Citation :vevie1965 a dit :
Je ne dis pas que le Canadiens doit avoir une équipe de Québécois mais il se doit d'en avoir plus du moins.
Je pense comme toi
Notre Hockey est malade?
Le problème, c'est que les bons joueurs québécois préfèrent aller jouer ailleurs, soit pour plus d'argent (en se servant de Montréal pour faire grimper les enchères) soit pour aller se faire dorer la couenne au soleil, où dans un climat plus doux que l'hiver québécois...
On s'entend que si les grands joueurs québécois de la ligue nationale voulaient à tout prix venir jouer à Montréal, c'est pas Gainey qui dirait non... Je suis sûr que pour une offre raisonnable, Gainey serait prêt à signer comme agent libre sans restriction, un joueur comme Lecavalier, Luongo ou n'importe quel autre joueur québécois d'impact, sans même chigner Bob trouverait même le moyen de sourire pendant la conférence de presse pour l'annoncer...
Mais, pour ça, il faut que les joueurs veuillent jouer à Montréal
On s'entend que si les grands joueurs québécois de la ligue nationale voulaient à tout prix venir jouer à Montréal, c'est pas Gainey qui dirait non... Je suis sûr que pour une offre raisonnable, Gainey serait prêt à signer comme agent libre sans restriction, un joueur comme Lecavalier, Luongo ou n'importe quel autre joueur québécois d'impact, sans même chigner Bob trouverait même le moyen de sourire pendant la conférence de presse pour l'annoncer...
Mais, pour ça, il faut que les joueurs veuillent jouer à Montréal
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reaper007 a écritLe problème, c'est que les bons joueurs québécois préfèrent aller jouer ailleurs, soit pour plus d'argent (en se servant de Montréal pour faire grimper les enchères) soit pour aller se faire dorer la couenne au soleil, où dans un climat plus doux que l'hiver québécois...
On s'entend que si les grands joueurs québécois de la ligue nationale voulaient à tout prix venir jouer à Montréal, c'est pas Gainey qui dirait non... Je suis sûr que pour une offre raisonnable, Gainey serait prêt à signer comme agent libre sans restriction, un joueur comme Lecavalier, Luongo ou n'importe quel autre joueur québécois d'impact, sans même chigner Bob trouverait même le moyen de sourire pendant la conférence de presse pour l'annoncer...
Mais, pour ça, il faut que les joueurs veuillent jouer à Montréal
Pis pour que les joueurs Québécois veuillent venir jouer ici, il faudrait que les fans arrêtent de leur tomber sur la tomate à chaque petite niaiserie ou mauvais match qu'il connaisse, ont pardonne plus a Kovalev qu'a nos joueurs Québécois, pis en plus c'est presque toujours les seules les Québécois a être bien planter pour acceillir les journalistes, les anglos sont bien caché, pis est-ce ont a besoin de parler de leur vie privé aussi, quand c'est rendu que la caméra attend devant che vous pour voir si tu sort en béquille c'est fort. Pas dure de comprendre pourquoi les agent libre préfère jouer loin d'ici.
On s'entend que si les grands joueurs québécois de la ligue nationale voulaient à tout prix venir jouer à Montréal, c'est pas Gainey qui dirait non... Je suis sûr que pour une offre raisonnable, Gainey serait prêt à signer comme agent libre sans restriction, un joueur comme Lecavalier, Luongo ou n'importe quel autre joueur québécois d'impact, sans même chigner Bob trouverait même le moyen de sourire pendant la conférence de presse pour l'annoncer...
Mais, pour ça, il faut que les joueurs veuillent jouer à Montréal
Pis pour que les joueurs Québécois veuillent venir jouer ici, il faudrait que les fans arrêtent de leur tomber sur la tomate à chaque petite niaiserie ou mauvais match qu'il connaisse, ont pardonne plus a Kovalev qu'a nos joueurs Québécois, pis en plus c'est presque toujours les seules les Québécois a être bien planter pour acceillir les journalistes, les anglos sont bien caché, pis est-ce ont a besoin de parler de leur vie privé aussi, quand c'est rendu que la caméra attend devant che vous pour voir si tu sort en béquille c'est fort. Pas dure de comprendre pourquoi les agent libre préfère jouer loin d'ici.
reaper007 a écritLe problème, c'est que les bons joueurs québécois préfèrent aller jouer ailleurs, soit pour plus d'argent (en se servant de Montréal pour faire grimper les enchères) soit pour aller se faire dorer la couenne au soleil, où dans un climat plus doux que l'hiver québécois...
On s'entend que si les grands joueurs québécois de la ligue nationale voulaient à tout prix venir jouer à Montréal, c'est pas Gainey qui dirait non... Je suis sûr que pour une offre raisonnable, Gainey serait prêt à signer comme agent libre sans restriction, un joueur comme Lecavalier, Luongo ou n'importe quel autre joueur québécois d'impact, sans même chigner Bob trouverait même le moyen de sourire pendant la conférence de presse pour l'annoncer...
Mais, pour ça, il faut que les joueurs veuillent jouer à Montréal
Ben dans ce cas là quand il y a des Québecois de listé en première ronde qu'il les repêche dont au lieu de les laisser passer comme ils le font a chaque année.
On s'entend que si les grands joueurs québécois de la ligue nationale voulaient à tout prix venir jouer à Montréal, c'est pas Gainey qui dirait non... Je suis sûr que pour une offre raisonnable, Gainey serait prêt à signer comme agent libre sans restriction, un joueur comme Lecavalier, Luongo ou n'importe quel autre joueur québécois d'impact, sans même chigner Bob trouverait même le moyen de sourire pendant la conférence de presse pour l'annoncer...
Mais, pour ça, il faut que les joueurs veuillent jouer à Montréal
Ben dans ce cas là quand il y a des Québecois de listé en première ronde qu'il les repêche dont au lieu de les laisser passer comme ils le font a chaque année.
KalidoR a écrit
Pis pour que les joueurs Québécois veuillent venir jouer ici, il faudrait que les fans arrêtent de leur tomber sur la tomate à chaque petite niaiserie ou mauvais match qu'il connaisse, ont pardonne plus a Kovalev qu'a nos joueurs Québécois, pis en plus c'est presque toujours les seules les Québécois a être bien planter pour acceillir les journalistes, les anglos sont bien caché, pis est-ce ont a besoin de parler de leur vie privé aussi, quand c'est rendu que la caméra attend devant che vous pour voir si tu sort en béquille c'est fort. Pas dure de comprendre pourquoi les agent libre préfère jouer loin d'ici.
Oui et que le CH recommence a être une bonne équipe dans la
ligue et les bons agents libre québecois vont vouloir venir a Montréal.....fait depuis 1994 que le club ne và nul part c'est dur dans ce temps là d'attirer de bons agents libre tout court.
Pis pour que les joueurs Québécois veuillent venir jouer ici, il faudrait que les fans arrêtent de leur tomber sur la tomate à chaque petite niaiserie ou mauvais match qu'il connaisse, ont pardonne plus a Kovalev qu'a nos joueurs Québécois, pis en plus c'est presque toujours les seules les Québécois a être bien planter pour acceillir les journalistes, les anglos sont bien caché, pis est-ce ont a besoin de parler de leur vie privé aussi, quand c'est rendu que la caméra attend devant che vous pour voir si tu sort en béquille c'est fort. Pas dure de comprendre pourquoi les agent libre préfère jouer loin d'ici.
Oui et que le CH recommence a être une bonne équipe dans la
ligue et les bons agents libre québecois vont vouloir venir a Montréal.....fait depuis 1994 que le club ne và nul part c'est dur dans ce temps là d'attirer de bons agents libre tout court.
Le mercredi 27 juin 2007
Le crétinisme du hockey québécois
Yves Boisvert
La Presse
Le problème du hockey québécois n'a rien à voir avec le hockey, au fond. C'est un problème d'éducation.
Le vrai scandale du hockey québécois n'est pas que sur 211 joueurs sélectionnés par les 30 équipes de la LNH il n'y ait que 10 Québécois. Le talent est mondial, notre part a rapetissé, il y a de bonnes et de moins bonnes années.
Non, le vrai scandale, c'est le crétinisme institutionnalisé de notre hockey.
Le problème, ce n'est pas la relève. C'est ce qu'on fait subir aux 97% qui ne seront jamais repêchés.
Au lieu d'utiliser le hockey comme force pour mobiliser les adolescents vers l'école, on rabat les jeunes dans des équipes à but lucratif, avec des horaires débiles et un souci éducatif - soyons généreux - très variable.
C'est exactement le contraire qui se passe aux États-Unis dans tous les sports, y compris le hockey: pour accéder aux circuits professionnels, il y a une voie royale, l'école.
Considérez l'horaire de hockey 2007-2008 du premier choix au repêchage du Canadien de Montréal, Ryan McDonagh. Il a 18 ans. Il retourne cette année avec l'équipe de l'Université du Wisconsin.
Il commence le 12 octobre avec un tournoi de deux jours en Ohio. La saison commence ensuite le 19 octobre. Elle compte 36 parties et se termine le 1er mars. Suivent les séries de championnat, qui peuvent aller jusqu'au 12 avril.
Prenons maintenant un joueur québécois au hasard, disons des Foreurs de Val-d'Or. En principe, le jeune de 18 ans est inscrit au cégep. On lui souhaite bonne chance.
La saison commence le 14 septembre. Elle se termine le 16 mars et compte en tout 70 parties. Suivent les séries, jusqu'à la mi-mai.
J'ai oublié de dire qu'il y a sept parties hors concours à compter du 16 août, mais bon, ça ne compte pas vraiment, n'est-ce pas?
Avant Noël, les joueurs de Val-d'Or auront joué 39 parties. Ils joueront deux fois à Québec (800 km aller). Il y a Shawinigan deux fois (même pas 700 km pour se rendre), Baie-Comeau (là, on défonce les 2000 km aller-retour, mais quel beau pays!).
Le 8 novembre, ils doivent être au Cap-Breton (1600 km aller). Le 9 novembre, les voici à l'Île-du-Prince-Édouard: la porte à côté. Le 10, Halifax, à peine 233 km de Charlottetown: on est jeune, on aime le sport. Trois jours plus tard, ces infatigables voyageurs sont de retour à la maison: le 13 novembre, ils reçoivent l'équipe de Terre-Neuve.
Comment ça va, le cours de philo, mon vieux? Descartes, dans les coins, ça entre pas pire? On met Platon sur le deuxième trio?
Ils iront jouer dans le Maine, ils iront à Moncton, Rimouski, Chicoutimi, Drummondville.
Complètement débile et débilitant.
Imaginez Baie-Comeau. Et que dire de Saint-Jean, Terre-Neuve!
La Ligue de hockey junior majeur du Québec, voyez-vous, est atteinte de la même maladie que la LNH: elle se répand comme le chiendent hors de son territoire naturel.
Interrogé à CKAC l'autre jour, Gilles Courteau, le commissaire de la Ligue de hockey junior majeur, a vanté son «produit» et dit combien ses nouvelles franchises avaient du succès.
Il a bien raison. Au Nouveau-Brunswick, on fait salle comble. Québec fait des affaires d'or. Pour d'autres c'est moins réjouissant, mais enfin la question n'est pas là: il s'agit d'une petite ligue professionnelle.
Dans cette logique, tout se tient. On peut bien transbahuter tous ces jeunes de l'Atlantique à l'Outaouais. En plus ils ne demandent que ça!
C'est vrai, après tout, personne n'est forcé de jouer au hockey junior. Ils sont consentants, leurs parents sont fiers, les commanditaires sont de bonne humeur. Un petit stimulant derrière la cravate et, hop! en route vers de nouvelles aventures.
Pourquoi? Parce qu'ils aiment le hockey, bien sûr. Mais aussi parce qu'ils rêvent à la grande ligue. Ce rêve, il déplace des montagnes... et des autobus de joueurs. Mais c'est aussi lui qui aveugle et qui rend fous les parents dans les arénas.
Normal de rêver. Mais est-il interdit de rêver intelligent? En étudiant? Si au moins ce système produisait des joueurs de hockey hors de l'ordinaire, s'il formait mieux les athlètes. Mais au contraire, plusieurs connaisseurs le remettent en question, parce qu'il brûle les joueurs et ne les développe pas bien. Dans les universités américaines, l'accent est mis sur l'entraînement. Et comme par hasard, les résultats sont bons.
Peut-être que les résultats médiocres des hockeyeurs québécois au repêchage feront réfléchir quelques jeunes joueurs et quelques parents, même si ce n'est pas pour les bonnes raisons.
Peut-être prendront-ils plus nombreux le chemin, fort peu fréquenté par les Québécois, des universités américaines. Certaines offrent des bourses d'études aux meilleurs joueurs. Mais évidemment, il faut étudier.
Un des meilleurs espoirs du Canadien est un ancien de Cornell, une des meilleures universités américaines. Tant qu'à ne pas être repêché, ça part mieux avec un diplôme de Cornell qu'un secondaire cinq ou une moitié de cégep.
Et peut-être plus tard, au Québec - on peut rêver, nous aussi - remettra-t-on le hockey dans les cégeps et les universités. Regardez le football.
Peut-être se décidera-t-on à se servir du hockey pour le développement de la jeunesse, et non de la jeunesse pour le développement du hockey - et des affaires de quelques entrepreneurs bien intentionnés.
Le crétinisme du hockey québécois
Yves Boisvert
La Presse
Le problème du hockey québécois n'a rien à voir avec le hockey, au fond. C'est un problème d'éducation.
Le vrai scandale du hockey québécois n'est pas que sur 211 joueurs sélectionnés par les 30 équipes de la LNH il n'y ait que 10 Québécois. Le talent est mondial, notre part a rapetissé, il y a de bonnes et de moins bonnes années.
Non, le vrai scandale, c'est le crétinisme institutionnalisé de notre hockey.
Le problème, ce n'est pas la relève. C'est ce qu'on fait subir aux 97% qui ne seront jamais repêchés.
Au lieu d'utiliser le hockey comme force pour mobiliser les adolescents vers l'école, on rabat les jeunes dans des équipes à but lucratif, avec des horaires débiles et un souci éducatif - soyons généreux - très variable.
C'est exactement le contraire qui se passe aux États-Unis dans tous les sports, y compris le hockey: pour accéder aux circuits professionnels, il y a une voie royale, l'école.
Considérez l'horaire de hockey 2007-2008 du premier choix au repêchage du Canadien de Montréal, Ryan McDonagh. Il a 18 ans. Il retourne cette année avec l'équipe de l'Université du Wisconsin.
Il commence le 12 octobre avec un tournoi de deux jours en Ohio. La saison commence ensuite le 19 octobre. Elle compte 36 parties et se termine le 1er mars. Suivent les séries de championnat, qui peuvent aller jusqu'au 12 avril.
Prenons maintenant un joueur québécois au hasard, disons des Foreurs de Val-d'Or. En principe, le jeune de 18 ans est inscrit au cégep. On lui souhaite bonne chance.
La saison commence le 14 septembre. Elle se termine le 16 mars et compte en tout 70 parties. Suivent les séries, jusqu'à la mi-mai.
J'ai oublié de dire qu'il y a sept parties hors concours à compter du 16 août, mais bon, ça ne compte pas vraiment, n'est-ce pas?
Avant Noël, les joueurs de Val-d'Or auront joué 39 parties. Ils joueront deux fois à Québec (800 km aller). Il y a Shawinigan deux fois (même pas 700 km pour se rendre), Baie-Comeau (là, on défonce les 2000 km aller-retour, mais quel beau pays!).
Le 8 novembre, ils doivent être au Cap-Breton (1600 km aller). Le 9 novembre, les voici à l'Île-du-Prince-Édouard: la porte à côté. Le 10, Halifax, à peine 233 km de Charlottetown: on est jeune, on aime le sport. Trois jours plus tard, ces infatigables voyageurs sont de retour à la maison: le 13 novembre, ils reçoivent l'équipe de Terre-Neuve.
Comment ça va, le cours de philo, mon vieux? Descartes, dans les coins, ça entre pas pire? On met Platon sur le deuxième trio?
Ils iront jouer dans le Maine, ils iront à Moncton, Rimouski, Chicoutimi, Drummondville.
Complètement débile et débilitant.
Imaginez Baie-Comeau. Et que dire de Saint-Jean, Terre-Neuve!
La Ligue de hockey junior majeur du Québec, voyez-vous, est atteinte de la même maladie que la LNH: elle se répand comme le chiendent hors de son territoire naturel.
Interrogé à CKAC l'autre jour, Gilles Courteau, le commissaire de la Ligue de hockey junior majeur, a vanté son «produit» et dit combien ses nouvelles franchises avaient du succès.
Il a bien raison. Au Nouveau-Brunswick, on fait salle comble. Québec fait des affaires d'or. Pour d'autres c'est moins réjouissant, mais enfin la question n'est pas là: il s'agit d'une petite ligue professionnelle.
Dans cette logique, tout se tient. On peut bien transbahuter tous ces jeunes de l'Atlantique à l'Outaouais. En plus ils ne demandent que ça!
C'est vrai, après tout, personne n'est forcé de jouer au hockey junior. Ils sont consentants, leurs parents sont fiers, les commanditaires sont de bonne humeur. Un petit stimulant derrière la cravate et, hop! en route vers de nouvelles aventures.
Pourquoi? Parce qu'ils aiment le hockey, bien sûr. Mais aussi parce qu'ils rêvent à la grande ligue. Ce rêve, il déplace des montagnes... et des autobus de joueurs. Mais c'est aussi lui qui aveugle et qui rend fous les parents dans les arénas.
Normal de rêver. Mais est-il interdit de rêver intelligent? En étudiant? Si au moins ce système produisait des joueurs de hockey hors de l'ordinaire, s'il formait mieux les athlètes. Mais au contraire, plusieurs connaisseurs le remettent en question, parce qu'il brûle les joueurs et ne les développe pas bien. Dans les universités américaines, l'accent est mis sur l'entraînement. Et comme par hasard, les résultats sont bons.
Peut-être que les résultats médiocres des hockeyeurs québécois au repêchage feront réfléchir quelques jeunes joueurs et quelques parents, même si ce n'est pas pour les bonnes raisons.
Peut-être prendront-ils plus nombreux le chemin, fort peu fréquenté par les Québécois, des universités américaines. Certaines offrent des bourses d'études aux meilleurs joueurs. Mais évidemment, il faut étudier.
Un des meilleurs espoirs du Canadien est un ancien de Cornell, une des meilleures universités américaines. Tant qu'à ne pas être repêché, ça part mieux avec un diplôme de Cornell qu'un secondaire cinq ou une moitié de cégep.
Et peut-être plus tard, au Québec - on peut rêver, nous aussi - remettra-t-on le hockey dans les cégeps et les universités. Regardez le football.
Peut-être se décidera-t-on à se servir du hockey pour le développement de la jeunesse, et non de la jeunesse pour le développement du hockey - et des affaires de quelques entrepreneurs bien intentionnés.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
-
- Magicien des Mots
- Messages : 2338
- Inscription : jeu. sept. 15, 2005 12:00 am
Encore la bonne vieille croyance qu'il n'y a AUCUN support scolaire pour les jeunes hockeyeurs...
Il n'a pas complètement tord, mais il exagère quand même un peu.
----
C'est normal qu'il y ait moins de québécois dans la NHL puisqu'il y a de moins en moins de jeunes qui jouent au hockey... ils découvrent le football et le soccer et préfèrent concentrer leurs énergies là-dessus.
Quand j'ai commencé à jouer au hockey, je jouais pour l'équipe de mon village qui compte 3500 personnes. J'étais novice B et il y avait aussi du novice A et du novice C. Maintenant, pour avoir au moins 3 équipes de novice, il faut que plusieurs petits villages autour se réunissent pour former un bassin de population d'environ 15 000 ...
3 équipes sur 3500 habitants en 1995
contrairement à
3 équipes sur 15 000 habitants en 2005
Ça te baisse le nombre de joueurs avec du talent ça... --Message edité par Clorophile le 2007-06-29 15:39:17--
Il n'a pas complètement tord, mais il exagère quand même un peu.
----
C'est normal qu'il y ait moins de québécois dans la NHL puisqu'il y a de moins en moins de jeunes qui jouent au hockey... ils découvrent le football et le soccer et préfèrent concentrer leurs énergies là-dessus.
Quand j'ai commencé à jouer au hockey, je jouais pour l'équipe de mon village qui compte 3500 personnes. J'étais novice B et il y avait aussi du novice A et du novice C. Maintenant, pour avoir au moins 3 équipes de novice, il faut que plusieurs petits villages autour se réunissent pour former un bassin de population d'environ 15 000 ...
3 équipes sur 3500 habitants en 1995
contrairement à
3 équipes sur 15 000 habitants en 2005
Ça te baisse le nombre de joueurs avec du talent ça... --Message edité par Clorophile le 2007-06-29 15:39:17--
Stanley Cup needs CHEMISTRY!
Clorophile a écritEncore la bonne vieille croyance qu'il n'y a AUCUN support scolaire pour les jeunes hockeyeurs...
Il n'a pas complètement tord, mais il exagère quand même un peu.
----
C'est normal qu'il y ait moins de québécois dans la NHL puisqu'il y a de moins en moins de jeunes qui jouent au hockey... ils découvrent le football et le soccer et préfèrent concentrer leurs énergies là-dessus.
Quand j'ai commencé à jouer au hockey, je jouais pour l'équipe de mon village qui compte 3500 personnes. J'étais novice B et il y avait aussi du novice A et du novice C. Maintenant, pour avoir au moins 3 équipes de novice, il faut que plusieurs petits villages autour se réunissent pour former un bassin de population d'environ 15 000 ...
3 équipes sur 3500 habitants en 1995
contrairement à
3 équipes sur 15 000 habitants en 2005
Ça te baisse le nombre de joueurs avec du talent ça...
Tu connais le pourcentage de joueurs qui terminent leurs études secondaires ou collégiales en pratiquant le hockey? Et avec le trajet parcouru entre les parties comment un joueur peut assister à ses cours? Pendant qu'ils se déplacent d'une ville à l'autre, quel support scolaire ces jeunes reçoivent-ils de la part du domaine scolaire?
Il n'a pas complètement tord, mais il exagère quand même un peu.
----
C'est normal qu'il y ait moins de québécois dans la NHL puisqu'il y a de moins en moins de jeunes qui jouent au hockey... ils découvrent le football et le soccer et préfèrent concentrer leurs énergies là-dessus.
Quand j'ai commencé à jouer au hockey, je jouais pour l'équipe de mon village qui compte 3500 personnes. J'étais novice B et il y avait aussi du novice A et du novice C. Maintenant, pour avoir au moins 3 équipes de novice, il faut que plusieurs petits villages autour se réunissent pour former un bassin de population d'environ 15 000 ...
3 équipes sur 3500 habitants en 1995
contrairement à
3 équipes sur 15 000 habitants en 2005
Ça te baisse le nombre de joueurs avec du talent ça...
Tu connais le pourcentage de joueurs qui terminent leurs études secondaires ou collégiales en pratiquant le hockey? Et avec le trajet parcouru entre les parties comment un joueur peut assister à ses cours? Pendant qu'ils se déplacent d'une ville à l'autre, quel support scolaire ces jeunes reçoivent-ils de la part du domaine scolaire?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
-
- Magicien des Mots
- Messages : 2338
- Inscription : jeu. sept. 15, 2005 12:00 am
Comme dans tout, si le jeune veut vraiment, il peut réussir.
Je ne sais pas pour les autres équipes, mais chez les Remparts, quand ils vont à l'école, s'ils ne vont pas aux cours ou qu'ils ne réussissent pas, ils sont suspendus de quelques matchs. Pour leurs devoirs, ils ont deux professeurs au Colisée qui peuvent les aider.
Je connais un gars qui a joué pour Baie-Comeau, il n'a jamais eu vraiment de facilité avec l'école. Il a tout de même terminé son cégep et ce avec seulement un an de retard sur le parcours normal. De toute façon, tous ceux qui jouent dans un sport de compétition au cégep le font en 3 ans. Maintenant, il est a l'université et il joue encore au hockey. Il va probablement s'en aller en Europe après ça, mais il aura quand même un diplôme en poche en ayant joué 4 ans dans la LHJMQ.
Je suis convaincue que les autres équipes ont aussi des attentions spéciales pour les études des jeunes.
Ceux qui se dirigent vers les universités américaine, c'est parce qu'avoir un diplôme est vraiment important pour eux. Comme dans la vrai vie, au hockey tu as ceux qui ne font pas d'efforts et ceux qui en font. Même en ne jouant pas au hockey, il y en a plusieurs qui ne vont pas plus loin que le cégep ou le secondaire. Les statistiques le disent, le taux d'enrollement des garçons à l'université baisse d'année en année.
Dire que les juniors négligent leurs études par surcroît, je ne suis pas d'accord.
Mais la discussion sur le principe de motivation par le sport, je suis tout à fait d'accord et les États-Unis sont vraiment un exemple à suivre. C'est pas pour rien qu'ils sont toujours les meilleurs aux Olympiques.
Je ne sais pas pour les autres équipes, mais chez les Remparts, quand ils vont à l'école, s'ils ne vont pas aux cours ou qu'ils ne réussissent pas, ils sont suspendus de quelques matchs. Pour leurs devoirs, ils ont deux professeurs au Colisée qui peuvent les aider.
Je connais un gars qui a joué pour Baie-Comeau, il n'a jamais eu vraiment de facilité avec l'école. Il a tout de même terminé son cégep et ce avec seulement un an de retard sur le parcours normal. De toute façon, tous ceux qui jouent dans un sport de compétition au cégep le font en 3 ans. Maintenant, il est a l'université et il joue encore au hockey. Il va probablement s'en aller en Europe après ça, mais il aura quand même un diplôme en poche en ayant joué 4 ans dans la LHJMQ.
Je suis convaincue que les autres équipes ont aussi des attentions spéciales pour les études des jeunes.
Ceux qui se dirigent vers les universités américaine, c'est parce qu'avoir un diplôme est vraiment important pour eux. Comme dans la vrai vie, au hockey tu as ceux qui ne font pas d'efforts et ceux qui en font. Même en ne jouant pas au hockey, il y en a plusieurs qui ne vont pas plus loin que le cégep ou le secondaire. Les statistiques le disent, le taux d'enrollement des garçons à l'université baisse d'année en année.
Dire que les juniors négligent leurs études par surcroît, je ne suis pas d'accord.
Mais la discussion sur le principe de motivation par le sport, je suis tout à fait d'accord et les États-Unis sont vraiment un exemple à suivre. C'est pas pour rien qu'ils sont toujours les meilleurs aux Olympiques.
Stanley Cup needs CHEMISTRY!