«En thérapie»: sur rendez-vous!
Du lundi 15 au vendredi 19 septembre 22 h, TV5
Philippe est divorcé depuis peu, et il espère prendre un nouveau départ. Malheureusement pour lui, une «bombe judiciaire» le force à affronter d’abord ses démons du passé. Philippe s’est installé dans un nouvel appartement. Ses frasques amoureuses sont derrière lui, et il souhaite se consacrer à de nouveaux clients, mais sa première semaine de travail ne s’annonce pas de tout repos.
En effet, Jacques Lachapelle, le père de son ancien patient Éric, débarque dans son bureau et lui annonce qu’il le poursuivra en justice. Il est écœuré par la manière dont le psychologue a traité son fils et il l’accuse d’être responsable de son suicide. Ces paroles ébranlent Philippe, qui ne peut s’empêcher d’éprouver de la culpabilité.
Lundi
Le psychologue n’a pas le choix: il doit se préparer à se défendre. La vie étant pleine de coïncidences, la personne que le cabinet d’avocats qu’il a choisi charge de le représenter est une de ses anciennes clientes, Camille Dussault. Cette dernière est maintenant âgée d’une quarantaine d’années. Elle est d’abord heureuse de revoir son thérapeute, mais sa joie cède vite la place aux récriminations.
Camille, qui a subi un avortement alors qu’elle était dans la vingtaine, à l’époque où elle suivait sa thérapie, est toujours célibataire et sans enfant. Elle reproche à Philippe sa solitude actuelle et, visiblement, elle n’est pas l’avocate qu’il lui faut. Cependant, le psychologue, lui, peut faire quelque chose pour elle. C’est ainsi que Camille redevient sa cliente, le lundi.
Mardi
Olivier, le fils de Florence et David, se pointe dans le cabinet de Philippe. Il est le reflet de la relation malsaine de ses parents. Le garçon est âgé de 11 ans, et il souffre d’embonpoint. Il a de la difficulté à accepter la séparation de ses parents, et particulièrement la garde partagée. Alors que David veut élever son fils à la dure, Florence préfère la méthode douce. Encore une fois, les anciens conjoints sont à couteaux tirés. La situation force Philippe à leur demander d’entreprendre une thérapie familiale.
Mercredi
Philippe fait la connaissance d’André Woolf, le PDG d’une entreprise de construction. Cet homme puissant fait des crises de panique depuis que la compagnie qu’il dirige a été impliquée dans un incident fâcheux. N’acceptant pas de composer avec cette faiblesse, il a décidé de consulter un psychologue pour remédier à la situation. En fouillant un peu, Philippe découvre que le travail n’est pas la seule chose qui trouble son client: le départ de sa fille pour l’Inde lui fait également craindre le pire.
Jeudi
La cliente du jeudi est Iris, une étudiante belle et brillante. Elle n’est pas facile d’approche et annonce d’entrée de jeu qu’elle a laissé tombé son psychologue précédent, qu’elle jugeait tota–lement incompétent. Pourquoi consulte-t-elle alors? Parce qu’elle porte un lourd secret qu’elle n’a encore confié à personne: trois semaines auparavant, on lui a diagnostiqué un cancer de stade 3. Elle ne veut rien savoir de la chimiothérapie tant qu’elle n’a pas reçu un deuxième diagnostic, celui d’un «homéopathe virtuel». Philippe essaie de lui faire entendre raison pendant qu’elle peut encore sauver sa peau.
Vendredi
Cette saison encore, la semaine se termine dans le bureau de Françoise. Philippe s’y rend, pas pour poursuivre sa thérapie, mais pour obtenir l’appui de son mentor dans son procès contre Lachapelle. Elle est la seule personne qui est au courant de ce qui se tramait entre Éric et Philippe, et elle peut témoigner en sa faveur.
Françoise insiste malgré tout pour que son protégé amorce une nouvelle thérapie, d’autant plus qu’une rencontre fortuite avec une ancienne amoureuse ravive en lui les souvenirs douloureux de sa jeunesse. Il claque la porte, opposé à cette idée, mais il sera certainement de retour la semaine prochaine...
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