-F1 Saison 2009-
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- Seigneur de la Causerie
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Contrairement à toutes attentes, ce n’est pas le double champion du monde Fernando Alonso, mais son équipier, le débutant Nelsinho Piquet qui, après une première partie de championnat difficile, a offert au Renault F1 Team sa première apparition sur le podium cette saison.
Même si la deuxième place du jeune brésilien tient plus de la chance que des performances de sa R28, cette réussite aura pour conséquence d’enlever une certaine partie de la pression qu’il supporte sur ses frêles épaules.
« Mes performances seront les même avant qu’après » affirmait Nelsinho à Autosport. « De toute évidence, j’apprends un peu plus chaque week-end de course. A Hockenheim, si la voiture était tombée en panne à deux tours de la fin, personne n'aurait rien dit – ou alors que ça ne s’améliorait pas ! »
« Ce serait un peu stupide de dire que les choses ont changé parce que j'ai simplement été un peu chanceux. Tout le monde pense désormais que j’ai changé et que je suis soudain devenir le bon pilote du moment » souriait-il.
« Bien sûr, j’ai été un peu chanceux à Hockenheim, mais c’est toujours bon de terminer sur le podium pour ma première année en F1. Beaucoup de pilote n’y est pas arrivé. Mais je veux plus que ça. Je pense aussi que l’équipe peut faire plus, c’est encourageant » ajoutait le petit Piquet dans les colonnes du magazine britannique.
« Evidemment, au bout du compte, ce qui est important ce sont les points marqués et les places sur le podium.
Peu importe si vous avez eu ou pas de la chance » insistait-il. « Les gens regardent les chiffres. Donc, de ce point de vue, c’est très bien ! »
Piquet affirme que sa soudaine popularité ne va pas changer grand chose pour la suite de la saison. Mercredi, et jeudi, Nelsinho a repris le volant de sa R28 sur le circuit de Jerez pour des essais privés.
« Quand je me suis réveillé, rien n'avait changé. C’était comme n'importe quelles autres journées d’essais – même si ce n'est pas le meilleur moment de l'année pour effectuer des tests car il fait vraiment très chaud en Espagne actuellement » avouait le sud-américain.
Le pilote Renault sait d’avance qu’il y a peu de chance qu’il puisse à nouveau figurer en aussi bonne position rapidement : « Je ne m’attends pas à être sur le podium en Hongrie. Ça être très difficile, et - comme d’habitude – compliqué en qualification. Notre deuxième place en Allemagne ne va pas beaucoup changer le cours des choses pour le prochain Grand Prix ! »
Même si la deuxième place du jeune brésilien tient plus de la chance que des performances de sa R28, cette réussite aura pour conséquence d’enlever une certaine partie de la pression qu’il supporte sur ses frêles épaules.
« Mes performances seront les même avant qu’après » affirmait Nelsinho à Autosport. « De toute évidence, j’apprends un peu plus chaque week-end de course. A Hockenheim, si la voiture était tombée en panne à deux tours de la fin, personne n'aurait rien dit – ou alors que ça ne s’améliorait pas ! »
« Ce serait un peu stupide de dire que les choses ont changé parce que j'ai simplement été un peu chanceux. Tout le monde pense désormais que j’ai changé et que je suis soudain devenir le bon pilote du moment » souriait-il.
« Bien sûr, j’ai été un peu chanceux à Hockenheim, mais c’est toujours bon de terminer sur le podium pour ma première année en F1. Beaucoup de pilote n’y est pas arrivé. Mais je veux plus que ça. Je pense aussi que l’équipe peut faire plus, c’est encourageant » ajoutait le petit Piquet dans les colonnes du magazine britannique.
« Evidemment, au bout du compte, ce qui est important ce sont les points marqués et les places sur le podium.
Peu importe si vous avez eu ou pas de la chance » insistait-il. « Les gens regardent les chiffres. Donc, de ce point de vue, c’est très bien ! »
Piquet affirme que sa soudaine popularité ne va pas changer grand chose pour la suite de la saison. Mercredi, et jeudi, Nelsinho a repris le volant de sa R28 sur le circuit de Jerez pour des essais privés.
« Quand je me suis réveillé, rien n'avait changé. C’était comme n'importe quelles autres journées d’essais – même si ce n'est pas le meilleur moment de l'année pour effectuer des tests car il fait vraiment très chaud en Espagne actuellement » avouait le sud-américain.
Le pilote Renault sait d’avance qu’il y a peu de chance qu’il puisse à nouveau figurer en aussi bonne position rapidement : « Je ne m’attends pas à être sur le podium en Hongrie. Ça être très difficile, et - comme d’habitude – compliqué en qualification. Notre deuxième place en Allemagne ne va pas beaucoup changer le cours des choses pour le prochain Grand Prix ! »
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Né le 25 juillet 2985 à Heidelberg, en Allemagne, le fils du triple champion du monde de F1 – Nelson Piquet a suivi les traces de son père et débuté sa propre carrière dans la catégorie reine avec l’équipe Renault en 2008.
Doué pour le pilotage, Nelsinho - après une rapide formation en karting - persuadait son papa de lui créer spécialement une équipe avec laquelle il allait s’illustrer dans le championnat Sud-Am de F3.
Arrivé sur le sol européen - en 2003 - il s'alignait au départ du championnat britannique de F3, toujours dans la structure familiale. En 2004, le petit Piquet remporte le titre de la catégorie et succède ainsi au palmarès à son père, titré en 1978. Il devient également - à 19 ans – le plus jeune champion de F3 britannique.
Après deux brillantes saisons dans l’anti-chambre de la F1 – les GP2 Series – "junior" a fait ses armes en tant que pilote d'essais de l'équipe Renault au sein de laquelle il a été titularisé en 2008.
Idéalement, j’aimerais célébrer mon anniversaire… avec ma famille au Brésil.
Mon meilleur anniversaire jusque là… mes 18 ans au Brésil.
Mon plus beau cadeau d’anniversaire… Ma première voiture.
Je suis quelqu’un de bien car… j’ai un grand cœur.
Avant une course, je suis… impatient, concentré.
18 courses par an…
c’est juste ce qu’il faut !
Mon GP idéal se déroulerait…
à Brasilia
Dilemmes :
Chien ou chat ? Les deux.
Bière, vin ou jus de fruits ?
Jus de fruits.
Surf ou ski ? Surf
Escalier ou escalator ?
Peu importe…
Hamburger–frites ou restaurant étoilé ? Restaurant étoilé.
SMS ou E-mail? SMS.
Film d’actions ou film d’horreur ? Film d’actions.
Tenue décontractée ou habillée ? Décontracté.
Hôtel 5 étoiles ou camping à la belle étoile ? Hôtel 5 étoiles.
Rock ou hip hop? Hip hop.
Questions :
Que ne mangerez-vous jamais ? Un plat épicé.
Avec quelle célébrité aimeriez-vous prendre un café ?
Jack Bauer de la série 24H.
A qui aimeriez-vous pouvoir donner votre opinion ?
Mon fils, si j’en ai un, un jour.
Quel a été jusque là le moment le plus embarrassant de votre vie ?
Lorsque j’ai calé sur la grille en F3…
Quel jour ne voulez-vous jamais oublier ?
Ma course en Hongrie en GP2 (pole position, deux victoires et deux records du tour).
De quoi ne pourriez-vous pas vous passer ? Ma maison.
Quelle est la personne qui vous influence le plus ? Mon père.
Quel est votre objectif dans la vie ? Réussir ma carrière et ma vie de famille.
De combien de temps avez-vous besoin le matin pour vous préparer ?
Ca dépend de l’heure… Si je suis déjà ou non en retard !
Qu’écoutez-vous sur votre iPod ? 40GB de music !
Qu’emporteriez-vous sur une île déserte ? Ma petite amie.
Quelle est votre principale faiblesse ? Le stress.
Quelle est votre principale force ? Mon application.
Qu’auriez-vous fait si vous n’aviez pas été pilote de F1 ?
Pilote de rallye !
A quelle occasion vous arrive-t-il de mentir ?
Si ça peut m’aider à me sortir d’une situation désagréable !
Où êtes-vous le plus heureux ? Au volant de la R28.
Les trois choses les plus importantes à vos yeux ?
Ma famille, mes amis et ma carrière.
Quelle est votre devise ? "Profite de la vie, on ne vit qu’une fois" !
Doué pour le pilotage, Nelsinho - après une rapide formation en karting - persuadait son papa de lui créer spécialement une équipe avec laquelle il allait s’illustrer dans le championnat Sud-Am de F3.
Arrivé sur le sol européen - en 2003 - il s'alignait au départ du championnat britannique de F3, toujours dans la structure familiale. En 2004, le petit Piquet remporte le titre de la catégorie et succède ainsi au palmarès à son père, titré en 1978. Il devient également - à 19 ans – le plus jeune champion de F3 britannique.
Après deux brillantes saisons dans l’anti-chambre de la F1 – les GP2 Series – "junior" a fait ses armes en tant que pilote d'essais de l'équipe Renault au sein de laquelle il a été titularisé en 2008.
Idéalement, j’aimerais célébrer mon anniversaire… avec ma famille au Brésil.
Mon meilleur anniversaire jusque là… mes 18 ans au Brésil.
Mon plus beau cadeau d’anniversaire… Ma première voiture.
Je suis quelqu’un de bien car… j’ai un grand cœur.
Avant une course, je suis… impatient, concentré.
18 courses par an…
c’est juste ce qu’il faut !
Mon GP idéal se déroulerait…
à Brasilia
Dilemmes :
Chien ou chat ? Les deux.
Bière, vin ou jus de fruits ?
Jus de fruits.
Surf ou ski ? Surf
Escalier ou escalator ?
Peu importe…
Hamburger–frites ou restaurant étoilé ? Restaurant étoilé.
SMS ou E-mail? SMS.
Film d’actions ou film d’horreur ? Film d’actions.
Tenue décontractée ou habillée ? Décontracté.
Hôtel 5 étoiles ou camping à la belle étoile ? Hôtel 5 étoiles.
Rock ou hip hop? Hip hop.
Questions :
Que ne mangerez-vous jamais ? Un plat épicé.
Avec quelle célébrité aimeriez-vous prendre un café ?
Jack Bauer de la série 24H.
A qui aimeriez-vous pouvoir donner votre opinion ?
Mon fils, si j’en ai un, un jour.
Quel a été jusque là le moment le plus embarrassant de votre vie ?
Lorsque j’ai calé sur la grille en F3…
Quel jour ne voulez-vous jamais oublier ?
Ma course en Hongrie en GP2 (pole position, deux victoires et deux records du tour).
De quoi ne pourriez-vous pas vous passer ? Ma maison.
Quelle est la personne qui vous influence le plus ? Mon père.
Quel est votre objectif dans la vie ? Réussir ma carrière et ma vie de famille.
De combien de temps avez-vous besoin le matin pour vous préparer ?
Ca dépend de l’heure… Si je suis déjà ou non en retard !
Qu’écoutez-vous sur votre iPod ? 40GB de music !
Qu’emporteriez-vous sur une île déserte ? Ma petite amie.
Quelle est votre principale faiblesse ? Le stress.
Quelle est votre principale force ? Mon application.
Qu’auriez-vous fait si vous n’aviez pas été pilote de F1 ?
Pilote de rallye !
A quelle occasion vous arrive-t-il de mentir ?
Si ça peut m’aider à me sortir d’une situation désagréable !
Où êtes-vous le plus heureux ? Au volant de la R28.
Les trois choses les plus importantes à vos yeux ?
Ma famille, mes amis et ma carrière.
Quelle est votre devise ? "Profite de la vie, on ne vit qu’une fois" !
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
La dernière séance d’essais privés de la semaine sur le circuit de Jerez s’est achevée, comme elle avait commencé, sous le soleil et une température ambiante caniculaire.
Du côté de l’équipe McLaren Mercedes, c’est Heikki Kovalainen qui était "de corvée" pour cette ultime séance de travail. Le pilote finlandais a essayé un nouveau museau avant sur la MP4-23 dans le cadre des évolutions à venir pour la fin de la saison.
Kovalainen a été le plus rapide du jour – 1’18.385 – et de la semaine, le meilleur chrono ayant été réalisé jusque là par Vettel en 1’18.843 mercredi. Heikki a devancé Sébastien Bourdais – 1’18.746 – légèrement plus rapide que son équipier au sein de la Scuderia Toro Rosso !
Chez Ferrari, la F2008 de Felipe Massa était équipée d’un capot arrière "type aileron de requin". Le Brésilien s’est contenté de la 5ème performance du jour – derrière la Red Bull de David Coulthard – le premier au-delà des 1’18 - et la Renault de Romain Grosjean.
Jerez * - 25/07/2008 :
1 .
H. Kovalainen - McLaren Mercedes MP4-23 - 1’18.385 - 116 tours
2 . S. Bourdais - Toro Rosso Ferrari STR3 - 1’18.746 (+ 0.361 ) - 113 tours
3 . D. Coulthard - Red Bull Renault RB4 - 1’19.494 (+ 1.109 ) - 93 tours
4 . R. Grosjean - Renault R28 - 1’19.561 (+ 1.176 ) - 90 tours
5 . F. Massa - Ferrari F2008 - 1’19.611 (+ 1.226 ) - 92 tours
6 . K. Nakajima - Williams Toyota FW30 - 1’19.724 (+ 1.339 ) - 100 tours
7 . N. Heidfeld - BMW Sauber F1.08 - 1’19.915 (+ 1.530 ) - 99 tours
8 . A. Sutil - Force India Ferrari VJM01 - 1’19.965 (+ 1.580 ) - 72 tours
9 . J. Button - Honda RA108 - 1’20.532 (+ 2.147 ) - 98 tours
10 . K. Kobayashi - Toyota TF108 - 1’20.878 (+ 2.493 ) - 90 tours
Du côté de l’équipe McLaren Mercedes, c’est Heikki Kovalainen qui était "de corvée" pour cette ultime séance de travail. Le pilote finlandais a essayé un nouveau museau avant sur la MP4-23 dans le cadre des évolutions à venir pour la fin de la saison.
Kovalainen a été le plus rapide du jour – 1’18.385 – et de la semaine, le meilleur chrono ayant été réalisé jusque là par Vettel en 1’18.843 mercredi. Heikki a devancé Sébastien Bourdais – 1’18.746 – légèrement plus rapide que son équipier au sein de la Scuderia Toro Rosso !
Chez Ferrari, la F2008 de Felipe Massa était équipée d’un capot arrière "type aileron de requin". Le Brésilien s’est contenté de la 5ème performance du jour – derrière la Red Bull de David Coulthard – le premier au-delà des 1’18 - et la Renault de Romain Grosjean.
Jerez * - 25/07/2008 :
1 .
H. Kovalainen - McLaren Mercedes MP4-23 - 1’18.385 - 116 tours
2 . S. Bourdais - Toro Rosso Ferrari STR3 - 1’18.746 (+ 0.361 ) - 113 tours
3 . D. Coulthard - Red Bull Renault RB4 - 1’19.494 (+ 1.109 ) - 93 tours
4 . R. Grosjean - Renault R28 - 1’19.561 (+ 1.176 ) - 90 tours
5 . F. Massa - Ferrari F2008 - 1’19.611 (+ 1.226 ) - 92 tours
6 . K. Nakajima - Williams Toyota FW30 - 1’19.724 (+ 1.339 ) - 100 tours
7 . N. Heidfeld - BMW Sauber F1.08 - 1’19.915 (+ 1.530 ) - 99 tours
8 . A. Sutil - Force India Ferrari VJM01 - 1’19.965 (+ 1.580 ) - 72 tours
9 . J. Button - Honda RA108 - 1’20.532 (+ 2.147 ) - 98 tours
10 . K. Kobayashi - Toyota TF108 - 1’20.878 (+ 2.493 ) - 90 tours
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La lutte pour le titre que mène Lewis Hamilton face aux pilotes des Ferrari ne sera pas facile. C’est pourquoi Jackie Stewart estime que Heikki Kovalainen doit commencer à se mettre au service de son équipier britannique.
Compte tenu du déroulement de la saison, l’Ecossais affirmait dans les colonnes du Daily Mirror que : « Lewis doit être bien appuyé par son coéquipier. Kovalainen doit pouvoir s’intercaler devant les Ferrari. »
A en croire Ron Dennis, patron de McLaren, il n’y aura pas de favoritisme !
« J'ai un grand respect pour sir Jackie, qui a été l’un des grands champions de ce sport. De même, nous sommes toujours disposés à accepter les critiques constructives et l'affection que provoque Lewis en Grande-Bretagne. Beaucoup de gens sont soucieux de donner des conseils bien intentionnés » déclarait Dennis. « Mais le fait est qu’il a pris sa retraite en 1973, ce qui fait 35 ans.
La F1 a beaucoup évolué depuis ce temps là ! »
« Ses allégations, selon lesquelles la lutte pour le titre que mène Lewis dépend de l'assistance de Heikki suppose que Heikki a pour mission de rouler pour Lewis, ce qui n'est tout simplement pas le cas » affirmait-il. « La vérité est que Lewis n’a pas besoin d’aide supplémentaire. Lui et Heikki sont de bons copains, mais ils sont tous les deux des sportifs très performants qui prennent leurs propres décisions. »
Dennis a également réitéré la position de McLaren : un même statut pour les deux pilotes : « Nous avons une longue histoire dans ce domaine, nous avons toujours traité nos pilotes à égalité, ce n'est pas sur le point de changer. Tout le monde n’est pas toujours d’accord, mais c’est notre manière d’aborder la course automobile. Et, pour être franc, c'est la façon dont tout le monde aborde ce sport de nos jours ! »
Compte tenu du déroulement de la saison, l’Ecossais affirmait dans les colonnes du Daily Mirror que : « Lewis doit être bien appuyé par son coéquipier. Kovalainen doit pouvoir s’intercaler devant les Ferrari. »
A en croire Ron Dennis, patron de McLaren, il n’y aura pas de favoritisme !
« J'ai un grand respect pour sir Jackie, qui a été l’un des grands champions de ce sport. De même, nous sommes toujours disposés à accepter les critiques constructives et l'affection que provoque Lewis en Grande-Bretagne. Beaucoup de gens sont soucieux de donner des conseils bien intentionnés » déclarait Dennis. « Mais le fait est qu’il a pris sa retraite en 1973, ce qui fait 35 ans.
La F1 a beaucoup évolué depuis ce temps là ! »
« Ses allégations, selon lesquelles la lutte pour le titre que mène Lewis dépend de l'assistance de Heikki suppose que Heikki a pour mission de rouler pour Lewis, ce qui n'est tout simplement pas le cas » affirmait-il. « La vérité est que Lewis n’a pas besoin d’aide supplémentaire. Lui et Heikki sont de bons copains, mais ils sont tous les deux des sportifs très performants qui prennent leurs propres décisions. »
Dennis a également réitéré la position de McLaren : un même statut pour les deux pilotes : « Nous avons une longue histoire dans ce domaine, nous avons toujours traité nos pilotes à égalité, ce n'est pas sur le point de changer. Tout le monde n’est pas toujours d’accord, mais c’est notre manière d’aborder la course automobile. Et, pour être franc, c'est la façon dont tout le monde aborde ce sport de nos jours ! »
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Le Colombien Juan Pablo Montoya, âgé de 32 ans, poursuit désormais sa carrière en Amérique du Nord, dans le championnat NASCAR. Et il n'a pas du tout l'intention de faire son retour en F1...
"En F1, ils veulent que vous ressembliez à un robot - affirme Montoya dans les colonnes du Sport Bild - Si vous avez une forte personnalité, vous vous exposez à certains problèmes. Je ne regrette absolument pas mon départ vers le NASCAR."
"En F1, de nombreuses personnes ont perdu de vue que la F1 est un sport. Chez McLaren Mercedes par exemple, ils prennent ça trop au sérieux. C'est chez Williams que j'ai pris le plus de plaisir, notamment au contact de Patrick Head. Il dit toujours ce qu'il pense et je le fais aussi. Lors de chacune de nos conversations, il tentait de rester poli, mais à la fin, il n'y arrivait plus. C'était très amusant," poursuit le Colombien.
Ses relations avec Ron Dennis furent beaucoup moins agréables. "Avec Ron, on pouvait avoir un dîner agréable un jour, mais le lendemain, c'était une personne totalement différente."
Kimi Raikkonen a été son dernier équipier en F1, lorsqu'il était chez McLaren. Mais Kimi est toujours un inconnu pour Juan Pablo. "Avec Kimi, on ne se demande pas si cela va aller ou pas, car il ne dit jamais rien. Il est difficile de bien connaître quelqu'un qui ne parle jamais."
"En F1, ils veulent que vous ressembliez à un robot - affirme Montoya dans les colonnes du Sport Bild - Si vous avez une forte personnalité, vous vous exposez à certains problèmes. Je ne regrette absolument pas mon départ vers le NASCAR."
"En F1, de nombreuses personnes ont perdu de vue que la F1 est un sport. Chez McLaren Mercedes par exemple, ils prennent ça trop au sérieux. C'est chez Williams que j'ai pris le plus de plaisir, notamment au contact de Patrick Head. Il dit toujours ce qu'il pense et je le fais aussi. Lors de chacune de nos conversations, il tentait de rester poli, mais à la fin, il n'y arrivait plus. C'était très amusant," poursuit le Colombien.
Ses relations avec Ron Dennis furent beaucoup moins agréables. "Avec Ron, on pouvait avoir un dîner agréable un jour, mais le lendemain, c'était une personne totalement différente."
Kimi Raikkonen a été son dernier équipier en F1, lorsqu'il était chez McLaren. Mais Kimi est toujours un inconnu pour Juan Pablo. "Avec Kimi, on ne se demande pas si cela va aller ou pas, car il ne dit jamais rien. Il est difficile de bien connaître quelqu'un qui ne parle jamais."
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Comme d'autres équipes avant elle, la Scuderia Ferrari a testé un capot moteur "aileron de requin", la semaine passée à Jerez. D'après la presse italienne, ce nouveau capot moteur pourrait être utilisé en course dès ce week-end en Hongrie.
Ce capot moteur avait été inauguré par Red Bull au début de la saison avant d'être "copié" par Renault, Toro Rosso et Force India.
Mais d'autres équipes ont déjà testé cette nouveauté en essais privés : McLaren, Williams, Toyota et Honda. Ferrari fait désormais partie des adeptes de cet appendice aérodynamique.
Ferrari pourrait encore utiliser ce capot moteur à Valencia, mais pas à Spa et à Monza qui sont des circuits qui conviendraient moins bien à ce type d'éléments aérodynamiques.
"La bataille pour le titre mondial est encore très ouverte et nous allons saisir toutes les opportunités qui pourraient nous rapprocher de nos objectifs," déclarait Felipe Massa la semaine passée à Jerez, après avoir testé ce nouveau capot moteur.
Ce capot moteur avait été inauguré par Red Bull au début de la saison avant d'être "copié" par Renault, Toro Rosso et Force India.
Mais d'autres équipes ont déjà testé cette nouveauté en essais privés : McLaren, Williams, Toyota et Honda. Ferrari fait désormais partie des adeptes de cet appendice aérodynamique.
Ferrari pourrait encore utiliser ce capot moteur à Valencia, mais pas à Spa et à Monza qui sont des circuits qui conviendraient moins bien à ce type d'éléments aérodynamiques.
"La bataille pour le titre mondial est encore très ouverte et nous allons saisir toutes les opportunités qui pourraient nous rapprocher de nos objectifs," déclarait Felipe Massa la semaine passée à Jerez, après avoir testé ce nouveau capot moteur.
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Lorsque la Scuderia Ferrari n'est pas largement en tête des deux championnats, l'Italie déprime. Et lorsque cela dure depuis quelques semaines, on commence à parler ouvertement de crise...
Mais la Scuderia n'est pas vraiment en crise. Honda ou Renault sont en crise, alors que Ferrari a seulement eu une petite baisse de régime ces dernières semaines. Rien de grave cependant, comme le patron de la Scuderia tient à le préciser.
"Malgré les résultats négatifs des deux dernières courses, la Scuderia Ferrari n'est pas en crise - affirme Stefano Domenicali, le directeur de l'équipe italienne - L'équipe continue à dominer le classement du championnat des constructeurs et en théorie, Kimi et Felipe pourraient reprendre la première place du championnat des pilotes dès dimanche soir. Nos résultats sont similaires à ceux de l'année dernière."
"En ce début de saison, nous avons gagné la moitié des courses et avons signé la moitié des poles positions.
Nous ne nous sentions pas invincibles après notre victoire en France et nous n'étions pas davantage déconfits après nos défaites à Silverstone et en Allemagne. Toute l'équipe travaille d'arrache-pied pour redresser la situation. Si nous regardons où était la Scuderia après 10 courses en 2007, on peut se dire que nous sommes en meilleure position aujourd'hui. En outre, il y a une course en plus à disputer cette année et cela nous donne donc une chance de plus de remonter au classement," ajoute Domenicali.
Mais la Scuderia n'est pas vraiment en crise. Honda ou Renault sont en crise, alors que Ferrari a seulement eu une petite baisse de régime ces dernières semaines. Rien de grave cependant, comme le patron de la Scuderia tient à le préciser.
"Malgré les résultats négatifs des deux dernières courses, la Scuderia Ferrari n'est pas en crise - affirme Stefano Domenicali, le directeur de l'équipe italienne - L'équipe continue à dominer le classement du championnat des constructeurs et en théorie, Kimi et Felipe pourraient reprendre la première place du championnat des pilotes dès dimanche soir. Nos résultats sont similaires à ceux de l'année dernière."
"En ce début de saison, nous avons gagné la moitié des courses et avons signé la moitié des poles positions.
Nous ne nous sentions pas invincibles après notre victoire en France et nous n'étions pas davantage déconfits après nos défaites à Silverstone et en Allemagne. Toute l'équipe travaille d'arrache-pied pour redresser la situation. Si nous regardons où était la Scuderia après 10 courses en 2007, on peut se dire que nous sommes en meilleure position aujourd'hui. En outre, il y a une course en plus à disputer cette année et cela nous donne donc une chance de plus de remonter au classement," ajoute Domenicali.
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Il y a quelques jours, Flavio Briatore avait déclaré que certaines équipes avaient eu une approche quelque peu différente de Renault en ce qui concerne le "gel" du développement des moteurs.
Pour le directeur de l'équipe Renault, certaines équipes n'auraient pas totalement respecté l'esprit du règlement qui veut que le développement des moteurs soit interdit. Sous prétexte d'améliorer la fiabilité de leur moteur, ces équipes auraient en effet amélioré les performances de leur bloc, ce que Renault n'aurait pas fait.
D'après Fernando Alonso, c'est ce qui expliquerait en partie les mauvaises performances des Renault. "Est-ce que le gel du développement des moteurs nous a pénalisés? Peut-être que oui. Renault a toujours eu un bon moteur, mais cette saison nous nous sommes rendu compte que nous étions un peu en retrait.
Aller jusqu'aux limites de ce que permet le règlement est toujours quelque chose de difficile à faire."
"Peut-être avons-nous été plus respectueux des règles que d'autres équipes et c'est peut-être ce qui nous donne un désavantage de 20 ou 30 chevaux par rapport à d'autres," s'interroge encore Alonso.
Pour le directeur de l'équipe Renault, certaines équipes n'auraient pas totalement respecté l'esprit du règlement qui veut que le développement des moteurs soit interdit. Sous prétexte d'améliorer la fiabilité de leur moteur, ces équipes auraient en effet amélioré les performances de leur bloc, ce que Renault n'aurait pas fait.
D'après Fernando Alonso, c'est ce qui expliquerait en partie les mauvaises performances des Renault. "Est-ce que le gel du développement des moteurs nous a pénalisés? Peut-être que oui. Renault a toujours eu un bon moteur, mais cette saison nous nous sommes rendu compte que nous étions un peu en retrait.
Aller jusqu'aux limites de ce que permet le règlement est toujours quelque chose de difficile à faire."
"Peut-être avons-nous été plus respectueux des règles que d'autres équipes et c'est peut-être ce qui nous donne un désavantage de 20 ou 30 chevaux par rapport à d'autres," s'interroge encore Alonso.
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Comme tous les ans à ce stade de la saison, le paddock de la Formule 1 bruisse de rumeurs concernant les éventuels mouvements de pilotes pour la prochaine saison, ce qui a déjà poussé quelques écuries à annoncer les premiers transferts, en marge du Grand Prix de Hongrie.
McLaren-Mercedes: Hamilton dispose d'un contrat de longue durée, une rareté dans le monde de la F1: il est lié avec l'écurie britannique jusqu'en 2012. Son coéquipier Kovalainen vient d'être confirmé pour la saison prochaine. Cela met fin aux rumeurs qui annonçaient l'arrivée de Rosberg (Williams).
Ferrari: Massa et Raikkonen resteront les deux pilotes de la Scuderia la saison prochaine. Le Finlandais, le pilote le mieux payé du plateau, a néanmoins nourri les spéculations les plus contradictoires en annonçant lors du Grand Prix du Canada qu'il ne savait pas s'il piloterait encore en F1 après 2009, la fin de son contrat actuel. Il serait toutefois très étonnant que le champion du monde ne signe pas un nouveau contrat courant sur plusieurs années, au grand dam des supporteurs qui rêvent de voir Alonso rejoindre la scuderia. Massa est quant à lui lié pour trois ans.
BMW Sauber: avec un duo aussi complémentaire, difficile d'imaginer l'écurie se séparer de Kubica et Heidfeld.
Ce dernier a affirmé qu'il n'avait pas le droit de communiquer sur le sujet mais il s'est dit serein sur sa situation pour la saison prochaine.
Renault: Alonso est la clé de voûte du jeu des chaises musicales en F1. Son départ ou non de Renault modifierait certainement pas mal de choses. L'Espagnol est lié par contrat pour 2009 mais il a plusieurs fois indiqué qu'il prendrait une décision sur son avenir en fin de saison. Piquet a quant à lui peut-être sauvé sa place grâce à son podium d'Hockenheim.
Red Bull: l'une des rares équipes où les choses sont d'ores et déjà établies: Coulthard prend sa retraite en fin de saison, il sera remplacé par le prometteur Vettel. L'autre pilote sera Webber, qui a prolongé son bail début juillet.
Toyota: Trulli dispose encore d'une année de contrat avec l'écurie nippone. Glock est quant à lui en progrès et pourrait aussi être conservé.
Toro Rosso: Vettel parti chez Red Bull, il se murmure très fort que Bruno Senna, le neveu d'Ayrton, sera son remplaçant en 2009. Faire revenir le nom de Senna en F1 est très tentant et le jeune Brésilien n'a plus à prouver son talent: il est l'une des têtes d'affiche du championnat GP2.
Par ailleurs, le second pilote, Bourdais, n'a qu'un contrat d'un an. Son équipe dispose d'une option jusqu'à la fin de l'été mais le Français n'est sûr de rien pour l'instant. Même si ses résultats ne sont pas à la hauteur de ses espérances, Toro Rosso pourrait le conserver, histoire de ne pas avoir deux débutants à gérer en même temps.
Williams: Rosberg est très courtisé mais il est encore lié avec Williams. Avec la confirmation de Kovalainen chez McLaren il a vu une porte de plus se fermer sous son nez et malgré les résultats décevants il devrait rester en poste en 2009. Nakajima ne dispose lui que d'un contrat d'une saison. L'appui de Toyota, le motoriste de l'équipe, pourrait lui permettre de conserver son baquet.
Honda: le président de l'équipe Ross Brawn a affirmé qu'il se verrait bien continuer avec ses deux pilotes actuels, Barrichello et Button, même si apparemment aucun des deux n'a encore rien signé.
Force India: le propriétaire indien Vijay Mallya rêve de mettre un de ses compatriotes au volant avant le premier Grand Prix en Inde, certainement en 2010. A ce titre, Karun Chandhok a marqué des points en remportant son premier succès en GP2 il y a deux semaines à Hockenheim. Un des deux pilotes actuels, Sutil et Fisichella, pourrait en faire les frais.
McLaren-Mercedes: Hamilton dispose d'un contrat de longue durée, une rareté dans le monde de la F1: il est lié avec l'écurie britannique jusqu'en 2012. Son coéquipier Kovalainen vient d'être confirmé pour la saison prochaine. Cela met fin aux rumeurs qui annonçaient l'arrivée de Rosberg (Williams).
Ferrari: Massa et Raikkonen resteront les deux pilotes de la Scuderia la saison prochaine. Le Finlandais, le pilote le mieux payé du plateau, a néanmoins nourri les spéculations les plus contradictoires en annonçant lors du Grand Prix du Canada qu'il ne savait pas s'il piloterait encore en F1 après 2009, la fin de son contrat actuel. Il serait toutefois très étonnant que le champion du monde ne signe pas un nouveau contrat courant sur plusieurs années, au grand dam des supporteurs qui rêvent de voir Alonso rejoindre la scuderia. Massa est quant à lui lié pour trois ans.
BMW Sauber: avec un duo aussi complémentaire, difficile d'imaginer l'écurie se séparer de Kubica et Heidfeld.
Ce dernier a affirmé qu'il n'avait pas le droit de communiquer sur le sujet mais il s'est dit serein sur sa situation pour la saison prochaine.
Renault: Alonso est la clé de voûte du jeu des chaises musicales en F1. Son départ ou non de Renault modifierait certainement pas mal de choses. L'Espagnol est lié par contrat pour 2009 mais il a plusieurs fois indiqué qu'il prendrait une décision sur son avenir en fin de saison. Piquet a quant à lui peut-être sauvé sa place grâce à son podium d'Hockenheim.
Red Bull: l'une des rares équipes où les choses sont d'ores et déjà établies: Coulthard prend sa retraite en fin de saison, il sera remplacé par le prometteur Vettel. L'autre pilote sera Webber, qui a prolongé son bail début juillet.
Toyota: Trulli dispose encore d'une année de contrat avec l'écurie nippone. Glock est quant à lui en progrès et pourrait aussi être conservé.
Toro Rosso: Vettel parti chez Red Bull, il se murmure très fort que Bruno Senna, le neveu d'Ayrton, sera son remplaçant en 2009. Faire revenir le nom de Senna en F1 est très tentant et le jeune Brésilien n'a plus à prouver son talent: il est l'une des têtes d'affiche du championnat GP2.
Par ailleurs, le second pilote, Bourdais, n'a qu'un contrat d'un an. Son équipe dispose d'une option jusqu'à la fin de l'été mais le Français n'est sûr de rien pour l'instant. Même si ses résultats ne sont pas à la hauteur de ses espérances, Toro Rosso pourrait le conserver, histoire de ne pas avoir deux débutants à gérer en même temps.
Williams: Rosberg est très courtisé mais il est encore lié avec Williams. Avec la confirmation de Kovalainen chez McLaren il a vu une porte de plus se fermer sous son nez et malgré les résultats décevants il devrait rester en poste en 2009. Nakajima ne dispose lui que d'un contrat d'une saison. L'appui de Toyota, le motoriste de l'équipe, pourrait lui permettre de conserver son baquet.
Honda: le président de l'équipe Ross Brawn a affirmé qu'il se verrait bien continuer avec ses deux pilotes actuels, Barrichello et Button, même si apparemment aucun des deux n'a encore rien signé.
Force India: le propriétaire indien Vijay Mallya rêve de mettre un de ses compatriotes au volant avant le premier Grand Prix en Inde, certainement en 2010. A ce titre, Karun Chandhok a marqué des points en remportant son premier succès en GP2 il y a deux semaines à Hockenheim. Un des deux pilotes actuels, Sutil et Fisichella, pourrait en faire les frais.
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Le ciel hongrois s’était légèrement couvert de quelques nuages au début de la deuxième séance d’essais libres du jour. Le thermomètre affichait 28° dans l’air, 31° par terre.
Personne ne se précipitait en piste lorsque le feu vert s’allumait au bout de la voie des stands. Victime d’un problème hydraulique tôt ce matin, Vettel était le premier à ressortir, suivi de Bourdais. Peu à peu la moitié du plateau s’élançait à son tour.
Nelsinho Piquet installait sa Renault en tête des écrans de chronométrage – 1’22.183 – trois millièmes devant Fernando Alonso.
Hamilton – 1’21.436 – était délogé de la 1ère place quelques instants plus tard par Kovalainen. Lewis accélérait la cadence – 1’21.123 - mais Heikki répliquait dans la foulée pour abaisser le temps de référence à 1’21.024
Après moins de 10 minutes, Vettel immobilisait de nouveau sa Toro Rosso sur le bas côté, la faute à un problème mécanique.
A la fin du premier quart d’heure, Raikkonen s’approchait à 3 dixièmes de Kovalainen. Massa échouait dans un premier temps à 6 dixièmes, mais réussissait à réduire l’écart à deux dixièmes. Derrière le quatuor de tête, on retrouvait les deux BMW Sauber de Robert Kubica et Nick Heidfeld à 7 et 8 dixièmes.
7ème - Bourdais et sa Toro Rosso devançaient fièrement les deux Renault de Fernando Alonso et Nelsinho Piquet.
Giancarlo Fisichella et sa Force India complétaient le Top 10
Reparti avec un train de gommes tendres, Hamilton semblait capable d’améliorer, avant qu’un léger écart de trajectoire l’oblige à lever le pied. Il lui faudra s’y reprendre plusieurs fois pour réussir à boucler un tour en moins de 1’21 et se réinstaller ainsi aux commandes de la séance.
Timo Glock se hissait au 5ème rang d’où il sera délogé par Jarno Trulli qui confirmait ainsi l’efficacité des Toyota sur le Hungaroring. Robert Kubica revenait dans la danse, et parvenait à intercaler sa BMW Sauber entre les deux Ferrari. Un peu plus loin dans le peloton, Rosberg et Nakajima pointaient le museau de leur Williams dans le Top 10
A l’entame de la deuxième moitié de séance, Felipe Massa prenait l’avantage sur Kovalainen pour 14 millièmes.
Les pilotes McLaren Mercedes repartaient à l’assaut à l’approche de la dernière demi-heure. Kovalainen reprenait le dessus face à Massa, et Hamilton abaissait le temps de référence à 1’20.600
Alonso sera le quatrième pilote du jour à boucler un tour du Hungaroring en moins de 1’21 – ce qui permettait à Fernando de prendre la 3ème place de la séance.
Lewis Hamilton lançait le sprint final - 1’20.554 – un peu moins de deux dixièmes devant la Renault du bouillant Nelsinho Piquet… Premier et deuxième du Grand Prix d’Allemagne, les deux pilotes termineront également dans cet ordre la première journée d’essais libres du Grand Prix de Hongrie !
Heikki Kovalainen et Fernando Alonso devancent les Ferrari de Raikkonen et Massa, suivis par les BMW Sauber - Heidfeld devant Kubica. Trulli et Rosberg complètent le Top 10
Le plus grand nombre de tours a été bouclé, cet après-midi, par Nick Heidfeld : 46 !
Personne ne se précipitait en piste lorsque le feu vert s’allumait au bout de la voie des stands. Victime d’un problème hydraulique tôt ce matin, Vettel était le premier à ressortir, suivi de Bourdais. Peu à peu la moitié du plateau s’élançait à son tour.
Nelsinho Piquet installait sa Renault en tête des écrans de chronométrage – 1’22.183 – trois millièmes devant Fernando Alonso.
Hamilton – 1’21.436 – était délogé de la 1ère place quelques instants plus tard par Kovalainen. Lewis accélérait la cadence – 1’21.123 - mais Heikki répliquait dans la foulée pour abaisser le temps de référence à 1’21.024
Après moins de 10 minutes, Vettel immobilisait de nouveau sa Toro Rosso sur le bas côté, la faute à un problème mécanique.
A la fin du premier quart d’heure, Raikkonen s’approchait à 3 dixièmes de Kovalainen. Massa échouait dans un premier temps à 6 dixièmes, mais réussissait à réduire l’écart à deux dixièmes. Derrière le quatuor de tête, on retrouvait les deux BMW Sauber de Robert Kubica et Nick Heidfeld à 7 et 8 dixièmes.
7ème - Bourdais et sa Toro Rosso devançaient fièrement les deux Renault de Fernando Alonso et Nelsinho Piquet.
Giancarlo Fisichella et sa Force India complétaient le Top 10
Reparti avec un train de gommes tendres, Hamilton semblait capable d’améliorer, avant qu’un léger écart de trajectoire l’oblige à lever le pied. Il lui faudra s’y reprendre plusieurs fois pour réussir à boucler un tour en moins de 1’21 et se réinstaller ainsi aux commandes de la séance.
Timo Glock se hissait au 5ème rang d’où il sera délogé par Jarno Trulli qui confirmait ainsi l’efficacité des Toyota sur le Hungaroring. Robert Kubica revenait dans la danse, et parvenait à intercaler sa BMW Sauber entre les deux Ferrari. Un peu plus loin dans le peloton, Rosberg et Nakajima pointaient le museau de leur Williams dans le Top 10
A l’entame de la deuxième moitié de séance, Felipe Massa prenait l’avantage sur Kovalainen pour 14 millièmes.
Les pilotes McLaren Mercedes repartaient à l’assaut à l’approche de la dernière demi-heure. Kovalainen reprenait le dessus face à Massa, et Hamilton abaissait le temps de référence à 1’20.600
Alonso sera le quatrième pilote du jour à boucler un tour du Hungaroring en moins de 1’21 – ce qui permettait à Fernando de prendre la 3ème place de la séance.
Lewis Hamilton lançait le sprint final - 1’20.554 – un peu moins de deux dixièmes devant la Renault du bouillant Nelsinho Piquet… Premier et deuxième du Grand Prix d’Allemagne, les deux pilotes termineront également dans cet ordre la première journée d’essais libres du Grand Prix de Hongrie !
Heikki Kovalainen et Fernando Alonso devancent les Ferrari de Raikkonen et Massa, suivis par les BMW Sauber - Heidfeld devant Kubica. Trulli et Rosberg complètent le Top 10
Le plus grand nombre de tours a été bouclé, cet après-midi, par Nick Heidfeld : 46 !
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Le soleil était au rendez-vous, et la température de 30° dans l’air, 42° par terre pour le début de la séance qualificative du Grand Prix de Hongrie, 11ème des 18 épreuves du championnat du monde.
Q1 – 20 minutes :
Sebastian Vettel était le premier à s’élancer, suivi de Sébastien Bourdais. Les deux pilotes des Force India leur emboîtaient le pas !
Timo Glock signait le premier temps de référence – 1’20.258 – devant Bourdais, Nakajima, Button, Vettel et Barrichello.
Kovalainen, puis Hamilton ne laissaient pas planer de doutes sur leur niveau de performance – chacun des pilotes McLaren Mercedes réussissaient d’emblée un tour en moins de 1’20
Heikki et Lewis étaient imités dans la foulée par Trulli qui hissait sa Toyota devant les Ferrari – Glock, 6ème, était suivi de Webber, Kubica, Coulthard et Bourdais.
En tête, Lewis Hamilton ne jugera pas nécessaire de défendre son meilleur temps – 1’19.376 - Dans son sillage, Massa revenait à deux dixièmes. Jarno Trulli conservait la 3ème place devant Heikki Kovalainen, Timo Glock et Kimi Raikkonen.
En queue de peloton, Barrichello, Nakajima et les Force India restaient sur le carreau – seul Rosberg parvenait à tirer son épingle du jeu, aux dépens de la BMW Sauber de Nick Heidfeld, pris dans le trafic lors des dernières secondes de la séance.
Q2 – 15 minutes :
Après quelques minutes d’attentes, Timo Glock ouvrait le bal. L’Allemand bouclait aussitôt un tour plus rapide que celui de Lewis Hamilton en Q1 – 1’19.246 – un chrono qui permettait au pilote Toyota de résister au premier assaut de Raikkonen et sa Ferrari !
Lewis Hamilton – avec des pneus tendres - s’y cassera les dents, le leader du championnat échouait à deux dixièmes. Felipe Massa – avec des gommes dures – réussissait un tour sans faute qui voyait le Brésilien prendre les commandes de la séance – 1’19.068
Massa ne sera pas inquiété. Glock, Hamilton, Kovalainen et Trulli complètent le Top 5 !
David Coulthard, Nelsinho Piquet, Jenson Button et Sébastien Bourdais figuraient en mauvaise posture à l’entame de leur ultime tentative. Cloué dans le fond du stand Williams, la faute à un problème hydraulique, Nico Rosberg n’a pas bouclé un seul tour.
Nelsinho et sa Renault – finalement 10ème allaient réussir à se sortir de ce mauvais pas !
Q3 – 10 minutes :
Dès le feu vert allumé, les deux Toyota s’élançaient sans tarder. Timo – 1’21.326 – devançait Jarno de six dixièmes à l’issue de leur première tentative. Peu à peu, l’ensemble des pilotes quittait les stands pour un premier assaut.
Hamilton bouclait un tour en 1’20.974 – et devançait Glock, Massa, Raikkonen et Webber. Kovalainen – 9ème – était précédé par Trulli, Kubica et Alonso.
Avec des trains de pneus frais, l’ultime tentative voyait Kovalainen rejoindre son équipier chez McLaren sur la première ligne de la grille de départ - Lewis Hamilton s’offre une deuxième pole position consécutive, la 4ème de la saison – déjà la 10ème de sa jeune carrière (moins de 30 courses !)
Massa et Kubica se partageront la deuxième ligne devant la Toyota du surprenant Timo Glock qui a résisté à la Ferrari de Kimi Raikkonen.
7ème, Fernando Alonso sera accompagné sur la 4ème ligne par la Red Bull de Mark Webber. Jarno Trulli et Nelsinho Piquet complètent le Top 10
Q1 – 20 minutes :
Sebastian Vettel était le premier à s’élancer, suivi de Sébastien Bourdais. Les deux pilotes des Force India leur emboîtaient le pas !
Timo Glock signait le premier temps de référence – 1’20.258 – devant Bourdais, Nakajima, Button, Vettel et Barrichello.
Kovalainen, puis Hamilton ne laissaient pas planer de doutes sur leur niveau de performance – chacun des pilotes McLaren Mercedes réussissaient d’emblée un tour en moins de 1’20
Heikki et Lewis étaient imités dans la foulée par Trulli qui hissait sa Toyota devant les Ferrari – Glock, 6ème, était suivi de Webber, Kubica, Coulthard et Bourdais.
En tête, Lewis Hamilton ne jugera pas nécessaire de défendre son meilleur temps – 1’19.376 - Dans son sillage, Massa revenait à deux dixièmes. Jarno Trulli conservait la 3ème place devant Heikki Kovalainen, Timo Glock et Kimi Raikkonen.
En queue de peloton, Barrichello, Nakajima et les Force India restaient sur le carreau – seul Rosberg parvenait à tirer son épingle du jeu, aux dépens de la BMW Sauber de Nick Heidfeld, pris dans le trafic lors des dernières secondes de la séance.
Q2 – 15 minutes :
Après quelques minutes d’attentes, Timo Glock ouvrait le bal. L’Allemand bouclait aussitôt un tour plus rapide que celui de Lewis Hamilton en Q1 – 1’19.246 – un chrono qui permettait au pilote Toyota de résister au premier assaut de Raikkonen et sa Ferrari !
Lewis Hamilton – avec des pneus tendres - s’y cassera les dents, le leader du championnat échouait à deux dixièmes. Felipe Massa – avec des gommes dures – réussissait un tour sans faute qui voyait le Brésilien prendre les commandes de la séance – 1’19.068
Massa ne sera pas inquiété. Glock, Hamilton, Kovalainen et Trulli complètent le Top 5 !
David Coulthard, Nelsinho Piquet, Jenson Button et Sébastien Bourdais figuraient en mauvaise posture à l’entame de leur ultime tentative. Cloué dans le fond du stand Williams, la faute à un problème hydraulique, Nico Rosberg n’a pas bouclé un seul tour.
Nelsinho et sa Renault – finalement 10ème allaient réussir à se sortir de ce mauvais pas !
Q3 – 10 minutes :
Dès le feu vert allumé, les deux Toyota s’élançaient sans tarder. Timo – 1’21.326 – devançait Jarno de six dixièmes à l’issue de leur première tentative. Peu à peu, l’ensemble des pilotes quittait les stands pour un premier assaut.
Hamilton bouclait un tour en 1’20.974 – et devançait Glock, Massa, Raikkonen et Webber. Kovalainen – 9ème – était précédé par Trulli, Kubica et Alonso.
Avec des trains de pneus frais, l’ultime tentative voyait Kovalainen rejoindre son équipier chez McLaren sur la première ligne de la grille de départ - Lewis Hamilton s’offre une deuxième pole position consécutive, la 4ème de la saison – déjà la 10ème de sa jeune carrière (moins de 30 courses !)
Massa et Kubica se partageront la deuxième ligne devant la Toyota du surprenant Timo Glock qui a résisté à la Ferrari de Kimi Raikkonen.
7ème, Fernando Alonso sera accompagné sur la 4ème ligne par la Red Bull de Mark Webber. Jarno Trulli et Nelsinho Piquet complètent le Top 10
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Kovalainen hérite de la victoire
Hongrie : La course
Le soleil, un ciel bleu et des températures de 29° dans l’air, 44° sur la piste, étaient de la partie pour le Grand Prix de Hongrie, 11ème des 18 épreuves du championnat du monde.
Après un tour de formation sans encombre, les 20 pilotes qualifiés revenaient se placer sur la grille de départ. A l’extinction des feux rouges, Felipe Massa bondissait de la 2ème ligne pour virer en tête devant Hamilton, Kovalainen, Glock, Kubica, Alonso, Raikkonen et Webber.
Une légère glissade de Nelsinho Piquet permettait à Trulli de s’infiltrer. A la fin du premier tour, Vettel effectuait une escapade hors trajectoire qui lui faisait perdre quelques places.
Massa et Hamilton s’échappaient rapidement pour compter plus de cinq secondes d’avance sur leurs poursuivants à l’entame du 5ème tour.
Au 10ème des 70 tours à parcourir, le classement donnait Massa en tête suivi de Hamilton + 2.8, Kovalainen + 7.8, Glock + 10.9, Kubica + 16.1, Alonso + 17.6, Raikkonen + 18.2, Webber + 21.6, Trulli + 22.8 et Piquet + 25.3
L’avance de la Ferrari de tête atteignait les trois secondes sur Hamilton au 13ème passage. Dans le peloton, la procession suivait son cours.
A l’entame du 18ème tour, Massa effectuait son premier arrêt, imité part Kubica et Webber - Hamilton ravitaillait au 19ème, Glock au 20ème , Heikki au 21ème !
Sebastian Vettel ouvrait la liste des abandons au 23ème tour, la faute à un ennui mécanique.
A la fin du 25ème tour, Felipe Massa occupait la première place, poursuivi par Hamilton + 2.7, Kovalainen + 12.0, Glock + 19.6, Coulthard + 27.6, Alonso + 31.6, Raikkonen + 32.7, Piquet + 34.9 et Kubica + 39.1
Au moment d’aborder la deuxième moitié de la course, Massa comptait plus de 4 secondes d’avance sur Hamilton. Le Brésilien ne relâchait pas son effort.
Soudain, au 40ème tour, Hamilton était victime d’une crevaison qui l’obligeait à boucler plus de la moitié du circuit à faible allure pour rejoindre les stands. Lewis repartira 10ème !
A l’issue de la deuxième vague de ravitaillement des pilotes de tête, Felipe Massa récupérait les commandes de la course, désormais esseulé devant Heikki Kovalainen.
10 tours avant le drapeau à damiers, Massa devançait toujours Kovalainen + 9.8, Glock + 19.4, Raikkonen + 24.6, Alonso + 35.5, Hamilton + 38.1, Piquet + 49.2, Trulli + 50.5, Kubica + 61.5 et Webber + 65.4
A trois tours du but, Massa s’immobilisait soudain au bout de la ligne droite, un long panache de fumée blanche s’échappant du capot arrière de la Ferrari !
Heikki Kovalainen héritait ainsi de la première place, et ne sera plus rejoint avant l’arrivée. Le Finlandais signe ainsi son premier succès dans la catégorie reine, et devient par la même occasion le 100ème vainqueur différent de l'histoire de la F1.
Timo Glock accède à la 2ème place - le premier podium de sa carrière - après avoir résisté au retour de Kimi Raikkonen dans les derniers tours de course.
Alonso, Hamilton, Piquet, Trulli et Kubica se partagent les dernières places dans les points.
Prochain rendez-vous, le Grand Prix d’Europe – sur le nouveau circuit urbain de Valencia, en Espagne – du 22 au 24 août.
Hongrie : La course
Le soleil, un ciel bleu et des températures de 29° dans l’air, 44° sur la piste, étaient de la partie pour le Grand Prix de Hongrie, 11ème des 18 épreuves du championnat du monde.
Après un tour de formation sans encombre, les 20 pilotes qualifiés revenaient se placer sur la grille de départ. A l’extinction des feux rouges, Felipe Massa bondissait de la 2ème ligne pour virer en tête devant Hamilton, Kovalainen, Glock, Kubica, Alonso, Raikkonen et Webber.
Une légère glissade de Nelsinho Piquet permettait à Trulli de s’infiltrer. A la fin du premier tour, Vettel effectuait une escapade hors trajectoire qui lui faisait perdre quelques places.
Massa et Hamilton s’échappaient rapidement pour compter plus de cinq secondes d’avance sur leurs poursuivants à l’entame du 5ème tour.
Au 10ème des 70 tours à parcourir, le classement donnait Massa en tête suivi de Hamilton + 2.8, Kovalainen + 7.8, Glock + 10.9, Kubica + 16.1, Alonso + 17.6, Raikkonen + 18.2, Webber + 21.6, Trulli + 22.8 et Piquet + 25.3
L’avance de la Ferrari de tête atteignait les trois secondes sur Hamilton au 13ème passage. Dans le peloton, la procession suivait son cours.
A l’entame du 18ème tour, Massa effectuait son premier arrêt, imité part Kubica et Webber - Hamilton ravitaillait au 19ème, Glock au 20ème , Heikki au 21ème !
Sebastian Vettel ouvrait la liste des abandons au 23ème tour, la faute à un ennui mécanique.
A la fin du 25ème tour, Felipe Massa occupait la première place, poursuivi par Hamilton + 2.7, Kovalainen + 12.0, Glock + 19.6, Coulthard + 27.6, Alonso + 31.6, Raikkonen + 32.7, Piquet + 34.9 et Kubica + 39.1
Au moment d’aborder la deuxième moitié de la course, Massa comptait plus de 4 secondes d’avance sur Hamilton. Le Brésilien ne relâchait pas son effort.
Soudain, au 40ème tour, Hamilton était victime d’une crevaison qui l’obligeait à boucler plus de la moitié du circuit à faible allure pour rejoindre les stands. Lewis repartira 10ème !
A l’issue de la deuxième vague de ravitaillement des pilotes de tête, Felipe Massa récupérait les commandes de la course, désormais esseulé devant Heikki Kovalainen.
10 tours avant le drapeau à damiers, Massa devançait toujours Kovalainen + 9.8, Glock + 19.4, Raikkonen + 24.6, Alonso + 35.5, Hamilton + 38.1, Piquet + 49.2, Trulli + 50.5, Kubica + 61.5 et Webber + 65.4
A trois tours du but, Massa s’immobilisait soudain au bout de la ligne droite, un long panache de fumée blanche s’échappant du capot arrière de la Ferrari !
Heikki Kovalainen héritait ainsi de la première place, et ne sera plus rejoint avant l’arrivée. Le Finlandais signe ainsi son premier succès dans la catégorie reine, et devient par la même occasion le 100ème vainqueur différent de l'histoire de la F1.
Timo Glock accède à la 2ème place - le premier podium de sa carrière - après avoir résisté au retour de Kimi Raikkonen dans les derniers tours de course.
Alonso, Hamilton, Piquet, Trulli et Kubica se partagent les dernières places dans les points.
Prochain rendez-vous, le Grand Prix d’Europe – sur le nouveau circuit urbain de Valencia, en Espagne – du 22 au 24 août.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Dépassé par Felipe Massa au départ, puis victime d’une crevaison, la course de Lewis Hamilton sur le Hungaroring aurait pu se terminer bien plus mal !
En dépit de ses mésaventures, le jeune anglais n’était pas trop triste puisqu’il a réussi à augmenter son avance en tête du championnat – arrivé à Budapest avec 4 points de plus que Massa, alors 2ème, il en repart avec 5 longueurs d’avance sur Raikkonen.
« Je n'ai pas fait d'erreur. J’ai été victime d’une crevaison, mais j’ai ramené la voiture au stand et marqué autant de points que je le pouvais. Je ne pouvais pas espérer beaucoup plus. C’est juste regrettable d’avoir crevé encore. Ça m’est arrivé trois fois l'année dernière, et c'est ce qui m'a vraiment fait perdre le championnat » estimait Lewis.
« Ça aurait pu être très, très coûteux, mais Kimi n'a pas gagné, mieux : Heikki a gagné et Glock a terminé deuxième. Ils prennent des points à tout les autres, donc je suis très heureux » ajoutait-il. « Il y a encore un long chemin à parcourir, nous allons donc faire en sorte d’être bien préparés pour le reste de la saison.
»
« J’ai pris un très bon départ, mais celui de Felipe était encore meilleur. J’ai protégé ma position en restant à l’intérieur. Il a bloqué ses roues, et tourné. J’ai alors pensé que nous allions nous toucher, j'ai donc ralenti un peu. Il a réussi à passer… mais ça ne se reproduira plus » affirmait Hamilton.
Le leader du championnat du monde dit - par ailleurs - ne pas avoir été surpris de voir Ferrari rebondir après leur décevant Grand Prix d’Allemagne.
« Ils étaient forts – mais si nous avions été devant après le départ, ça aurait peut-être été un peu différent. Mais le Grand Prix de Hongrie a montré qu'ils avaient vraiment un bon niveau de performance, ce que nous savions déjà – c’est juste les médias qui semblent penser qu'il y a une énorme différence » concluait-il.
En dépit de ses mésaventures, le jeune anglais n’était pas trop triste puisqu’il a réussi à augmenter son avance en tête du championnat – arrivé à Budapest avec 4 points de plus que Massa, alors 2ème, il en repart avec 5 longueurs d’avance sur Raikkonen.
« Je n'ai pas fait d'erreur. J’ai été victime d’une crevaison, mais j’ai ramené la voiture au stand et marqué autant de points que je le pouvais. Je ne pouvais pas espérer beaucoup plus. C’est juste regrettable d’avoir crevé encore. Ça m’est arrivé trois fois l'année dernière, et c'est ce qui m'a vraiment fait perdre le championnat » estimait Lewis.
« Ça aurait pu être très, très coûteux, mais Kimi n'a pas gagné, mieux : Heikki a gagné et Glock a terminé deuxième. Ils prennent des points à tout les autres, donc je suis très heureux » ajoutait-il. « Il y a encore un long chemin à parcourir, nous allons donc faire en sorte d’être bien préparés pour le reste de la saison.
»
« J’ai pris un très bon départ, mais celui de Felipe était encore meilleur. J’ai protégé ma position en restant à l’intérieur. Il a bloqué ses roues, et tourné. J’ai alors pensé que nous allions nous toucher, j'ai donc ralenti un peu. Il a réussi à passer… mais ça ne se reproduira plus » affirmait Hamilton.
Le leader du championnat du monde dit - par ailleurs - ne pas avoir été surpris de voir Ferrari rebondir après leur décevant Grand Prix d’Allemagne.
« Ils étaient forts – mais si nous avions été devant après le départ, ça aurait peut-être été un peu différent. Mais le Grand Prix de Hongrie a montré qu'ils avaient vraiment un bon niveau de performance, ce que nous savions déjà – c’est juste les médias qui semblent penser qu'il y a une énorme différence » concluait-il.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Le Grand Prix de Hongrie remporté dimanche par le Finlandais Heikki Kovalainen a rassemblé un nombre record de 250.000 spectateurs au Hungaroring de Budapest, a indiqué mardi le porte-parole gouvernement hongrois.
Onzième des 18 épreuves d'un Championnat du monde de Formule 1 particulièrement relevé cette année, le Grand Prix de Hongrie "a battu tous les records en terme d'affluence, avec un quart de million de spectateurs, soit de 10 à 15% de plus que l'an passé", a déclaré ce porte-parole, David Daroczi.
Il a précisé que l'épreuve avait généré 2,5 milliards de forints (11 millions d'euros) de recettes fiscales, un somme couvrant "pratiquement" la licence annuelle de la course.
Les hôtels de trois, quatre et cinq étoiles ont par ailleurs affiché complet, a-t-il encore précisé.
Situé à une vingtaine de kilomètres du centre de la capitale hongroise, le circuit du Hungaroring, qui a accueilli son premier Grand Prix en 1986, est particulièrement prisé du public car sa localisation permet d'apercevoir au moins 80 % du parcours depuis chaque point.
Le Championnat du monde de Formule 1, actuellement mené par le Britannique Lewis Hamilton, reprendra le 24 août avec le Grand Prix d'Europe à Valencia, en Espagne.
Onzième des 18 épreuves d'un Championnat du monde de Formule 1 particulièrement relevé cette année, le Grand Prix de Hongrie "a battu tous les records en terme d'affluence, avec un quart de million de spectateurs, soit de 10 à 15% de plus que l'an passé", a déclaré ce porte-parole, David Daroczi.
Il a précisé que l'épreuve avait généré 2,5 milliards de forints (11 millions d'euros) de recettes fiscales, un somme couvrant "pratiquement" la licence annuelle de la course.
Les hôtels de trois, quatre et cinq étoiles ont par ailleurs affiché complet, a-t-il encore précisé.
Situé à une vingtaine de kilomètres du centre de la capitale hongroise, le circuit du Hungaroring, qui a accueilli son premier Grand Prix en 1986, est particulièrement prisé du public car sa localisation permet d'apercevoir au moins 80 % du parcours depuis chaque point.
Le Championnat du monde de Formule 1, actuellement mené par le Britannique Lewis Hamilton, reprendra le 24 août avec le Grand Prix d'Europe à Valencia, en Espagne.
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L’écurie fondée par Sir Frank Williams, l'un des derniers aventuriers du Formula One Circus, n’est pas à vendre.
Son compatriote Ron Dennis a vendu la majorité des parts de l’équipe McLaren à Mercedes-Benz et des investisseurs du Bahreïn, et la plupart des autres concurrents actuels sont, soit dirigés par les constructeurs automobiles, soit appartiennent à des milliardaires venus d’autres domaines que la course !
Mais même si l’écurie Williams peine à trouver un second souffle lors de la deuxième moitié de la saison, le "capitaine" n’a pas l’intention de quitter le navire !
« Au cours des prochaines années, nous ne vendrons pas » insistait-il ce week-end à Budapest, l’une de ses rares apparitions dans les paddocks.
« Nous ne vendons pas plus que des actions, le nom de Williams restera en F1 ! »
Sir Frank – 66 ans – reconnaît que lui-même et le co-propriétaire de l’écurie, son "âme damnée" Patrick Head – 62 ans – ne rajeunissent pas.
Cependant, il exclut la probabilité de voir son fils Jonathan, conseiller de l’équipe iSport International et dénicheur de talent pour l’écurie de son père, puisse lui succéder.
« Jonathan est trop gentil pour la F1 » souriait Frank Williams.
Son compatriote Ron Dennis a vendu la majorité des parts de l’équipe McLaren à Mercedes-Benz et des investisseurs du Bahreïn, et la plupart des autres concurrents actuels sont, soit dirigés par les constructeurs automobiles, soit appartiennent à des milliardaires venus d’autres domaines que la course !
Mais même si l’écurie Williams peine à trouver un second souffle lors de la deuxième moitié de la saison, le "capitaine" n’a pas l’intention de quitter le navire !
« Au cours des prochaines années, nous ne vendrons pas » insistait-il ce week-end à Budapest, l’une de ses rares apparitions dans les paddocks.
« Nous ne vendons pas plus que des actions, le nom de Williams restera en F1 ! »
Sir Frank – 66 ans – reconnaît que lui-même et le co-propriétaire de l’écurie, son "âme damnée" Patrick Head – 62 ans – ne rajeunissent pas.
Cependant, il exclut la probabilité de voir son fils Jonathan, conseiller de l’équipe iSport International et dénicheur de talent pour l’écurie de son père, puisse lui succéder.
« Jonathan est trop gentil pour la F1 » souriait Frank Williams.
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Le patron de l’équipe M-Sport, qui engage les Ford dans le championnat du monde des rallyes, Malcolm Wilson a invité le champion du monde finlandais de F1 Kimi Raikkonen pour un test au volant d’une Focus WRC.
Le pilote Ferrari - dont le contrat avec l'équipe italienne expire à la fin de l'année prochaine – avait récemment déclaré qu’il envisageait de s’essayer au rallye une fois sa carrière en monoplace terminée.
« J'aimerais lui offrir un test » affirmait Wilson à Eurosport. « Ce serait une excellente occasion pour nous tous. »
Le quadruple champion du monde des rallyes, Sébastien Loeb est également ouvert à l'idée de voir Raikkonen s’engager en WRC : « J’y suis favorable car il est bon d'avoir de grands noms s’intéresser au rallye.
»
« Avec le talent qu'il a et un peu d’entraînement, il trouvera le feeling nécessaire pour s’adapter à tout type de terrain » ajoutait Loeb.
Des bruits de couloirs indiquent que Fiat - société mère de Ferrari, actuellement engagée en IRC par le biais de l’équipe Abarth – aurait l'intention de passer en WRC à l’horizon 2010.
Le pilote Ferrari - dont le contrat avec l'équipe italienne expire à la fin de l'année prochaine – avait récemment déclaré qu’il envisageait de s’essayer au rallye une fois sa carrière en monoplace terminée.
« J'aimerais lui offrir un test » affirmait Wilson à Eurosport. « Ce serait une excellente occasion pour nous tous. »
Le quadruple champion du monde des rallyes, Sébastien Loeb est également ouvert à l'idée de voir Raikkonen s’engager en WRC : « J’y suis favorable car il est bon d'avoir de grands noms s’intéresser au rallye.
»
« Avec le talent qu'il a et un peu d’entraînement, il trouvera le feeling nécessaire pour s’adapter à tout type de terrain » ajoutait Loeb.
Des bruits de couloirs indiquent que Fiat - société mère de Ferrari, actuellement engagée en IRC par le biais de l’équipe Abarth – aurait l'intention de passer en WRC à l’horizon 2010.
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Patron de l’écurie BMW Sauber, Mario Theissen a admis que l’équipe germanique devrait probablement se contenter de la troisième place du championnat des constructeurs après un week-end difficile en Hongrie.
Theissen avoue même que, plusieurs jours après la course, l'équipe se grattait encore la tête pour savoir ce qui avait causé ce manque de compétitivité sur un circuit qui avait si bien réussi à l’équipe !
« Au cours des deux dernières années, nous avons été sur le podium à Budapest. Il doit y avoir une explication à cette performance décevante » avouait-il dans une interview parue sur le site officiel de la F1. « Nous étions non seulement lents, mais également inconstants. Comme Ferrari aussi, nous avons constaté qu’une voiture fonctionnait bien mieux que l’autre. Il y a quelque chose que nous n'avons pas compris. »
Durant la première partie de la saison, BMW Sauber a tenu la cadence face aux Ferrari et aux McLaren Mercedes, avec en point d’orgue le doublé de Robert Kubica et Nick Heidfeld au Canada.
Depuis les 18 points inscrits à Montréal, les monoplaces bleues et blanches n’ont plus été aussi brillantes et seulement inscrits 20 points lors des cinq dernières courses là où Ferrari en a marqué 38 et McLaren Mercedes 47 !
BMW Sauber peut-il encore espérer reprendre l’avantage sur McLaren ou Ferrari ? Pour Mario Theissen, la réponse est claire : « Sur la base de nos performances et des points engrangés à Budapest le week-end dernier, je vous dirais certainement pas ! »
« Mais, naturellement, nous n’allons pas nous tourner les pouces, nous avons encore des l'évolution en cours - aérodynamique ainsi que mécanique. Nous n’allons certainement pas stopper le développement de la F1.08 en raison d'un résultat insatisfaisant » concluait-il.
Theissen avoue même que, plusieurs jours après la course, l'équipe se grattait encore la tête pour savoir ce qui avait causé ce manque de compétitivité sur un circuit qui avait si bien réussi à l’équipe !
« Au cours des deux dernières années, nous avons été sur le podium à Budapest. Il doit y avoir une explication à cette performance décevante » avouait-il dans une interview parue sur le site officiel de la F1. « Nous étions non seulement lents, mais également inconstants. Comme Ferrari aussi, nous avons constaté qu’une voiture fonctionnait bien mieux que l’autre. Il y a quelque chose que nous n'avons pas compris. »
Durant la première partie de la saison, BMW Sauber a tenu la cadence face aux Ferrari et aux McLaren Mercedes, avec en point d’orgue le doublé de Robert Kubica et Nick Heidfeld au Canada.
Depuis les 18 points inscrits à Montréal, les monoplaces bleues et blanches n’ont plus été aussi brillantes et seulement inscrits 20 points lors des cinq dernières courses là où Ferrari en a marqué 38 et McLaren Mercedes 47 !
BMW Sauber peut-il encore espérer reprendre l’avantage sur McLaren ou Ferrari ? Pour Mario Theissen, la réponse est claire : « Sur la base de nos performances et des points engrangés à Budapest le week-end dernier, je vous dirais certainement pas ! »
« Mais, naturellement, nous n’allons pas nous tourner les pouces, nous avons encore des l'évolution en cours - aérodynamique ainsi que mécanique. Nous n’allons certainement pas stopper le développement de la F1.08 en raison d'un résultat insatisfaisant » concluait-il.
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Alors que la rumeur ne cesse d’annoncer l’arrivée imminente en F1 du Brésilien Bruno Senna, notamment au sein de la scuderia Toro Rosso – compte tenu des relations personnels entretenues par le copropriétaire de l’équipe, Gerhard Berger, avec le neveu du regretté Ayrton !
L’ancien pilote autrichien affirmait toutefois que ses rapports intimes avec la famille Senna n’entreraient pas en ligne de compte.
« Je dirige une équipe en partenariat avec Red Bull, il ne faut pas mélanger les choses personnelles avec le business » déclarait Berger. « Mais si Bruno est clairement le meilleur candidat, alors nous allons discuter de toute façon. S’il est champion GP2, peu importe comment il s’appel.
»
« Je suis prêt à lui donner l’opportunité de faire une séance d’essais, mais il n'existe actuellement aucune discussion concrète à ce sujet » ajoutait-il.
Gerhard affirme que le choix des pilotes pour 2009 n’est pas encore arrêté, loin s’en faut.
« Bruno Senna est assez bon pour la F1, mais il en va de même pour Romain Grosjean et Sébastien Buemi. Mais à ce jour, aucun de ces trois pilotes ne m’a totalement convaincu. Je n’ai pas encore vu un "nouveau Vettel" » concluait Berger.
L’ancien pilote autrichien affirmait toutefois que ses rapports intimes avec la famille Senna n’entreraient pas en ligne de compte.
« Je dirige une équipe en partenariat avec Red Bull, il ne faut pas mélanger les choses personnelles avec le business » déclarait Berger. « Mais si Bruno est clairement le meilleur candidat, alors nous allons discuter de toute façon. S’il est champion GP2, peu importe comment il s’appel.
»
« Je suis prêt à lui donner l’opportunité de faire une séance d’essais, mais il n'existe actuellement aucune discussion concrète à ce sujet » ajoutait-il.
Gerhard affirme que le choix des pilotes pour 2009 n’est pas encore arrêté, loin s’en faut.
« Bruno Senna est assez bon pour la F1, mais il en va de même pour Romain Grosjean et Sébastien Buemi. Mais à ce jour, aucun de ces trois pilotes ne m’a totalement convaincu. Je n’ai pas encore vu un "nouveau Vettel" » concluait Berger.
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Directeur technique de l’équipe Force India, Mike Gascoyne estime qu’une réduction des essais privés pendant l’intersaison, et des moteurs capables de durer plus longtemps sont les meilleurs moyens d'aider les équipes indépendantes du Formula One Circus.
« Les constructeurs doivent comprendre qu’ils ont besoin des équipes privées » affirmait-il. « Sinon, si c'est juste un championnat entre cinq constructeurs, ce n'est dans l'intérêt de personne. »
« Je pense que nous avons besoin d'un règlement pour réduire les essais - nous ne devrions pas en faire pendant la saison. Avoir des moteurs qui ont un cycle de vie plus long, cela permettra de réduire les coûts. C’est la façon dont nous devons envisager l’avenir » ajoutait Mike.
« La F1 doit maîtriser les coûts, mais comment le faire actuellement, je ne sais pas. Nous avons un moteur pour deux courses, et nous devrions peut-être élargir cette période d’utilisation. Tout le monde est en mesure d'y faire face » affirmait-il dans les colonnes du magazine Autosport.
« De toute évidence, la F1 a besoin des petites équipes.
Pour l'instant, c’est d’un niveau incroyablement compétitif, et nous réussissons à nous qualifier régulièrement à moins de deux secondes derrière les plus rapides, et nous le faisons avec au plus 120 millions de dollars. Alors pourquoi des équipes dépenses 500 millions de dollars ? » s’interrogeait-il. « Vous pouvez avoir un beau championnat avec les voitures que nous produisons qui, soyons francs, auraient été - il y a trois ou quatre ans - en milieu de peloton. »
« Comment faire ? Je ne sais pas. Mais la F1 devrait veiller à ce que les équipes puissent rivaliser. Qu’elles puissent acheter des moteurs et les boîtes de vitesses qui vont avec pour un prix raisonnable. La question est de savoir si cela se produira ou pas… qui sait ? » concluait Gascoyne.
« Les constructeurs doivent comprendre qu’ils ont besoin des équipes privées » affirmait-il. « Sinon, si c'est juste un championnat entre cinq constructeurs, ce n'est dans l'intérêt de personne. »
« Je pense que nous avons besoin d'un règlement pour réduire les essais - nous ne devrions pas en faire pendant la saison. Avoir des moteurs qui ont un cycle de vie plus long, cela permettra de réduire les coûts. C’est la façon dont nous devons envisager l’avenir » ajoutait Mike.
« La F1 doit maîtriser les coûts, mais comment le faire actuellement, je ne sais pas. Nous avons un moteur pour deux courses, et nous devrions peut-être élargir cette période d’utilisation. Tout le monde est en mesure d'y faire face » affirmait-il dans les colonnes du magazine Autosport.
« De toute évidence, la F1 a besoin des petites équipes.
Pour l'instant, c’est d’un niveau incroyablement compétitif, et nous réussissons à nous qualifier régulièrement à moins de deux secondes derrière les plus rapides, et nous le faisons avec au plus 120 millions de dollars. Alors pourquoi des équipes dépenses 500 millions de dollars ? » s’interrogeait-il. « Vous pouvez avoir un beau championnat avec les voitures que nous produisons qui, soyons francs, auraient été - il y a trois ou quatre ans - en milieu de peloton. »
« Comment faire ? Je ne sais pas. Mais la F1 devrait veiller à ce que les équipes puissent rivaliser. Qu’elles puissent acheter des moteurs et les boîtes de vitesses qui vont avec pour un prix raisonnable. La question est de savoir si cela se produira ou pas… qui sait ? » concluait Gascoyne.
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L’Ecossais David Coulthard l’admet, l’équipe Red Bull va devoir se battre bec et ongle lors des sept derniers Grands Prix de la saison pour tenter de décrocher la 4ème place du championnat du monde des constructeurs – et ainsi finir "meilleur des autres" derrière le trio majeur de la saison 2008 : Ferrari, McLaren Mercedes et BMW Sauber.
Après une première moitié de saison où Webber et Coulthard ont inscrit 24 points lors des huit premiers Grands Prix – autant que durant toute la saison 2007 – les trois derniers rendez-vous se sont soldés par un zéro pointé !
Des mauvais résultats qui ont fait chuter l’écurie de la 4ème à la 6ème place du classement des constructeurs. Red Bull accuse désormais 11 points de retard sur Toyota et 7 sur Renault.
« Nous avons glissé derrière Renault et perdu le contact avec Toyota, ce n’est pas bon » reconnaissait David dans sa chronique pour ITV. « Mais ce n’est pas la fin du monde.
L’avantage va et vient dans le peloton, et beaucoup de choses peuvent encore changer au cours des sept prochaines courses ! »
« Cela dit, nous devons reconnaître le fait que nous n'avons pas marqué de point lors des trois dernières courses, ce qui laisse croire que notre niveau de performance a diminué, par rapport à ce qu’il était il y a un mois ou deux. En fait, nous avons stagné pendant que les autres équipes ont fait un pas en avant » estimait le pilote écossais.
« Nous devons simplement essayer de comprendre pourquoi nous avons perdu ce terrain et revenir sur une voie plus fructueuse au niveau du développement. Toutes les équipes sont amenés à diviser leurs ressources entre 2008 et 2009, mais dans notre cas, le développement de la RB4 se poursuit afin que nous puissions atteindre notre objectif : la 4ème place des constructeurs » concluait Coulthard.
Après une première moitié de saison où Webber et Coulthard ont inscrit 24 points lors des huit premiers Grands Prix – autant que durant toute la saison 2007 – les trois derniers rendez-vous se sont soldés par un zéro pointé !
Des mauvais résultats qui ont fait chuter l’écurie de la 4ème à la 6ème place du classement des constructeurs. Red Bull accuse désormais 11 points de retard sur Toyota et 7 sur Renault.
« Nous avons glissé derrière Renault et perdu le contact avec Toyota, ce n’est pas bon » reconnaissait David dans sa chronique pour ITV. « Mais ce n’est pas la fin du monde.
L’avantage va et vient dans le peloton, et beaucoup de choses peuvent encore changer au cours des sept prochaines courses ! »
« Cela dit, nous devons reconnaître le fait que nous n'avons pas marqué de point lors des trois dernières courses, ce qui laisse croire que notre niveau de performance a diminué, par rapport à ce qu’il était il y a un mois ou deux. En fait, nous avons stagné pendant que les autres équipes ont fait un pas en avant » estimait le pilote écossais.
« Nous devons simplement essayer de comprendre pourquoi nous avons perdu ce terrain et revenir sur une voie plus fructueuse au niveau du développement. Toutes les équipes sont amenés à diviser leurs ressources entre 2008 et 2009, mais dans notre cas, le développement de la RB4 se poursuit afin que nous puissions atteindre notre objectif : la 4ème place des constructeurs » concluait Coulthard.