bouquet a écrit : dans le cas de la député du NPD, le député libéral l'invite dans sa chambre, elle y va. Il a du se dire, l'affaire est Ketchup. Il fait ce qu,il pense avoir le droit de faire, fait ses approches , la député ne lui dit pas textuellement non, alors il continue. La député devait se dire en elle-même, maintenant que j'ai accepté de venir dans sa chambre, j'ai plus trop le choix et elle a figé. L'attitude de la mme devait être moins qu'enthousiaste . Le monsieur n'a pas noté, le flux sanguin du cerveau dirigé ailleurs.
Elle en parle à M. Trudeau qui au lieu de garder ça secret, comme la député le voulait, étale le tout sur la place publique, voulant devenir le champion des femmes en vue des élections. M. Trudeau n'étant pas capable de voir toutes les implications futures pour les personnes concernées. Les faits montrent qu'il aurait été difficile pour la dame de faire une plainte et de la gagner. En même temps , il est fort possible que le comportement du député puisse avoir été un peu suspicieux. Elle s'est alors tourné vers quelqu'un pensant qu'il pourrait l'aider, elle n'a malheureusement pas choisi le bon quelqu'un. Son cas est devenu une affaire politique. Ce qui à la fin n'aide pas la cause des femmes.
J'ai écouté des interventions à la radio, et expliqué de même, c'est vrai que ça fait bizarre. La député se serait mise dans une mauvaise situation elle-même. Mais nous n'étions pas là, donc je ne jugerai pas. Plein de facteurs peuvent être entrés en ligne de compte. Dans les cas de Gomeshi et Crosby, les femmes aussi allaient soit chez-eux ou dans leur chambre d'hôtel. Ça ne donne pas tous les droits. Je comprends cependant pourquoi les femmes ne dénoncent pas, difficile à prouver, et les gens se disent: Pourquoi es-tu allé chez lui? Je ne compare pas ici le député à ces deux monstres, juste la situation.
Et pour la deuxième femme il serait arrivé la même chose ???