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Publié : lun. oct. 06, 2008 4:28 am
par Grisbouille
Je suis d'accord aussi sur le fait que dans le loft, ils braillent tous trop, cela devient presque ridicule.
Je trouve que Sébastien l'a bien dit hier que les gars sont des moumounnes (bien ceux qui braillent), en fin compte, ils braillent presque tous
Oui, ils sont peut être confinés là-dedans mais personne ne les a forcé à y aller, donc faut avoir du nerf dans la vie, car là, y'a personne qui se meurt d'un cancer, etc.....
Faut en revenir parfois du braillage pour un jeu.
Publié : lun. oct. 06, 2008 4:46 am
par capella
C'est pas juste une question de braillage que je trouve de trop, crier, sauter comme des enfants de 5 ans à la maternelle, c'est ridicule...Mais je pense que les lofteurs n'en sont pas les seuls responsables, je dirais qu'ils sont encouragé par la production pour agir ainsi pour le show. --Message edité par capella le 2008-10-06 10:47:16--
Publié : lun. oct. 06, 2008 4:48 am
par Grisbouille
capella a écritC'est pas juste une question de braillage que je trouve de trop, crier, sauter comme des enfants de 5 ans à la maternelle, c'est ridicule...Mais je pense que les lofteurs n'en sont pas les seuls responsable, je dirais qu'ils sont encouragé par la production pour agir ainsi pour le show.
Oui probablement mais c'est vraiment difficile de les regarder pleurer et je vais dire comme toi, de trop crier, de trop sauter et de trop être trop.
Publié : lun. oct. 06, 2008 5:00 am
par Demi
Consult1 a écritVoici l'article:
Opinion
L'art de s'entretuer pour oublier que l'on meurt - Loft Story, ou la dernière scène
Jean Pierre Desaulniers, Professeur en communication à l'Université du Québec à Montréal
Édition du vendredi 17 octobre 2003
Mots clés : mort
De nouveaux médicaments calment la souffrance des agonisants et soulagent les proches du déclin final. Des professionnels peu impliqués émotivement avec le mourant le prennent en charge dans des contextes hautement spécialisés, épargnant encore une fois à la famille la cruelle tâche d'accompagner l'être aimé jusqu'au trépas. Les longues et pénibles sessions d'exposition du corps et de réception des condoléances se font rares. Le plus souvent, tout se bâcle rapidement dans la plus stricte intimité.
Finis aussi les interminables cérémonies religieuses, le cortège d'automobiles au cimetière, la descente du cercueil, la poignée de terre, les derniers adieux déchirants. Plus question non plus de l'ancien et sévère code du deuil se prolongeant jusqu'à plusieurs mois après le décès. La mort s'est faite discrète et aussi expéditive qu'une course chez le dépanneur.
Nous avons ainsi banni presque tous les rituels sociaux entourant le décès, ne conservant qu'un bref rassemblement familial restreint. Nous avons désappris à vivre avec cette inéluctable réalité. Et moins nous la fréquentons, plus elle nous effraie. Bref, la mort est devenue un énorme tabou.
Comment dès lors s'en approcher de nouveau sans trop de trouble, sans ressentir un sentiment de menace insupportable, sinon en la mettant en scène sous forme de jeu? En simulant son passage, en organisant artificiellement un rituel de mise à mort, dans un contexte de gros fun, d'éclat de joie et de relâchement des moeurs.
Dans mon jargon de prof en communication, il s'agit d'une esquive: traiter d'un sujet en insistant abondamment sur son contraire. Par exemple, en publicité, parler d'argent, pas celui que nous devrons sacrifier mais celui que nous économiserons. L'anthropologue Lévi-Strauss a inventé une formule extraordinaire pour ce genre de mise en scène: symétrique et inverse. Parler d'une chose en traitant exactement de son contraire.
À qui le tour ?
Mettre en scène des jeunes, la fleur de l'âge, pétants de santé, énergiques, déterminés, ambitieux, prêts aux pires excès alimentaires, sexuels ou autres... Débordants de vie. Tout le contraire d'êtres fragiles et souffreteux. Et les obliger à s'entretuer systématiquement chaque semaine sous le prétexte de trouver parmi eux le couple le plus résistant qu'on désignera comme étant idéal. Ces assassinats vont permettre d'entretenir et de répéter pendant deux mois un véritable rituel de la mort, de la fréquenter et, peut-être par voie d'habitude, de s'y familiariser. Tel est le sens véritable de Loft Story et des productions du genre, leur vraie dérive: faire de la mort un cérémonial hebdomadaire, en plein party et sous les apparences d'une course au meilleur mariage...
Oubliez les stépettes de la petite blonde ou les décolletés plongeants de la grande brune, les trempettes dans le jacusi ou les minauderies dans les coins. Pour que deux jeunes survivent, dix autres devront mourir. L'intérêt des Loft Story débute avec les tremblements nerveux du gars qui se demande comment les filles vont faire pour en envoyer deux au gibet après seulement deux jours. Une remarque déplacée, une traînerie de trop, un rot, une flatulence incommodante, un rien, le moindre geste peut déclencher une chute fatale.
Loft Story, c'est d'abord la menace et l'angoisse de la mort, de la disparition. À qui le tour, cette semaine? Comment les juges, tantôt les filles, tantôt les gars, vont-ils assumer leur rôle de procureurs? Avec quel sang-froid ou quel effroi? Seront-ils bourrés de remords en procédant aussi crûment à un assassinat ou conserveront-ils l'esprit libre et serein? Quels motifs vont-ils évoquer pour annoncer l'exécution de l'un d'entre eux? Nonchalance, timidité, discrétion, machisme, inculture, etc., tout peut devenir prétexte à condamnation puisqu'il s'agit d'un milieu clos et étroit, sans code ni loi préalables. En fait, la raison, le motif, ne compte pas. Il n'y a d'intérêt que pour l'acte lui-même: quelqu'un doit mourir.
Viennent ensuite les réactions des condamnés. Comment vit-on la corde au cou? Accepteront-ils leur sort avec résignation ou essaieront-ils de tout faire pour échapper à leur destin? Quelle stratégie utiliseront-ils pour amadouer leurs bourreaux ultimes, le peuple votant? À quoi vont-ils occuper les quelques jours de sursis?
Puis, chaque dimanche, le peuple se prononce et gracie l'un des deux condamnés. Le verdict devient de cette manière impersonnel, mais surtout, il provient d'une zone extérieure, invisible des lofteurs, exactement dans la même position où Dieu, anciennement, décidait du sort de chacun. Les téléspectateurs usurpent ainsi le rôle du bon Dieu... Un des deux condamnés sera ainsi sauvé in extremis, au seuil de son trépas. Pour l'autre, le verdict populaire devient une exécution publique, subite et sans appel. L'absence de son nom, un bref silence, va le détruire, l'anéantir. Les regards se portent sur lui. C'est fini, kaput, irrévocable. Out. Aucun pardon présidentiel, aucun miracle. La mort en direct.
Dès lors, le trépassé ne parle plus. Il se déplace de façon mécanique, irréelle. On l'aide à prendre ses choses, à se diriger vers la sortie, à aborder le vide, le néant. Il sort. Il part. Seule demeure une consternation creuse au sein du groupe.
L'obsession de la disparition
Puis, le mort nous livre son testament, comme dans le cas d'Occupation double, directement de l'intérieur de son cercueil. Il est seul dans le cocon sombre de la limousine. Il roule vers une destination inconnue. Coupé de ses colocataires à tout jamais, il s'autorise des excès de franchise impensables de son vivant... Il parle une dernière fois, comme si son âme, sa vraie nature, nous apparaissait durant quelques instants avant de s'évanouir à jamais.
Dans le loft, la vie reprend. On se console, on se dit que c'était mieux ainsi, que de toute façon il n'aurait pas pu résister plus longtemps, que son temps était venu, etc. Les formules creuses et clichés du deuil. Le spectre de la mort s'efface, mais pour quelques heures seulement. D'ici peu, la ronde meurtrière va reprendre...
Derrière une façade ludique et hautement sexuée, il faut «lire» ces émissions de télé-réalité comme rituel de la mort, rituel cru, livide, montrant des gens indolents, discutant des affaires de la «famille» comme s'il étaient réunis dans le fumoir des soins palliatifs ou au sous-sol du salon funéraire.
Star Académie, fort de sa résurrection finale, aura été la version soft du rituel. Facteur de risque et son attirance pour le dégoûtant, pour le cadavérique, deviendra la version hard. Et une grande obsession centrale: la disparition.
À la sortie du paradis terrestre, Dieu aurait abandonné le premier couple en disant à Adam et Ève: «Allez et multipliez-vous.» Dans Loft Story, on dit aux locataires: «Restez et réduisez-vous» pour nous révéler un nouveau couple primordial. Symétrique et inverse, disait le structuraliste. Oubliez dès lors la vision paradisiaque de ces adonis qui n'ont rien d'autre à faire que de baiser, donner la vie. Regardez-les plutôt vivre dans un enfer meurtrier où ils donnent la mort. Soixante-trois jours de cohabitation avec ce spectre que 20 caméras de surveillance tentent de capter...
Wow! Très interessant cet article!
Ça vaut vraiment la peine de le lire au complet... merci!
Publié : lun. oct. 06, 2008 5:09 am
par Stacy
Sébastien est un peu maladroit pour expliquer les comportements ou les émotions des lofteurs,on s'entent pour dire qu'il n'est pas un psy, mais j'ai trouvé qu'il n'avait pas tort hier de dire que les gars étaient moumoune et que tout le monde braille autant après seulement une semaine c'était un peu exagé
Publié : lun. oct. 06, 2008 5:22 am
par Consult1
J,ai lu quelque part que le Loft est une "expérience" de huis-clos - alors il nous est difficile de juger des réactions de gens placés dans une situation assez "anormale". Leur univers se limite à 6 pièces et 15 personnes alors leur vision du monde est plutot limitée - j'imagine qu'avec le temps, ça fini par affecter les réactions.
Publié : lun. oct. 06, 2008 5:23 am
par Pseudoo
Timinou a écrit
La moyenne d'âge à la Poule aux Oeufs d'Or et dans le loft n'est pas tout à fait la même....il doit y avoir là une explication sur les nerfs à fleur de peau ! Dans le loft les jeunes, peut-être pas tous mais beaucoup oublient vite le but du jeu (ça revient à un moment donné ) ils sont habitués de vivre des amitiés et de partager tous ensemble dans la vraie vie alors dans le loft ils sont enfermés et en surplus la production les laisse végéter sans leur permettre "encore" d'évacuer l'énergie et d'aller dans le gym, ce qui leur aiderait beaucoup à mon avis. Mais ce doit être ce que veut la production j'imagine !
il doit y avoir là une explication sur les nerfs à fleur de peau ?
mai ce nest pas la meme chose quand on est a loft story lintimité est tres limite on dirait que personne compren le stress quils subissent
surtout quand la personne a rien a dire comme ces jeunes la il stressent beaucoup parce quils pourraient sortir et lun vaut lautre
par exemple maude valit pas tellement plus que myrian idem pour jason vs claude alezandre
sont tous pareils on dirait alor si un pleure toute les autre aussi
pis c pa si terrible pleurer apres tout yont le droit
des ils rient et c pa drole
donc yont droit de pleurer meme si c meme pa triste
Publié : lun. oct. 06, 2008 5:26 am
par apbt
Consult1 a écritJ,ai lu quelque part que le Loft est une "expérience" de huis-clos - alors il nous est difficile de juger des réactions de gens placés dans une situation assez "anormale". Leur univers se limite à 6 pièces et 15 personnes alors leur vision du monde est plutot limitée - j'imagine qu'avec le temps, ça fini par affecter les réactions.
Y a quelque chose là certain, moi je dis que le fait d'être coupé de tous tes repères habituels affecte réellement certains lofteurs. Puis je crois qu'ils vivent plus de stress qu'on pense (malgré les apparences), ils sont toujours en attente de quelque chose, une voix, une ballotage, une décision etc. etc.
Publié : lun. oct. 06, 2008 5:31 am
par Pseudoo
Stacy a écritSébastien est un peu maladroit pour expliquer les comportements ou les émotions des lofteurs,on s'entent pour dire qu'il n'est pas un psy, mais j'ai trouvé qu'il n'avait pas tort hier de dire que les gars étaient moumoune et que tout le monde braille autant après seulement une semaine c'était un peu exagé
je trouve pa moumoume veut pa dire diminué
ils ont élevé de meme c tout
les parents doivent etre super protecteurs
ca fait des enfants super moumoune
Publié : lun. oct. 06, 2008 5:43 am
par misspassion
J,ai aimer le commentaire de Sbeastien (plutot direct)... gang de moumoune
toujours aussi amusant notre cher Sebastien
Publié : lun. oct. 06, 2008 6:04 am
par Skynet
des participants trop sensible?
d'autre lofteurs on vécu la même expérience comme Sébastien qui est resté jusqu'à la fin du (show) et qui na versé aucunes larmes,''cass'' non plus na pas vraiment pleurnicher.Véronika , crystal.etc...
Rendu a 5 saisons du loft , tout le monde devrait savoir a quoi s'attendre en participant a se genre de show tv ?.
=Élimination,bitchage,ballotage,stratégies et le plus important,,les prix etc..
quand je voie toute cette sensiblerie je n'en reviens pas.
est-ce que quelqu'un' un pourrait leurs rappeler leurs décision de participer au loft..les prix et 400 000$ a moins que sa soi pour se faire de petits amis.
Le but c justement des éliminer un après l'autre et de rester le dernier(e) a fin.
a toutes les sem il va y avoir un ti nami qui va quitter(C SA LE BUTTTTT .vite sortez leurs les essuie-tout bounty..
Publié : lun. oct. 06, 2008 6:18 am
par Pseudoo
Skynet a écritdes participants trop sensible?
d'autre lofteurs on vécu la même expérience comme Sébastien qui est resté jusqu'à la fin du (show) et qui na versé aucunes larmes,''cass'' non plus na pas vraiment pleurnicher.Véronika , crystal.etc...
Rendu a 5 saisons du loft , tout le monde devrait savoir a quoi s'attendre en participant a se genre de show tv ?.
=Élimination,bitchage,ballotage,stratégies et le plus important,,les prix etc..
quand je voie toute cette sensiblerie je n'en reviens pas.
est-ce que quelqu'un' un pourrait leurs rappeler leurs décision de participer au loft..les prix et 400 000$ a moins que sa soi pour se faire de petits amis.
Le but c justement des éliminer un après l'autre et de rester le dernier(e) a fin.
a toutes les sem il va y avoir un ti nami qui va quitter(C SA LE BUTTTTT .vite sortez leurs les essuie-tout bounty..
tres vrai faudrait imaginer une poule au oeufs dor avec des participants qui veulent plus rester sur le plateau que de prendre l oeuf ou largent
Publié : lun. oct. 06, 2008 6:34 am
par Nikki
Consult1 a écritJ,ai lu quelque part que le Loft est une "expérience" de huis-clos - alors il nous est difficile de juger des réactions de gens placés dans une situation assez "anormale". Leur univers se limite à 6 pièces et 15 personnes alors leur vision du monde est plutot limitée - j'imagine qu'avec le temps, ça fini par affecter les réactions.
Sans compter qu'ils n'ont pas accès aux journaux, aux téléromans et autres signes de vie extérieurs auxquels nous sommes quotidiennement exposés...
On ne se rend pas compte des fois, mais juste en allant travailler le matin, on écoute un peu de radio, on voit des gens dans leurs autos, on arrête mettre de l'essence... Ce sont des gestes qui nous rattachent au moment présent et nous les posons sans presque nous en rendre compte...
Je serais privée de toute ma routine quotidienne demain que je suis convaincue que mon cerveau réagirait... Je ne sais pas comment, mais je sais que je serais plus à fleur de peau...
Publié : lun. oct. 06, 2008 6:54 am
par Demi
Nikki. a écrit
Sans compter qu'ils n'ont pas accès aux journaux, aux téléromans et autres signes de vie extérieurs auxquels nous sommes quotidiennement exposés...
On ne se rend pas compte des fois, mais juste en allant travailler le matin, on écoute un peu de radio, on voit des gens dans leurs autos, on arrête mettre de l'essence... Ce sont des gestes qui nous rattachent au moment présent et nous les posons sans presque nous en rendre compte...
Je serais privée de toute ma routine quotidienne demain que je suis convaincue que mon cerveau réagirait... Je ne sais pas comment, mais je sais que je serais plus à fleur de peau...
Très daccord avec toi! Je serais surement plus à fleur de peau moi aussi!
Publié : lun. oct. 06, 2008 7:04 am
par Consult1
J'allais rajouter mechamment que certains lofteurs n'ont pas l'air d'être des lecteurs assidus des journaux (si on pense à l'horrible quiz de culture générale de l'an dernier) mais il reste les nouvelles à la radio, entre deux jingles à CKMF.
Je n'ai jamais compris pourquoi la prod ne leur donnait pas accès à un téléjournal de 15 minutes par jour. Ce serait bon pour leur âme et ça alimenterait les discussions, qui autrement finissent par tourner autour de détails comme le nettoyage de la salle de bain ou de la pédicure.
Publié : lun. oct. 06, 2008 7:20 am
par Ruine-Babine
quand j'étais plus jeune, j'allais à chaque été dans des camps de vacances... Pis à chaque fois il y avait un groupe qui se mettait à brailler pcq ils s'ennuyaient, et ça devenait contagieux, presque tout le monde se mettait à brailler et à vouloir retourner dans les bras de papa et maman après seulement 1 jour 2 deux... Je me souviens à l'époque je capotais ben raide, j'en revenais pas et je sautais ma coche solide (et je dois préciser que j'ai commencé à aller dans ses camps à 7-8 ans, j'avais pas + de 20ans la!)! JE les trouvais bébés, braillairds pis je me demandais en maudit ce qu'ils foutaient là à me gâcher mon plaisir de vivre cette nouvelle expérience.... Bon là je vous entends dire qu'un camp de vacances ce n'est pas le loft, c'est vrai! Mais c'est de mettre des jeunes dans un environnement totalement différent de ce qu'ils sont habitués, avec pleins de nouvelles personnes qui ont toute sorte de tempérament différents, sans contact avec leurs familles/amis, sans télé (ça peut être changé avec le temps, je ne pourrais dire...)
Et bien c'est la même maudite affaire dans le loft.... si je suis certaine qu'au risque d'avoir l'air sans coeur, que je ne serais pas comme les braillards du loft... non mais tsé... c'est comme si c'était la fin du monde, comme s'ils étaient pour mourir.... c'est complètement ridicule!!!! moi je serais extrêmement contente à chaque fois qu,un se ferait éliminé (même si cétait qq avec qui je m'entendais bien) parce que j'aurais une chance de plus de gagner... Et en passant, c'est juste au Québec qu'on voit ça, je suis presque toutes les télé-réalités américaines (sauf les dating reality show) et c'est vraiment très très rares qu'on voit ça et quand ca arrive, tu peux être certains que les autres participants vont lui dire que ça pas d'allure!!!! Eux autres ils l'ont l'affaires les américains (dit avec la voix et l'intonation d'Élvis Gratton - donc à prendre à la légère svp!)!!! --Message edité par Ruine-Babine le 2008-10-06 13:41:24--
Publié : lun. oct. 06, 2008 7:24 am
par gozz
Alexandra555 a écritQu'est-ce que c'est que cette tornade de pluie...
Chaque année, la première éviction c'est toujours de même. Ils se sont pensé en vacances toute la semaine, là ils se rendent compte que c'est pas le cas pantoute. Après le choc, ça va se calmer. Faut juste laisser passer la tempête.
Publié : lun. oct. 06, 2008 7:31 am
par apbt
gozz a écrit
Chaque année, la première éviction c'est toujours de même. Ils se sont pensé en vacances toute la semaine, là ils se rendent compte que c'est pas le cas pantoute. Après le choc, ça va se calmer. Faut juste laisser passer la tempête.
C'est vrai ce que tu écris, juste à penser au déluge de l'an passé, plus le nombre de lofteurs diminuait moins y avait de pleurs
Publié : lun. oct. 06, 2008 7:37 am
par tipet
Chaques années ça me décourage. Le braillage, même à la fin je ne comprends pas. Je suis peut-être sans-ceour, mais même dans l'émission kétaine de retrouvailles à TVA je me demande si le monde ne sont pas tombé sur la tête. Genre, faire une crise psychotique parce que tu rencontre une belle-soeur que tu ne connais pas, que tu n,as jamais vu de ta vie et de qui tu n'es vraiment pas proche
De même que les réactions hyper exagérées de fillettes, genre sauter sur les divans, hurler en tapant des mains parce que la production te donne un bon d'achat à quelque part Ça me fait le même effet à OD quand les filles capotent en entrant dans la maison
J,ai comme zéro patience pour ça, je leur dit même "Vos yeule!" devant ma télé
Publié : lun. oct. 06, 2008 7:44 am
par Beppo
Nikki. a écrit
Sans compter qu'ils n'ont pas accès aux journaux, aux téléromans et autres signes de vie extérieurs auxquels nous sommes quotidiennement exposés...
On ne se rend pas compte des fois, mais juste en allant travailler le matin, on écoute un peu de radio, on voit des gens dans leurs autos, on arrête mettre de l'essence... Ce sont des gestes qui nous rattachent au moment présent et nous les posons sans presque nous en rendre compte...
Je serais privée de toute ma routine quotidienne demain que je suis convaincue que mon cerveau réagirait... Je ne sais pas comment, mais je sais que je serais plus à fleur de peau...
Si on t'en privait, oui. Mais si tu décidais librement et consciemment de t'en priver, crois-tu que les effets seraient les mêmes? Ces jeunes là ont décidé de se priver de leur quotidien et s'y préparent depuis quelques semaines. Ils ne sont pas lancé dans cette aventure à contre-courant et contre leur volonté. Personne ne les as privés car ils ont décidé de se priver. Depuis 5 ans que la série tourne, ils devaient bien savoir dans quoi ils s'embarquaient.