[phpBB Debug] PHP Warning: in file [ROOT]/viewtopic.php on line 1534: Undefined array key 1 [phpBB Debug] PHP Warning: in file [ROOT]/viewtopic.php on line 1534: Undefined array key 2 [phpBB Debug] PHP Warning: in file [ROOT]/viewtopic.php on line 1534: Undefined array key 1 [phpBB Debug] PHP Warning: in file [ROOT]/viewtopic.php on line 1534: Undefined array key 2 Le Musée Eden - Page 12 - LE DOMAINE BLEU
Effectivement..le mononcle c'était juste un prétexte pour qu'elle hérite du musée pis qu'elle arrive en ville.
Et JNV, bien qu'il ait très bien joué son rôle, y'avait vraiment rien à voir là-dedans non plus. j'imagine qu'ils l'ont inclus juste pour brouiller les pistes un peu et que ce soit lui qu'on soupconne.
quelques incohérences dans l'émission d'hier:
Le livre que Camille lit en attendant Monestier...Émile Nelligan, édition 2010! les livres dans ce temps là n'était pas édités comme ça 'soft cover' avec une belle photo de l'auteur sur la couverture. Ils auraient pu lui faire lire un livre qui a l'air de l'époque.
Et là, je ne suis pas une experte en arme a feu, mais le pistolet du Dr Casgrain quand il se bat avec Monestier, c'est un semi-automatique! au tournant du siècle??
J'ai fait une petite recherche sur Internet et je peux te dire qu'il existait bel et bien des pistolets semi-automatiques au début de XXe siècle.
LE PISTOLET BERNARDON-MARTIN
Au début du XXème siècle, les premiers pistolets semi-automatique font parler d'eux. La FN en Belgique et la DWM en Allemagne conquièrent leurs premiers marchés militaires. En France, il n'existe que le brevet des frères Clair. Un armurier stéphanois du nom de Thomas Martin, relève le défit et dépose le 25 novembre 1905 un premier brevet concernant un pistolet semi-automatique. L'homme tient une boutique rue Dubois. Depuis les frères Clair en 1888, les idées ont progressé et Etienne Bernardon, installé rue Rolland à Saint Etienne, comme marchand d'armes, flaire la bonne affaire. Etienne Bernardon propose une association à notre armurier et apporte les capitaux nécessaire. Les deux hommes déposent le 25 mars 1906 un second brevet pour un chargeur en forme de fer à cheval, capable d'assurer une puissance de feu de vingt coups. Le 17 janvier 1907, ils déposent leur brevet en Angleterre. Cette même année voit l'apparition de leur premier modèle.
Nous pouvons présumer que le Dr Casgrain avait fait l'acquisition d'une telle arme lors de son séjour en Angleterre.
J'ai été un peu déçue de la finale, mais j'avais donc hâte que ça avance pis qu'on sache qui était le meurtrier. Je pense que c'est ce qui me déçoit le plus, que ce soit quelqu'un qu'on avait jamais vu, et non un personnage qu'on voyait toutes les semaines.
Autre phrase qui m'a fait tiquée: "Je vous parle d'un meurtre, et vous, vous me parlez d'une manucure"! Je ne sais pas pourquoi, j'étais vraiment
[i]Et s'il fallait parfois laisser aller les choses, doucement, sans rien brusquer, et croire que le meilleur est encore possible, que le meilleur est à venir. :)[/i] - Les hauts et les bas de Sophie Paquin- saison 1
Publié le 13 mai 2010 à 05h00 Musée Eden: pas de suite avant l'automne 2011 Richard Therrien - Le Soleil
«À quand la suite? À quand la suite?» Tous les fans avaient cette question à la bouche au terme de l'excellente finale de Musée Eden, mardi soir. Combien m'ont posé la question sur Twitter, qui fourmillait d'amateurs de la série?
Hélas, vous risquez d'être déçu par ma réponse. Oui, l'auteur Gilles Desjardins a un scénario en tête. Oui, Radio-Canada est intéressé. Mais la porte-parole du diffuseur, Nathalie Moreau, prévient que s'il y a une suite, il ne faut pas l'attendre avant l'automne 2011.
On comprend qu'il y ait un intérêt. D'une qualité et d'une efficacité indéniables, la série historique a attiré 884 000 fidèles en moyenne, un score exceptionnel en cette période de l'année. Sauf qu'une telle série coûte cher - 956 000 $ par épisode - et que le financement des oeuvres de fiction traverse une période floue avec le nouveau Fonds des médias. Dans ces circonstances, il serait étonnant que Radio-Canada puisse financer la série sur deux années fiscales, comme pour la première série.
La productrice chez Sovimage, Sophie Deschênes, confirme que des discussions sont en cours avec Radio-Canada. «Quand nous avons commencé à parler de la série en 2001, on s'enlignait sur une trilogie, mais il faut y aller une année à la fois», confie l'heureuse productrice, étonnée de la fidélité du public, dont le nombre est demeuré stable tout le printemps.
En réponse à cet engouement, Mme Deschênes et son équipe ont eu l'idée géniale de proposer à quelques acteurs de la série et à son auteur d'échanger avec le public en direct sur Twitter durant les trois derniers épisodes, une première pour une série de fiction québécoise. Mariloup Wolfe, Éric Bruneau et Laurence Leboeuf se sont généreusement prêtés au jeu, au grand plaisir des fans, qui s'abreuvaient de leurs anecdotes de tournage.
L'exercice aura-t-il procuré des fans supplémentaires à la série? «Je pense que ça a créé un buzz. Les jeunes qui n'achètent pas le TV Hebdo et regardent peu la télé ont entendu parler de Musée Eden pour la première fois sur Twitter. On est allé chercher une autre catégorie de gens qui l'ont visionnée sur TOU.TV», croit Sophie Deschênes.
Le dernier épisode de mardi était tout à fait à la hauteur du reste de la série, et je n'enviais pas le pauvre Étienne Monestier de se trouver au fond des égouts avec le professeur Casgrain, prêt à le zigouiller. Il faut souligner l'impeccable reconstitution d'époque, autant dans les décors que dans les costumes. L'efficacité du suspense, la qualité de la réalisation d'Alain DesRochers et la crédibilité des effets spéciaux auront compensé le jeu parfois inégal de certains acteurs et le dénouement un peu tiré par les cheveux, mais pas moins captivant. Si vous aviez deviné le nom du tueur, vous êtes fort.
Plusieurs pistes
Et que raconterait une suite s'il y en avait une? La toute dernière scène se concluait sur l'ignoble Victor Désilet, ex-mari de Camille Courval, le visage affichant de sombres desseins à la vue de son ex-femme au bras de son nouvel amour. «On a plusieurs pistes, mais on veut faire le bilan de la première série avant de trop élaborer la suite. Il y a toujours place à amélioration», répond la productrice.
Si Aveux a de la compétition au prochain gala des prix Gémeaux, elle viendra assurément de Musée Eden. Guy Nadon risque fort d'obtenir des nominations pour ses rôles dans les deux séries. Il serait étonnant qu'Éric Bruneau, formidable en Étienne Monestier, n'obtienne pas de nomination, tout comme Paul Doucet, efficace en médecin légiste qui sait tout.
Si la série vous a échappée, vous pouvez toujours la visionner sur TOU.TV. Pour les mordus, le site Internet de la boutique de Radio-Canada procède aussi à une prévente du coffret DVD, dont la date de sortie n'a pas encore été fixée.
Mardi, 827 000 téléspectateurs ont vu le dernier épisode.
La liberté n'est pas une marque de yogourt. - Pierre Falardeau
Bon, alors moi je trouve pas que ça vaut le prix...et pour coudonc, je sais pas, mais pour o,k je peux vous dire que ça vient de la première guerre, donc après 1914. Ce sont les gens de l'armée anglaise qui disaient "All correct" quand ils faisaient des messages radio. Les allemands entendaient ça et pensaient que ça se disait Ol Korect...ils se sont mis à dire o.k . Donc, ils ne le disaient pas en 1910.
autre historique:
Autre origine, celle de "OK" ?
On utilise ce mot dans quasiment toutes les langues, mais encore une fois d'où vient-il ? Et bien il faut remonter à la 2eme Guerre Mondiale.
Les soldats americains lorsqu'ils rentraient d'une mission / commando réussis en informaient leur commandement par "0K" qui voulait dire "Zero Killed".
Elise-Gisèle a écrit : Publié le 13 mai 2010 à 05h00 Musée Eden: pas de suite avant l'automne 2011 Richard Therrien - Le Soleil
«À quand la suite? À quand la suite?» Tous les fans avaient cette question à la bouche au terme de l'excellente finale de Musée Eden, mardi soir. Combien m'ont posé la question sur Twitter, qui fourmillait d'amateurs de la série?
Hélas, vous risquez d'être déçu par ma réponse. Oui, l'auteur Gilles Desjardins a un scénario en tête. Oui, Radio-Canada est intéressé. Mais la porte-parole du diffuseur, Nathalie Moreau, prévient que s'il y a une suite, il ne faut pas l'attendre avant l'automne 2011.
On comprend qu'il y ait un intérêt. D'une qualité et d'une efficacité indéniables, la série historique a attiré 884 000 fidèles en moyenne, un score exceptionnel en cette période de l'année. Sauf qu'une telle série coûte cher - 956 000 $ par épisode - et que le financement des oeuvres de fiction traverse une période floue avec le nouveau Fonds des médias. Dans ces circonstances, il serait étonnant que Radio-Canada puisse financer la série sur deux années fiscales, comme pour la première série.
La productrice chez Sovimage, Sophie Deschênes, confirme que des discussions sont en cours avec Radio-Canada. «Quand nous avons commencé à parler de la série en 2001, on s'enlignait sur une trilogie, mais il faut y aller une année à la fois», confie l'heureuse productrice, étonnée de la fidélité du public, dont le nombre est demeuré stable tout le printemps.
En réponse à cet engouement, Mme Deschênes et son équipe ont eu l'idée géniale de proposer à quelques acteurs de la série et à son auteur d'échanger avec le public en direct sur Twitter durant les trois derniers épisodes, une première pour une série de fiction québécoise. Mariloup Wolfe, Éric Bruneau et Laurence Leboeuf se sont généreusement prêtés au jeu, au grand plaisir des fans, qui s'abreuvaient de leurs anecdotes de tournage.
L'exercice aura-t-il procuré des fans supplémentaires à la série? «Je pense que ça a créé un buzz. Les jeunes qui n'achètent pas le TV Hebdo et regardent peu la télé ont entendu parler de Musée Eden pour la première fois sur Twitter. On est allé chercher une autre catégorie de gens qui l'ont visionnée sur TOU.TV», croit Sophie Deschênes.
Le dernier épisode de mardi était tout à fait à la hauteur du reste de la série, et je n'enviais pas le pauvre Étienne Monestier de se trouver au fond des égouts avec le professeur Casgrain, prêt à le zigouiller. Il faut souligner l'impeccable reconstitution d'époque, autant dans les décors que dans les costumes. L'efficacité du suspense, la qualité de la réalisation d'Alain DesRochers et la crédibilité des effets spéciaux auront compensé le jeu parfois inégal de certains acteurs et le dénouement un peu tiré par les cheveux, mais pas moins captivant. Si vous aviez deviné le nom du tueur, vous êtes fort. Plusieurs pistes
Et que raconterait une suite s'il y en avait une? La toute dernière scène se concluait sur l'ignoble Victor Désilet, ex-mari de Camille Courval, le visage affichant de sombres desseins à la vue de son ex-femme au bras de son nouvel amour. «On a plusieurs pistes, mais on veut faire le bilan de la première série avant de trop élaborer la suite. Il y a toujours place à amélioration», répond la productrice.
Si Aveux a de la compétition au prochain gala des prix Gémeaux, elle viendra assurément de Musée Eden. Guy Nadon risque fort d'obtenir des nominations pour ses rôles dans les deux séries. Il serait étonnant qu'Éric Bruneau, formidable en Étienne Monestier, n'obtienne pas de nomination, tout comme Paul Doucet, efficace en médecin légiste qui sait tout.
Si la série vous a échappée, vous pouvez toujours la visionner sur TOU.TV. Pour les mordus, le site Internet de la boutique de Radio-Canada procède aussi à une prévente du coffret DVD, dont la date de sortie n'a pas encore été fixée.
Mardi, 827 000 téléspectateurs ont vu le dernier épisode.
Kenzo a écrit : Euh il a vu la même série Richard Therrien???
Bon, alors moi je trouve pas que ça vaut le prix...et pour coudonc, je sais pas, mais pour o,k je peux vous dire que ça vient de la première guerre, donc après 1914. Ce sont les gens de l'armée anglaise qui disaient "All correct" quand ils faisaient des messages radio. Les allemands entendaient ça et pensaient que ça se disait Ol Korect...ils se sont mis à dire o.k . Donc, ils ne le disaient pas en 1910.
J'ai trouvé cet article d'Hugo Dumas datant du 22 décembre 2011...
Fermeture du «Musée Éden»?
Les indices pointent malheureusement dans la même direction: le musée Éden des soeurs Florence (Laurence Leboeuf) et Camille Courval (Mariloup Wolfe) ne rouvrirait plus ses portes sur les ondes de Radio-Canada.
Hier, la SRC est demeurée très vague sur le sort de cet ambitieux projet historique ficelé par l'auteur Gilles Desjardins. «En ce moment, la production [de Musée Éden 2] ne fait pas partie des plans», a indiqué la porte-parole de Radio-Canada, Nathalie Moreau.
Ce qui est certain, c'est que Musée Éden 2 ne passera pas sur nos téléviseurs à l'automne 2012. Au plus tôt, cette série campée dans le Montréal de 1910 reviendrait à l'hiver ou au printemps 2013, soit trois ans après la fin du premier volet. Entre vous et moi, c'est une éternité. Qui se souviendra alors des personnages, de leurs motivations ou de leurs actions passées? Il nous faudra alors une solide remise en contexte pour reprendre l'écoute.