Les Internationaux d'Australie ont été perturbés par des conflits ethniques pour la deuxième fois en trois ans, vendredi.
L'inspecteur de police Chris Duthie a dit qu'environ 30 personnes, des jeunes d'origines bosniaques et serbes, ont été expulsés de Melbourne Park après une altercation où des chaises ont été lancées. Deux hommes ont été accusés de comportement incitant à l'émeute, et un troisième a immédiatement reçu une amende.
Les deux groupes de jeunes - plusieurs arborant leur drapeau national - étaient au préalable assis tranquillement à environ 10 mètres l'un de l'autre dans une cour extérieure, à regarder le champion en titre serbe Novak Djokovic jouer contre l'Américain d'origine bosniaque Amer Delic .
La ferveur a augmenté en intensité lors du bris d'égalité, vers la fin du match remporté 6-2, 4-6, 6-3 et 7-6 (4) par Djokovic.
Très rapidement, des bouteilles d'eau ont été projetées des deux côtés, suivies rapidement par des chaises en plastique.
Les autres spectateurs ont rapidement quitté les lieux de la bruyante et intense altercation. Les responsables de la sécurité et la police sont arrivés quelques minutes plus tard.
Une femme bosniaque a été atteinte à la tête par une chaise, avant d'être aidée par un groupe d'amis et de quitter la scène. La police de l'état de Victoria a dit que la femme s'en est tirée avec des blessures mineures, et qu'elle ne souhaitait pas déposer d'accusations.
Malgré des tensions persistantes entre Serbes, Bosniaques et Croates lors d'événements sportifs, Duthie a dit qu'il n'y aurait pas de restrictions sur qui peut entrer dans le parc.
Ceux soupçonnés d'avoir pris part à l'altercation ont été questionnés dans des endroits différents par la police. L'incident a laissé une douzaine de chaises brisées, des bouteilles de plastique et des contenants vides de nourriture sur le gazon.
Les organisateurs des Internationaux n'ont pas émis de commentaire dans l'immédiat.
L'incident de vendredi survient deux ans après des conflits similaires entre supporters serbes et croates à ce tournoi. Plus de 150 personnes avaient alors été expulsés dans une même journée.
Il y a une population importante d'immigrants venus des Balkans en Australie, et les événements sportifs donnent parfois lieu à divers incidents ethniques.
Tennis
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Rey Cheevas
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
Roger Federer a rencontré ses premières embûches, mais son parcours se poursuit aux Internationaux d’Australie.
Federer a concédé deux manches à Tomas Berdych avant d’orchestrer une remontée qui lui a permis de passer en quarts de finale, l’emportant en cinq sets de 4-6, 6-7, 6-4, 6-4, 6-2, samedi.
Le Suisse, deuxième tête de série, s’est servi d’une première balle puissante (20 as) pour se sortir du pétrin alors que Berdych, incommodé par une blessure à une jambe, tentait d’en finir à la quatrième manche.
Le Tchèque, 20e favori, pourra au moins se vanter d’avoir été le premier à inquiéter la deuxième raquette mondiale lors du premier tournoi du Grand Chelem de la saison. Federer n’avait pas perdu une manche dans ses trois premières victoires contre Andreas Seppi, Evgeny Korolev et Marat Safin.
Federer se frottera maintenant au huitième favori, l’Argentin Juan Martin Del Potro.
Alors que Federer suait à grosses gouttes, Andy Roddick se débarrassait avec passablement de facilité de l’Espagnol Tommy Robredo, semé 21e. L’Américain l’a emporté en trois manches de 7-5, 6-1 et 6-3.
Roddick attend maintenant de connaître l’identité de son adversaire. Il s’agira du vainqueur du match entre Marcos Baghdatis et Novak Djokovic.
Federer a concédé deux manches à Tomas Berdych avant d’orchestrer une remontée qui lui a permis de passer en quarts de finale, l’emportant en cinq sets de 4-6, 6-7, 6-4, 6-4, 6-2, samedi.
Le Suisse, deuxième tête de série, s’est servi d’une première balle puissante (20 as) pour se sortir du pétrin alors que Berdych, incommodé par une blessure à une jambe, tentait d’en finir à la quatrième manche.
Le Tchèque, 20e favori, pourra au moins se vanter d’avoir été le premier à inquiéter la deuxième raquette mondiale lors du premier tournoi du Grand Chelem de la saison. Federer n’avait pas perdu une manche dans ses trois premières victoires contre Andreas Seppi, Evgeny Korolev et Marat Safin.
Federer se frottera maintenant au huitième favori, l’Argentin Juan Martin Del Potro.
Alors que Federer suait à grosses gouttes, Andy Roddick se débarrassait avec passablement de facilité de l’Espagnol Tommy Robredo, semé 21e. L’Américain l’a emporté en trois manches de 7-5, 6-1 et 6-3.
Roddick attend maintenant de connaître l’identité de son adversaire. Il s’agira du vainqueur du match entre Marcos Baghdatis et Novak Djokovic.
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Re: Tennis
Aleksandra Wozniak et Daniel Nestor ont remporté, lundi, leur match de deuxième ronde en double mixte aux Internationaux de tennis d’Australie à Melbourne.
La Blainvilloise et le Torontois ont pour ce faire vaincu la Chinoise Zi Yan et le Bahamien Mark Knowles, deuxièmes têtes de série, en deux manches de 7-6 (8) et 6-4.
«C'est vraiment plaisant de jouer avec Daniel. Il est calme sur le terrain, un peu comme moi, a affirmé Wozniak après leur victoire. Il a des mains magiques au filet. Il connaît beaucoup le jeu en double et m'encourage à continuer de jouer offensivement.»
«Je crois que Yan et Knowles ont déjà été demi-finalistes d’un tournoi du Grand Chelem. C'est donc une très belle victoire. Nous sommes maintenant en quart de finale», a précisé la Québécoise.
Les Indiens Sania Mirza et Mahesh Bhupathi seront les prochains adversaires de Wozniak et Nestor.
Chez les juniors, la Montréalaise Eugénie Bouchard a gagné au premier tour du double en compagnie de l’Indienne Kyra Shroff. Dimanche, elle l’avait aussi emporté à son duel initial en simple.
Une journée plutôt chargée l’attend mardi alors qu’elle devra disputer ses rencontres de deuxième ronde tant en simple qu’en double.
Par ailleurs, dans un tournoi de l’International Tennis Federation présenté à Laguna Nigel, en Californie, la Repentignoise Marie-Ève Pelletier a été éliminée dimanche.
Au premier tour, la Géorgienne Oksana Kalashnikova a battu Pelletier, pourtant favorite des qualifications, en deux manches de 6-4 et 6-1
La Blainvilloise et le Torontois ont pour ce faire vaincu la Chinoise Zi Yan et le Bahamien Mark Knowles, deuxièmes têtes de série, en deux manches de 7-6 (8) et 6-4.
«C'est vraiment plaisant de jouer avec Daniel. Il est calme sur le terrain, un peu comme moi, a affirmé Wozniak après leur victoire. Il a des mains magiques au filet. Il connaît beaucoup le jeu en double et m'encourage à continuer de jouer offensivement.»
«Je crois que Yan et Knowles ont déjà été demi-finalistes d’un tournoi du Grand Chelem. C'est donc une très belle victoire. Nous sommes maintenant en quart de finale», a précisé la Québécoise.
Les Indiens Sania Mirza et Mahesh Bhupathi seront les prochains adversaires de Wozniak et Nestor.
Chez les juniors, la Montréalaise Eugénie Bouchard a gagné au premier tour du double en compagnie de l’Indienne Kyra Shroff. Dimanche, elle l’avait aussi emporté à son duel initial en simple.
Une journée plutôt chargée l’attend mardi alors qu’elle devra disputer ses rencontres de deuxième ronde tant en simple qu’en double.
Par ailleurs, dans un tournoi de l’International Tennis Federation présenté à Laguna Nigel, en Californie, la Repentignoise Marie-Ève Pelletier a été éliminée dimanche.
Au premier tour, la Géorgienne Oksana Kalashnikova a battu Pelletier, pourtant favorite des qualifications, en deux manches de 6-4 et 6-1
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Re: Tennis
Jo-Wilfried Tsonga face à Fernando Verdasco et Gilles Simon contre Rafael Nadal: les quarts de finale à l'Omnium d'Australie auront une forte connotation espagnole pour les deux Français mercredi à Melbourne.
Ce n'est pas encore la Coupe Davis mais ça y ressemble. Un mois avant le premier tour face à la République tchèque, Tsonga et Simon auront l'occasion de se rôder face au pays qui a remporté le trophée en décembre.
Cette victoire acquise sans Nadal a transformé Verdasco qui a ôté l'ambitieux Andy Murray de la route de Tsonga. Pas certain cependant que le Manceau y gagne au change, même s'il s'est lui-même montré impressionnant de puissance et de sérénité face à James Blake (6-4, 6-4, 7-6) lundi.
Simon aura une tâche encore plus compliquée face au numéro un mondial qui n'a lâché que sept jeux en moyenne à ses quatre premiers adversaires. Mais le Français peut se targuer d'avoir déjà battu Nadal dans son antre madrilène en octobre et assure aborder le rendez-vous sans complexe.
Il l'attaquera également avec toute son énergie puisqu'il a profité sans joie lundi de l'abandon de son copain Gaël Monfils dans un duel franco-français commencé dans la bonne humeur mais terminé dans la douleur.
Monfils abandonne
Simon venait de virer en tête 6-4, 2-6, 6-1 lorsque Monfils a arrêté les frais après deux points dans la quatrième manche. "J'ai eu mal au poignet droit, a expliqué le 13e mondial. C'est un peu comme une entorse. Il n'y avait vraiment rien à faire. C'est hyper frustrant."
"Ce n'est jamais drôle de gagner comme ça, et surtout pas face à un copain, a réagi Simon. Pour moi on reste à 0-0 dans nos confrontations."
Si le niveau de jeu avait auparavant été moyen comme prévisible, la partie avait commencé sur une note nettement plus guillerette lorsque les deux joueurs, hilares, ont entamé une petite partie de mini-tennis à 5-4 au premier set. Ils attendaient la fin du vacarme causé par les traditionnels 21 coups de canons pour célébrer l'Australia Day, la fête nationale.
Une dizaine d'heures plus tard, Tsonga a également fait connaissance avec les festivités locales lorsqu'un feu d'artifice, cette fois, est venu interrompre son troisième set face à Blake. "Cela m'a un stressé", a avoué le Manceau qui a perdu son service peu après.
"Une petite bière ensemble"
Cela aura été sa seule alerte du match puisque, "une fois dos au mur" (3-5), il s'est dit: "Maintenant on va la prendre cool" et Blake n'avait plus qu'à lui serrer la main.
"Je gagne en patron, a noté Tsonga. J'ai été très solide. Je n'ai peut-être pas beaucoup progressé dans mes coups mais dans ma tête oui. J'aborde beaucoup mieux les points importants et c'est ça qui fait ma force aujourd'hui."
Avec Tsonga et Simon, c'est la troisième fois de l'ère Omnium que deux Français arrivent ensemble à ce stade de la compétition à Melbourne après 2001 (Clément, Grosjean) et 2006 (Santoro, Grosjean).
Y retrouver, comme au Masters de Shanghaï, les deux meilleurs Français est tout sauf un hasard. "On ne se fait pas une montagne de ce qui est le haut niveau, des joueurs qu'on rencontre, explique Tsonga. On ne se contente pas de ce qu'on a. Faire quart, demie, voire finale m'importe peu. C'est le titre que je veux."
Ils confirment aussi à Melbourne leur statut de Top 10, notamment Simon, dont c'est le premier quart de finale en Grand Chelem et qui fait taire ainsi certaines critiques quant à sa légitimité.
"C'est très bien, a conclu Tsonga, maintenant on va essayer tous les deux d'aller chercher cette victoire. Et quand tout sera terminé, on ira boire une petite bière ensemble." Tranquille.
Rafa ne donne pas de répit à Gonzalez
Un Fernando Gonzalez essoufflé n'a eu aucune chance de se faire justice contre un Rafael Nadal en pleine forme, lundi aux Internationaux d'Australie.
Nadal a pulvérisé Gonzalez, la 13e tête des série du tournoi, en trois manches rapides de 6-3, 6-2 et 6-4 pour obtenir son billet pour les quarts de finale, où il affrontera le Français Gilles Simon.
Gonzalez avait disputé deux marathons de cinq manches avant son duel contre le meilleur joueur au monde. À part lorsqu'un regain d'énergie lui a permis de remporter les trois premiers jeux de la troisième manche, son réservoir semblait complètement à sec.
Nadal n'a toujours pas perdu une manche depuis son arrivée à Melbourne.
Murray surpris par Verdasco
Andy Murray, l'un des principaux favoris pour le titre, a été éliminé dès les huitièmes de finale de l'Omnium d'Australie par Fernando Verdasco en cinq sets 2-6, 6-1, 1-6, 6-3, 6-4.
C'est un petit événement puisque l'Écossais était considéré comme le grand épouvantail du tournoi masculin. Meilleur joueur de ses six derniers mois, Murray, quatrième mondial, restait par exemple sur trois victoires face à Roger Federer et une victoire impressionnante à Doha contre Andy Roddick.
Sa défaite n'est cependant qu'une mini-surprise puisque son adversaire, Fernando Verdasco, 15e mondial, était attendu au tournant après avoir écrasé tous ses adversaires jusque-là à Melbourne.
Le gaucher espagnol, 25 ans, n'avait lâché que douze jeux à ses trois premiers adversaires. Personne n'avait jamais fait mieux à l'Omnium d'Australie depuis le début de l'ère Omnium en 1968.
Transformé depuis sa participation active à la victoire espagnole en Coupe Davis début décembre, il accède pour la première fois aux quarts de finale d'un tournoi du Grand Chelem.
Murray, qui avait pourtant remporté leurs cinq précédents duels, devra attendre encore un peu avant, éventuellement, de succéder à Fred Perry, dernier Britannique à avoir remporté un tournoi du Grand Chelem, en 1936.
Jamais un Britannique n'avait semblé autant en mesure de mettre fin à cette longue traversée du désert. Finaliste à l'Omnium des États-Unis en septembre, Murray avait déclenché un "buzz" énorme en arrivant à Melbourne.
Affûté et doté de plusieurs kilos de muscles supplémentaires après une longue période de préparation sous le soleil de Miami, il n'avait pas caché ses ambitions, revendiquant ouvertement le statut de favori.
Deux de ses principaux rivaux, Roger Federer et Novak Djokovic, s'en sont émus en soulignant que, contrairement à eux, l'Ecossais avait encore à prouver qu'il était capable d'aller jusqu'au bout dans un Grand Chelem.
Dimanche encore, Federer a déclaré que Murray était jeune et manquait d'expérience dans les matches au couteau. "Un cinquième set face à moi, c'est quand il veut!", avait souligné le Suisse.
Vingt-quatre heures plus tard, c'est Verdasco qui lui a donné raison.
Ce n'est pas encore la Coupe Davis mais ça y ressemble. Un mois avant le premier tour face à la République tchèque, Tsonga et Simon auront l'occasion de se rôder face au pays qui a remporté le trophée en décembre.
Cette victoire acquise sans Nadal a transformé Verdasco qui a ôté l'ambitieux Andy Murray de la route de Tsonga. Pas certain cependant que le Manceau y gagne au change, même s'il s'est lui-même montré impressionnant de puissance et de sérénité face à James Blake (6-4, 6-4, 7-6) lundi.
Simon aura une tâche encore plus compliquée face au numéro un mondial qui n'a lâché que sept jeux en moyenne à ses quatre premiers adversaires. Mais le Français peut se targuer d'avoir déjà battu Nadal dans son antre madrilène en octobre et assure aborder le rendez-vous sans complexe.
Il l'attaquera également avec toute son énergie puisqu'il a profité sans joie lundi de l'abandon de son copain Gaël Monfils dans un duel franco-français commencé dans la bonne humeur mais terminé dans la douleur.
Monfils abandonne
Simon venait de virer en tête 6-4, 2-6, 6-1 lorsque Monfils a arrêté les frais après deux points dans la quatrième manche. "J'ai eu mal au poignet droit, a expliqué le 13e mondial. C'est un peu comme une entorse. Il n'y avait vraiment rien à faire. C'est hyper frustrant."
"Ce n'est jamais drôle de gagner comme ça, et surtout pas face à un copain, a réagi Simon. Pour moi on reste à 0-0 dans nos confrontations."
Si le niveau de jeu avait auparavant été moyen comme prévisible, la partie avait commencé sur une note nettement plus guillerette lorsque les deux joueurs, hilares, ont entamé une petite partie de mini-tennis à 5-4 au premier set. Ils attendaient la fin du vacarme causé par les traditionnels 21 coups de canons pour célébrer l'Australia Day, la fête nationale.
Une dizaine d'heures plus tard, Tsonga a également fait connaissance avec les festivités locales lorsqu'un feu d'artifice, cette fois, est venu interrompre son troisième set face à Blake. "Cela m'a un stressé", a avoué le Manceau qui a perdu son service peu après.
"Une petite bière ensemble"
Cela aura été sa seule alerte du match puisque, "une fois dos au mur" (3-5), il s'est dit: "Maintenant on va la prendre cool" et Blake n'avait plus qu'à lui serrer la main.
"Je gagne en patron, a noté Tsonga. J'ai été très solide. Je n'ai peut-être pas beaucoup progressé dans mes coups mais dans ma tête oui. J'aborde beaucoup mieux les points importants et c'est ça qui fait ma force aujourd'hui."
Avec Tsonga et Simon, c'est la troisième fois de l'ère Omnium que deux Français arrivent ensemble à ce stade de la compétition à Melbourne après 2001 (Clément, Grosjean) et 2006 (Santoro, Grosjean).
Y retrouver, comme au Masters de Shanghaï, les deux meilleurs Français est tout sauf un hasard. "On ne se fait pas une montagne de ce qui est le haut niveau, des joueurs qu'on rencontre, explique Tsonga. On ne se contente pas de ce qu'on a. Faire quart, demie, voire finale m'importe peu. C'est le titre que je veux."
Ils confirment aussi à Melbourne leur statut de Top 10, notamment Simon, dont c'est le premier quart de finale en Grand Chelem et qui fait taire ainsi certaines critiques quant à sa légitimité.
"C'est très bien, a conclu Tsonga, maintenant on va essayer tous les deux d'aller chercher cette victoire. Et quand tout sera terminé, on ira boire une petite bière ensemble." Tranquille.
Rafa ne donne pas de répit à Gonzalez
Un Fernando Gonzalez essoufflé n'a eu aucune chance de se faire justice contre un Rafael Nadal en pleine forme, lundi aux Internationaux d'Australie.
Nadal a pulvérisé Gonzalez, la 13e tête des série du tournoi, en trois manches rapides de 6-3, 6-2 et 6-4 pour obtenir son billet pour les quarts de finale, où il affrontera le Français Gilles Simon.
Gonzalez avait disputé deux marathons de cinq manches avant son duel contre le meilleur joueur au monde. À part lorsqu'un regain d'énergie lui a permis de remporter les trois premiers jeux de la troisième manche, son réservoir semblait complètement à sec.
Nadal n'a toujours pas perdu une manche depuis son arrivée à Melbourne.
Murray surpris par Verdasco
Andy Murray, l'un des principaux favoris pour le titre, a été éliminé dès les huitièmes de finale de l'Omnium d'Australie par Fernando Verdasco en cinq sets 2-6, 6-1, 1-6, 6-3, 6-4.
C'est un petit événement puisque l'Écossais était considéré comme le grand épouvantail du tournoi masculin. Meilleur joueur de ses six derniers mois, Murray, quatrième mondial, restait par exemple sur trois victoires face à Roger Federer et une victoire impressionnante à Doha contre Andy Roddick.
Sa défaite n'est cependant qu'une mini-surprise puisque son adversaire, Fernando Verdasco, 15e mondial, était attendu au tournant après avoir écrasé tous ses adversaires jusque-là à Melbourne.
Le gaucher espagnol, 25 ans, n'avait lâché que douze jeux à ses trois premiers adversaires. Personne n'avait jamais fait mieux à l'Omnium d'Australie depuis le début de l'ère Omnium en 1968.
Transformé depuis sa participation active à la victoire espagnole en Coupe Davis début décembre, il accède pour la première fois aux quarts de finale d'un tournoi du Grand Chelem.
Murray, qui avait pourtant remporté leurs cinq précédents duels, devra attendre encore un peu avant, éventuellement, de succéder à Fred Perry, dernier Britannique à avoir remporté un tournoi du Grand Chelem, en 1936.
Jamais un Britannique n'avait semblé autant en mesure de mettre fin à cette longue traversée du désert. Finaliste à l'Omnium des États-Unis en septembre, Murray avait déclenché un "buzz" énorme en arrivant à Melbourne.
Affûté et doté de plusieurs kilos de muscles supplémentaires après une longue période de préparation sous le soleil de Miami, il n'avait pas caché ses ambitions, revendiquant ouvertement le statut de favori.
Deux de ses principaux rivaux, Roger Federer et Novak Djokovic, s'en sont émus en soulignant que, contrairement à eux, l'Ecossais avait encore à prouver qu'il était capable d'aller jusqu'au bout dans un Grand Chelem.
Dimanche encore, Federer a déclaré que Murray était jeune et manquait d'expérience dans les matches au couteau. "Un cinquième set face à moi, c'est quand il veut!", avait souligné le Suisse.
Vingt-quatre heures plus tard, c'est Verdasco qui lui a donné raison.
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Re: Tennis
Le tenant du titre Novak Djokovic a été éliminé en quarts de finale des Internationaux d'Australie par l'Américain Andy Roddick (no 7), vainqueur par abandon du Serbe en quatrième manche mardi à Melbourne.
Le no 3 mondial a abandonné alors que Roddick venait de faire le bris au début de la quatrième manche (6-7 (3), 6-4, 6-2, 2-1). Pâle et à bout de souffle, il semblait exténué lorsqu'il a fait appel au soigneur au milieu de la troisième manche.
Le Serbe avait dû batailler dur pendant ses premiers tours et les températures extrêmes mardi à Melbourne, aux alentours des 40 degrés, n'ont pas arrangé ses affaires.
"C'est cruel pour lui de ne pas pouvoir défendre son titre jusqu'au bout", a compati Roddick qui n'avait perdu qu'une manche pour arriver en quarts de finale et est apparu très affûté physiquement.
"J'ai travaillé très dur à l'intersaison et ça me sert lorsqu'il fait aussi chaud qu'aujourd'hui", a commenté l'Américain qui a perdu une demi-douzaine de kilos depuis la saison dernière.
Après avoir perdu de justesse la première manche, il a également fait forte impression au niveau de son jeu pour pousser Djokovic à ses limites. Roddick n'avait pas fait beaucoup de bruit jusque-là - "je le mérite pas", disait-il - mais a bouclé toutes ses rencontres sans souci.
Quatrième demi-finale pour Roddick
Cela n'a pas été le cas de Djokovic qui avait failli être poussé dans une cinquième manche par Amer Delic vendredi et qui avait fini à 2h27 du matin après quatre manches acharnées contre Marcos Baghdatis dimanche.
C'est la quatrième fois que Roddick atteint les demi-finales à Melbourne. Il y rencontrera le Suisse Roger Federer ou l'Argentin Juan Martin Del Potro.
Roddick a l'habitude de se hisser dans le dernier carré tous les deux ans (2003, 2005, 2007, 2009) aux Internationaux d'Australie. Mais le vainqueur des Internationaux des États-Unis 2003 n'a encore jamais réussi à aller plus loin.
Il avait même reçu une véritable correction de la part de Federer lors de sa dernière demi-finale australienne en 2007. "Contrairement à ce qu'on peut croire, j'adore toujours autant jouer contre Roger", a assuré Roddick qui pourrait donc retrouver le Suisse en demi-finale.
L'élimination de Djokovic est le deuxième gros coup de tonnerre dans le tableau masculin après celle d'Andy Murray en huitièmes de finale lundi.
Les deux hommes étaient considérés comme les favoris du tournoi aux côtés no 1 mondial Rafael Nadal et de son dauphin Roger Federer.
Djokovic, qui a changé de raquette cet hiver, avait cependant raté son début de saison en étant éliminé d'entrée à Brisbane et en demi-finale à Sydney.
C'est la première fois depuis six Grands Chelems qu'il n'atteint pas au moins les demi-finales. Il avait notamment battu Roddick en quarts de finale des derniers Internationaux des États-Unis.
Le no 3 mondial a abandonné alors que Roddick venait de faire le bris au début de la quatrième manche (6-7 (3), 6-4, 6-2, 2-1). Pâle et à bout de souffle, il semblait exténué lorsqu'il a fait appel au soigneur au milieu de la troisième manche.
Le Serbe avait dû batailler dur pendant ses premiers tours et les températures extrêmes mardi à Melbourne, aux alentours des 40 degrés, n'ont pas arrangé ses affaires.
"C'est cruel pour lui de ne pas pouvoir défendre son titre jusqu'au bout", a compati Roddick qui n'avait perdu qu'une manche pour arriver en quarts de finale et est apparu très affûté physiquement.
"J'ai travaillé très dur à l'intersaison et ça me sert lorsqu'il fait aussi chaud qu'aujourd'hui", a commenté l'Américain qui a perdu une demi-douzaine de kilos depuis la saison dernière.
Après avoir perdu de justesse la première manche, il a également fait forte impression au niveau de son jeu pour pousser Djokovic à ses limites. Roddick n'avait pas fait beaucoup de bruit jusque-là - "je le mérite pas", disait-il - mais a bouclé toutes ses rencontres sans souci.
Quatrième demi-finale pour Roddick
Cela n'a pas été le cas de Djokovic qui avait failli être poussé dans une cinquième manche par Amer Delic vendredi et qui avait fini à 2h27 du matin après quatre manches acharnées contre Marcos Baghdatis dimanche.
C'est la quatrième fois que Roddick atteint les demi-finales à Melbourne. Il y rencontrera le Suisse Roger Federer ou l'Argentin Juan Martin Del Potro.
Roddick a l'habitude de se hisser dans le dernier carré tous les deux ans (2003, 2005, 2007, 2009) aux Internationaux d'Australie. Mais le vainqueur des Internationaux des États-Unis 2003 n'a encore jamais réussi à aller plus loin.
Il avait même reçu une véritable correction de la part de Federer lors de sa dernière demi-finale australienne en 2007. "Contrairement à ce qu'on peut croire, j'adore toujours autant jouer contre Roger", a assuré Roddick qui pourrait donc retrouver le Suisse en demi-finale.
L'élimination de Djokovic est le deuxième gros coup de tonnerre dans le tableau masculin après celle d'Andy Murray en huitièmes de finale lundi.
Les deux hommes étaient considérés comme les favoris du tournoi aux côtés no 1 mondial Rafael Nadal et de son dauphin Roger Federer.
Djokovic, qui a changé de raquette cet hiver, avait cependant raté son début de saison en étant éliminé d'entrée à Brisbane et en demi-finale à Sydney.
C'est la première fois depuis six Grands Chelems qu'il n'atteint pas au moins les demi-finales. Il avait notamment battu Roddick en quarts de finale des derniers Internationaux des États-Unis.
Re: Tennis
Je comprend pas qu'il n'est arrêté le match,un moment donné il fesait 60 degrés..
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
Roger Federer attend Rafael Nadal ou Fernando Verdasco en finale des Internationaux d'Australie après sa victoire 6-2, 7-5, 7-5 sur l'Américain Andy Roddick en demi-finales, jeudi à Melbourne.
Le Suisse disputera dimanche sa 18e finale du Grand Chelem pour tenter d'égaler le record de quatorze victoires dans un majeur de Pete Sampras. Il ne connaîtra son adversaire que vendredi à l'issue de l'autre demi-finale 100% espagnole entre son grand rival Nadal et Verdasco.
En attendant, Federer, no 2 mondial, a déjà égalé le nombre de finales disputées par Sampras et n'est plus qu'à une longueur du record. "Je ne me rappelais pas de ce record, c'est Ivan Lendl qui l'a, pas vrai? C'est sympa de s'en approcher", a-t-il réagi.
Vainqueur à Melbourne en 2004, 2006 et 2007, le Suisse a mis fin au beau parcours de Roddick, 9e mondial, qui n'est plus loin de son meilleur niveau après une saison 2008 décevante.
Federer pouvait être confiant face à l'Américain qu'il a battu 15 fois sur 17. Mais il avait perdu leur dernière rencontre à Miami, au printemps 2008.
"La dernière fois, j'avais perdu contre lui, donc j'avais un peu la pression, a déclaré le Suisse. En plus Andy a joué un grand tennis contre Novak (Djokovic). Mais j'ai fait un très bon match, j'ai commencé à bien servir, ça m'a donné confiance pour la suite."
S'il n'a pas atteint le même degré de perfection que lors de son quart de finale face à l'Argentin Juan Martin Del Potro (6-3, 6-0, 6-0), Federer a effectivement fait une nouvelle fois forte impression.
Un coup droit ressuscité
Après un premier set presque parfait jeudi, il a tué une grande partie des espoirs de Roddick au deuxième. Mené 5-4, 0-15 sur son service, le Suisse a alors aligné douze points de suite pour mener deux manches à zéro.
Cruel pour l'Américain qui avait réussi un excellent set jusque-là mais dont la première baisse de tension a été tout de suite exploitée par le no 2 mondial.
Ce qui a frappé a été la qualité du coup droit de Federer. Souvent enrayé en 2008 avec des bourdes parfois monumentales, il semble avoir retrouvé tout son tranchant. Une arme essentielle dans l'arsenal du Suisse et qui lui a apporté 23 points gagnants jeudi.
Federer a également très bien servi. Il a rivalisé dans cet exercice avec Roddick avec, contrairement aux missiles à 220 km/h de l'Américain, des mises en jeu subtiles, très travaillées, lui permettant de dominer nettement son adversaire au nombre d'aces (16 à 8) dont un à 173 hm/h.
Au troisième set, Federer a une nouvelle fois trouvé la clé lors d'une fin de match passionnante. A 5-5, il a frappé deux coups droits gagnants pour mettre sous pression Roddick et finir par le faire craquer avec un passing de coup droit sur sa troisième balle de bris.
Depuis qu'il a remonté un déficit de deux sets à zéro face au Tchèque Tomas Berdych en huitièmes, le Suisse vole et sera visiblement difficile à battre en finale. Si Nadal le rejoint, ce serait leur septième finale en Grand Chelem, la première ailleurs qu'à Wimbledon ou Roland-Garros.
Le Suisse disputera dimanche sa 18e finale du Grand Chelem pour tenter d'égaler le record de quatorze victoires dans un majeur de Pete Sampras. Il ne connaîtra son adversaire que vendredi à l'issue de l'autre demi-finale 100% espagnole entre son grand rival Nadal et Verdasco.
En attendant, Federer, no 2 mondial, a déjà égalé le nombre de finales disputées par Sampras et n'est plus qu'à une longueur du record. "Je ne me rappelais pas de ce record, c'est Ivan Lendl qui l'a, pas vrai? C'est sympa de s'en approcher", a-t-il réagi.
Vainqueur à Melbourne en 2004, 2006 et 2007, le Suisse a mis fin au beau parcours de Roddick, 9e mondial, qui n'est plus loin de son meilleur niveau après une saison 2008 décevante.
Federer pouvait être confiant face à l'Américain qu'il a battu 15 fois sur 17. Mais il avait perdu leur dernière rencontre à Miami, au printemps 2008.
"La dernière fois, j'avais perdu contre lui, donc j'avais un peu la pression, a déclaré le Suisse. En plus Andy a joué un grand tennis contre Novak (Djokovic). Mais j'ai fait un très bon match, j'ai commencé à bien servir, ça m'a donné confiance pour la suite."
S'il n'a pas atteint le même degré de perfection que lors de son quart de finale face à l'Argentin Juan Martin Del Potro (6-3, 6-0, 6-0), Federer a effectivement fait une nouvelle fois forte impression.
Un coup droit ressuscité
Après un premier set presque parfait jeudi, il a tué une grande partie des espoirs de Roddick au deuxième. Mené 5-4, 0-15 sur son service, le Suisse a alors aligné douze points de suite pour mener deux manches à zéro.
Cruel pour l'Américain qui avait réussi un excellent set jusque-là mais dont la première baisse de tension a été tout de suite exploitée par le no 2 mondial.
Ce qui a frappé a été la qualité du coup droit de Federer. Souvent enrayé en 2008 avec des bourdes parfois monumentales, il semble avoir retrouvé tout son tranchant. Une arme essentielle dans l'arsenal du Suisse et qui lui a apporté 23 points gagnants jeudi.
Federer a également très bien servi. Il a rivalisé dans cet exercice avec Roddick avec, contrairement aux missiles à 220 km/h de l'Américain, des mises en jeu subtiles, très travaillées, lui permettant de dominer nettement son adversaire au nombre d'aces (16 à 8) dont un à 173 hm/h.
Au troisième set, Federer a une nouvelle fois trouvé la clé lors d'une fin de match passionnante. A 5-5, il a frappé deux coups droits gagnants pour mettre sous pression Roddick et finir par le faire craquer avec un passing de coup droit sur sa troisième balle de bris.
Depuis qu'il a remonté un déficit de deux sets à zéro face au Tchèque Tomas Berdych en huitièmes, le Suisse vole et sera visiblement difficile à battre en finale. Si Nadal le rejoint, ce serait leur septième finale en Grand Chelem, la première ailleurs qu'à Wimbledon ou Roland-Garros.
Re: Tennis
Il est 9h12. 
Je viens de regarder le match Nadal vs Verdasco. Il a débuté vers 3h50 cette nuit. Donc un match de 5h14 où il était difficile de prévoir qui allait gagner. Nadal a trouvé chaussure à son pied face à un autre Espagnol.
Compte final: 6-7(4-7), 6-4, 7-6(7-2), 6-7(1-7), 6-4
Ça faisait longtemps que j'avais été autant captivée par un match où il n'y avait pas Roger Federer mais ce match a été incroyable. On a eu droit à des échanges de toute beauté, des coups incroyables avec très peu de bris de service.
Le match sera en reprise sur TSN à 14h30 cet après-midi. Même si vous connaissez déjà le score, si vous avez la chance de le regarder, ne ratez pas ça vous ne le regretterez pas.
Je suis fatiguée en bibitte et ma fille vient de m'amener ses 4 enfants pour la journée. Oufffffffffff !!!
La finale Federer/Nadal devrait être intéressante. Federer est revenu en très grande forme. Et Nadal, eh bien, il a 24 heures pour se remettre du match de cette nuit.
Je viens de regarder le match Nadal vs Verdasco. Il a débuté vers 3h50 cette nuit. Donc un match de 5h14 où il était difficile de prévoir qui allait gagner. Nadal a trouvé chaussure à son pied face à un autre Espagnol.Compte final: 6-7(4-7), 6-4, 7-6(7-2), 6-7(1-7), 6-4
Ça faisait longtemps que j'avais été autant captivée par un match où il n'y avait pas Roger Federer mais ce match a été incroyable. On a eu droit à des échanges de toute beauté, des coups incroyables avec très peu de bris de service.
Le match sera en reprise sur TSN à 14h30 cet après-midi. Même si vous connaissez déjà le score, si vous avez la chance de le regarder, ne ratez pas ça vous ne le regretterez pas.
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La finale Federer/Nadal devrait être intéressante. Federer est revenu en très grande forme. Et Nadal, eh bien, il a 24 heures pour se remettre du match de cette nuit.
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
Salut Nicki 
Rafael Nadal, tête de série no 1, a rejoint le Suisse Roger Federer (no 2) en finale des Internationaux d'Australie en battant son compatriote Fernando Verdasco (no 14) en cinq manches épiques de 6-7 (4/7), 6-4, 7-6 (7/2), 6-7 (1/7) et 6-4, vendredi à Melbourne.
C'est la première fois que le Majorquin de 22 ans atteint la finale dans un autre tournoi du Grand Chelem que Roland-Garros et Wimbledon. Il y parvient au terme d'un match d'une intensité phénoménale face à la révélation de la quinzaine.
Les deux hommes ont bataillé pendant 5 heures et 14 minutes, le match le plus long de toute l'histoire du tournoi. Mais le match n'a pas seulement duré, il a aussi été d'une qualité extraordinaire de bout en bout.
Verdasco a notamment frappé 95 coups gagnants!
Il s'est joué sur des détails minuscules, peut-être un supplément de fraîcheur physique et d'expérience du côté de Nadal. Verdasco avait déjà joué des matches difficiles lors des tours précédents et ne disputait que sa première demi-finale du Grand Chelem.
Après avoir montré un courage énorme pendant tout le match, défendant 16 de ses 19 premières balles de bris et sauvant deux balles de match, il a craqué sur la troisième, en commettant une double-faute.
Anéanti, il s'est effondré, tout comme Nadal, par terre, avant que les deux Espagnols ne s'enlacent longuement et que Verdasco ne quitte le court sous une énorme ovation.
Nadal et Federer s'affronteront dimanche pour la 19e fois. Ce sera leur septième finale de Grand Chelem. Le no 1 mondial a remporté quatre des six premières, dont la dernière à Wimbledon en 2008.
L'enjeu de la finale sera colossal puisque Federer tentera d'égaler le record de quatorze titres du Grand Chelem de Pete Sampras. Nadal peut devenir le premier Espagnol, hommes et femmes confondus, à remporter les Internationaux d'Australie.
En cas de victoire, il renforcerait surtout encore un peu plus son ascendant psychologique et comptable sur Federer sur un terrain a priori favorable au Suisse.
Federer, no 2 mondial, avait assuré sa qualification pour la finale dès jeudi en dominant l'Américain Andy Roddick en trois sets.
Rafael Nadal, tête de série no 1, a rejoint le Suisse Roger Federer (no 2) en finale des Internationaux d'Australie en battant son compatriote Fernando Verdasco (no 14) en cinq manches épiques de 6-7 (4/7), 6-4, 7-6 (7/2), 6-7 (1/7) et 6-4, vendredi à Melbourne.
C'est la première fois que le Majorquin de 22 ans atteint la finale dans un autre tournoi du Grand Chelem que Roland-Garros et Wimbledon. Il y parvient au terme d'un match d'une intensité phénoménale face à la révélation de la quinzaine.
Les deux hommes ont bataillé pendant 5 heures et 14 minutes, le match le plus long de toute l'histoire du tournoi. Mais le match n'a pas seulement duré, il a aussi été d'une qualité extraordinaire de bout en bout.
Verdasco a notamment frappé 95 coups gagnants!
Il s'est joué sur des détails minuscules, peut-être un supplément de fraîcheur physique et d'expérience du côté de Nadal. Verdasco avait déjà joué des matches difficiles lors des tours précédents et ne disputait que sa première demi-finale du Grand Chelem.
Après avoir montré un courage énorme pendant tout le match, défendant 16 de ses 19 premières balles de bris et sauvant deux balles de match, il a craqué sur la troisième, en commettant une double-faute.
Anéanti, il s'est effondré, tout comme Nadal, par terre, avant que les deux Espagnols ne s'enlacent longuement et que Verdasco ne quitte le court sous une énorme ovation.
Nadal et Federer s'affronteront dimanche pour la 19e fois. Ce sera leur septième finale de Grand Chelem. Le no 1 mondial a remporté quatre des six premières, dont la dernière à Wimbledon en 2008.
L'enjeu de la finale sera colossal puisque Federer tentera d'égaler le record de quatorze titres du Grand Chelem de Pete Sampras. Nadal peut devenir le premier Espagnol, hommes et femmes confondus, à remporter les Internationaux d'Australie.
En cas de victoire, il renforcerait surtout encore un peu plus son ascendant psychologique et comptable sur Federer sur un terrain a priori favorable au Suisse.
Federer, no 2 mondial, avait assuré sa qualification pour la finale dès jeudi en dominant l'Américain Andy Roddick en trois sets.
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
L'Espagnol Rafael Nadal a remporté son premier Omnium d'Australie en battant le Suisse Roger Federer en cinq manches de 7-5, 3-6, 7-6 (7/3), 3- et 6-2 lors d'une nouvelle finale mémorable, dimanche à Melbourne.
C'est le sixième titre du Grand Chelem, le premier sur dur, pour le no 1 mondial qui empêche Federer d'égaler le record de quatorze victoires dans un majeur de Pete Sampras.
À 22 ans, Nadal compte également quatre Roland-Garros et un Wimbledon à son palmarès. Il bat Federer pour la cinquième fois de suite et leur face-à-face a une nouvelle fois atteint des sommets d'intensité.
Nadal s'est imposé dimanche au terme d'un combat épique de 4h23 proposant du suspense, des balles de bris à foison, des retournements de situation et des coups extraordinaires.
Nadal, qui avait déjà dû jouer 5h14 en demi-finales vendredi, a parfois semblé craquer physiquement. Federer, qui restait sur quatre défaites cruelles face au Majorquin, a failli craquer mentalement à plusieurs reprises.
Mais les deux champions auront été courageux, chacun à sa manière. Au final, la partie a basculé sur le service défaillant de Federer ainsi que la capacité de Nadal à mieux jouer les points importants.
Un facteur déjà visible lors de sa victoire sur Federer lors de la finale de Wimbledon l'année dernière.
Au-delà de la douleur
Au total, Nadal a défendu 13 de ses 19 balles de bris et a fini pas avoir son adversaire à l'usure, comme si souvent. A en désespérer pour Federer qui a vu Nadal faire appel au soigneur dès le milieu du troisième set pour se faire masser la cuisse droite.
En retard de quelques millièmes de secondes sur la balle, Nadal a parfois commis des fautes inhabituelles. Mais il a une énième fois fait preuve d'un courage monumental pour dépasser la douleur et compenser son léger déficit physique par une hargne sans équivalent.
Nadal, premier Espagnol à s'imposer à Melbourne, devient le douzième joueur de l'histoire à avoir remporté trois des quatre tournois du Grand Chelem. Il est également le premier depuis Andre Agassi à s'imposer sur trois surfaces différentes (terre battue, gazon, dur) dans un majeur.
Pour Federer, cette cinquième défaite de rang face à Nadal constitue un nouvel énorme coup de massue. Il est maintenant mené 6-13 dans ses confrontations directes et Nadal l'a désormais battu dans tous ses tournois favoris hormis des Internationaux des États-Unis.
Federer, vainqueur à Melbourne en 2004, 2006 et 2007, aura sa prochaine occasion d'égaler le record de Sampras à Roland-Garros, le seul majeur qui manque à sa collection. Mais Nadal est toujours invaincu à Paris.
C'est le sixième titre du Grand Chelem, le premier sur dur, pour le no 1 mondial qui empêche Federer d'égaler le record de quatorze victoires dans un majeur de Pete Sampras.
À 22 ans, Nadal compte également quatre Roland-Garros et un Wimbledon à son palmarès. Il bat Federer pour la cinquième fois de suite et leur face-à-face a une nouvelle fois atteint des sommets d'intensité.
Nadal s'est imposé dimanche au terme d'un combat épique de 4h23 proposant du suspense, des balles de bris à foison, des retournements de situation et des coups extraordinaires.
Nadal, qui avait déjà dû jouer 5h14 en demi-finales vendredi, a parfois semblé craquer physiquement. Federer, qui restait sur quatre défaites cruelles face au Majorquin, a failli craquer mentalement à plusieurs reprises.
Mais les deux champions auront été courageux, chacun à sa manière. Au final, la partie a basculé sur le service défaillant de Federer ainsi que la capacité de Nadal à mieux jouer les points importants.
Un facteur déjà visible lors de sa victoire sur Federer lors de la finale de Wimbledon l'année dernière.
Au-delà de la douleur
Au total, Nadal a défendu 13 de ses 19 balles de bris et a fini pas avoir son adversaire à l'usure, comme si souvent. A en désespérer pour Federer qui a vu Nadal faire appel au soigneur dès le milieu du troisième set pour se faire masser la cuisse droite.
En retard de quelques millièmes de secondes sur la balle, Nadal a parfois commis des fautes inhabituelles. Mais il a une énième fois fait preuve d'un courage monumental pour dépasser la douleur et compenser son léger déficit physique par une hargne sans équivalent.
Nadal, premier Espagnol à s'imposer à Melbourne, devient le douzième joueur de l'histoire à avoir remporté trois des quatre tournois du Grand Chelem. Il est également le premier depuis Andre Agassi à s'imposer sur trois surfaces différentes (terre battue, gazon, dur) dans un majeur.
Pour Federer, cette cinquième défaite de rang face à Nadal constitue un nouvel énorme coup de massue. Il est maintenant mené 6-13 dans ses confrontations directes et Nadal l'a désormais battu dans tous ses tournois favoris hormis des Internationaux des États-Unis.
Federer, vainqueur à Melbourne en 2004, 2006 et 2007, aura sa prochaine occasion d'égaler le record de Sampras à Roland-Garros, le seul majeur qui manque à sa collection. Mais Nadal est toujours invaincu à Paris.
Re: Tennis
Oui, j'ai pleuré !
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
Serena Williams a facilement remporté les Internationaux de tennis d'Australie.
L'Américaine a battu en finale la Russe Dinara Safina en deux manches de 6-0 et 6-3. Williams retrouve ainsi son rang de numéro Un mondiale du tennis féminin et gagne son dixième titre du Grand Chelem en carrière.
Serena Williams a dominé la rencontre de bout en bout contre son adversaire russe, tête de série numéro 3.
Si elle n'égalera sans doute jamais les 24 titres de Margaret Smith Court, ni les 22 Steffi Graf, les 19 de Hellen Wills Moody ou les 18 de Martina Navratilova et Chris Evert, la cadette des soeurs Williams n'est plus qu'à deux gains de Billie Jean King.
"Je fais désormais partie d'une élite", a-t-elle mesuré. Voilà pour l'histoire. Ce qui est sans doute plus significatif dans l'immédiat, c'est que l'Américaine a remporté samedi son deuxième Grand Chelem de suite après les Internationaux des États-Unis en septembre.
Une telle continuité est inédite pour Serena depuis six ans. Combinée à la victoire de Venus à Wimbledon en 2008, elle pourrait annoncer le début d'un deuxième âge d'or des Williams qui ont fait main basse sur les trois derniers majeurs.
Cela fait plus de dix ans que les deux frangines fréquentent le paysage. Quasi imbattables au début du siècle, le seul suspense était à l'époque de savoir laquelle des deux allait l'emporter.
Serena a remporté son premier tournoi du Grand Chelem en 1999. Elle est l'auteur du "Serena Slam" lorsqu'elle a réalisé le Grand Chelem à cheval sur 2002 et 2003. Elle a désormais reçu un télégramme de félicitation de trois présidents différents, Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama.
Mais elle n'a pas toujours connu le même succès et, à partir de l'été 2003, elle a souvent davantage fait parler d'elle dans la rubrique des faits divers et des chroniques people que sur un court.
Entre blessures, drames personnels comme l'assassinat de sa demi-soeur Yetunde, elle n'a longtemps brillé que par intermittence, souvent à Melbourne d'ailleurs, où elle s'est imposée en 2003, 2005 et 2007. Entre-temps elle était tombée jusqu'au 140e rang mondial en juillet 2006.
Alors remporter deux titres du Grand Chelem coup sur coup est une vraie nouveauté. Après les Internationaux des États-Unis, elle était déjà redevenue no 1 mondiale pour la première fois depuis 2003, avant que Jelena Jankovic ne termine l'année en trombe et en tête.
À 27 ans, Serena véhicule aujourd'hui une certaine idée de développement durable. Elle dit même penser à réaliser le Grand Chelem. "Ce sera dur mais je relève le défi", dit-elle.
Ses concurrentes retiennent leur souffle. "Serena est une grande championne, ça ne dépend que d'elle, a souligné Safina. Elle ne joue pas autant de tournois que la plupart des filles, sinon ce serait difficile pour nous autres."
La Russe, qui perd sa deuxième finale de Grand Chelem après le dernier Roland-Garros, en a fait les frais. Serena n'avait déjà fait qu'une bouchée de Maria Sharapova (6-1, 6-2) en finale il y a deux ans.
Samedi, elle a une nouvelle fois échoué à un jeu seulement de la finale la plus expéditive du tournoi, record détenu conjointement par Steffi Graf et Margaret Smith.
"Un grand show de tennis", a-t-elle assuré. Le match, d'une durée plus de cinq fois moindre que la demi-finale Nadal-Verdasco vendredi, s'inscrit pourtant d'abord dans une longue série de finales dames absolument décevantes.
Peu importe. Serena a une nouvelle fois démontré qu'elle était pratiquement imbattable dans un bon jour. Samedi c'était l'un de ces jours. Il pourrait y en avoir beaucoup d'autres.
Dans la finale masculine, l'Espagnol Rafael Nadal tentera dimanche d'empêcher le Suisse Roger Federer de décrocher un 14e sacre en Grand Chelem et d'égaler ainsi le record de victoires de l'Américain Pete Sampras dans un tournoi majeur.
3e victoire de suite à Melbourne pour les frères Bryan
Par ailleurs, les frères Bob et Mike Bryan ont retrouvé le sommet de la hiérarchie du double en remportant les Internationaux d'Australie avec leur succès (2-6, 7-5, 6-0) sur l'Indien Mahesh Bhupathi et le Bahamien Mark Knowles.
Avec cette septième victoire en Grand Chelem, leur troisième d'affilée à Melbourne, les jumeaux américains figurent désormais en deuxième position au nombre des majeurs gagnés depuis le début de l'ère "Open", à quatre longueurs du duo australien Woodbridge/Woodforde.
Ils retrouvent également leur première place mondiale qu'ils avaient perdu en fin d'année dernière mais qu'ils ont déjà occupé pendant 157 semaines dans leur carrière.
L'Américaine a battu en finale la Russe Dinara Safina en deux manches de 6-0 et 6-3. Williams retrouve ainsi son rang de numéro Un mondiale du tennis féminin et gagne son dixième titre du Grand Chelem en carrière.
Serena Williams a dominé la rencontre de bout en bout contre son adversaire russe, tête de série numéro 3.
Si elle n'égalera sans doute jamais les 24 titres de Margaret Smith Court, ni les 22 Steffi Graf, les 19 de Hellen Wills Moody ou les 18 de Martina Navratilova et Chris Evert, la cadette des soeurs Williams n'est plus qu'à deux gains de Billie Jean King.
"Je fais désormais partie d'une élite", a-t-elle mesuré. Voilà pour l'histoire. Ce qui est sans doute plus significatif dans l'immédiat, c'est que l'Américaine a remporté samedi son deuxième Grand Chelem de suite après les Internationaux des États-Unis en septembre.
Une telle continuité est inédite pour Serena depuis six ans. Combinée à la victoire de Venus à Wimbledon en 2008, elle pourrait annoncer le début d'un deuxième âge d'or des Williams qui ont fait main basse sur les trois derniers majeurs.
Cela fait plus de dix ans que les deux frangines fréquentent le paysage. Quasi imbattables au début du siècle, le seul suspense était à l'époque de savoir laquelle des deux allait l'emporter.
Serena a remporté son premier tournoi du Grand Chelem en 1999. Elle est l'auteur du "Serena Slam" lorsqu'elle a réalisé le Grand Chelem à cheval sur 2002 et 2003. Elle a désormais reçu un télégramme de félicitation de trois présidents différents, Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama.
Mais elle n'a pas toujours connu le même succès et, à partir de l'été 2003, elle a souvent davantage fait parler d'elle dans la rubrique des faits divers et des chroniques people que sur un court.
Entre blessures, drames personnels comme l'assassinat de sa demi-soeur Yetunde, elle n'a longtemps brillé que par intermittence, souvent à Melbourne d'ailleurs, où elle s'est imposée en 2003, 2005 et 2007. Entre-temps elle était tombée jusqu'au 140e rang mondial en juillet 2006.
Alors remporter deux titres du Grand Chelem coup sur coup est une vraie nouveauté. Après les Internationaux des États-Unis, elle était déjà redevenue no 1 mondiale pour la première fois depuis 2003, avant que Jelena Jankovic ne termine l'année en trombe et en tête.
À 27 ans, Serena véhicule aujourd'hui une certaine idée de développement durable. Elle dit même penser à réaliser le Grand Chelem. "Ce sera dur mais je relève le défi", dit-elle.
Ses concurrentes retiennent leur souffle. "Serena est une grande championne, ça ne dépend que d'elle, a souligné Safina. Elle ne joue pas autant de tournois que la plupart des filles, sinon ce serait difficile pour nous autres."
La Russe, qui perd sa deuxième finale de Grand Chelem après le dernier Roland-Garros, en a fait les frais. Serena n'avait déjà fait qu'une bouchée de Maria Sharapova (6-1, 6-2) en finale il y a deux ans.
Samedi, elle a une nouvelle fois échoué à un jeu seulement de la finale la plus expéditive du tournoi, record détenu conjointement par Steffi Graf et Margaret Smith.
"Un grand show de tennis", a-t-elle assuré. Le match, d'une durée plus de cinq fois moindre que la demi-finale Nadal-Verdasco vendredi, s'inscrit pourtant d'abord dans une longue série de finales dames absolument décevantes.
Peu importe. Serena a une nouvelle fois démontré qu'elle était pratiquement imbattable dans un bon jour. Samedi c'était l'un de ces jours. Il pourrait y en avoir beaucoup d'autres.
Dans la finale masculine, l'Espagnol Rafael Nadal tentera dimanche d'empêcher le Suisse Roger Federer de décrocher un 14e sacre en Grand Chelem et d'égaler ainsi le record de victoires de l'Américain Pete Sampras dans un tournoi majeur.
3e victoire de suite à Melbourne pour les frères Bryan
Par ailleurs, les frères Bob et Mike Bryan ont retrouvé le sommet de la hiérarchie du double en remportant les Internationaux d'Australie avec leur succès (2-6, 7-5, 6-0) sur l'Indien Mahesh Bhupathi et le Bahamien Mark Knowles.
Avec cette septième victoire en Grand Chelem, leur troisième d'affilée à Melbourne, les jumeaux américains figurent désormais en deuxième position au nombre des majeurs gagnés depuis le début de l'ère "Open", à quatre longueurs du duo australien Woodbridge/Woodforde.
Ils retrouvent également leur première place mondiale qu'ils avaient perdu en fin d'année dernière mais qu'ils ont déjà occupé pendant 157 semaines dans leur carrière.
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
L'Espagnol Fernando Verdasco, demi-finaliste de l'Open d'Australie, a gagné six places au classement ATP, publié lundi, et intègre le Top 10, à la 9e place alors que le sommet de la hiérarchie est inchangé.
L'Américain Andy Roddick, également demi-finaliste à Melbourne, gagne de son côté trois places et se retrouve 6e.
Les cinq premières places sont occupées, comme avant le premier tournoi du Grand chelem par Nadal 1er, Federer 2e, Djokovic 3e, Murray 4e et Davydenko 5e.
Le Français Jo-Wilfried Tsonga, finaliste l'an dernier à Melbourne et quart-finaliste cette année, perd sept places et occupe le 14e rang.
Classement au 2 février :
1. Rafael Nadal (ESP) 14260 pts
2. Roger Federer (SUI) 11000
3. Novak Djokovic (SRB) 9010
4. Andy Murray (GBR) 7360
5. Nikolay Davydenko (RUS) 5030
6. Andy Roddick (USA) 4510 (+3)
7. Juan Martin Del Potro (ARG) 4350 (-1)
8. Gilles Simon (FRA) 4170
9. Fernando Verdasco (ESP) 3480 (+6)
10. David Nalbandian (ARG) 3395 (+1)
11. James Blake (USA) 3230 (-1)
12. Gaël Monfils (FRA) 3190 (+1)
13. David Ferrer (ESP) 2980 (-1)
14. Jo-Wilfried Tsonga (FRA) 2955 (-7)
15. Robin Soderling (SWE) 2695 (+2)
16. Stanislas Wawrinka (SUI) 2690
17. Nicolas Almagro (ESP) 2620 (+1)
18. Fernando Gonzalez (CHI) 2600 (-4)
19. Tommy Robredo (ESP) 2500 (+3)
20. Radek Stepanek (CZE) 2440 (+3)
L'Américain Andy Roddick, également demi-finaliste à Melbourne, gagne de son côté trois places et se retrouve 6e.
Les cinq premières places sont occupées, comme avant le premier tournoi du Grand chelem par Nadal 1er, Federer 2e, Djokovic 3e, Murray 4e et Davydenko 5e.
Le Français Jo-Wilfried Tsonga, finaliste l'an dernier à Melbourne et quart-finaliste cette année, perd sept places et occupe le 14e rang.
Classement au 2 février :
1. Rafael Nadal (ESP) 14260 pts
2. Roger Federer (SUI) 11000
3. Novak Djokovic (SRB) 9010
4. Andy Murray (GBR) 7360
5. Nikolay Davydenko (RUS) 5030
6. Andy Roddick (USA) 4510 (+3)
7. Juan Martin Del Potro (ARG) 4350 (-1)
8. Gilles Simon (FRA) 4170
9. Fernando Verdasco (ESP) 3480 (+6)
10. David Nalbandian (ARG) 3395 (+1)
11. James Blake (USA) 3230 (-1)
12. Gaël Monfils (FRA) 3190 (+1)
13. David Ferrer (ESP) 2980 (-1)
14. Jo-Wilfried Tsonga (FRA) 2955 (-7)
15. Robin Soderling (SWE) 2695 (+2)
16. Stanislas Wawrinka (SUI) 2690
17. Nicolas Almagro (ESP) 2620 (+1)
18. Fernando Gonzalez (CHI) 2600 (-4)
19. Tommy Robredo (ESP) 2500 (+3)
20. Radek Stepanek (CZE) 2440 (+3)
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
L'équipe canadienne de tennis fera son entrée jeudi au tournoi de la Coupe Fédération. Les Canadiennes, 21e au monde, semblent déterminées à atteindre le groupe mondial en 2010.
La compétition a pris son envol mercredi et elle met aux prises six pays qui tenteront d’améliorer leur sort en Coupe Fédération jusqu’à samedi.
Au cours des vingt dernières années, l’équipe canadienne a connu son lot de déceptions en Coupe Fédération. La meneuse de la délégation canadienne Aleksandra Wozniak souhaite corriger la situation.
«Je suis toujours en mission quand je représente mon pays à travers le monde», souligne Wozniak. «Je fais toujours de mon mieux pour bien représenter le Canada.»
«En tant que leader de l’équipe, je ne ressens pas de pression. Je vois plutôt cette responsabilité d’une belle façon. Je suis contente de l’être et j’espère amener mon équipe au groupe mondial.»
La capitaine Renee Collins faisait partie de l’équipe qui a atteint les quarts de finale du groupe mondial en 1988. Elle croit aux chances de son équipe de revenir parmi l’élite mondiale.
«Je suis très fière, elles font bien cette année sur le circuit. Nous sommes contentes de pouvoir jouer à maison, ici à Montréal. Le fait de pratiquer ici à l’intérieur représente l’une de nos forces. Leur puissance est un atout sur cette surface dure. Nous sommes excités de jouer sur une surface rapide surtout que nous avons souvent joué en Amérique du Sud sur terre battue.
La capitaine refuse de dévoiler comment elle utilisera ses joueuses. L’identité des joueuses canadiennes sera dévoilée une heure avant le tout premier match de la formation jeudi à 17h contre le Costa Rica.
La compétition a pris son envol mercredi et elle met aux prises six pays qui tenteront d’améliorer leur sort en Coupe Fédération jusqu’à samedi.
Au cours des vingt dernières années, l’équipe canadienne a connu son lot de déceptions en Coupe Fédération. La meneuse de la délégation canadienne Aleksandra Wozniak souhaite corriger la situation.
«Je suis toujours en mission quand je représente mon pays à travers le monde», souligne Wozniak. «Je fais toujours de mon mieux pour bien représenter le Canada.»
«En tant que leader de l’équipe, je ne ressens pas de pression. Je vois plutôt cette responsabilité d’une belle façon. Je suis contente de l’être et j’espère amener mon équipe au groupe mondial.»
La capitaine Renee Collins faisait partie de l’équipe qui a atteint les quarts de finale du groupe mondial en 1988. Elle croit aux chances de son équipe de revenir parmi l’élite mondiale.
«Je suis très fière, elles font bien cette année sur le circuit. Nous sommes contentes de pouvoir jouer à maison, ici à Montréal. Le fait de pratiquer ici à l’intérieur représente l’une de nos forces. Leur puissance est un atout sur cette surface dure. Nous sommes excités de jouer sur une surface rapide surtout que nous avons souvent joué en Amérique du Sud sur terre battue.
La capitaine refuse de dévoiler comment elle utilisera ses joueuses. L’identité des joueuses canadiennes sera dévoilée une heure avant le tout premier match de la formation jeudi à 17h contre le Costa Rica.
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
Les joueuses canadiennes ne se sont pas éternisées sur le court central du Stade Uniprix, samedi, en finale du Groupe I de la zone des Amériques de la Coupe Fédération.
Dominante depuis le début de la semaine, l’équipe formée de Stéphanie Dubois, Sharon Fichman, Valérie Tétreault et Aleksandra Wozniak ont à nouveau aisément remporté les trois matchs à l’horaire face au Paraguay.
Victorieuses de cette première étape, les Canadiennes se prépareront maintenant à une autre épreuve de qualification face à l’une des équipes perdantes au premier tour du Groupe mondial II cette fin de semaine. Elles connaîtront mardi l’identité des adversaires qu’elles affronteront en avril prochain.
« Notre place est dans le groupe mondial et nous avons prouvé cette fin de semaine que nous sommes prêtes, a lancé Wozniak. Nous avons eu un haut niveau de jeu en gardant les pieds sur terre et nous nous en sommes sorties avec la victoire ! »
Stéphanie Dubois, 128e au monde, a eu besoin de seulement 42 minutes pour prendre l’avance d’une victoire dans ce deux de trois, donnant une raclée à Veronica Cepede Royg, 850e. « Je suis contente de la façon dont j’ai joué », a commenté Dubois après l’avoir remporté en deux manches de 6-0 et 6-1. « J’ai bien approché mon match et je me suis bien concentrée. »
La Lavalloise de 22 ans a avoué avoir monté d’un cran son niveau de jeu pour cette finale. « J’ai mieux commencé mes premières parties, a-t-elle poursuivi. J’ai fait un peu moins d’erreurs, mais je suis restée agressive. Mes premiers matchs ont été une préparation pour ce match plus important. »
Après avoir remporté les 11 premières parties de la deuxième manche, la joueuse a connu un petit relâchement, laissant Cepede Royg s’inscrire pour une première et seule fois dans le match. « J’ai fait quelques erreurs, mais c’était de bonnes erreurs. Je voulais passer à l’attaque, mais je suis peut-être allée un peu trop pour mes coups, a-t-elle reconnu. Sans ça, ma concentration a été assez stable. J’ai gardé confiance. »
Aleksandra Wozniak, 32e joueuse au monde a ensuite affronté la seule autre joueuse du top-100 mondial présente à Montréal, Rossana De Los Rios, classée 98e. La Blainvilloise a imité sa compatriote, n’accordant qu’un seul point à son adversaire. L’emportant d’abord 6-1, Wozniak a réussi une deuxième manche parfaite en gagnant par la marque de 6-0. « Je suis vraiment contente. C’était important pour moi et pour le Canada de remporter la finale aujourd’hui. »
Ne sachant pas trop à quoi s’attendre face à cette 98e joueuse mondiale, Wozniak a abordé le match en haussant son niveau de jeu. « Tout ce que je voulais, c’était de rester dans le moment présent et me concentrer sur chaque point. J’ai fait de mon mieux et je m’en suis bien sortie. »
Dans le match de double, qui était sans incidence, Wozniak et Dubois, opposées à Cepede Royg et Isaura Enrique Aguilar ont gagné 6-0 et 6-3.
Valérie Tétreault est la seule membre de l’équipe à n’avoir foulé le terrain pendant les trois jours de compétitions. « Même si je n’ai pas joué, ç’a été un honneur pour moi de faire partie de cette équipe. Les filles ont brillé cette semaine et je suis très fière d’elles », a indiqué la joueuse de Saint-Jean-sur-Richelieu, avant son départ en direction de Midland (Michigan), où elle participera aux qualifications de la Dow Corning Tennis Classic, dimanche.
Rappelons que les favorites du tournoi avaient défait 3-0 les Bahamas et Porto Rico. En 9 matchs, le Canada aura limité ses adversaires à seulement 14 points.
Dominante depuis le début de la semaine, l’équipe formée de Stéphanie Dubois, Sharon Fichman, Valérie Tétreault et Aleksandra Wozniak ont à nouveau aisément remporté les trois matchs à l’horaire face au Paraguay.
Victorieuses de cette première étape, les Canadiennes se prépareront maintenant à une autre épreuve de qualification face à l’une des équipes perdantes au premier tour du Groupe mondial II cette fin de semaine. Elles connaîtront mardi l’identité des adversaires qu’elles affronteront en avril prochain.
« Notre place est dans le groupe mondial et nous avons prouvé cette fin de semaine que nous sommes prêtes, a lancé Wozniak. Nous avons eu un haut niveau de jeu en gardant les pieds sur terre et nous nous en sommes sorties avec la victoire ! »
Stéphanie Dubois, 128e au monde, a eu besoin de seulement 42 minutes pour prendre l’avance d’une victoire dans ce deux de trois, donnant une raclée à Veronica Cepede Royg, 850e. « Je suis contente de la façon dont j’ai joué », a commenté Dubois après l’avoir remporté en deux manches de 6-0 et 6-1. « J’ai bien approché mon match et je me suis bien concentrée. »
La Lavalloise de 22 ans a avoué avoir monté d’un cran son niveau de jeu pour cette finale. « J’ai mieux commencé mes premières parties, a-t-elle poursuivi. J’ai fait un peu moins d’erreurs, mais je suis restée agressive. Mes premiers matchs ont été une préparation pour ce match plus important. »
Après avoir remporté les 11 premières parties de la deuxième manche, la joueuse a connu un petit relâchement, laissant Cepede Royg s’inscrire pour une première et seule fois dans le match. « J’ai fait quelques erreurs, mais c’était de bonnes erreurs. Je voulais passer à l’attaque, mais je suis peut-être allée un peu trop pour mes coups, a-t-elle reconnu. Sans ça, ma concentration a été assez stable. J’ai gardé confiance. »
Aleksandra Wozniak, 32e joueuse au monde a ensuite affronté la seule autre joueuse du top-100 mondial présente à Montréal, Rossana De Los Rios, classée 98e. La Blainvilloise a imité sa compatriote, n’accordant qu’un seul point à son adversaire. L’emportant d’abord 6-1, Wozniak a réussi une deuxième manche parfaite en gagnant par la marque de 6-0. « Je suis vraiment contente. C’était important pour moi et pour le Canada de remporter la finale aujourd’hui. »
Ne sachant pas trop à quoi s’attendre face à cette 98e joueuse mondiale, Wozniak a abordé le match en haussant son niveau de jeu. « Tout ce que je voulais, c’était de rester dans le moment présent et me concentrer sur chaque point. J’ai fait de mon mieux et je m’en suis bien sortie. »
Dans le match de double, qui était sans incidence, Wozniak et Dubois, opposées à Cepede Royg et Isaura Enrique Aguilar ont gagné 6-0 et 6-3.
Valérie Tétreault est la seule membre de l’équipe à n’avoir foulé le terrain pendant les trois jours de compétitions. « Même si je n’ai pas joué, ç’a été un honneur pour moi de faire partie de cette équipe. Les filles ont brillé cette semaine et je suis très fière d’elles », a indiqué la joueuse de Saint-Jean-sur-Richelieu, avant son départ en direction de Midland (Michigan), où elle participera aux qualifications de la Dow Corning Tennis Classic, dimanche.
Rappelons que les favorites du tournoi avaient défait 3-0 les Bahamas et Porto Rico. En 9 matchs, le Canada aura limité ses adversaires à seulement 14 points.
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
La numéro 1 mondiale Serena Williams n'a pas manqué son entrée en lice dans le tournoi de tennis de Paris.
Elle a battu mercredi au premier tour la gauchère tchèque Iveta Benesova en deux sets de 6-1 et 6-4 en une heure pile de jeu.
Deux fois victorieuse du tournoi, Williams s'est imposée à sa deuxième balle de match d'un revers décroisé de fond de court le long de la ligne.
Après une première manche expéditive, l'Américaine sacrée pour la 10e fois en Grand Chelem en Australie le mois dernier, a cependant souffert dans la seconde face à la 38e mondiale.
Elle a battu mercredi au premier tour la gauchère tchèque Iveta Benesova en deux sets de 6-1 et 6-4 en une heure pile de jeu.
Deux fois victorieuse du tournoi, Williams s'est imposée à sa deuxième balle de match d'un revers décroisé de fond de court le long de la ligne.
Après une première manche expéditive, l'Américaine sacrée pour la 10e fois en Grand Chelem en Australie le mois dernier, a cependant souffert dans la seconde face à la 38e mondiale.
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
DUBAÏ, Emirats arabes unis - Le favori Novak Djokovic s'est ressaisi pour venir à bout du Français Gilles Simon 3-6, 7-5, 7-5 en demi-finales du tournoi de Dubaï.
Le Serbe, troisième joueur mondial, atteint sa première finale de la saison et il affrontera l'Espagnol David Ferrer, victorieux du Français Richard Gasquet.
Djokovic a concédé un bris au début de la manche décisive mais il a lui-même réussi le bris au sixième jeu et il a remis ça au dernier pour s'assurer la victoire.
"Je m'estime quelque peu chanceux, mais je pense qu'on fait sa propre chance, a commenté Djokovic. Je n'ai jamais relâché ma concentration, mentale et physique, et j'ai toujours cru en la victoire. L'esprit de combativité a été la clé du match aujourd'hui."
Djokovic a remporté les Internationaux d'Australie en 2008 et il a ajouté la Masters Cup à son palmarès à la fin de la dernière saison. En Australie cette année, il a été contraint à l'abandon face à Andy Roddick en quarts de finale.
"Si je veux demeurer au sommet du classement masculin, je dois remporter ces matchs, a poursuivi Djokovic. J'ai commis plusieurs erreurs directes en première manche et au début de la deuxième."
Ferrer a fait bonne impression tout au long de son match contre Gasquet.
"Il s'agit de mon meilleur match de la saison, a confié l'Espagnol de 26 ans. Je me suis montré très régulier et concentré. Mais malgré ce que le résultat indique (6-2, 6-2), ce ne fut pas facile et j'estime avoir été un peu chanceux car j'ai sauvé quelques balles de bris pendant ce match."
Le Serbe, troisième joueur mondial, atteint sa première finale de la saison et il affrontera l'Espagnol David Ferrer, victorieux du Français Richard Gasquet.
Djokovic a concédé un bris au début de la manche décisive mais il a lui-même réussi le bris au sixième jeu et il a remis ça au dernier pour s'assurer la victoire.
"Je m'estime quelque peu chanceux, mais je pense qu'on fait sa propre chance, a commenté Djokovic. Je n'ai jamais relâché ma concentration, mentale et physique, et j'ai toujours cru en la victoire. L'esprit de combativité a été la clé du match aujourd'hui."
Djokovic a remporté les Internationaux d'Australie en 2008 et il a ajouté la Masters Cup à son palmarès à la fin de la dernière saison. En Australie cette année, il a été contraint à l'abandon face à Andy Roddick en quarts de finale.
"Si je veux demeurer au sommet du classement masculin, je dois remporter ces matchs, a poursuivi Djokovic. J'ai commis plusieurs erreurs directes en première manche et au début de la deuxième."
Ferrer a fait bonne impression tout au long de son match contre Gasquet.
"Il s'agit de mon meilleur match de la saison, a confié l'Espagnol de 26 ans. Je me suis montré très régulier et concentré. Mais malgré ce que le résultat indique (6-2, 6-2), ce ne fut pas facile et j'estime avoir été un peu chanceux car j'ai sauvé quelques balles de bris pendant ce match."
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Rey Cheevas
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Re: Tennis
DUBAÏ, Émirats arabes unis - Novak Djokovic a remporté son premier titre de la saison, samedi, quand il a eu raison de David Ferrer 7-5 et 6-3 en finale du Championnat de tennis de Dubaï.
Djokovic, troisième au monde, disputait sa première finale de la saison. L'an dernier, il a mis la main sur les Internationaux d'Australie et la Coupe Masters. Cette saison, il a dû abandonner face à l'Américain Andy Roddick en quarts de finale, à Melbourne.
Djokovic a concrétisé son gain avec un as; la balle a été jugée à l'extérieur, mais le Serbe en a fait appel avec succès.
"C'était une façon inhabituelle de terminer un match, a dit Djokovic, qui était le favori du tournoi. Ca ne m'était jamais arrivé avant. Mais ce qui a fonctionné pour moi dans le match, c'est que j'ai bien changé le rythme."
Djokovic a brisé Ferrer au sixième jeu de la première manche; ce dernier a fait de même pour rétrécir l'écart à 4-3, mais Djokovic a éventuellement réussi un autre bris pour mériter le set.
En deuxième manche, Djokovic a pris des avances de 2-0 et 5-3, cette dernière grâce à un bris. Il a ensuite sauvé une balle de bris avant de triompher grâce au service qui est devenu un as, une fois porté en appel.
"C'était un match difficile parce que David est un adversaire très coriace, a dit Djokovic. Il est un de ceux qui travaillent le plus fort sur le circuit, il pourchasse toutes les balles. Il vous fait mériter chaque point."
Le numéro un Rafael Nadal et le numéro deux Roger Federer ont dû rater le tournoi, incommodés par des blessures, tandis qu'Andy Murray a abandonné en quart de finale à cause d'un virus.
Ferrer disputait lui aussi sa première finale de la saison.
"J'ai joué un très bon match et je suis très satisfait de ce que j'ai fait, mais il a été encore meilleur, a dit Ferrer. Mais j'ai beaucoup apprécié ma semaine, et j'espère bien avoir autant de constance dans les semaines à venir."
Djokovic, troisième au monde, disputait sa première finale de la saison. L'an dernier, il a mis la main sur les Internationaux d'Australie et la Coupe Masters. Cette saison, il a dû abandonner face à l'Américain Andy Roddick en quarts de finale, à Melbourne.
Djokovic a concrétisé son gain avec un as; la balle a été jugée à l'extérieur, mais le Serbe en a fait appel avec succès.
"C'était une façon inhabituelle de terminer un match, a dit Djokovic, qui était le favori du tournoi. Ca ne m'était jamais arrivé avant. Mais ce qui a fonctionné pour moi dans le match, c'est que j'ai bien changé le rythme."
Djokovic a brisé Ferrer au sixième jeu de la première manche; ce dernier a fait de même pour rétrécir l'écart à 4-3, mais Djokovic a éventuellement réussi un autre bris pour mériter le set.
En deuxième manche, Djokovic a pris des avances de 2-0 et 5-3, cette dernière grâce à un bris. Il a ensuite sauvé une balle de bris avant de triompher grâce au service qui est devenu un as, une fois porté en appel.
"C'était un match difficile parce que David est un adversaire très coriace, a dit Djokovic. Il est un de ceux qui travaillent le plus fort sur le circuit, il pourchasse toutes les balles. Il vous fait mériter chaque point."
Le numéro un Rafael Nadal et le numéro deux Roger Federer ont dû rater le tournoi, incommodés par des blessures, tandis qu'Andy Murray a abandonné en quart de finale à cause d'un virus.
Ferrer disputait lui aussi sa première finale de la saison.
"J'ai joué un très bon match et je suis très satisfait de ce que j'ai fait, mais il a été encore meilleur, a dit Ferrer. Mais j'ai beaucoup apprécié ma semaine, et j'espère bien avoir autant de constance dans les semaines à venir."
Re: Tennis
Enfinnnnnnnnnnnnnnnnnn!!!!!!!!!!!!!!! Je pleure avec lui!!! Je suis tellement heureuse!!!
Depuis le temps qu'on l'attendait cette victoire à Roland-Garros. enfin elle est arrivée.
Jour historique: Il gagne le seul tournoi de Grand Chelem qu'il lui manquait et il égalise la marque de Sampras, soit 14 tournois GC.
Je suis tellement fière de lui. Il a fait un tournoi de toute beauté ayant retrouvé la forme après une trop longue période de difficultés.
Jour mémorable! My God que je suis heureuse!!!
Depuis le temps qu'on l'attendait cette victoire à Roland-Garros. enfin elle est arrivée.
Jour historique: Il gagne le seul tournoi de Grand Chelem qu'il lui manquait et il égalise la marque de Sampras, soit 14 tournois GC.
Je suis tellement fière de lui. Il a fait un tournoi de toute beauté ayant retrouvé la forme après une trop longue période de difficultés.
Jour mémorable! My God que je suis heureuse!!!
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Re: Tennis
Bravo à lui, sauf qu'il l'aura fait par la porte d'en arrière.......il a battu Soderling en finale!! Il ne pourra jamais dire qu'il a battu le Roi Nadal pour remporter Roland-Garros! On est le meilleur quand on bat le meilleur!! 
Dernière modification par Yautja88 le dim. juin 07, 2009 12:27 pm, modifié 1 fois.
Je t'aime Pinklily <3