l'Arctique disparaitra d'ici 100 ans
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- Manitou de la Parlotte
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ouain ben ça fait vraiment peur! étant moi même un jeune homme pensant à son avenir avec son amoureuse, ça me fait quesment peur maintenant de penser à avoir des enfants parce que je me dis: "C'est quoi ca donne d'avoir des enfants? Quel avenir je vais leur laisser? Quand on pense à ca, dans une cinquantaine d'années, ca va etre vraiment épouvantable.... c'est vraiment épouvantable!! Nous courrons véritablement vers notre mort. C'est sans compte également des guerres, des attentats térroristes, etc. On s'ai jamais quand qu'on va peux-etre avoir une bombe nucléaire qui va éclater et qui va tuer des millions d'innocents ou sinon un virus dans notre eau potable qui ferait le même effet. J'ai peur pour notre avenir..
Lutte régionale contre l’effet de serre aux Etats-Unis
Neuf Etats du Nord-Est des Etats-Unis achèvent la mise au point d’un accord de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Selon un document de travail encore confidentiel dont le New York Times a eu connaissance, ces Etats prévoient de réduire de 10% les émissions de leurs usines électriques d’ici 2020. Outre l’Etat de New York, les Etats concernés sont le Connecticut, le Delaware, le Maine, le Massachusetts, le New Hampshire, le New Jersey, Rhode Island et le Vermont.
Dans le cadre de cette initiative régionale une sorte de marché de régulation des émissions de CO2 serait mis en place pour 600 usines productrices d’électricité. Un plafond total serait fixé –autour de 150 millions de tonnes de CO2 par an- et devrait être maintenu jusqu’en 2015. Sachant que la consommation et donc la production d’électricité va continuer à augmenter, cela implique de réduire les émissions au stade de la fabrication.
Cette initiative régionale est notamment l’œuvre du Républicain George Pataki, gouverneur de l’Etat de New York, en désaccord avec la politique de George Bush sur le climat. La décision du Président des Etats-Unis de ne pas ratifier le protocole de Kyoto sur la lutte contre l’effet de serre a créé des divisions. Il y a quelques mois 130 maires, dont ceux de Los Angeles et de New York, se sont retrouvés pour discuter de la réduction des gaz à effet de serre au niveau local. Sur la côte Ouest, la Californie, l’Oregon et l’Etat de Washington discutent d’un plan similaire à celui des neuf Etats de la côte Est.
Cécile Dumas
Neuf Etats du Nord-Est des Etats-Unis achèvent la mise au point d’un accord de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Selon un document de travail encore confidentiel dont le New York Times a eu connaissance, ces Etats prévoient de réduire de 10% les émissions de leurs usines électriques d’ici 2020. Outre l’Etat de New York, les Etats concernés sont le Connecticut, le Delaware, le Maine, le Massachusetts, le New Hampshire, le New Jersey, Rhode Island et le Vermont.
Dans le cadre de cette initiative régionale une sorte de marché de régulation des émissions de CO2 serait mis en place pour 600 usines productrices d’électricité. Un plafond total serait fixé –autour de 150 millions de tonnes de CO2 par an- et devrait être maintenu jusqu’en 2015. Sachant que la consommation et donc la production d’électricité va continuer à augmenter, cela implique de réduire les émissions au stade de la fabrication.
Cette initiative régionale est notamment l’œuvre du Républicain George Pataki, gouverneur de l’Etat de New York, en désaccord avec la politique de George Bush sur le climat. La décision du Président des Etats-Unis de ne pas ratifier le protocole de Kyoto sur la lutte contre l’effet de serre a créé des divisions. Il y a quelques mois 130 maires, dont ceux de Los Angeles et de New York, se sont retrouvés pour discuter de la réduction des gaz à effet de serre au niveau local. Sur la côte Ouest, la Californie, l’Oregon et l’Etat de Washington discutent d’un plan similaire à celui des neuf Etats de la côte Est.
Cécile Dumas
Climat: pas de réconciliation autour du Groenland
Icebergs dans la baie de Disko, au Groenland. (AP Photo/John McConnico)
Malgré les constats alarmistes et répétés sur le recul des glaciers du Groenland, où le réchauffement climatique serait trois fois plus marqué que sur le reste de la planète, les Etats réunis par le Danemark n’ont pas réussi à taire leurs divisions. La ministre danoise de l’Environnement, Connie Hedegaard, a regretté que les pays participants aient préféré blâmer les autres pour leur manque d’action plutôt que de faire des propositions concrètes sur leur façon de lutter contre le réchauffement climatique.
Les représentants de vingt-trois pays, dont les membres de l’Union européenne, les Etats-Unis, le Canada, la Chine ou l’Inde, se sont réunis pendant quatre jours, du 16 au 19 août, à Ilulissat, au nord du cercle arctique, pour discuter à huis clos de l’évolution du climat en Arctique, à l’initiative de Mme Hedegaard.
Les ministres présents à la réunion ont pu observer depuis un hélicoptère le recul du glacier d’Ilulissat, classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO en 2004. la visite était guidé par des chercheurs de l’ACIA, le comité chargé d’évaluer l’impact des changements climatiques en Arctique (Arctic Climate Impact Assessment). Leur dernier rapport publié en novembre dernier indiquait que le continent Arctique se réchauffe trois fois plus vite que le reste de la planète.
Le prochain sommet sur le climat aura lieu à Montréal en novembre prochain. Au cours de cette conférence des Nations Unies les signataires du protocole de Kyoto doit discuter de son extension au-delà de 2012.
C.D.
Icebergs dans la baie de Disko, au Groenland. (AP Photo/John McConnico)
Malgré les constats alarmistes et répétés sur le recul des glaciers du Groenland, où le réchauffement climatique serait trois fois plus marqué que sur le reste de la planète, les Etats réunis par le Danemark n’ont pas réussi à taire leurs divisions. La ministre danoise de l’Environnement, Connie Hedegaard, a regretté que les pays participants aient préféré blâmer les autres pour leur manque d’action plutôt que de faire des propositions concrètes sur leur façon de lutter contre le réchauffement climatique.
Les représentants de vingt-trois pays, dont les membres de l’Union européenne, les Etats-Unis, le Canada, la Chine ou l’Inde, se sont réunis pendant quatre jours, du 16 au 19 août, à Ilulissat, au nord du cercle arctique, pour discuter à huis clos de l’évolution du climat en Arctique, à l’initiative de Mme Hedegaard.
Les ministres présents à la réunion ont pu observer depuis un hélicoptère le recul du glacier d’Ilulissat, classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO en 2004. la visite était guidé par des chercheurs de l’ACIA, le comité chargé d’évaluer l’impact des changements climatiques en Arctique (Arctic Climate Impact Assessment). Leur dernier rapport publié en novembre dernier indiquait que le continent Arctique se réchauffe trois fois plus vite que le reste de la planète.
Le prochain sommet sur le climat aura lieu à Montréal en novembre prochain. Au cours de cette conférence des Nations Unies les signataires du protocole de Kyoto doit discuter de son extension au-delà de 2012.
C.D.
bikeuse a écritClimat: pas de réconciliation autour du Groenland
Icebergs dans la baie de Disko, au Groenland. (AP Photo/John McConnico)
Malgré les constats alarmistes et répétés sur le recul des glaciers du Groenland, où le réchauffement climatique serait trois fois plus marqué que sur le reste de la planète, les Etats réunis par le Danemark n’ont pas réussi à taire leurs divisions. La ministre danoise de l’Environnement, Connie Hedegaard, a regretté que les pays participants aient préféré blâmer les autres pour leur manque d’action plutôt que de faire des propositions concrètes sur leur façon de lutter contre le réchauffement climatique.
Les représentants de vingt-trois pays, dont les membres de l’Union européenne, les Etats-Unis, le Canada, la Chine ou l’Inde, se sont réunis pendant quatre jours, du 16 au 19 août, à Ilulissat, au nord du cercle arctique, pour discuter à huis clos de l’évolution du climat en Arctique, à l’initiative de Mme Hedegaard.
Les ministres présents à la réunion ont pu observer depuis un hélicoptère le recul du glacier d’Ilulissat, classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO en 2004. la visite était guidé par des chercheurs de l’ACIA, le comité chargé d’évaluer l’impact des changements climatiques en Arctique (Arctic Climate Impact Assessment). Leur dernier rapport publié en novembre dernier indiquait que le continent Arctique se réchauffe trois fois plus vite que le reste de la planète.
Le prochain sommet sur le climat aura lieu à Montréal en novembre prochain. Au cours de cette conférence des Nations Unies les signataires du protocole de Kyoto doit discuter de son extension au-delà de 2012.
C.D.
Au Point le directeur de Greenpeace a dit qu'un glacier reculait bien de 40 mètres par jours et qu'il aurait reculé de 5 km en 11 mois...!
Il y aura un entrevue de presse Vendredi sur ça...
Icebergs dans la baie de Disko, au Groenland. (AP Photo/John McConnico)
Malgré les constats alarmistes et répétés sur le recul des glaciers du Groenland, où le réchauffement climatique serait trois fois plus marqué que sur le reste de la planète, les Etats réunis par le Danemark n’ont pas réussi à taire leurs divisions. La ministre danoise de l’Environnement, Connie Hedegaard, a regretté que les pays participants aient préféré blâmer les autres pour leur manque d’action plutôt que de faire des propositions concrètes sur leur façon de lutter contre le réchauffement climatique.
Les représentants de vingt-trois pays, dont les membres de l’Union européenne, les Etats-Unis, le Canada, la Chine ou l’Inde, se sont réunis pendant quatre jours, du 16 au 19 août, à Ilulissat, au nord du cercle arctique, pour discuter à huis clos de l’évolution du climat en Arctique, à l’initiative de Mme Hedegaard.
Les ministres présents à la réunion ont pu observer depuis un hélicoptère le recul du glacier d’Ilulissat, classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO en 2004. la visite était guidé par des chercheurs de l’ACIA, le comité chargé d’évaluer l’impact des changements climatiques en Arctique (Arctic Climate Impact Assessment). Leur dernier rapport publié en novembre dernier indiquait que le continent Arctique se réchauffe trois fois plus vite que le reste de la planète.
Le prochain sommet sur le climat aura lieu à Montréal en novembre prochain. Au cours de cette conférence des Nations Unies les signataires du protocole de Kyoto doit discuter de son extension au-delà de 2012.
C.D.
Au Point le directeur de Greenpeace a dit qu'un glacier reculait bien de 40 mètres par jours et qu'il aurait reculé de 5 km en 11 mois...!
Il y aura un entrevue de presse Vendredi sur ça...
Le mercredi 31 août 2005
Photo: AFP
Le trou d'ozone au dessus du Pôle sud s'est largement agrandi
Agence France-Presse
Paris
Le trou d'ozone de l'Antarctique s'est élargi de façon spectaculaire en août, il continue à le faire et pourrait atteindre son maximum pour l'année en septembre, selon des observations du satellite d'environnement européen Envisat, a annoncé l'ESA (l'Agence Spatiale Européenne) mardi.
Envisat a été témoin, depuis la mi-août, d'une augmentation de l'ordre de 10 millions de kilomètres carrés du trou d'ozone, soit la superficie de l'Europe. Il n'a été supérieur en dimension qu'en 1996 et 2000, précise l'ESA.
Le spectromètre SCIAMACHY d'Envisat, conçu pour mesurer l'abondance de certains constituants atmosphériques dans la troposphère et la stratosphère, permet un suivi régulier des niveaux d'ozone à l'échelle de la planète et compile une base de données qui remontera jusqu'au milieu des années 90.
Il étudie le trou d'ozone au plan de la taille et de la durée, afin de jeter les bases d'un système de prévision dans le cadre d'un protocole de surveillance baptisé Promote, qui regroupe 30 partenaires de 11 pays.
Le service Promote stipule que les résultats obtenus par le satellite sont combinés aux données météorologiques et simulations de vents et sont utilisés par l'organisation mondiale de Méteorologie (OMM) pour établir et actualiser son Bulletin Ozone de l'Antarctique.
La couche d'ozone de la stratosphère protège la vie sur Terre du danger des rayons ultraviolets (UV). Elle est menacée par la présence de certaines substances chimiques dans l'atmosphère telles que la chlorine émanant de polluants dus à l'activité humaine comme les chlorofluorocarbones (composés contenant du carbone ainsi que du fluor et du chlore) appelés CFC.
Bannis par le protocole de Montréal en 1987, ils étaient auparavant largement utilisés dans les aérosols et les réfrigérateurs. Les CFC sont inertes, mais les rayons UV en altitude dans l'atmosphère les décomposent. Une seule molécule de chlorine peut détruire des milliers de molécule d'ozone.
Photo: AFP
Le trou d'ozone au dessus du Pôle sud s'est largement agrandi
Agence France-Presse
Paris
Le trou d'ozone de l'Antarctique s'est élargi de façon spectaculaire en août, il continue à le faire et pourrait atteindre son maximum pour l'année en septembre, selon des observations du satellite d'environnement européen Envisat, a annoncé l'ESA (l'Agence Spatiale Européenne) mardi.
Envisat a été témoin, depuis la mi-août, d'une augmentation de l'ordre de 10 millions de kilomètres carrés du trou d'ozone, soit la superficie de l'Europe. Il n'a été supérieur en dimension qu'en 1996 et 2000, précise l'ESA.
Le spectromètre SCIAMACHY d'Envisat, conçu pour mesurer l'abondance de certains constituants atmosphériques dans la troposphère et la stratosphère, permet un suivi régulier des niveaux d'ozone à l'échelle de la planète et compile une base de données qui remontera jusqu'au milieu des années 90.
Il étudie le trou d'ozone au plan de la taille et de la durée, afin de jeter les bases d'un système de prévision dans le cadre d'un protocole de surveillance baptisé Promote, qui regroupe 30 partenaires de 11 pays.
Le service Promote stipule que les résultats obtenus par le satellite sont combinés aux données météorologiques et simulations de vents et sont utilisés par l'organisation mondiale de Méteorologie (OMM) pour établir et actualiser son Bulletin Ozone de l'Antarctique.
La couche d'ozone de la stratosphère protège la vie sur Terre du danger des rayons ultraviolets (UV). Elle est menacée par la présence de certaines substances chimiques dans l'atmosphère telles que la chlorine émanant de polluants dus à l'activité humaine comme les chlorofluorocarbones (composés contenant du carbone ainsi que du fluor et du chlore) appelés CFC.
Bannis par le protocole de Montréal en 1987, ils étaient auparavant largement utilisés dans les aérosols et les réfrigérateurs. Les CFC sont inertes, mais les rayons UV en altitude dans l'atmosphère les décomposent. Une seule molécule de chlorine peut détruire des milliers de molécule d'ozone.
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat