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Re: Que deviennent les candidats
Publié : mer. oct. 20, 2010 7:30 pm
par titemousse
Zarmela a écrit : Il semblerait que Marjorie a maintenant une chronique culinaire à Salut, bonjour! weekend.
Malheureusement, je ne l'ai pas vue encore. Je me demande si elle a toujours son air enjoué et dynamique.
http://www.tvhebdo.com/actualites-tele/ ... -a-tva/234" onclick="window.open(this.href);return false;
moi non plus je ne l'ai pas encore vu
Re: Que deviennent les candidats
Publié : mer. oct. 20, 2010 11:02 pm
par Zarmela
Je trouve ça drôle dans l'article quand ils disent "elle entre dans une belle et grande famille".
Je ne sais pas pourquoi, mais je trouve que ça sonne pas mal comme une secte la famille TVA.
Re: Que deviennent les candidats
Publié : sam. oct. 23, 2010 2:59 pm
par Capuchino
Zarmela a écrit : Il semblerait que Marjorie a maintenant une chronique culinaire à Salut, bonjour! weekend.
Malheureusement, je ne l'ai pas vue encore. Je me demande si elle a toujours son air enjoué et dynamique.
Je l'ai vu ce matin et elle n'a pas réussi à me motiver pantoute pour cuisiner.
Re: Que deviennent les candidats
Publié : sam. oct. 23, 2010 6:53 pm
par Malike
Perso je ne comprends pas que ce soit elle qu'ils aient choisi pour faire des capsules télé, elle est tellement pas expressive ni communicatrice Marjorie.
Re: Que deviennent les candidats
Publié : lun. nov. 08, 2010 10:11 pm
par lolilou
Ce matin j'ai vu Arnaud à Des kiwis et des hommes, c'est lui qui faisait la recette du jour, mais j'ai raté le début et l'entrevue, j'ai pogné la fin où ils parlaient de l'émission.
Re: Que deviennent les candidats
Publié : lun. févr. 21, 2011 12:27 pm
par Skarhet
Publié le 21 février 2011 à 11h06 | Mis à jour à 11h06
Du champagne pour les chefs!
Ève Dumas
La Presse
Les cinq «aspirantes chefs» de Daniel Vézina se retrouveront le temps d'un repas gastronomique au restaurant Laurie Raphaël, dans le cadre de Montréal en lumière.
Angélique, Brigitte, Marjorie, Claudia et Marie-Pier, premières concurrentes de la première saison des Chefs!, ont concocté un menu hivernal festif et élégant autour des bulles de la productrice invitée Maryline Cuillier.
«J'avais envie de boucler la boucle avec les filles, explique Daniel Vézina, attablé dans son restaurant de Montréal avec ses cinq anciennes élèves. Ce repas s'inscrit dans la continuité de leur formation. De plus, c'est un événement qui met les jeunes talents en valeur, ce qui me fait plaisir.»
Chacune des chefs est responsable d'un des six services du repas gastronomique - le sixième étant une création de M. Vézina lui-même. Les plats rivaliseront d'originalité, mais, contrairement à ce qui se passait pendant la compétition télévisée, ils seront réalisés en équipe, dans un esprit d'entraide!
Nous avons profité de l'événement Belles et bulles pour rencontrer les cinq ex-concurrentes. Autour d'une bouteille de champagne, elles ont fait le bilan de leur expérience à l'émission, donné leur opinion sur le fait d'être une femme en cuisine et parlé des hauts et des bas de leur métier.
Repas Belles et bulles, au Laurie Raphaël, 2050, rue Mansfield, du 23 au 25 février. Réservations: 514-985-6072 L'émission Les chefs! sera de retour à l'antenne de Radio-Canada à l'été 2011.
1. Qu'avez-vous retenu de votre expérience à l'émission?
2. Être une femme en cuisine, ça change quoi?
3. Qu'aimez vous le plus et le moins de votre métier?
Brigitte Laquerre
Éliminée à la cinquième semaine, rêve d'ouvrir une table champêtre en Montérégie, à Sainte-Anne-de Sabrevoix.
1. Je retiens de mon passage à l'émission que je dois prendre de l'expérience sur le marché du travail avant de lancer ma table champêtre.
2. Être une femme en cuisine, pour moi, ça n'a rien changé. Les chefs à l'école comme ceux pour qui j'ai travaillé jusqu'à maintenant appréciaient les qualités de cuisinier que chacun démontrait, peu importe le nombre de X dans leurs chromosomes!
3. Ce que j'aime de mon métier, c'est de pouvoir rendre les gens heureux. En revanche, je n'aime pas le gaspillage des ressources. On est encore bien loin de la restauration durable au Québec.
Marie-Pier Morin
Éliminée à la 10e semaine, sous-chef chez Leméac.
1. De mon expérience, je retiens d'abord qu'une compétition, ça n'a pas grand-chose à voir avec le travail quotidien dans une cuisine, où l'on planifie, expérimente, s'améliore et travaille en équipe.
2. Être une femme en cuisine ça ne change rien, tant que le travail est accompli. Pour moi, un bon cuisinier, c'est un bon cuisinier. 3. Ce que j'aime le plus de mon métier, c'est d'être en contact avec les produits de la terre et de répondre a un besoin fondamental, celui de manger. Faire partie d'une brigade, travailler avec toutes sortes de personnages, vivre l'adrénaline d'un service et la satisfaction d'avoir réussi ensemble, j'adore. Ce que j'aime moins, c'est de ne pas avoir de contact direct avec le client.
Claudia Pelletier
Éliminée à la quatrième semaine, travaille au restaurant Plaisir gourmand, en Estrie.
1. Je ne retiens que du positif de mon expérience, qui m'a montré à quel point c'était le métier que je voulais faire.
2. Pour moi, être une femme en cuisine ne change rien. Je crois que si on aime vraiment ce qu'on fait, on réussit à faire sa place dans ce domaine.
3. J'aime voir l'expression sur le visage des gens lorsqu'ils adorent ce qu'ils mangent. J'aime aussi pouvoir créer et m'exprimer par mes assiettes, faire de la recherche pour évoluer toujours un peu. Ce que je trouve dur parfois, c'est d'être enfermée dans une cuisine.
Marjorie Maltais
Éliminée en finale, rêve d'une émission de cuisine et d'ouvrir une épicerie fine ou un service de traiteur à Québec.
1. Ma participation à l'émission m'a redonné le goût du défi. Je sortais à peine d'un congé de maternité et le concours m'a fait réaliser que j'étais toujours aussi passionnée par mon métier et que j'étais encore capable!
2. Être une femme en cuisine, ça change tout, surtout quand on a des enfants. Ça crée inévitablement des conflits et des injustices entre collègues. Nous sommes très loin de l'équité.
3. J'adore expérimenter, créer, m'alimenter de l'entourage. Je suis insatiable. C'est un métier qui ratisse large et qui touche à beaucoup de sphères. Ce que j'aime moins, en restauration, c'est la hiérarchie et les têtes de cochon!
Angélique Mannella
Septième candidate à avoir quitté la cuisine, travaille au restaurant Le Mitoyen, à Sainte-Dorothée.
1. Je me souviens d'un soir où nous étions tous réunis dans une chambre de l'hôtel. Nous regardions avec une attention religieuse une vidéo de Julia Child préparant une volaille. À ce moment précis, j'ai bien senti que la passion de la cuisine nous unissait.
2. J'ai la chance de faire partie d'une brigade dans laquelle le sexe ne change rien. Mais j'ai par contre la certitude qu'une femme qui veut devenir chef aura du mal à concilier vie de famille et carrière en cuisine.
3. L'adrénaline d'un service du samedi soir, j'adore. C'est un métier de sensations, d'émotions. Il n'y a rien de plus satisfaisant pour moi qu'un serveur qui entre en cuisine pour dire que le client est satisfait. J'avoue par contre que les horaires me dérangent un peu.