Prince William & Kate Middleton - Mariage et suite...
Meghan Markle : Son nouveau faux-pas royal en pleine cérémonie
La nouvelle duchesse de Sussex multiplie les représentations officielles avec la famille royale depuis son mariage avec le prince Harry. Toujours élégante et souriante, Meghan Markle semble à l'aise avec le protocole, un peu trop peut-être.
Meghan Markle a une nouvelle fois bravé la très stricte étiquette ! Au lendemain du baptême du prince Louis, la famille royale s'est à nouveau réunie pour célébrer les 100 ans de la Royal Air Force à Londres, ce mardi 10 juillet 2018. Si Kate Middleton a parfaitement respecté le protocole, la nouvelle duchesse de Sussex n'est quant à elle pas encore tout à fait au point.
Après une arrivée remarquée au bras du prince Harry, l'ancienne actrice vêtue d'une élégante robe Dior a pu prendre place au côté de son époux, au sein de la prestigieuse Abbaye de Westminster. Installée juste derrière la reine d'Angleterre et le prince Charles, la jeune femme de 36 ans a malheureusement commis un faux-pas royal en croisant ses jambes durant la cérémonie. Une posture fortement déconseillée par l'étiquette !
Bien qu'aucune règle n'interdise officiellement cette position, les femmes de la famille royale ont plutôt l'habitude de garder les genoux serrés en croisant ou non leurs chevilles, tout en plaçant leurs jambes sur le côté. Au fil des années, Kate Middleton est d'ailleurs devenue une experte de cette posture considérée comme plus élégante.
Ce n'est pas la première fois que l'épouse du prince Harry croise les jambes lors d'un événement officiel. En juin dernier, lors de la cérémonie des Queen's Young Leaders Awards, la jolie brune avait déclenché une vague de critiques après avoir posé jambes croisées au côté de la reine, certains allant jusqu'à affirmer qu'il s'agissait d'un manque de respect. Mais Meghan Markle est loin d'être la seule puisque, par le passé, Camilla Parker-Bowles, Lady Diana et même Elisabeth II ont déjà été aperçues dans une telle posture. La reine ne devrait donc pas en tenir rigueur à la jeune duchesse de Sussex.
La nouvelle duchesse de Sussex multiplie les représentations officielles avec la famille royale depuis son mariage avec le prince Harry. Toujours élégante et souriante, Meghan Markle semble à l'aise avec le protocole, un peu trop peut-être.
Meghan Markle a une nouvelle fois bravé la très stricte étiquette ! Au lendemain du baptême du prince Louis, la famille royale s'est à nouveau réunie pour célébrer les 100 ans de la Royal Air Force à Londres, ce mardi 10 juillet 2018. Si Kate Middleton a parfaitement respecté le protocole, la nouvelle duchesse de Sussex n'est quant à elle pas encore tout à fait au point.
Après une arrivée remarquée au bras du prince Harry, l'ancienne actrice vêtue d'une élégante robe Dior a pu prendre place au côté de son époux, au sein de la prestigieuse Abbaye de Westminster. Installée juste derrière la reine d'Angleterre et le prince Charles, la jeune femme de 36 ans a malheureusement commis un faux-pas royal en croisant ses jambes durant la cérémonie. Une posture fortement déconseillée par l'étiquette !
Bien qu'aucune règle n'interdise officiellement cette position, les femmes de la famille royale ont plutôt l'habitude de garder les genoux serrés en croisant ou non leurs chevilles, tout en plaçant leurs jambes sur le côté. Au fil des années, Kate Middleton est d'ailleurs devenue une experte de cette posture considérée comme plus élégante.
Ce n'est pas la première fois que l'épouse du prince Harry croise les jambes lors d'un événement officiel. En juin dernier, lors de la cérémonie des Queen's Young Leaders Awards, la jolie brune avait déclenché une vague de critiques après avoir posé jambes croisées au côté de la reine, certains allant jusqu'à affirmer qu'il s'agissait d'un manque de respect. Mais Meghan Markle est loin d'être la seule puisque, par le passé, Camilla Parker-Bowles, Lady Diana et même Elisabeth II ont déjà été aperçues dans une telle posture. La reine ne devrait donc pas en tenir rigueur à la jeune duchesse de Sussex.
Meghan Markle trop bavarde à Dublin ? Son nouvel affront au protocole royal
Difficile de tenir sa langue quand on est une féministe devenue duchesse ! Durant son premier voyage officiel en Irlande, Meghan Markle a maladroitement donné son avis sur l'avortement. Une opinion qu'elle n'est pas censée exprimer en tant qu'épouse du prince Harry.
À peine a-t-elle débuté son premier voyage officiel en Irlande avec son royal époux, que Meghan Markle se retrouve sous le feu des critiques. Tout juste arrivée à Dublin ce 10 juillet 2018, la nouvelle duchesse de Sussex a bravé le protocole en exprimant son avis sur un sujet politique sensible. Une intervention maladroite qui pose la question de la censure imposée à la famille royale.
Durant la soirée donnée par l'ambassade britannique ce mardi, l'ancienne actrice de 36 ans a échangé quelques mots avec la sénatrice Catherine Noone. Dans la foulée, la politicienne a tweeté que lors de leur échange, Meghan Markle a donné son opinion sur l'avortement : "La duchesse et moi avons discuté du récent résultat du référendum. Elle s'y est intéressée et était ravie du résultat", peut-on lire sur une capture d'écran publiée par le Daily Mail.
En voyant les nombreuses critiques provoquées par son tweet, la sénatrice a rapidement supprimé son message en précisant : "La duchesse était intéressée et charmante et n'a en aucune façon évoqué la politique." Pour ce qui est de son précédent message, elle explique : "C'était trompeur, donc je l'ai supprimé."
Par convention, aucun membre de la famille royale n'est autorisé à exprimer une quelconque opinion politique en public. Si son croisement de jambes maladroit reste anecdotique, ce témoignage peut constituer un véritable royal faux-pas, comme ça a récemment été le cas avec son propre père, Thomas Markle.
Féministe autoproclamée et officiellement reconnue par le palais de Buckingham, Meghan Markle est engagée en faveur des droits des femmes depuis son plus jeune âge. Déjà à 11 ans, elle avait réussi à faire changer une publicité pour du détergeant qu'elle jugeait sexiste en écrivant une lettre à la marque. En mai dernier, l'Irlande votait en faveur de la légalisation de l'avortement. La loi pourrait être adoptée avant la fin de l'été.
Difficile de tenir sa langue quand on est une féministe devenue duchesse ! Durant son premier voyage officiel en Irlande, Meghan Markle a maladroitement donné son avis sur l'avortement. Une opinion qu'elle n'est pas censée exprimer en tant qu'épouse du prince Harry.
À peine a-t-elle débuté son premier voyage officiel en Irlande avec son royal époux, que Meghan Markle se retrouve sous le feu des critiques. Tout juste arrivée à Dublin ce 10 juillet 2018, la nouvelle duchesse de Sussex a bravé le protocole en exprimant son avis sur un sujet politique sensible. Une intervention maladroite qui pose la question de la censure imposée à la famille royale.
Durant la soirée donnée par l'ambassade britannique ce mardi, l'ancienne actrice de 36 ans a échangé quelques mots avec la sénatrice Catherine Noone. Dans la foulée, la politicienne a tweeté que lors de leur échange, Meghan Markle a donné son opinion sur l'avortement : "La duchesse et moi avons discuté du récent résultat du référendum. Elle s'y est intéressée et était ravie du résultat", peut-on lire sur une capture d'écran publiée par le Daily Mail.
En voyant les nombreuses critiques provoquées par son tweet, la sénatrice a rapidement supprimé son message en précisant : "La duchesse était intéressée et charmante et n'a en aucune façon évoqué la politique." Pour ce qui est de son précédent message, elle explique : "C'était trompeur, donc je l'ai supprimé."
Par convention, aucun membre de la famille royale n'est autorisé à exprimer une quelconque opinion politique en public. Si son croisement de jambes maladroit reste anecdotique, ce témoignage peut constituer un véritable royal faux-pas, comme ça a récemment été le cas avec son propre père, Thomas Markle.
Féministe autoproclamée et officiellement reconnue par le palais de Buckingham, Meghan Markle est engagée en faveur des droits des femmes depuis son plus jeune âge. Déjà à 11 ans, elle avait réussi à faire changer une publicité pour du détergeant qu'elle jugeait sexiste en écrivant une lettre à la marque. En mai dernier, l'Irlande votait en faveur de la légalisation de l'avortement. La loi pourrait être adoptée avant la fin de l'été.