent au plus rapide. En outre, il y a de longues lignes droites. La piste est large et offre donc plusieurs trajectoires possibles. C'est aussi une piste sur laquelle on peut dépasser un concurrent, comme on l'a vu lors des quatre éditions précédentes de cette course.
Ferrari s'est déjà imposée deux fois à Bahreïn. La première fois avec Michael Schumacher, à l'occasion de la première édition de cette course en 2004. La seconde fois, c'était l'année dernière grâce à Felipe Massa. C'est donc un circuit qui réussit plutôt bien au Brésilien et il pourrait en profiter ce week-end pour redorer son blason.
Quant à Kimi Raikkonen, il ne s'est pas encore imposé là-bas, mais on se souvient de sa très belle course en 2006 lorsque relégué en fond de grille pour un changement de moteur, il était remonté en course jusqu'à la plus petite marche du podium.
Pour préparer la course de Sepang, la Scuderia Ferrari n'a pas seulement travaillé dans son usine de Maranello, puisque dès samedi passé, Marc Gené a testé quelques nouveaux éléments aérodynamiques sur la ligne droite de Vairano.
"L'objectif de cette année est d'avoir de nouveaux éléments à tester tout au long de la saison. Nous avons l'intention d'améliorer notre voiture petit à petit, grâce à des nouveautés introduites lors de chaque course. Ce week-end, à Bahreïn, nous aurons donc de nouveaux éléments aérodynamiques," ajoute Costa.
Felipe Massa avait droit à un nouveau moteur pour le Grand Prix de Bahreïn, étant donné qu'il n'était pas à l'arrivée en Malaisie. Mais Ferrari choisira peut-être une autre stratégie pour lui. Aldo Costa affirme en effet que Massa utilisera probablement son moteur de Sepang. Une décision définitive à ce sujet devrait être prise très bientôt.
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Les pilotes l'équipe Renault F1 se sont retrouvés ce matin pour prendre part à une intense séance de préparation à leur hôtel, près du Circuit International de Bahreïn.
Les deux pilotes titulaires, Fernando Alonso et Nelson Piquet, accompagnés de Sakon Yamamoto, pilote de développement, et Romain Grosjean, pilote d’essais de l’écurie, ont peaufiné leur préparation physique en vue du Grand Prix de ce week-end à Bahreïn.
Lucas Di Grassi, quant à lui, était en piste en Angleterre pour réaliser un shakedown et n’a donc pas pu participer à cette séance d’entraînement.
Dans une ambiance bon-enfant et après un rapide déjeuner, les pilotes ont pu attaquer leur programme par un échauffement sur la plage avant de poursuivre leur entraînement à la gym au cours de plusieurs exercices de poids et de résistance cardiovasculaire.
Les pilotes ont souvent l’habitude de s’entraîner ensemble puisqu’ils se retrouvent de temps à autre au Human Performance Centre à Enstone - des séances de préparation qui leur permettent de se retrouver avant les courses, dans une atmosphère décontractée et qui les poussent à se dépasser, dans un véritable esprit d’équipe.
La préparation physique des pilotes de Formule 1 a toujours été essentielle, aujourd’hui sans doute plus qu’hier, alors qu’ils doivent supporter des forces de près de 5G sur certains circuit.
Piloter une monoplace de F1 exige une forme physique et mentale exceptionnelle.
Si piloter reste la meilleure façon de se préparer sur le plan physique pour répondre aux exigences d’un Grand Prix, un entraînement quotidien en salle de sport reste déterminant dans le programme de préparation des pilotes.
Les physiothérapeutes des pilotes Renault, Fabrizio Borra et Gabriele Polcari, ont supervisé les exercices de ce matin. Ils sont responsables de la préparation physique de leur pilote respectif et surveillent également leur régime alimentaire.
Du jambon de parme et du parmesan avant les qualifications, pour venir gonfler leur réserve énergétique, alors qu’ils mangeront un plat de pâtes blanches avant d’attaquer le Grand Prix. Au cours d’une course, les pilotes doivent également être vigilants à leur hydratation puisqu’ils peuvent perdre jusqu’à quatre litres d’eau.
Les deux pilotes titulaires, Fernando Alonso et Nelson Piquet, accompagnés de Sakon Yamamoto, pilote de développement, et Romain Grosjean, pilote d’essais de l’écurie, ont peaufiné leur préparation physique en vue du Grand Prix de ce week-end à Bahreïn.
Lucas Di Grassi, quant à lui, était en piste en Angleterre pour réaliser un shakedown et n’a donc pas pu participer à cette séance d’entraînement.
Dans une ambiance bon-enfant et après un rapide déjeuner, les pilotes ont pu attaquer leur programme par un échauffement sur la plage avant de poursuivre leur entraînement à la gym au cours de plusieurs exercices de poids et de résistance cardiovasculaire.
Les pilotes ont souvent l’habitude de s’entraîner ensemble puisqu’ils se retrouvent de temps à autre au Human Performance Centre à Enstone - des séances de préparation qui leur permettent de se retrouver avant les courses, dans une atmosphère décontractée et qui les poussent à se dépasser, dans un véritable esprit d’équipe.
La préparation physique des pilotes de Formule 1 a toujours été essentielle, aujourd’hui sans doute plus qu’hier, alors qu’ils doivent supporter des forces de près de 5G sur certains circuit.
Piloter une monoplace de F1 exige une forme physique et mentale exceptionnelle.
Si piloter reste la meilleure façon de se préparer sur le plan physique pour répondre aux exigences d’un Grand Prix, un entraînement quotidien en salle de sport reste déterminant dans le programme de préparation des pilotes.
Les physiothérapeutes des pilotes Renault, Fabrizio Borra et Gabriele Polcari, ont supervisé les exercices de ce matin. Ils sont responsables de la préparation physique de leur pilote respectif et surveillent également leur régime alimentaire.
Du jambon de parme et du parmesan avant les qualifications, pour venir gonfler leur réserve énergétique, alors qu’ils mangeront un plat de pâtes blanches avant d’attaquer le Grand Prix. Au cours d’une course, les pilotes doivent également être vigilants à leur hydratation puisqu’ils peuvent perdre jusqu’à quatre litres d’eau.
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Dans un avenir assez proche, le calendrier de F1 pourrait compter 20 manches. Les séances d'essais privés étant maintenant plus rares que par le passé, cet allongement de la saison semble ne plus déplaire aux patrons d'équipes.
"Vingt, c'est le nombre juste. La F1 doit aller là où le marché commercial se trouve. Un bon équilibre entre les courses traditionnelles en Europe et les nouveaux rendez-vous sur d'autres continents est vital," affirme Nick Fry, le patron de l'équipe Honda.
Christian Horner, le directeur de l'équipe Red Bull, est lui aussi favorable à cet allongement du calendrier. "Sur le plan logistique, ce sera un fameux défi à relever, mais grâce à la collaboration entre les équipes afin de limiter les essais privés, c'est aujourd'hui possible.
"
Ron Dennis est lui aussi sur la même ligne, mais le chiffre de 20 Grands Prix par saison est pour lui la limite qu'il ne faut pas dépasser. "De mon point de vue, la saison devrait compter 20 courses, mais pas plus," affirme-t-il.
Abu Dhabi devrait accueillir son premier Grand Prix de F1 dès l'année prochaine alors que la Corée du Sud devrait le faire en 2010. D'autres pays sont candidats à l'organisation d'un Grand Prix de F1 comme la Russie, l'Inde, les Etats-Unis et Qatar.
"Vingt, c'est le nombre juste. La F1 doit aller là où le marché commercial se trouve. Un bon équilibre entre les courses traditionnelles en Europe et les nouveaux rendez-vous sur d'autres continents est vital," affirme Nick Fry, le patron de l'équipe Honda.
Christian Horner, le directeur de l'équipe Red Bull, est lui aussi favorable à cet allongement du calendrier. "Sur le plan logistique, ce sera un fameux défi à relever, mais grâce à la collaboration entre les équipes afin de limiter les essais privés, c'est aujourd'hui possible.
"
Ron Dennis est lui aussi sur la même ligne, mais le chiffre de 20 Grands Prix par saison est pour lui la limite qu'il ne faut pas dépasser. "De mon point de vue, la saison devrait compter 20 courses, mais pas plus," affirme-t-il.
Abu Dhabi devrait accueillir son premier Grand Prix de F1 dès l'année prochaine alors que la Corée du Sud devrait le faire en 2010. D'autres pays sont candidats à l'organisation d'un Grand Prix de F1 comme la Russie, l'Inde, les Etats-Unis et Qatar.
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Felipe Massa
Deux courses, deux abandons...
Felipe Massa n'a pas encore conduit sa Ferrari à l'arrivée cette saison et il va être contraint de sérieusement attaquer pour tenter de rattraper une partie de son retard au Championnat du monde, ce week-end au Grand Prix de Bahreïn de F1.
Quatrième au Championnat l'an dernier, le pilote brésilien avait longtemps figuré dans le peloton de tête avant que son inconstance ne le fasse lâcher prise par rapport aux trois autres protagonistes, son coéquipier Kimi Raikkonen et les deux hommes de McLaren-Mercedes, Lewis Hamilton et Fernando Alonso.
Cette saison 2008 semblait donc être l'occasion pour Massa de prendre sa revanche et de prouver qu'avec un peu plus d'expérience les quelques errements de 2007 n'étaient plus que de lointains souvenirs. Assis dans ce qui est probablement la meilleure voiture du plateau, il s'annonçait comme le principal rival de Raikkonen, son coéquipier champion en titre.
Mais après deux Grands Prix le bilan est catastrophique. La pole position arrachée en Malaisie ne peut ainsi faire oublier deux courses pathétiques, et si d'ordinaire les premières rumeurs de transferts fleurissent dans le courant de l'été au sein du paddock, ce zéro pointé n'a pas manqué de faire naître quelques fantasmes.
Dès la deuxième course, Massa fut ainsi interrogé sur son possible remplacement en fin de saison par Sebastian Vettel, actuel pilote Toro Rosso-Ferrari.
Cela n'a bien sûr pas beaucoup fait rire le petit Brésilien, qui a insisté sur le contrat de trois ans qui le lie à la scuderia.
Néanmoins, rien n'est figé dans le marbre en Formule 1, surtout pas les contrats des pilotes. Avant le troisième Grand Prix, Felipe Massa est donc déjà sérieusement sous pression même si les dirigeants de la scuderia lui ont apporté leur soutien.
"C'est sûr qu'en Malaisie j'ai perdu une belle occasion de rapporter de gros points, regrette-t-il. Mais c'est bien d'être soutenu, ça montre le bon état d'esprit qui règne dans l'équipe. Ce n'est pas parce que j'ai fait deux mauvais résultats que ça va tout changer."
Ce qui choque le plus, ce sont les erreurs grossières du Brésilien. Habitué à piloter avec les aides électroniques, leur suppression à l'intersaison semble lui avoir posé problème. Il a ainsi multiplié les erreurs en Australie avant de sortir tout seul de la piste en Malaisie, alors que deuxième place lui semblait acquise.
"Tout le monde peut avoir un mauvais jour, s'est encore justifié Massa. Moi j'en ai connu deux et j'espère à présent vivre un meilleur week-end. Je suis en F1 depuis plusieurs années et ce ne sont pas deux mauvais résultats qui vont changer ma manière de penser."
Felipe Massa veut maintenant se reprendre. Et Bahreïn semble en tout cas le circuit idéal pour le pilote brésilien, qui y avait réussi un beau triplé (pole position, meilleur tour en course et victoire) la saison dernière.
Deux courses, deux abandons...
Felipe Massa n'a pas encore conduit sa Ferrari à l'arrivée cette saison et il va être contraint de sérieusement attaquer pour tenter de rattraper une partie de son retard au Championnat du monde, ce week-end au Grand Prix de Bahreïn de F1.
Quatrième au Championnat l'an dernier, le pilote brésilien avait longtemps figuré dans le peloton de tête avant que son inconstance ne le fasse lâcher prise par rapport aux trois autres protagonistes, son coéquipier Kimi Raikkonen et les deux hommes de McLaren-Mercedes, Lewis Hamilton et Fernando Alonso.
Cette saison 2008 semblait donc être l'occasion pour Massa de prendre sa revanche et de prouver qu'avec un peu plus d'expérience les quelques errements de 2007 n'étaient plus que de lointains souvenirs. Assis dans ce qui est probablement la meilleure voiture du plateau, il s'annonçait comme le principal rival de Raikkonen, son coéquipier champion en titre.
Mais après deux Grands Prix le bilan est catastrophique. La pole position arrachée en Malaisie ne peut ainsi faire oublier deux courses pathétiques, et si d'ordinaire les premières rumeurs de transferts fleurissent dans le courant de l'été au sein du paddock, ce zéro pointé n'a pas manqué de faire naître quelques fantasmes.
Dès la deuxième course, Massa fut ainsi interrogé sur son possible remplacement en fin de saison par Sebastian Vettel, actuel pilote Toro Rosso-Ferrari.
Cela n'a bien sûr pas beaucoup fait rire le petit Brésilien, qui a insisté sur le contrat de trois ans qui le lie à la scuderia.
Néanmoins, rien n'est figé dans le marbre en Formule 1, surtout pas les contrats des pilotes. Avant le troisième Grand Prix, Felipe Massa est donc déjà sérieusement sous pression même si les dirigeants de la scuderia lui ont apporté leur soutien.
"C'est sûr qu'en Malaisie j'ai perdu une belle occasion de rapporter de gros points, regrette-t-il. Mais c'est bien d'être soutenu, ça montre le bon état d'esprit qui règne dans l'équipe. Ce n'est pas parce que j'ai fait deux mauvais résultats que ça va tout changer."
Ce qui choque le plus, ce sont les erreurs grossières du Brésilien. Habitué à piloter avec les aides électroniques, leur suppression à l'intersaison semble lui avoir posé problème. Il a ainsi multiplié les erreurs en Australie avant de sortir tout seul de la piste en Malaisie, alors que deuxième place lui semblait acquise.
"Tout le monde peut avoir un mauvais jour, s'est encore justifié Massa. Moi j'en ai connu deux et j'espère à présent vivre un meilleur week-end. Je suis en F1 depuis plusieurs années et ce ne sont pas deux mauvais résultats qui vont changer ma manière de penser."
Felipe Massa veut maintenant se reprendre. Et Bahreïn semble en tout cas le circuit idéal pour le pilote brésilien, qui y avait réussi un beau triplé (pole position, meilleur tour en course et victoire) la saison dernière.