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Publié : lun. mars 05, 2007 3:14 pm
par bobépine
Gentil...ton bégaiement s'arrange pas
Même si tu as supprimé...tu avais écrit en 3 exemplaire
Publié : lun. mars 05, 2007 3:15 pm
par Gentil
bobépine a écritGentil...ton bégaiement s'arrange pas
Même si tu as supprimé...tu avais écrit en 3 exemplaire
J'sais ....mais là j'ai trouvé le truc
Publié : lun. mars 05, 2007 3:16 pm
par bobépine
Gentil a écrit
J'sais ....mais là j'ai trouvé le truc
Précédent...après valider et avoir vu message envoyé?
Publié : lun. mars 05, 2007 3:19 pm
par Gentil
bobépine a écrit
Précédent...après valider et avoir vu message envoyé?
Euhhh
J'pèse sur valider pis quand j'vois que ça jamme je ferme la page pis j retourne dans le Stade et mon post est là
Maudit que j'suis brillant
Publié : lun. mars 05, 2007 3:21 pm
par bobépine
Gentil a écrit
Euhhh
J'pèse sur valider pis quand j'vois que ça jamme je ferme la page pis j retourne dans le Stade et mon post est là
Maudit que j'suis brillant
Moi j'ai pas de problême.......maudit que Reaper est brillant
Publié : lun. mars 05, 2007 3:25 pm
par Gentil
bobépine a écrit
Moi j'ai pas de problême.......maudit que Reaper est brillant
Oui yé brilant Reaper mais j'suis certain qui connait pas l'Russe lui
Publié : lun. mars 05, 2007 3:29 pm
par Gentil
Entk tout ca pour dire que Kovalev và nous ammenez en série
Batinse j'viens d'm'étouffer
Publié : lun. mars 05, 2007 3:32 pm
par bobépine
Gentil a écritEntk tout ca pour dire que Kovalev và nous ammenez en série
Batinse j'viens d'm'étouffer
T'as raison...Kovalev va nous emmener en série en compagnie de Huet
Publié : lun. mars 05, 2007 3:40 pm
par Gentil
bobépine a écrit
T'as raison...Kovalev va nous emmener en série en compagnie de Huet
Ben ben drôle ha ha ha
Kin ! pour me revanger
Bobépine et Koivu =
--Message edité par GenTiL le 2007-03-05 20:41:04--
Publié : lun. mars 05, 2007 3:44 pm
par bobépine
Gentil a écrit
Ben ben drôle ha ha ha
Kin ! pour me revanger
Bobépine et Koivu =
T'a courru après...
Publié : lun. mars 05, 2007 3:47 pm
par Gentil
bobépine a écrit
T'a courru après...
J'sais
Sur ce fini les plaisantries pour ce soir ....yé assez tard on farme
Publié : lun. mars 05, 2007 4:08 pm
par Clorophile
J'aime ça voir Gentil et bobépine s'obstiner entre eux et pas avec moi!
Même si l'affaire Kovalev est un canular, je pense qu'il y a quand même un fond de vérité là-dedans... mais que Carbonneau n'aime pas les russes, j'ai de la misère avec ça.
Publié : lun. mars 05, 2007 4:10 pm
par bobépine
Clorophile a écritJ'aime ça voir Gentil et bobépine s'obstiner entre eux et pas avec moi!
Même si l'affaire Kovalev est un canular, je pense qu'il y a quand même un fond de vérité là-dedans... mais que Carbonneau n'aime pas les russes, j'ai de la misère avec ça.
Ta signature pourrais-tu la réduire un peu
Publié : lun. mars 05, 2007 4:34 pm
par Clorophile
Je devrais être payée pour cette pub là.
Publié : lun. mars 05, 2007 6:24 pm
par bobépine
La traduction de l'entrevue
Le lundi 05 mars 2007
La traduction des propos d'Alex Kovalev
Regina Sevostianova
Football-Hockey
Football-Hockey est un hebdomadaire couleur de 32 pages tiré à 121 500 exemplaires qui compte 364 500 lecteurs. Il est distribué sur le territoire de la Fédération de Russie et à l'étranger. Regina Sevostianova, ancienne joueuse de handball émérite en Russie, écrit pour de nombreuses publications dans son pays, et n'en est pas à son premier article dans le domaine du hockey. Les propos d'Alexei Kovalev ont été publiés en page une de Football-Hockey le 26 février. La traduction a été réalisée pour La Presse par Elena Botchorichvili et Gourami Kakhadzé.
Q - La position de Montréal au classement change sans arrêt. Comment expliquer cela?
La fatigue, tout simplement. C'est pourquoi il y a tant de punitions. L'équipe est assez jeune. C'est probablement la raison pour laquelle la fatigue paraît. Mais les trois dernières rencontres, nous les avons gagnées. Peut-être avions-nous eu une baisse. J'espère maintenant que tout va aller dans la direction opposée.
Q - Ce qui signifie que l'équipe vise une participation aux séries éliminatoires et qu'elle a confiance d'y arriver?
Bien sûr. Y a-t-il une alternative?
Q - Et le nombre de blessures ne va-t-il pas avoir une influence néfaste?
R - Maintenant toutes les équipes sont affectées par les blessures. Nous ne sommes pas les seuls. Il n'y a pas là de problème spécial. C'est une des réalités du hockey. Vers la fin de la saison, l'organisme est fatigué et les blessures surviennent. D'un autre côté, nous aurons probablement une équipe complète à partir du mois prochain.
Q - Qu'avez-vous à dire au sujet de Toronto, votre voisin géographique et au classement? Comparable à votre équipe?
R - Je dirais non. Toronto joue un hockey plus ouvert. Ils essaient davantage d'attaquer. Et Montréal est plutôt sur la défensive.
Q - Vous aimez ce style?
R - Qui peut aimer cela? Mais je n'y peux rien. Parce que tel est le plan de jeu de l'équipe et que je dois m'y tenir. Parce que c'est un sport d'équipe.
Q - Cela vous empêche-t-il de montrer ce que vous savez faire?
R - C'est ce que je dis. Il est difficile de s'exprimer complètement. Parce que nous jouons du hockey défensif, nous devons sacrifier certaines choses. Évidemment, il est beaucoup plus difficile de jouer de cette façon.
Q - Est-ce là l'explication au déclin subit du jeu de Sergei Samsonov?
R - Je pense que son déclin est causé par le manque de confiance qu'on lui démontre. Ils l'ont emmené ici et lui ont demandé autre chose. Pas ce qu'il peut faire. Il avait besoin de plus de temps pour s'adapter. Parce que c'est un travail complètement différent. Pas celui auquel il est habitué. Et il n'a pas eu assez de temps. Il est perdu.
Q - On vous connaît pour vos commentaires prudents. Mais comment avez-vous réagi aux propos de Sergei lorsqu'il a ouvertement critiqué les politiques de la direction du club.
R - Qui serait heureux d'endurer ça? Je pense qu'il devait le dire ouvertement. Quelle serait la raison de garder cela en dedans de soi? S'il pense que quelque chose ne va pas, il doit essayer de corriger la situation. Si vous avez parlé avec l'entraîneur et que cela n'a rien changé, vous devez absolument éviter de garder cela en dedans de vous. Il a dit que de cette façon, ça ne fonctionne pas pour lui. Deux fois, il a demandé à être échangé. Il y va de notre intérêt que notre réputation ne soit pas entachée. Combien de joueurs de hockey auraient pu jouer et jouer encore, mais qui ont dû se retirer parce que ce ne sont que les jeunes qui jouent? C'est difficile. Vous voulez jouer, vous voulez avoir des résultats. Mais on ne vous donne pas la chance d'y arriver. Vous vous faites de la bile. Il n'a pas 40 ans, il n'a même pas 30 ans. Encore jeune. Vous voudriez être un joueur à qui on fait confiance et qui montre des résultats.
Q - Depuis le match contre les Rangers, Mikhail Grabovski a été emmené du club-école et on a tenté de former un trio russe. Croyez-vous que ce trio avait la moindre chance?
R - La chance était là, mais ici, personne ne va vous laisser faire. J'ai l'impression, et nombreux sont ceux qui le disent - des journalistes, des amateurs -, que cet entraîneur n'aime pas les Russes. Et tel est le cas... Cela paraît dans son attitude envers nous. Par rapport à sa manière de traiter les francophones. On n'y peut rien. Au début de la saison, combien de fois a-t-on dit de moi que je jouais pour moi seul. Et j'ai été le seul à ne pas répondre à cette critique. Je me promène tout le temps en silence bien qu'autour de moi, on ne parle que de moi. C'est pourquoi, des fois, il faut s'exprimer. Je l'ai expliqué aux journalistes: «Si vous voulez amener les gens à penser d'une certaine façon à mon sujet, vous allez y arriver. Et moi, je ne peux rien y changer.»
Q - Vous n'en êtes pas encore arrivé à demander à être échangé?
R - Oui, pour être honnête, cela m'a traversé l'esprit. D'un autre côté, j'aime me battre. Par exemple, on peut se retrouver dans une bonne équipe, ne pas se tracasser l'esprit, juste jouer et gagner. Il est possible aussi de se faire valoir au sein d'une équipe plus faible. Supposons qu'un club n'a aucune chance d'atteindre les séries et toi, par ton travail, tu les y amènes. C'est beaucoup plus difficile, mais plus intéressant. Je pense que j'ai cette aptitude. Bien sûr, j'ai eu bien des angoisses et des doutes. Mais on va y arriver! Ce n'est pas la première fois.
Q - On vient d'emmener Andrei Kostitsyn à Montréal, après trois années passées dans le club-école. Ne pensez-vous pas qu'il aurait intérêt à retourner en Russie?
R - Je ne pense pas. Il est encore jeune et il va probablement atteindre ses objectifs. C'est toujours possible de retourner en Russie, mais arriver ici et jouer à ce niveau, c'est un peu plus difficile. C'est pourquoi il doit saisir toutes les chances qui s'offrent à lui. Après, il pourra toujours partir. Le cas de Kostitsyn, c'est encore un exemple de ce que je disais plus tôt. En passant, ils l'ont une fois de plus nommé meilleur joueur de la Ligue américaine. Mais quand les blessures ont commencé, on est allé chercher d'autres joueurs. Ou bien l'entraîneur ne nous aime pas, ou bien il n'aime pas ce style. Dès qu'il y en a un qui va revenir au jeu, je ne serais pas étonné que ce soit Kostitsyn qui sera retourné au club-école et non les deux autres qu'on a montés de la Ligue américaine.
Q - Je sais que les francophones à Hamilton se sentent supérieurs face aux autres joueurs. J'espère qu'ils ne sont pas comme ça à Montréal?
R - Les Français, ils sont toujours comme ça. Ils se tiennent ensemble et se défendent les uns les autres. C'est justement le problème de ce genre d'équipe: ça fait des divisions. Les Européens d'un côté, les Américains de l'autre, et les Français ont leur gang. Qui va prendre le haut du pavé? Ça rend le travail difficile. Car on ne pense plus à jouer ensemble et gagner; mais plutôt à prouver: «Je suis meilleur que toi et le public m'aime davantage». Les joueurs commencent à travailler uniquement pour le public. C'est dégoûtant à voir. Nous devons nous battre contre les autres équipes, mais nous nous battons chacun pour soi. Nous compétitionnons entre nous.
Q - De plus, on dit que les Russes n'assistent pas aux activités de l'équipe?
R - Pas du tout, ce sont des mensonges. Nous essayons de rester ensemble avec toute l'organisation. Nous sommes toujours présents pour les rencontres générales, de toute façon, on ne peut pas y échapper. Sinon, on écope une amende.
Q - Selon ce que vous dites, j'ai l'impression que vous n'avez pas beaucoup de plaisir à faire votre travail dans cette équipe.
R - Comment puis-je avoir du plaisir si je veux gagner la Coupe Stanley? Alors que, j'ai l'impression, nous nous battons les uns contre les autres, j'ai déjà parlé de ça. Nous essayons de savoir qui est le meilleur parmi nous. On dit des choses à mon sujet, ça ne m'intéresse pas. Alors, je me préoccupe des points que j'accumule, c'est tout. On dit de nous que nous sommes comme une famille hors de la patinoire, mais quand on entre dans le vestiaire, c'est chacun pour soi. C'est tellement évident...
Tu essayes de faire quelque chose! L'année passée, je parlais avec les joueurs de mon trio: un Finlandais et un Tchèque. Je leur disais que ce qui m'intéressait, ce n'étaient pas les statistiques individuelles mais notre travail de groupe. Pour qu'on soit le meilleur trio et qu'on aide notre équipe à remporter les matchs. Et non que je me préoccupe seulement des buts que je marque et rien d'autre. Je dis souvent ce genre de choses aux gars avec qui je joue. J'essaye d'aider mes partenaires à changer ceci ou cela pour que notre trio soit le meilleur. J'ai toujours dit que, peu importe l'équipe pour laquelle je joue, je veux que mon trio soit le meilleur, coûte que coûte. C'est la même chose ici. Si on regarde les autres clubs, les joueurs travaillent en équipe, s'entraident. Chez nous, ils ne voient pas ça, ou ne veulent pas voir ça. Tu marques un but et c'est tout. T'as terminé ton travail pour le match et t'as même plus besoin de jouer jusqu'à la fin.
Avec tout ça, on a beaucoup parlé des nouveaux entraîneurs. Ils ont eux-mêmes joué pour Montréal, ils devaient arranger les choses. Sauver l'héritage d'une génération, pourrait-on dire?
Ça ne veut rien dire. Cette ré putation se perd vite. Quand les gens finissent de jouer à ce niveau et, par la suite, se comportent de cette façon en tant qu'entraîneurs, les bonnes choses sont vite oubliées et les mauvaises commencent à s'accumuler. Personnellement, je crois que l'entraîneur y est pour beaucoup. L'entraîneur doit faire partie de l'équipe, non pas être à part ou au-dessus d'elle. C'est trop simple de dire: «Vous avez un capitaine et ses assistants, faites ce que vous voulez.» L'entraîneur doit faire partie de l'équipe. Sinon les jeunes le regardent et pensent: «L'entraîneur s'en fout. Alors moi aussi, je m'en fous.» L'entraîneur doit être intéressé et montrer qu'il est intéressé. Par exemple, j'ai joué avec Vyacheslav Bykov. Je ne le connais pas comme entraîneur, mais à juger comment ils jouent, ses gars travaillent fort. Il essaye de trouver la bonne approche avec chaque joueur et ceux-ci le lui rendent bien. Il y a entente entre les joueurs et l'entraîneur. L'entraîneur et les joueurs ne doivent jamais être séparés.
Q - Dans cette situation, peut- être est-il mieux pour vous de ne pas parvenir aux séries éliminatoires, mais plutôt de participer au Championnat du monde, à Moscou?
R - C'est sûr que j'aimerais parti ciper au Championnat du monde. Mais je ne peux pas ne pas jouer ou tout faire pour éviter les éliminatoires. Au contraire, je suis très intéressé à participer aux séries. Je veux y participer et je veux gagner. C'est certain que ça me fait toujours plaisir de jouer pour l'équipe nationale, si on m'invite. Mais il y a tellement de jeunes en ce moment. L'équipe est très présentable cette année. Il se peut que Montréal n'accède pas aux séries éliminatoires et qu'on ne m'invite pas dans l'équipe nationale.
Q - À votre avis, Montréal peut- il résoudre ses problèmes internes avant les séries?
R - Je ne sais pas. C'est un travail de longue haleine. Ça ne se passe pas du jour au lendemain. Ça prend beaucoup de temps pour que les gens comprennent. J'espère toujours pour le mieux et je travaille dans cette optique. Ce n'est pas un sport individuel, ni une équipe de trois ou quatre personnes. Certains ont ce comportement: tu leur dis quelque chose, ils te regardent, font un signe d'approbation. Tu te retournes et ils disent: Pourquoi il ne me fiche pas la paix?
Publié : lun. mars 05, 2007 6:47 pm
par bobépine
Citation :Q - Vous n'en êtes pas encore arrivé à demander à être échangé?
R - Oui, pour être honnête, cela m'a traversé l'esprit. D'un autre côté, j'aime me battre. Par exemple, on peut se retrouver dans une bonne équipe, ne pas se tracasser l'esprit, juste jouer et gagner. Il est possible aussi de se faire valoir au sein d'une équipe plus faible. Supposons qu'un club n'a aucune chance d'atteindre les séries et toi, par ton travail, tu les y amènes. C'est beaucoup plus difficile, mais plus intéressant. Je pense que j'ai cette aptitude. Bien sûr, j'ai eu bien des angoisses et des doutes. Mais on va y arriver! Ce n'est pas la première fois.
Quelqu'un pourrait lui expliquer la signification d'aptitude
Citation :Q - De plus, on dit que les Russes n'assistent pas aux activités de l'équipe?
R - Pas du tout, ce sont des mensonges. Nous essayons de rester ensemble avec toute l'organisation. Nous sommes toujours présents pour les rencontres générales, de toute façon, on ne peut pas y échapper. Sinon, on écope une amende.
Ma traduction: J'ai pas le choix d'y aller
Citation :Q - Selon ce que vous dites, j'ai l'impression que vous n'avez pas beaucoup de plaisir à faire votre travail dans cette équipe.
R - Comment puis-je avoir du plaisir si je veux gagner la Coupe Stanley? Alors que, j'ai l'impression, nous nous battons les uns contre les autres, j'ai déjà parlé de ça. Nous essayons de savoir qui est le meilleur parmi nous. On dit des choses à mon sujet, ça ne m'intéresse pas. Alors, je me préoccupe des points que j'accumule, c'est tout. On dit de nous que nous sommes comme une famille hors de la patinoire, mais quand on entre dans le vestiaire, c'est chacun pour soi. C'est tellement évident...
Tu essayes de faire quelque chose! L'année passée, je parlais avec les joueurs de mon trio: un Finlandais et un Tchèque. Je leur disais que ce qui m'intéressait, ce n'étaient pas les statistiques individuelles mais notre travail de groupe. Pour qu'on soit le meilleur trio et qu'on aide notre équipe à remporter les matchs. Et non que je me préoccupe seulement des buts que je marque et rien d'autre. Je dis souvent ce genre de choses aux gars avec qui je joue. J'essaye d'aider mes partenaires à changer ceci ou cela pour que notre trio soit le meilleur. J'ai toujours dit que, peu importe l'équipe pour laquelle je joue, je veux que mon trio soit le meilleur, coûte que coûte. C'est la même chose ici. Si on regarde les autres clubs, les joueurs travaillent en équipe, s'entraident. Chez nous, ils ne voient pas ça, ou ne veulent pas voir ça. Tu marques un but et c'est tout. T'as terminé ton travail pour le match et t'as même plus besoin de jouer jusqu'à la fin.
Mon dieu qu'il doit être serein cette saison...pratiquement aucune préoccupation
Y a pas pensé que ca ne doit pas être seulement aux autres qui joue avec lui de s'adapter...mais qu'il pourrait s'adapter au 2 autres
Citation :Q - Dans cette situation, peut- être est-il mieux pour vous de ne pas parvenir aux séries éliminatoires, mais plutôt de participer au Championnat du monde, à Moscou?
R - C'est sûr que j'aimerais parti ciper au Championnat du monde. Mais je ne peux pas ne pas jouer ou tout faire pour éviter les éliminatoires. Au contraire, je suis très intéressé à participer aux séries. Je veux y participer et je veux gagner. C'est certain que ça me fait toujours plaisir de jouer pour l'équipe nationale, si on m'invite. Mais il y a tellement de jeunes en ce moment. L'équipe est très présentable cette année. Il se peut que Montréal n'accède pas aux séries éliminatoires et qu'on ne m'invite pas dans l'équipe nationale.
Tu peux...tu le prouves
Je sais pas pourquoi,...mais on dirait qu'il fait une fixation sur les jeunes
Citation :Q - À votre avis, Montréal peut- il résoudre ses problèmes internes avant les séries?
R - Je ne sais pas. C'est un travail de longue haleine. Ça ne se passe pas du jour au lendemain. Ça prend beaucoup de temps pour que les gens comprennent. J'espère toujours pour le mieux et je travaille dans cette optique. Ce n'est pas un sport individuel, ni une équipe de trois ou quatre personnes. Certains ont ce comportement: tu leur dis quelque chose, ils te regardent, font un signe d'approbation. Tu te retournes et ils disent: Pourquoi il ne me fiche pas la paix?
En plus d'être sourd Il est au chomage
Coudon...le problême du CH c'est les 22 autres joueurs et non lui..
Bob...ne te reste qu'a échanger tout le monde sauf Kovalev et la tu vas avoir une équipe gagnante
Publié : mar. mars 06, 2007 6:22 am
par blower
Ce que je trouve plate dans cette histoire c'est que 2 cr.....
de journalistes se sont dits ''tiens c'est tranquille cette semaine, testons notre power et sortons un joueur de Montréal!!Hey ca marche notre affaire !!!''
Montréal amplifie encore plus de sa réputation de ville suicidaire et seul les québécois de 4ème trio ou 7ème défenseurs (genre Bégin, Bouillon...) voudrons venir jouer ici car c'est la seule place ou ils font le club.
La prochaine victime ?? Koivu ? Carbonneau ?
Publié : mar. mars 06, 2007 6:37 am
par Nriiiko
Kovalez joue au hockey 1 match sur 3-4 . Échanger moi ça!... mais personne veux de lui ,il travail pas, aucun effort. Ya du talent mais c un vieux russe lent lol, il joue quand ça y tente.... Et cette article est p-e vrai car c p-e le joueur avec le plus grosse égo que j'ai vue de tout ma vie... Dommage que chris higgins se sois blessé
Publié : mar. mars 06, 2007 10:57 am
par vivier
c'est certain que si Gainey avait pu l'échanger il l'aurait fait mais quand tu regarde son salaire combiné avec son rendement !!!!
Publié : mar. mars 06, 2007 2:12 pm
par bobépine
Le mardi 06 mars 2007
La Presse maintient sa version
L'entrevue accordée par Alex Kovalev à la journaliste russe Regina Sevostianova, et dont La Presse a révélé le contenu explosif dans son numéro d'hier, a fait couler beaucoup d'encre.
Sans surprise, Kovalev et la direction du Canadien se sont empressés de tout nier, hier, de façon à étouffer la controverse.
Les versions contradictoires que Kovalev a données depuis trois jours peuvent laisser songeur. Samedi, il affirme à notre journaliste Richard Labbé qu'il ne donne des entrevues qu'au Soviet Sport et qu'il n'a jamais parlé à Mme Sevostianova. Dimanche, celle-ci révèle à Mathias Brunet qu'elle a collaboré étroitement avec Kovalev aux Jeux de Turin.
Hier, Kovalev admet finalement avoir accordé l'entrevue à la reporter à la radio. Ces contradictions, jumelées aux courriels que nous avons reçus de la journaliste russe dimanche, font en sorte que les propos tenus hier par l'attaquant du Canadien nous apparaissent étonnants et peu convaincants.
L'entraîneur Guy Carbonneau a reproché aux médias de ne pas avoir fait leur travail dans cette affaire. Pourtant, La Presse a pris toutes les précautions pour s'assurer de la véracité des faits. À peine quelques minutes avant l'heure de tombée samedi, la direction de La Presse a même décidé de reporter la publication du dossier afin de procéder à des vérifications supplémentaires, après que Kovalev eut fermement déclaré ne pas connaître la journaliste russe.
Quand elle nous a confirmé dimanche que la version imprimée dans le magazine était une reproduction mot à mot de l'entretien à la radio, nous avons alors jugé que nous pouvions mettre toute l'histoire au jour.
Mathias Brunet, qui a découvert l'existence de l'entrevue controversée, est un journaliste d'expérience, reconnu pour sa grande éthique professionnelle. Il n'aurait pas accepté de signer un texte s'il n'avait pas fait le maximum au préalable pour s'assurer de la véracité des déclarations.
À la lumière des déclarations émises hier pour tenter de minimiser l'affaire, rien n'ébranle notre profonde conviction que notre version des faits est la bonne.
Jean-Pascal Beaupré
Directeur des sports