"Le Nouveau" - L'Histoire
chaptire deux, commentaires apreciés! quelques changements seront fait aux desriptions des personnages demain.
Chapitre 2
Troisième cours, Oli
Voulez-vous bien me dire qu'est-ce que ça change à ma vie à moi la différence entre la coupe de bois sélective et la coupe à blanc? Je copiais maintenant ma trente-deuxième linge d'informations à ce sujet, et j'avais une crampe à la main. Je regardai l'heure, plus que quinze longues et pénibles minutes. Je m'apprêtais à abandonner quand je sentis un crayon m'enfoncer dans le dos. Je me retournai et vis une jolie fille, blonde, grande, un t-shirt serré et des... vous savez quoi! Je remarquai sur son étui à crayons qu'elle s'apellait Gabrielle. J'apperçut aussi dans le fond de la classe un gars qui me regardait, mais il détourna son regard quand il vit que je m'étais retourné.
Gabrielle: *chuchotant* Salut, le nouveau. T'as des amis ici?
Oli: Euh non.. Pas encore.
J'essayai de garder mon "cool". Je ne voulais pas que ça parraisse que j'étais gêné et que j'avais passé l'avant-midi à me faire foncer dedans, à échapper mes cahiers, à me faire demander qui j'étais. Vraiment, ce semestre s'annonçait mal, mais j'étais déterminé à ne pas laisser savoir ça à ma potentielle amie. Celle-ci me fit un petit sourire discret.
Gabrielle: C'est bien. Tu peux venir avec moi ce midi.. Je te présenterai ma gang.
Oli: Okay.
Je sentis le regard du prof qui me brulait le derriere de la tête, alors je retournai à mes occupations. Finalement, la journée allait peut-être terminer en beauté... Sans vouloir faire de mauvais jeu de mots.
Pendant ce temps, Dans le cours d'histoire d'Eli
Pas un seul mot. Il ne m'avait pas dit le moindre mot pendant un cours de 60 minutes. Il se contentais de répondre à mes questions par des haussements d'épaules. Ben s'il pensait que j'allais faire son projet à sa place, il se trompait. Vers la fin du cours, je lançai mon crayon dans mon étui, me croisai les bras et attendit le son de la cloche en jurant intérieurement.
Quand la cloche se fit entendre, je ramassai mes affaires, et fut la premrère sortie de la classe. J'étais frustrée contre Alex parce qu'il était chien, et j'étais frustrée contre moi-même d'avoir fait toute une affaire d'un travail d'histoire. Je marchais sans regarder ou j'allais, maudissant la vie. J'étais presque arrivée à destination quand un garçon sortit de nul part et me fit trébucher. En deux secondes, je me retrouvai par terre, les cartables éparpillés autour de moi, des centaines de paires de yeux tournés en ma direction. Le garçon en question était debout devant moi, les yeux ouverts grands comme des melons d'eau.
Eli: Tu vas rester planté la tout l'après-midi ou tu vas m'aider à me relever?
Oli: Euuh.. Désolé.
Il me tendit la main, je la prit. Elle était chaude et il tremblait un peu. Finalement sur mes deux pieds, je m'essuyai les fesses pleines de poussière et prit les cahiers qu'il me donnait.
Eli: Excuse-moi d'être aussi brusque, c'est juste pas ma journée.
Sans le laisser ajouter un mot, je me retournai et partit vers mon casier.
L'heure du diner, Gabrielle.
Charles: T'as fait QUOI? Gabyyy, combien de fois va falloir j'te dise que les nouveaux ont pas d'affaire avec nous.
Gabrielle: Oui mais Charles Philip, je suis certaine qu'il est pas si pire. Donne lui une chance!
Je lui fit de beaux yeux en lui passant les bras autour de la taille. Je savais qu'il ne pourrait jamais résister. Il fit semblant de m'ignorer, puis me fit un sourire.
Charles: D'accord. Mais c'est seulement parce que je t'aime.
Il rapprocha son visage du mien, prêt à recevoir un baiser. Ayant obtenu ce que je voulais, je n'en voyait pas l'utilité, alors je le lachai et retournai à mon plat de frites. C'est à ce moment que le nouveau fit son apparition. Il avait l'air perdu et confus, comme ce matin. Je ne pouvais résister, je le trouvais beau. Il avait un look completement différent de Charles, mais cela n'était pas nécessairement une mauvaise chose.
Gabrielle: Salut le nouveau.
Oli: Euh, salut Gabrielle.
Il passa sa main dans ses cheveux d'un geste gêné.
Gabrielle: Apelle-moi Gaby. Voici Charles Philip, mon copain.
Point de vue d'Oli.
C'était le gars du fond de la classe.
Son Charles Philip, c'était le gars qui m'obsevrait dans le cours de géographie. C'était le genre de gars à qui je ne parlerait jamais. Les cheveux bien peignés, la peau foncée, couleur salon de bronzage. Les dents tellements blanches qu'on pourrait se voir dedans. Une chemise de marque chère, un jean de marque chère. Riche, et fier de l'être. Je me dis que Gabrielle était seulement avec lui pour son argent, justement. Mais je décidai que je n'avais pas le droit de la juger, après tout c'était la seule à m'avoir accueilli. A part cette fille que j'ai fait tomber tantot, mais je ne suis pas sur si ça compte. Elle finit de m'introduire à ses amis, mais j'étais encore perdu dans mes pensées et j'oubliai de l'écouter. De tout façon, ils étaient tous beaux et belles, parfaits, vraiment pas mon genre de gang. Mais bon, c'était pas le temps d'être difficile.
Oli: Salut tout le monde. J'm'apelle Olivier.
Je reçu quelques "Salut" en retour, mais la plupart retournèrent a leurs occupations en m'ignorant. Sympatiques, comme amis.
Du coté de Marie
Eli: J'étais frustrée et j'allais trop vite, oui, mais c'est son problème s'il m'a fait tomber! Il a du me voir venir, il aurait pu se tasser.
Marie: Mouais peut-être. De toute façon, c'est pas ça qui m'intéresse. Je crois que ceci est le moment ou je dis.. J'TE L'AVAIS DIT!
Nous marchions jusqu'à notre table habituelle ou Micka et Frank étaient déjà installés, une grosse poutine devant eux. Eli se laissa tomber sur la chaise libre à coté de Frank, et je prit celle devant lui.
Eli: Je le déteste. La vie est un enfer. Frank, donne moi d'la poutine que j'la mange toute d'une bouchée pour m'étouffer et mourir.
Micka me regarda d'un air interrogateur, la bouche pleine d'un mélange si bien connu de frites, sauce et fromage. Je n'ai pas pu m'empêcher de rire à ce moment, vraiment une bizarre de situation. Frank lacha son mets et posa une main consolante sur l'épaule d'Eli.
Marie: Oui mais Eli, si t'arrêtais de faire à ta tête et que tu nous écoutais un peu, tu ne serais pas dans cet état.
Micka: Ahh c'est Alex encore?
Marie: Oui, mais changeons de sujet.
Frank: Vous allez passer l'audition vendredi?
Micka: Peut-être, mais c'est quoi l'idée de la faire en anglais! You know que i'm very bon in anglishhhh!
Voila une des raisons pourquoi j'aimais tellement mes amis. On se connaissait tellement bien. Les gars savaient que la meilleure façon de consoler Eli, c'était justement de ne pas le faire. Nous discutions de choses inutiles, quand Eli nous montra quelque chose plus loin.
Eli: Hey regardez la-bas. C'est lui qui m'a fait tomber.
Je regardai vers ou elle pointait. Je vis un garçon que je n'avais jamais vu avant.
Marie: Yé pas laid.
C'était honnête. Il avait un look que j'aimais bien.
Micka: Oui mais regardez avec qui il est assit..
Je me levai pour mieu voir, Eli fit pareil.
Eli: Ah yark. Il vient de baisser encore plus dans mon estime.
Frank: Bah si yé nouveau, c'est pas de sa faute.
Eli: De toute façon, je l'aime pas ce gars la.
La cloche sonna, coupant court notre conversation. On partit chacun de notre coté pour l'après midi.
Chapitre 2
Troisième cours, Oli
Voulez-vous bien me dire qu'est-ce que ça change à ma vie à moi la différence entre la coupe de bois sélective et la coupe à blanc? Je copiais maintenant ma trente-deuxième linge d'informations à ce sujet, et j'avais une crampe à la main. Je regardai l'heure, plus que quinze longues et pénibles minutes. Je m'apprêtais à abandonner quand je sentis un crayon m'enfoncer dans le dos. Je me retournai et vis une jolie fille, blonde, grande, un t-shirt serré et des... vous savez quoi! Je remarquai sur son étui à crayons qu'elle s'apellait Gabrielle. J'apperçut aussi dans le fond de la classe un gars qui me regardait, mais il détourna son regard quand il vit que je m'étais retourné.
Gabrielle: *chuchotant* Salut, le nouveau. T'as des amis ici?
Oli: Euh non.. Pas encore.
J'essayai de garder mon "cool". Je ne voulais pas que ça parraisse que j'étais gêné et que j'avais passé l'avant-midi à me faire foncer dedans, à échapper mes cahiers, à me faire demander qui j'étais. Vraiment, ce semestre s'annonçait mal, mais j'étais déterminé à ne pas laisser savoir ça à ma potentielle amie. Celle-ci me fit un petit sourire discret.
Gabrielle: C'est bien. Tu peux venir avec moi ce midi.. Je te présenterai ma gang.
Oli: Okay.
Je sentis le regard du prof qui me brulait le derriere de la tête, alors je retournai à mes occupations. Finalement, la journée allait peut-être terminer en beauté... Sans vouloir faire de mauvais jeu de mots.
Pendant ce temps, Dans le cours d'histoire d'Eli
Pas un seul mot. Il ne m'avait pas dit le moindre mot pendant un cours de 60 minutes. Il se contentais de répondre à mes questions par des haussements d'épaules. Ben s'il pensait que j'allais faire son projet à sa place, il se trompait. Vers la fin du cours, je lançai mon crayon dans mon étui, me croisai les bras et attendit le son de la cloche en jurant intérieurement.
Quand la cloche se fit entendre, je ramassai mes affaires, et fut la premrère sortie de la classe. J'étais frustrée contre Alex parce qu'il était chien, et j'étais frustrée contre moi-même d'avoir fait toute une affaire d'un travail d'histoire. Je marchais sans regarder ou j'allais, maudissant la vie. J'étais presque arrivée à destination quand un garçon sortit de nul part et me fit trébucher. En deux secondes, je me retrouvai par terre, les cartables éparpillés autour de moi, des centaines de paires de yeux tournés en ma direction. Le garçon en question était debout devant moi, les yeux ouverts grands comme des melons d'eau.
Eli: Tu vas rester planté la tout l'après-midi ou tu vas m'aider à me relever?
Oli: Euuh.. Désolé.
Il me tendit la main, je la prit. Elle était chaude et il tremblait un peu. Finalement sur mes deux pieds, je m'essuyai les fesses pleines de poussière et prit les cahiers qu'il me donnait.
Eli: Excuse-moi d'être aussi brusque, c'est juste pas ma journée.
Sans le laisser ajouter un mot, je me retournai et partit vers mon casier.
L'heure du diner, Gabrielle.
Charles: T'as fait QUOI? Gabyyy, combien de fois va falloir j'te dise que les nouveaux ont pas d'affaire avec nous.
Gabrielle: Oui mais Charles Philip, je suis certaine qu'il est pas si pire. Donne lui une chance!
Je lui fit de beaux yeux en lui passant les bras autour de la taille. Je savais qu'il ne pourrait jamais résister. Il fit semblant de m'ignorer, puis me fit un sourire.
Charles: D'accord. Mais c'est seulement parce que je t'aime.
Il rapprocha son visage du mien, prêt à recevoir un baiser. Ayant obtenu ce que je voulais, je n'en voyait pas l'utilité, alors je le lachai et retournai à mon plat de frites. C'est à ce moment que le nouveau fit son apparition. Il avait l'air perdu et confus, comme ce matin. Je ne pouvais résister, je le trouvais beau. Il avait un look completement différent de Charles, mais cela n'était pas nécessairement une mauvaise chose.
Gabrielle: Salut le nouveau.
Oli: Euh, salut Gabrielle.
Il passa sa main dans ses cheveux d'un geste gêné.
Gabrielle: Apelle-moi Gaby. Voici Charles Philip, mon copain.
Point de vue d'Oli.
C'était le gars du fond de la classe.
Son Charles Philip, c'était le gars qui m'obsevrait dans le cours de géographie. C'était le genre de gars à qui je ne parlerait jamais. Les cheveux bien peignés, la peau foncée, couleur salon de bronzage. Les dents tellements blanches qu'on pourrait se voir dedans. Une chemise de marque chère, un jean de marque chère. Riche, et fier de l'être. Je me dis que Gabrielle était seulement avec lui pour son argent, justement. Mais je décidai que je n'avais pas le droit de la juger, après tout c'était la seule à m'avoir accueilli. A part cette fille que j'ai fait tomber tantot, mais je ne suis pas sur si ça compte. Elle finit de m'introduire à ses amis, mais j'étais encore perdu dans mes pensées et j'oubliai de l'écouter. De tout façon, ils étaient tous beaux et belles, parfaits, vraiment pas mon genre de gang. Mais bon, c'était pas le temps d'être difficile.
Oli: Salut tout le monde. J'm'apelle Olivier.
Je reçu quelques "Salut" en retour, mais la plupart retournèrent a leurs occupations en m'ignorant. Sympatiques, comme amis.
Du coté de Marie
Eli: J'étais frustrée et j'allais trop vite, oui, mais c'est son problème s'il m'a fait tomber! Il a du me voir venir, il aurait pu se tasser.
Marie: Mouais peut-être. De toute façon, c'est pas ça qui m'intéresse. Je crois que ceci est le moment ou je dis.. J'TE L'AVAIS DIT!
Nous marchions jusqu'à notre table habituelle ou Micka et Frank étaient déjà installés, une grosse poutine devant eux. Eli se laissa tomber sur la chaise libre à coté de Frank, et je prit celle devant lui.
Eli: Je le déteste. La vie est un enfer. Frank, donne moi d'la poutine que j'la mange toute d'une bouchée pour m'étouffer et mourir.
Micka me regarda d'un air interrogateur, la bouche pleine d'un mélange si bien connu de frites, sauce et fromage. Je n'ai pas pu m'empêcher de rire à ce moment, vraiment une bizarre de situation. Frank lacha son mets et posa une main consolante sur l'épaule d'Eli.
Marie: Oui mais Eli, si t'arrêtais de faire à ta tête et que tu nous écoutais un peu, tu ne serais pas dans cet état.
Micka: Ahh c'est Alex encore?
Marie: Oui, mais changeons de sujet.
Frank: Vous allez passer l'audition vendredi?
Micka: Peut-être, mais c'est quoi l'idée de la faire en anglais! You know que i'm very bon in anglishhhh!
Voila une des raisons pourquoi j'aimais tellement mes amis. On se connaissait tellement bien. Les gars savaient que la meilleure façon de consoler Eli, c'était justement de ne pas le faire. Nous discutions de choses inutiles, quand Eli nous montra quelque chose plus loin.
Eli: Hey regardez la-bas. C'est lui qui m'a fait tomber.
Je regardai vers ou elle pointait. Je vis un garçon que je n'avais jamais vu avant.
Marie: Yé pas laid.
C'était honnête. Il avait un look que j'aimais bien.
Micka: Oui mais regardez avec qui il est assit..
Je me levai pour mieu voir, Eli fit pareil.
Eli: Ah yark. Il vient de baisser encore plus dans mon estime.
Frank: Bah si yé nouveau, c'est pas de sa faute.
Eli: De toute façon, je l'aime pas ce gars la.
La cloche sonna, coupant court notre conversation. On partit chacun de notre coté pour l'après midi.
Time Passes.
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Ice Princess
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