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Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mar. août 10, 2010 8:26 pm
par asterisque
Thewinneris a écrit : Des vrais malade ces chasseurs de sorcière en Afrique! Pauvres enfants! Et dire qu'il faut donner des droits à toutes les croyances dans nos pays!
Y'a pas que les musulmans qui font des conneries...les catholiques aussi...
«Certains prêtres exploitent ces croyances, proposent des services d'exorcisme très coûteux», explique Joachim Theis. Les familles amènent alors ces «enfants-sorciers» pour une séance de «désenvoutement». Le pasteur confirme et légitime l'accusation et administre à l'enfant un «traitement spirituel». L'enfant est notamment isolé et privé de nourriture pendant plusieurs jours et victime de «mauvais traitements».
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mar. août 10, 2010 8:52 pm
par Nikki
asterisque a écrit : [...]
Y'a pas que les musulmans qui font des conneries...les catholiques aussi...
«Certains prêtres exploitent ces croyances, proposent des services d'exorcisme très coûteux», explique Joachim Theis. Les familles amènent alors ces «enfants-sorciers» pour une séance de «désenvoutement». Le pasteur confirme et légitime l'accusation et administre à l'enfant un «traitement spirituel». L'enfant est notamment isolé et privé de nourriture pendant plusieurs jours et victime de «mauvais traitements».
Ah mais je suis sûre que TheWinneris parle autant des extremistes catholiques que des autres sympathiques religieux extremistes de ce monde!
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mer. août 11, 2010 2:12 am
par Panda
asterisque a écrit : [...]
Y'a pas que les musulmans qui font des conneries...les catholiques aussi...
«Certains prêtres exploitent ces croyances, proposent des services d'exorcisme très coûteux», explique Joachim Theis. Les familles amènent alors ces «enfants-sorciers» pour une séance de «désenvoutement». Le pasteur confirme et légitime l'accusation et administre à l'enfant un «traitement spirituel». L'enfant est notamment isolé et privé de nourriture pendant plusieurs jours et victime de «mauvais traitements».
Qui a besoin d'un exorciste Catholique ?
Conseils du Père Jean Régis Fropo, Prêtre excorciste du Diocèse.
[youtube]
http://www.youtube.com/watch?v=FE7_1d1qUIA[/youtube]
Je crois en un seul Dieu initiateur de toute les religions.
Je ne crois pas aux religions. Mais je crois en Dieu. Et en la vierge Marie (demandez-moi pas pourquoi mais elle m'a aidé quand ma fille était à Ste-Justine et ne pesait pas 3 livres)
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mer. août 11, 2010 9:46 am
par Anya
Publié le 10 août 2010 à 10h32 | Mis à jour le 10 août 2010 à 10h38
La Corée du Nord se lance dans le «trafic de bras»
Cyberpresse
La Corée du Nord tente une nouvelle approche pour remettre son économie sur les rails : le trafic de main d’œuvre. Pyongyang exporte aux pays les plus offrants des milliers de travailleurs dont les salaires de misère sont directement reversés dans les coffres de l’État.
Selon Le Figaro, qui sonne l’alarme sur ce nouveau «trafic de bras», la Mongolie vient de négocier l’importation de 5000 ouvriers qui, encadrés de façon militaire, travailleront de force à la construction de routes, d'immeubles ou à la conduite des camions de chantiers.
«Leur principal atout, c'est qu'ils sont moins chers que les Chinois ou les Mongols», explique B.Tsogtgerel, président de Chinggis, un des plus gros groupes industriels du pays qui compte employer une partie de cette main-d'œuvre fraîche et bon marché. «Ils sont disciplinés et travaillent très dur», ajoute Enkhtstatsar.
Mais la Mongolie verrait encore plus gros. Elle voudrait servir d’intermédiaire entre la Corée du Nord et les autres pays demandeurs de main d’œuvre mais rechignent officiellement à traiter avec le régime autoritaire de Kim Jong-il.
À lire sur Le Figaro
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... ngolie.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : jeu. août 12, 2010 12:00 am
par nancy31f
Anya a écrit :
Le blogue Marie-Claude Lortie
Le Lundi 9 août 2010 | Mise en ligne à 12h48
Veuve, enceinte, exécutée
Couverture du Time, avec photo de Aisha, 18 ans, dont nez et les oreilles ont été coupés par les talibans, pour la punir d’avoir quitté la maison de son mari.
Quand on pense qu’on a tout vu, tout lu, tout entendu sur le traitement réservé aux femmes chez les talibans, surtout après la publication il y a quelques jours de cette bouleversante photo à la une du Time, arrive cette dépêche…
L’horreur, sans mot.
http://blogues.cyberpresse.ca/lortie/20 ... ECRAN1POS7" onclick="window.open(this.href);return false;
pauvre fille
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : jeu. août 12, 2010 3:19 pm
par Anya
Publié le 12 août 2010 à 11h20 | Mis à jour à 11h24
Une Iranienne condamnée à mort «avoue» son crime à la télévision
Agence France-Presse
Téhéran
Une Iranienne dont la condamnation à mort par lapidation pour adultère a suscité l'indignation mondiale a reconnu avoir été complice de l'assassinat de son mari, selon un document diffusé par la télévision d'État iranienne, contesté par l'avocat de l'accusée.
Dans une interview diffusée mercredi soir lors d'une émission politique dénonçant la «propagande des médias occidentaux», une femme présentée comme Sakineh Mohammadi-Ashtiani reconnaît qu'un homme avec lequel elle était en relation lui avait proposé de tuer son mari, et qu'elle a laissé cet homme commettre le meurtre lors duquel elle était présente.
L'avocat de l'Iranienne a répliqué jeudi à un journal britannique que sa cliente avait été «frappée violemment et torturée» pour qu'elle accepte de reconnaître sa culpabilité à la télévision iranienne.
«Elle a été frappée violemment et torturée jusqu'à ce qu'elle accepte d'apparaître face à la caméra», a affirmé Houtan Kian, avocat de l'Iranienne de 43 ans.
«Son fils Sajad, 22 ans, et sa fille Saeedeh, 17 ans, sont complètement traumatisés après avoir regardé cette émission», a-t-il indiqué dans cet entretien publié sur le site Internet du quotidien britannique The Guardian.
Sakineh Mohammadi-Ashtiani a été condamnée en 2006 pour avoir eu «une relation illégale» avec deux hommes après la mort de son mari. La sentence de lapidation, qui a suscité de nombreuses condamnations dans le monde occidental, a été temporairement suspendue par le chef de la Justice Sadeq Larijani.
Son avocat a fait part jeudi de craintes grandissantes que les autorités iraniennes mettent en oeuvre rapidement son exécution, commuée en mort par pendaison le mois dernier.
La semaine dernière, un haut responsable judiciaire iranien Mossadegh Kahnemoui avait assuré que «cette femme en plus d'un double adultère, a été également reconnue coupable de complot pour tuer son mari». «Son affaire est toujours en cours d'examen et rien n'a été décidé pour l'instant», avait-il ajouté.
«Ils mentent. Ils sont embarrassés par l'intérêt international porté à mon cas et ils essaient désespérément de distraire l'attention et de troubler les médias pour pouvoir me tuer en secret», avait déclaré au Guardian, via un intermédiaire, Mme Mohammadi-Ashtiani, relevant avoir «été déclarée coupable d'adultère et acquittée du meurtre».
Dans l'entrevue diffusée mercredi, Sakineh Mohammadi-Ashtiani, qui parle en azéri (turc) et dont les propos sont traduits en persan, est enveloppée d'un tchador noir qui ne laisse apparaître que son nez et un oeil.
Le responsable de la justice de la province d'Azerbaidjan oriental où l'affaire s'est déroulée en 2006, affirme lors de l'émission que Mme Mohammadi-Ashtiani a également endormi son mari en lui faisant une piqûre avant que le meurtrier ne l'électrocute.
Dans des déclarations lui ayant été attribuées le 7 août par le quotidien britannique The Guardian, Mme Mohammadi-Ashtiari, toujours détenue, a affirmé avoir été acquittée de l'accusation de meurtre et condamnée uniquement pour adultère.
Un responsable judiciaire iranien a toutefois déclaré début août à un organisme de l'ONU pour les droits de l'Homme qu'elle avait aussi été «reconnue coupable de complot pour tuer son mari». L'agence officielle iranienne IRNÀ avait affirmé auparavant que Mme Mohammadi-Ashtiani avait été condamnée pour «meurtre et crimes».
http://www.cyberpresse.ca/international ... cueil_POS3" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : ven. août 13, 2010 2:37 am
par Panda
Anya a écrit : Publié le 12 août 2010 à 11h20 | Mis à jour à 11h24
Une Iranienne condamnée à mort «avoue» son crime à la télévision
Agence France-Presse
Téhéran
Une Iranienne dont la condamnation à mort par lapidation pour adultère a suscité l'indignation mondiale a reconnu avoir été complice de l'assassinat de son mari, selon un document diffusé par la télévision d'État iranienne, contesté par l'avocat de l'accusée.
Dans une interview diffusée mercredi soir lors d'une émission politique dénonçant la «propagande des médias occidentaux», une femme présentée comme Sakineh Mohammadi-Ashtiani reconnaît qu'un homme avec lequel elle était en relation lui avait proposé de tuer son mari, et qu'elle a laissé cet homme commettre le meurtre lors duquel elle était présente.
L'avocat de l'Iranienne a répliqué jeudi à un journal britannique que sa cliente avait été «frappée violemment et torturée» pour qu'elle accepte de reconnaître sa culpabilité à la télévision iranienne.
«Elle a été frappée violemment et torturée jusqu'à ce qu'elle accepte d'apparaître face à la caméra», a affirmé Houtan Kian, avocat de l'Iranienne de 43 ans
«Son fils Sajad, 22 ans, et sa fille Saeedeh, 17 ans, sont complètement traumatisés après avoir regardé cette émission», a-t-il indiqué dans cet entretien publié sur le site Internet du quotidien britannique The Guardian.
Sakineh Mohammadi-Ashtiani a été condamnée en 2006 pour avoir eu «une relation illégale» avec deux hommes après la mort de son mari. La sentence de lapidation, qui a suscité de nombreuses condamnations dans le monde occidental, a été temporairement suspendue par le chef de la Justice Sadeq Larijani.
Son avocat a fait part jeudi de craintes grandissantes que les autorités iraniennes mettent en oeuvre rapidement son exécution, commuée en mort par pendaison le mois dernier.
La semaine dernière, un haut responsable judiciaire iranien Mossadegh Kahnemoui avait assuré que «cette femme en plus d'un double adultère, a été également reconnue coupable de complot pour tuer son mari». «Son affaire est toujours en cours d'examen et rien n'a été décidé pour l'instant», avait-il ajouté.
«Ils mentent. Ils sont embarrassés par l'intérêt international porté à mon cas et ils essaient désespérément de distraire l'attention et de troubler les médias pour pouvoir me tuer en secret», avait déclaré au Guardian, via un intermédiaire, Mme Mohammadi-Ashtiani, relevant avoir «été déclarée coupable d'adultère et acquittée du meurtre».
Dans l'entrevue diffusée mercredi, Sakineh Mohammadi-Ashtiani, qui parle en azéri (turc) et dont les propos sont traduits en persan, est enveloppée d'un tchador noir qui ne laisse apparaître que son nez et un oeil.
Le responsable de la justice de la province d'Azerbaidjan oriental où l'affaire s'est déroulée en 2006, affirme lors de l'émission que
Mme Mohammadi-Ashtiani a également endormi son mari en lui faisant une piqûre avant que le meurtrier ne l'électrocute .
Dans des déclarations lui ayant été attribuées le 7 août par le quotidien britannique The Guardian, Mme Mohammadi-Ashtiari, toujours détenue, a affirmé avoir été acquittée de l'accusation de meurtre et condamnée uniquement pour adultère.
Un responsable judiciaire iranien a toutefois déclaré début août à un organisme de l'ONU pour les droits de l'Homme qu'elle avait aussi été «reconnue coupable de complot pour tuer son mari». L'agence officielle iranienne IRNÀ avait affirmé auparavant que Mme Mohammadi-Ashtiani avait été condamnée pour «meurtre et crimes».
http://www.cyberpresse.ca/international ... cueil_POS3" onclick="window.open(this.href);return false;
Drôle de plan de meurtre ! Faut avoir ben de l'imagination ! Pas fort ceux qui veulent l'accuser
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : ven. août 13, 2010 7:31 am
par Cass!
Sti pays de fou. Pas tres constructif comme commentaire mais ca fait du bien lollllllll.
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : ven. août 13, 2010 7:34 am
par pucinette
Cass! a écrit : Sti pays de fou. Pas tres constructif comme commentaire mais ca fait du bien lollllllll.
Pauvres femmes qui sont pognées là-bas
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : ven. août 13, 2010 9:58 am
par Anya
Publié le 13 août 2010 à 07h57 | Mis à jour à 08h05
Le travail des enfants atteint des proportions alarmantes au Yémen
Jamal AL-JABIRI
Agence France-Presse
Sanaa
Après la mort de leur père il y a deux ans, Rasil et Anouar ont été placés dans un garage automobile de Sanaa, venant ainsi grossir la cohorte d'enfants forcés d'entrer sur le marché du travail au Yémen, le plus pauvre des pays de la péninsule arabique.
Rasil al-Kamiri, 11 ans, et son frère Anouar, âgé de 8 ans et muet de naissance, passent le plus clair de leur temps les mains dans le cambouis, nettoyant des pièces détachées pour pouvoir nourrir le reste de la famille restée au village d'Al-Akhmoor, à 300 kilomètres au sud de la capitale.
«Je travaille jour et nuit», dit laconiquement Rasil alors qu'Anouar, le sourire innocent, observe les gestes de son aîné pour pouvoir les imiter.
Selon une étude de 2010 de l'ONG basée aux États-Unis CHF International, cinq des onze millions d'enfants yéménites travaillent. Les trois cinquièmes ne sont pas scolarisés.
Selon l'organisation, 40% de ces enfants sont forcés à travailler entre l'âge de 7 et 13 ans et 10% commencent à travailler à 9 ans. Ce taux atteint 20% à 12 ans et 40% à 13 ans.
Plus encore, 80% de cette population effectue des travaux dangereux ou fatigants et 60% utilisent des outils dangereux pour leur âge, tandis que 30% avouent avoir été blessés ou être tombés malades au travail.
Un cinquième sont maltraités et 10% victimes d'abus sexuels, selon l'étude qui relève que certains parents poussent leurs enfants à aller travailler en Arabie saoudite voisine où ils peuvent gagner quelque 400 dollars par mois, un montant très supérieur aux salaires yéménites.
Selon l'organisation yéménite des droits de l'Homme Seyaj, des centaines d'enfants sont utilisés dans les provinces de Hijja et Houdeida (nord-ouest) dans le trafic de drogue avec les pays voisins.
«Plus de 200 enfants sont utilisés pour le trafic de drogue en Arabie saoudite (...) contre de modestes sommes d'argent», a affirmé à l'AFP Ahmed al-Qurachi, patron de l'ONG.
Le gouvernement est conscient du problème mais plaide l'impuissance.
Adel al-Charaabi, directeur au ministère des Affaires sociales et du Travail note que «la pauvreté explique le travail des enfants».
«La seule solution consiste à développer l'économie», ajoute-t-il.
Mais dans un pays aux ressources limitées et secoué par les violences, la situation des enfants qui travaillent ne semble pas prioritaire.
Selon une étude faite en juin par le ministère des Affaires sociales, «192 000 enfants sont employés dans l'agriculture» et exposés aux pesticides, ce qui provoque de nombreuses maladies de la peau, de l'asthme, des bronchites et parfois la perte de la vue.
Près de la moitié de ces enfants ont des maladies de la peau et 30% souffrent d'infections, selon l'étude.
«L'agriculture, qui était le métier le plus sûr, est devenu l'un des plus dangereux avec la généralisation des pesticides», dit M. Qurachi.
Les ateliers de réparation automobile utilisent un grand nombre d'enfants, selon la même étude.
«Enfants soldats», tel est le sort d'autres jeunes, relève M. Qurachi qui indique que des enfants ont combattu à la fois aux côtés des rebelles chiites dans le nord du pays et dans les rangs des tribus qui leur sont hostiles.
«Le gouvernement le sait bien», souligne ce militant.
Outre le travail, «la moitié des enfants yéménites souffrent de malnutrition chronique et un sur 10 meurt avant l'âge de cinq ans», selon le Programme alimentaire mondial. Ils figurent en deuxième position après ceux d'Afghanistan et à la troisième place pour leur faible poids après ceux de l'Inde et du Bangladesh.
http://www.cyberpresse.ca/international ... ction_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mar. août 17, 2010 11:47 am
par Anya
Karzaï condamne la lapidation d'un couple
AFP
17/08/2010 | Mise à jour : 11:09 Réactions (23)
Le président afghan Hamid Karzaï a condamné aujourd'hui la lapidation à mort d'un couple d'Afghans accusé d'adultère par les talibans dans le nord de l'Afghanistan.
"Le président Hamid Karzaï condamne la lapidation à mort de deux jeunes par les talibans dans la province de Kunduz et estime qu'il s'agit d'un crime impardonnable", indique la présidence afghane dans un communiqué.
Selon un témoin, des responsables locaux et un chef rebelle, une jeune femme de 23 ans, déjà fiancée, et un homme marié de 28 ans ont été condamnés par les talibans à la lapidation devant une centaine de personnes, en majorité des talibans, dans le district d'Imam Sahib (province de Kunduz).
Le couple avait quitté son village et avait été arrêté à son retour par les talibans.
"Les talibans les ont condamnés à la mort par lapidation et des personnes dans la foule ont lancé des pierres sur le couple jusqu'à ce qu'ils meurent", avait affirmé Abdul Satar, un habitant témoin de l'exécution. Le couple était debout, les mains liés dans le dos, au milieu d'un champ de leur village de Mullah Quli.
Les insurgés gagnent du terrain depuis deux ans dans cette partie du nord de l'Afghanistan auparavant stable. Et dans les zones contrôlées par les insurgés, la justice est rendue par des juges talibans et non par le gouvernement de Kaboul. Les cas de condamnations à mort sont cependant beaucoup plus rares qu'à l'époque où les talibans étaient au pouvoir (1996-2001).
Les talibans, qui prônent une application très stricte de la loi islamique, coupaient mains et pieds aux Afghans reconnus coupables de vol.
Selon la loi islamique, les relations sexuelles avant le mariage sont punies de centaines de coups de fouet. Mais les relations extra-maritales sont punies de la peine de mort.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/ ... couple.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mar. août 17, 2010 9:32 pm
par Nadjal
pucinette a écrit : [...]
Pauvres femmes qui sont pognées là-bas
Pauvres enfants qui viennent au monde dans c'est pays la.... c'est plate a dire mais tabarnouche, je veux tellement rien savoir des gens qui viennent de la, on dit souvent de pas mettre tout le monde dans le meme panier mais c'est tellement rendu difficile. Maintenant que j'ai une fille des fois je me surprends a penser a ce qui pourrait bien arriver si par malheur un jour elle venait qu'a tomber amoureuse d'un garcon Iranien mettons... oufff je sias pas ce que je ferais. J'ai tellement de mal avec ca, je veux bien respecter leur culture, religion tout ce que vous voulez mais quand l'integrité physique ou moral, metal ect d'une personne est en jeu la désolée mais j'ai la meche tres courte. Ca m'enrage litéralement, au zoo de Granby il arrive souvent de rencontrer des gens comme ca, et on voit monsieur en costume de bain se baigner avec les enfants pendant que madame est assise a une table avec une robe jusqu'au cheville et un voile pis comme si c'est pas assez un manteau par dessus alors qu'il fait 30 degrés... c'est completement fou et c'est pas le pire ! J'ai déja dis a un homme une fois ''vous devriez avoir honte de laisser votre pauvre femme crever de chaleur dans tout ses vetements, ici c'est le Canada Monsieur'' et mon chum m'avait ramasser par le bras assez vite pour me faire avancer et il m'a dit ''bravo championne, qu'est ce que tu penses qui va arriver maintenant, c'est probablement elle qui va manger la claque sur la gueule a cause de ton commentaire'' ca m'avait fait réfléchir en maudit et j'ai jurée de ne plus jamais faire de remarque mais crime que je trouve ca dur.
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mar. août 17, 2010 10:33 pm
par Nikki
Nadjal a écrit : [...]
Pauvres enfants qui viennent au monde dans c'est pays la.... c'est plate a dire mais tabarnouche, je veux tellement rien savoir des gens qui viennent de la, on dit souvent de pas mettre tout le monde dans le meme panier mais c'est tellement rendu difficile. Maintenant que j'ai une fille des fois je me surprends a penser a ce qui pourrait bien arriver si par malheur un jour elle venait qu'a tomber amoureuse d'un garcon Iranien mettons... oufff je sias pas ce que je ferais. J'ai tellement de mal avec ca, je veux bien respecter leur culture, religion tout ce que vous voulez mais quand l'integrité physique ou moral, metal ect d'une personne est en jeu la désolée mais j'ai la meche tres courte. Ca m'enrage litéralement, au zoo de Granby il arrive souvent de rencontrer des gens comme ca, et on voit monsieur en costume de bain se baigner avec les enfants pendant que madame est assise a une table avec une robe jusqu'au cheville et un voile pis comme si c'est pas assez un manteau par dessus alors qu'il fait 30 degrés... c'est completement fou et c'est pas le pire ! J'ai déja dis a un homme une fois ''vous devriez avoir honte de laisser votre pauvre femme crever de chaleur dans tout ses vetements, ici c'est le Canada Monsieur'' et mon chum m'avait ramasser par le bras assez vite pour me faire avancer et il m'a dit ''bravo championne, qu'est ce que tu penses qui va arriver maintenant, c'est probablement elle qui va manger la claque sur la gueule a cause de ton commentaire'' ca m'avait fait réfléchir en maudit et j'ai jurée de ne plus jamais faire de remarque mais crime que je trouve ca dur.
Mais en même temps, si elle ne la mange pas là la claque sur la gueule, elle va la manger à l'autre prétexte suivant... C'est une roue sans fin..
Il faut le dénoncer, peut-être qu'on n'a pas forcément tous la bonne façon exacte qu'il faut faire, mais il ne faut pas renoncer à dénoncer l'injustice dont sont victimes une quantité phénoménale de gens dans le monde, souvent des femmes et des enfants, mais aussi des hommes... Il ne faut jamais arrêter d'y penser...
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mer. août 18, 2010 6:42 pm
par Carmelle
Merci Nikki pour le sujet très intéressant:
Voici un article qui date de 2009 et qui se passe ici au au Canada et même au QUEBEC
TRAFFIC HUMAINS
MONTREAL - Des défenseurs des droits de la personne affirment que des trafiquants d'êtres humains vendent des jeunes filles en tant qu'esclaves sexuelles pour aussi peu que 2000 $ au Canada, une situation que les gens n'imaginent pour la plupart possible qu'à l'étranger.
Joy Smith, députée du Parti conservateur qui milite contre le trafic humain, a indiqué mercredi que l'augmentation de ce genre d'activité au pays était passée largement inaperçue parce que les Canadiens croient que les jeunes filles choisissent elles-mêmes de devenir travailleuses du sexe.
Mme Smith a avancé que certaines filles étaient vendues pour 2000 $ à Montréal.
Des observateurs internationaux ont décrit le trafic humain comme étant l'un des crimes connaissant la croissance la plus forte au monde. Le Canada n'échappe pas au phénomène.
Mme Smith a affirmé qu'il s'agissait-là du secret le mieux gardé au Canada, ajoutant que ce secret était honteux.
La députée conservatrice doit prononcer une allocution à ce sujet, à Montréal, dans le cadre d'une conférence sur le trafic humain d'une durée de quatre jours devant débuter ce jeudi.
L'ONU estime que 2,5 millions de personnes en provenance de 127 pays ont été déplacés à travers le monde sous une forme ou une autre de servitude, incluant le travail forcé ou l'ablation d'organes à des fins de trafic.
Ces activités rapporteraient des milliards de dollars.
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) dit croire que de 800 à 1200 personnes ont été victimes du trafic humain au pays. Certains défenseurs des droits de la personne croient cependant que ce chiffre atteint 1500.}
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mer. août 18, 2010 6:45 pm
par Carmelle
Stéphanie Bérubé
La Presse
Traffic d'enfants
(Java) En Indonésie, le trafic d'enfants n'est pas une légende urbaine. Le triste phénomène existe depuis toujours. Mais avec la crise économique qui s'ajoute à la crise alimentaire, la situation s'est aggravée. Certains parents préfèrent laisser partir leurs enfants pour quelques dollars contre la vague promesse qu'ils auront du travail une fois à destination. Promesse à laquelle eux-mêmes ne croient pas vraiment.
«Dans mon village natal, une famille a vendu son adolescente, raconte la jeune Yulitta Tri Rahahayuningsih, professeure dans une grande ville de l'île de Java. Des gens ont offert de l'argent à sa famille en lui promettant qu'elle deviendrait serveuse dans un restaurant. On ne l'a jamais revue. Je crois qu'elle doit être hôtesse dans un karaoké à Singapour. Dans l'esprit de cette famille, il n'y avait pas d'autre moyen d'obtenir de l'argent. Elle le regrette aujourd'hui.»
En Asie, on appelle gentiment «hôtesses» les prostituées qui travaillent dans les karaokés. Dans certains de ces bars, il n'est d'ailleurs pas du tout question de chanson. Ce ne sont que des bordels déguisés par quelques micros. On les reconnaît sans peine. Les adolescentes, normalement friandes de karaoké, ne les fréquentent pas du tout. Il n'y a que des hommes qui passent leurs portes.
Contrairement à ce que prétend Yulitta, les parents qui laissent partir leur enfant contre une poignée de dollars connaissent très bien les risques. Surtout s'il s'agit d'une fille.
«Ce sont des familles très pauvres qui sont sollicitées», explique Tata Sudrajat, de l'organisme Save the Children, qui, comme son nom l'indique, travaille au mieux-être des enfants. «Les familles ne peuvent plus soutenir leurs enfants financièrement. Donc, elles préfèrent les laisser partir.»
Épouses par catalogue
Les filles sont évidemment les premières victimes de ce triste marché. Si en plus elles ont le malheur d'être jolies, elles seront destinées à l'exportation. Elles peuvent avoir 14 ou 15 ans mais, sur leurs nouvelles cartes d'identité, elles gagnent vite quelques années et décrochent du coup l'âge légal pour quitter le pays, 21 ans.
De nombreuses Indonésiennes se retrouvent aides ménagères au Moyen-Orient, à Singapour ou à Kuala Lumpur. Pour la prostitution, ce sont souvent les karaokés de Tokyo qui accueillent les adolescentes, explique le représentant de Save the Children.
L'Indonésie est l'un des plus grands exportateurs de travailleurs du sexe. Depuis quelques années, les ONG étrangères ont beaucoup contribué à faire connaître le phénomène. Elles mettent aussi de la pression sur le gouvernement indonésien.
Mais la tâche est colossale. Malgré une loi promulguée en 2007 qui criminalise le trafic d'humains et l'exploitation sexuelle, les condamnations sont rares. Il y a beaucoup d'intermédiaires dans le trafic d'enfants, ce qui complique les enquêtes, déjà peu nombreuses, explique Tata Sudrajat. «On sait toutefois que le premier maillon de la chaîne est souvent un membre de la famille», précise-t-il. Un oncle plus ou moins éloigné qui servira de lien entre une famille démunie et un réseau d'exploitation d'enfants. La plupart de ces navrantes transactions se déroulent à la campagne, où le manque d'instruction contribue à la vulnérabilité des familles.
Les jeunes filles ne quittent pas toujours le pays, indique le dernier rapport annuel sur le trafic d'humains du département d'État américain. Elles sont parfois déplacées, de la campagne à la ville, sous de faux prétextes. L'Indonésie fournit aussi des épouses par catalogue à Taiwan, précise le même document, qui dresse un désolant portrait de la situation. «Le pire pays de la région», peut-on y lire.
L'UNICEF estime pour sa part que chaque année, en Indonésie, 100 000 femmes et enfants sont l'objet d'un trafic destiné à la prostitution. Et que le tiers des prostituées indonésiennes ont moins de 18 ans.
Le gouvernement indonésien a classé en 13 différentes catégories le travail des enfants. Dans la pire classe se trouvent la prostitution et le travail dans les usines de chaussures, dans les pêches et dans les mines.
«La main-d'oeuvre infantile, dans son ensemble, est un énorme problème en Indonésie», explique Tata Sudrajat, rencontré à l'automne dans les bureaux de l'organisme à Jakarta.
Enfants vulnérables
Une récente étude de Save the Children confirme le triste sort d'une partie des enfants indonésiens. Avant les crises qui secouent maintenant l'économie du premier pays musulman du monde, il y a eu une surprenante succession de catastrophes: tsunami, attentats en plein centre-ville de Jakarta et à Bali, tremblements de terre à Java. «En Indonésie, les crises frappent les unes après les autres. Les catastrophes sont un peu devenues notre quotidien», confie Tata Sudrajat. Dans un tel climat, les familles laissent partir leurs enfants. Le pays a un système «d'institutions» publiques, sorte de croisement entre l'orphelinat et le pensionnat, pour enfants abandonnés.
Le taux d'enfants placés dans ces institutions alors qu'ils ont encore au moins un parent est alarmant. Les parents les plus découragés n'iront même pas jusqu'à mener leur enfant dans un centre: ils préfèrent le vendre. «Les droits des enfants sont un concept encore difficile à implanter en Indonésie», précise Tata Sudrajat.
Selon une estimation de l'UNICEF, la moitié des enfants du pays n'ont pas de certificat de naissance. Ils ne sont inscrits nulle part, sur aucun registre officiel, ce qui les rend particulièrement vulnérables au trafic. Lorsqu'ils disparaissent, c'est comme s'ils n'avaient jamais existé. Il ne reste d'eux qu'un souvenir.
En 2007, le gouvernement indonésien a mis sur pied une nouvelle escouade pour contrer le trafic humain. L'opération «Fleur» a permis d'augmenter les condamnations de personnes impliquées dans le commerce. La peine moyenne était de 45 mois d'emprisonnement.
Le gouvernement a aussi multiplié l'aide aux victimes d'exploitation sexuelle. Et preuve qu'il n'ignore pas la portée du problème, il soutient des refuges pour les victimes en Indonésie, mais aussi en Arabie Saoudite, au Koweït, en Malaisie et à Singapour.
Reste à y mettre aussi les ressources nécessaires, précise Arum Ratnawati, du Programme international pour l'abolition du travail des enfants. «Le problème du trafic en Indonésie, et pas seulement pour les enfants, est d'une telle magnitude, dit-il, que cela limite la portée des actions du gouvernement, même avec la nouvelle loi.»
À lire également dans le cahier Plus, les reportages de Michèle Ouimet en Guinée et de Caroline Touzin en République dominicaine.
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mer. août 18, 2010 7:03 pm
par Carmelle
J'ai fait des recherches sur le sujet de traffic humains, de femmes, d'enfants et d'organes humains et j'ai trouvé sur you tube des documentaires assez surprenant sur les sujets mais la plupart en anglais. Je vais mettre ce que j'ai trouvé en francais sur le traffic des femmes le 1er lien les autres liens sur le sujet facile à trouver. Avec le 1er lien vous allez être en mesure de voir la suite car quand on regarde à droite du 1er vidéo les autres sont là.
Traffic de femmes:
9 vidéos voici le 1er lien vous devriez etre en mesure de trouver la suite. Regardez à droite de l'écran quand vous serez sur le 1er lien
Ces vidéos sont un doumentaire télévisé traduit en francais. la réalisatrice de ce documentaire est une certaine Ric Esther Bienstock
http://www.youtube.com/watch?v=VT5H86RMHKU" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mer. août 18, 2010 7:23 pm
par misscool45
C'est une de mes pires peurs ça, ça et me faire enlever et/ou violer
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : mer. août 18, 2010 7:43 pm
par Carmelle
Le trafic d'organes
Le marché des organes, un marché comme un autre ? 1 > Titre du blog :
Créé le: 14-01-2009
REPORTAGE Trafic d'organes condamnés à mort Chine
Le trafic d'organes est un commerce illégal souvent clandestin d'organes humains. Il est souvent exercé par des organisations mafieuses par conséquent criminelles et peu scrupuleuses.
Le succès des transplantations d’organes ne se dément pas, tandis que se creuse nettement l’écart entre l’offre et la demande. En raison de la pénurie chronique d’organes, 15 à 30 % des patients inscrits sur les listes d’attente décèdent avant d’avoir pu bénéficier d’une greffe. La recherche médicale a démontré qu’une greffe de rein augmente les chances de survie des patients. L’obtention d’organes à partir de donneurs décédés, mais surtout de donneurs vivants, est très limitée et strictement réglementée en Europe. Rien qu’en Europe occidentale, 120 000 patients sont régulièrement en dialyse, et près de 40 000 patients attendent une greffe de rein. Le délai pour obtenir une greffe devrait atteindre près de 10 ans en 2010. Ces pénuries correspondent à une diminituion constante du nombre de donneurs en état de mort cérébrale, du fait, notamment, de la réduction des accidents de circulation.
Une mobilisation nationale...qui pourrait sauver des vies
Les organisations criminelles internationales ont repéré ce trafic lucratif et font pression sur des personnes en situation de pauvreté extrême, particulièrement dans les pays pauvres, pour les inciter à vendre leurs organes. Des humains sont vendus comme pièces détachées pour répondre à la demande de riches malades en attente de transplantations d’organes. C’est un trafic lucratif organisé par des réseaux mafieux souvent en connexion avec le trafic de drogues, le trafic d'armes et la traite d’êtres humains pour "l’industrie du sexe" (prostitution).
Dans les années 1980, des experts ont commencé à remarquer une pratique baptisée par la suite “tourisme de transplantation”: de riches asiatiques se rendaient en Inde et dans d’autres régions du sud-est asiatique pour obtenir des organes de donneurs pauvres. Depuis, d’autres destinations ont vu le jour, telles que le Brésil et les Philippines. Selon certaines allégations, la Chine ferait commerce des organes prélevés sur les détenus exécutés. La vente d’organes se poursuit en Inde malgré les nouvelles lois du pays, qui rendent cette pratique illégale dans la plupart des états de ce pays fédéral.
En Europe, le trafic d' humains pour vendre les organes se trouvent principalement en Moldavie, Bulgarie et Roumanie. Une enquête publiée dans la presse en 2004, a montré également un trafic d’organes d’enfants albanais orphelins. Selon l'enquête, des " enfants de Tirana ont été assassinés et leurs organes sont partis pour l’Italie et la Grèce dans les valises diplomatiques de fonctionnaires albanais " et évoque des histoires macabres de cercueils vides ou contenant des enfants dépecés.
Selon un classement récement publié par l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) les Philippines feraient parties des cinq pays où le trafic d'organes est le plus florissant, aux côtés de la Chine, du Pakisan, de l'Egypte et de la Colombie. Les organisations clandestines et les chirurgiens spécialisés font des profits énormes de ces greffes d'organes.
Il y a de nombreuses façon de se procurer des organes, une de celle-ci consiste à les mettres en vente sur des sites web où les interventions peuvent être organisées en moins de 10 jours. D'ailleurs début septembre 1999, le célèbre site de ventes aux enchères "ebay" a arrêté la vente d'un rein humain. L'annonce mise en ligne par un citoyen de Floride (Etats-Unis) stipulait : "Reins humains fonctionnels à vendre. Vous pouvez choisir n'importe lequel des deux. L'acheteur assumera tous les coûts médicaux et de transplantation. Évidemment, un seul rein est à vendre car j'ai besoin de l'autre pour survivre. Offre sérieuses ". Seulement, lorsque "ebay" a suspendu l'enchère, le rein avait atteint la somme de 5,7 millions de dollars américains ($ et/ou USD).
Au pays des organes bon marché : la Moldavie
En Moldavie des dizaines voir des centaines de citoyens ont été recensés comme étant devenus donneurs de reins par besoin. Ce business très lucratif permet aux trafiquants de gagner des centaines de milliers de dollars. Ces réseaux deviennent de plus en plus prospère à l'heure d'aujourd'hui, la demande étant très nettement supérieure à l'offre. Les reins, lobes de foies, vésicules biliaires sont les plus retirés. Les spéculateurs sont sans cesse à la recherche de nouveaux candidats à travers le pays. Les donneurs qualifiées de victimes sont réellement influencés par ces personnes qui connaissent parfaitement la situation de leurs "proies" eux-mêmes étant auparavant "donneurs". De situation de donneurs ils deviennent des maillons de la chaîne en tant qu'intermédiaires et reçoivent une comission sur chaque organe. L'histoire suivante, tristement commune est celle de Gheorghe et Tatiana, sa femme. Ils se sont vus tentés par une somme idyllique de 10 000$ chacun pour le don de leurs reins. D'après leur intermédiaire il n'y aurait aucun problème de santé ultèrieur. Dans les mois qui ont suivit cet entretien, ils s'envolent pour la Turquie où ils sont illégalement opérés. Ils reviennent tous deux, Gheorghe possédait la totalité de la somme promise mais Tatiana est revenue avec 3000$ de moins que prévu et une voiture pour remplacer ceux-ci. Malgré cela ce fut quand même un important enrichissement pour eux, ce qui n'a pas laissé indifferent Ion le beau frère de Tatiana qui lui révèle son secret. Sans réfléchir il accepte de donner un organe. Après quelques simples coups de fil il apprend que pour son lobe de foie il recevra la somme colossale de 12 600$. Il part quelques jours plus tard pour la Roumanie, lui ausi assuré qu'il n'aurait aucun problème de santé par la suite. A son retour il reçoit comme Tatiana la non totalité de la somme 11 000 $ au lieu de 12 600$ prévus et une voiture. Les poches pleines malgré tout, Ion ne se sent pas bien et décide de consulter un médecin. Avec stupeur il apprend qu'à son insu on lui avait aussi retiré sa vésicule biliaire. Il n'y avait plus rien à faire.
Les intermédiaires sont des personnes très influentes et convaincantes. Ils arrivent par tous les moyens à obtenir ce qu'ils désirent.
Un jeune garçon âgé de 17 ans malgré le désaccord de ses parents et grâce à l'aide de la trafiquante pour sortir du pays, part pour se faire retirer un organe. De retour une semaine après son départ il revient un rein en moins et seulement 2700 $ en poches. L'intermédiaire lui avait assuré qu'il vivrait vieux. Il a seulement tenu huit ans. Il est mort des suites d'une insuffisance rénale de premier degré.
Les médecins affirment qu'un simple rhume pourrait détériorer le rein restant.
Certaines personnes pensant sortir de la misère s'y voient ancrés plus encore. "Le plus grave, c'est que j'ai cru échapper à la pauvreté en vendant mon rein. Les années ont passé, ma santé décline de plus en plus, et la pauvreté s'est enracinée dans ma vie" explique un des donneurs, " J'ai souvent des douleurs insupportables. Pour les calmer, je bois..."explique un autre.
Mais pour le ministère de la Santé moldave, tous ces gens ont donné un organe de leur plein gré et il n'y a donc aucune raison de leur reconnaître la moindre infirmité. De plus ceux-ci peuvent se voir juger et condamner à de la réclusion. Vendre ses organes est un délit puni par l'article 165 du code pénal de la république de Moldavie.
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : ven. août 20, 2010 2:50 pm
par Carmelle
Voici quelques unes des injustices infligé aux hommes. Aux Etats-Unis, la modification législative eût lieu à l’initiative de Bill Bradley, ancien sénateur démocrate du New Jersey et candidat à la présidentielle.
Son nom figure d’ailleurs sur l’amendement Bradley, une loi fédérale datant de 1986 qui interdit la réduction rétroactive de la soi-disant «pension alimentaire pour enfant», même dans les cas énumérés ci-dessus. La loi Bradley interdit le recours à la protection de la faillite, se moque des règlements qui en limiteraient la portée et interdit l'examen judiciaire de toute évidence qui corrobore l'incapacité de payer du débiteur.
La plupart des victimes de la loi Bradley ne sont jamais soumis à l’attention du public parce que, comme le fait remarquer l’auteur Bernard Goldberg qui analyse le biais dans les médias, ces derniers poursuivent sagement la ligne de propagande féministe en qualifiant ces hommes ruinés par le système de « pères indignes.»
Mais cet été, une affaire énorme a fait la manchette des médias. Frank Hatley a passé plus d’un an dans une prison de Géorgie en raison de son défaut de verser la soi-disant «pension alimentaire pour enfant» et ce même si un test ADN datant neuf ans et un autre de cette année confirment tous deux qu’il n’est pas le père biologique de l’enfant. Le 21 août 2001, ordonnance de la cour, signée par le juge Dane Perkins, a reconnu que Hatley n'est pas le père, mais lui a quand même ordonné de continuer à verser la pension tout en ne l’informant jamais qu'il pourrait avoir droit au service d’un avocat commis d'office si ses finances ne lui permettaient pas de retenir les services d’un avocat de pratique privée.
Hatley a ensuite versé au gouvernement (et non pas à la mère ou l'enfant) des milliers de dollars en «pension alimentaire pour enfants.» Même après avoir été licencié de son poste de manœuvre et réduits à vivre dans sa voiture, il a continué d’effectuer les paiements à même ses prestations de chômage.
Mais ce n’était pas suffisant pour satisfaire l’appétit vorace de ces bureaucrates à l’œuvre à la perception automatique des «pensions pour enfants.» Le juge Perkins a statué que Hatley se retrouvait en situation d’outrage au tribunal avant de l’expédier en prison sans autre forme de procès et sans jury.
Avec l'aide d'un avocat des services juridiques, il est parvenu à faire annuler ses futures obligations alimentaires et retrouver sa liberté, mais (en raison de la loi Bradley), le gouvernement exige que Hatley continue de verser 250 $ par mois jusqu'à ce qu'il ait remboursé la totalité de la dette de $16 398, que le gouvernement affirme qu’il a accumulé antérieurement (alors que la cour savait qu'il n'était pas le père de l’enfant supposément bénéficiaire de cette pension).
Ce système est moralement et constitutionnellement injuste, mais les autorités affirment que le tribunal a agi en toute légalité.
Un autre type d'indignité féministe est l'utilisation de fausses allégations de violence sexuelle envers les enfants en cas de divorce, afin de bonifier les chances de garde exclusive et d’encaisser le bonus financier qui l’accompagne.
Ray Spencer, un ancien officier de police de Vancouver, district de Washington, a passé près de 20 ans en prison après avoir été reconnu coupable d'agression sur ses deux enfants qui sont maintenant des adultes et qui affirment aujourd’hui que rien de tel ne s'est jamais produit.
Le fils, qui avait 9 ans à l'époque, a été interrogé isolément pendant des mois jusqu'à ce qu'il raconte avoir été abusé, afin d'obtenir que le détective lui fiche la paix. La fille, qui était alors âgé de 5 ans, a dit qu'elle a parlé à la détective après qu'il lui a donné la crème glacée.
Il y avait beaucoup d'autres violations de la procédure dans le procès de Spencer, comme le refus des procureurs de produire les examens médicaux qui ne révélaient aucune trace d'abus et le défaut de son avocat commis d'office de préparer une quelconque défense. Quoiqu’il en soit, le juge a condamné Spencer à deux sentences à vie plus 14 ans. À cinq reprises, les services correctionnels ont refusé la libération conditionnelle à Spencer, parce qu'il déniait sa culpabilité, une pratique coutumière de la part de ces services destinée à couvrir le popotin des procureurs et des juges qui s’acharnent à poursuivre des hommes tout en les sachant innocents.
Re: Les injustices et abus de ce monde
Publié : ven. août 20, 2010 4:01 pm
par Carmelle
Stop aux abus sur des poulets dans les abattoirs US !! Dites a KFC et a Tyson Foods de cesser immédiatement leurs cruautés !!!
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"PETA (est une association de défense des droits des animaux) a mené une investigation interne en 2004/2005 chez Heflin, Alabama, abattoir de Tyson, mais même cela ne nous a pas préparé aux actes dégoutants qui seraient filmés pendant deux investigations en 2007. Neuf jours durant, l'investigateur de PETA a vu des ouvriers urinant dans le secteur de l'accrochage, mème sur la bande du convoyeur qui déplace des oiseaux vers l'abattage.
L'investigateur a également filmé la cruauté écoeurante sur des animaux dans les abattoirs de Géorgie et du Tennessee.
Des surveillants des deux équies ont été directement impliqués dans des abus ou ont mis au courant l'investigateur. En plus des coupes et des membres cassés dont souffraient les poulets vivants dans presque chaque abattoir, l'investigateur a filmé ce qui suit :
-- Un employé a admis qu'il a fracassé un poulet en battant l'oiseau contre un rail, que les oiseaux étaient poignardés dans le cou et que plusieurs oiseaux ont été accrochés aux dispositifs d'accrochage par leurs cous au lieu de leurs pattes.
-- L'investigateur de PETA a filmé en vidéo un surveillant lui disant qu'il était acceptable d'arracher les têtes des oiseaux vivants qui avaient été incorrectement égorgés.
-- Les employés - se tenant parfois à 4 à 6 pieds du dispositif - ont jeté violemment des oiseaux dans les dispositifs d'accrochage. Quelques animaux ont manqué les dispositifs d'accrochage et sont tombés sur d'autres oiseaux sur la bande du convoyeur en dessous, cela n'a pas empéché l'employé de recommencer l'abus plusieurs fois.
-- Les oiseaux sont morts quand leurs têtes et pattes se sont emprisonnées sous une porte à l'extrémité de la bande du convoyeur qui transportait les oiseaux à accrocher. Un surveillant s'est rendu compte de ce problème mais n'a fait rien pour l'arrêter.
-- La lame de la machine à massacrer a souvent coupé les corps des oiseaux au lieu de leurs gorges. Bien qu'averti de ce problème, un surveillant n'a offert aucune solution, au lieu de cela il a blamé le problème en prétextant la "nature de la machine."
PETA a écrit a Tyson Foods et a demandé à la compagnie de virer tous les ouvriers qui étaient responsables des abus filmés dans ces deux équipements, d'installer immédiatement des appareils vidéos sur tous les niveaux de massacre et dans tous les secteurs, et de louer ses propres investigateurs internes pour rechercher et dénoncer la cruauté. Nous invitons également Tyson et KFC à introduire progressivement une méthode de loin moins cruelle d'abattage, connue sous le nom de massacre en atmosphère contrôlée, qui éliminerait le contact d'ouvriers avec les animaux vivants.
SVP écrivez a KFC et a Tyson Foods pour qu'ils cessent ces abus affreux en cliquant sur le lien ci-dessous
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