Mirador
Modérateur : Elise-Gisèle
Re: Mirador
Avec la fin du conflit au Journal de Montréal, je présume
que http://www.ruefrontenac.com" onclick="window.open(this.href);return false; va cesser ses activités.
que http://www.ruefrontenac.com" onclick="window.open(this.href);return false; va cesser ses activités.
Re: Mirador
Je ne pense pas, Rue Frontenace est publié en papier aussi maintenant. Les journalistes du J. de M. n'ont pas tous été rembauché.matou19 a écrit : Avec la fin du conflit au Journal de Montréal, je présume
que http://www.ruefrontenac.com" onclick="window.open(this.href);return false; va cesser ses activités.
Probablement que Skarhet pourrait en dire plus
Lison de Gatineau
Re: Mirador
Non du tout... Peu de journalistes sont retournés au Journal de Montréal et maintenant Rue Frontenac continue comme entité indépendante.matou19 a écrit : Avec la fin du conflit au Journal de Montréal, je présume
que http://www.ruefrontenac.com" onclick="window.open(this.href);return false; va cesser ses activités.
***
Et ça me fait plaisir pour l'article
Re: Mirador
Vu l'importance de l'article et vu qu'il était en bas de page, je le remonte.Skarhet a écrit : Le retour de Mirador
Spectacles - Télévision
Écrit par Pascale Lévesque
Jeudi, 14 avril 2011
http://www.ruefrontenac.com" onclick="window.open(this.href);return false;
Le tournage de la deuxième saison de Mirador a commencé la semaine dernière. Gros scandales, changement de personnalités, tentatives de meurtre et nouveaux personnages sont sur la longue liste de rebondissements qui ponctueront la série diffusée à la SRC en 2011-2012.
Mirador, qui raconte les hauts et les bas d’un prestigieux cabinet de relations publiques, nous avait laissé sur l’accident de Richard (Gilles Renaud), fauché sauvagement par une voiture. Un attentat assez louche auquel le grand patron de la boîte survivra, non pas sans conséquences. Sa personnalité changera…
Luc (David LaHaye), aux cheveux plus blonds que jamais, et Philippe (Patrick Labbé) seront encore là pour veiller au grain au cabinet.
Si certains personnages disparaissent, notamment celui de Mylène (Évelyne Brochu), la belle blonde qui a envoûté Philippe, d’autres nouveaux personnages réguliers font leur apparition, a indiqué Daniel Thibault, qui co-scénarise la série avec sa conjointe Isabelle Pelletier et la participation de François Camirand
Patrick Labbé (Philippe) et David LaHaye (Luc). Photo courtoisie SRC
On fera donc connaissance avec Daniel, un nouvel employé de Mirador, et Michelle Baril, une amie de Luc. D’ailleurs, l’auteur nous informe à la blague qu’on retrouvera moins de nudité. «Pas qu'on s'est fait censurer, mais parce que notre deuxième va avoir 11 ans cette année, il est assez vieux pour veiller et écouter l'émission, mais on ne veut pas pousser indûment sur sa libido.»
Par contre, comme La Presse le rapportait il y a quelques mois, Véronique (Pascale Bussières) demeure dans l’émission et formera, enfin, un couple avec son Philippe.
La première saison de Mirador (au coût de 700 000$ par épisode) a été tournée dans des bureaux au 32e étage de la tour IBM. Deux ans plus tard, les locaux étant indisponibles, il a fallu reproduire les décors en studio. N’empêche, l’équipe aura quand même accès aux anciens lieux pour stocker des plans panoramiques, un élément somme toute important dans la série.
Intrigue
Quant à l’intrigue, les auteurs y ont apparemment bien fait profiter leur imagination. Cette deuxième saison devrait, si rien ne change, se terminer par une tragédie. Mais à travers les scandales politiques et autres, jamais les textes ne doivent nommer la GRC ni le SCRS. C’est la loi…comme dans 19-2 où la Sûreté du Québec avait fait place à la «Sécurité Québec».
Mirador est une co-production Encore Télévision et Sphère Média. Plus d’un million de téléspectateurs avaient regardé la première de l’émission en janvier 2010 et même s’il est passé sous la barre du million, son auditoire s’est relativement maintenu toute la saison.
Le tournage de cette seconde saison prendra fin le 24 août. On penche pour une diffusion à l’automne plutôt qu’à l’hiver, mais rien n’est certain. Chose sûre, le premier épisode de la saison sera un programme double de deux heures.
- lorraine48
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8240
- Inscription : mar. janv. 13, 2009 10:17 pm
Re: Mirador
je vais essayer d aller revoir la première saison car j en ai oublié des épisodes que je n ai pas écouté
- geneviève-2
- Immortel du Domaine
- Messages : 13820
- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
Re: Mirador
Les auteurs devraient s'inspirer de l'actualité et faire
dire à Luc une phrase assassine sur le «N-Di-Pi».
dire à Luc une phrase assassine sur le «N-Di-Pi».
Re: Mirador
Puisque je n'ai pas de vie, je vous sors du vieux stock.
Voici donc un article paru un mois avant le début de Mirador.
Voici donc un article paru un mois avant le début de Mirador.
Re: Mirador
Une série forte, intelligente et sexy
Roxanne Tremblay / 7Jours
2009-12-09 16:44:19
Lorsque vous faites la lecture des journaux le matin, quand vous écoutez la radio ou même lorsque vous lisez ces lignes sur internet, selon vous, le message envoyé par le journaliste a-t-il été pensé de toutes pièces par une firme de relations publiques?
Admettons-le, dans plusieurs des cas, oui. En tout cas, ceux qui nous sont présentés dans la série Mirador nous laissent deviner ce qui se passe vraiment dans les locaux des grandes agences montréalaises qui s’occupent de gérer — ou plutôt d’étouffer — les scandales les plus juteux.
Écrite par Daniel Thibault et Isabelle Pelletier, deux anciens du monde des relations publiques, la série Mirador — qui sera en ondes les mercredis à 21 h dès le 6 janvier à Radio-Canada — se veut intelligente, drôle, urbaine, audacieuse et sexy. Rien de moins. La réalisation de Louis Choquette est toujours empreinte de ce réalisme qui nous fait pratiquement croire que nous sommes nous-mêmes dans les coulisses de cette agence où toutes les stratégies sont permises pour arriver à nos fins. Et ça bouge.
Attendez-vous à des lignes crues et cyniques car on ne fait pas dans la dentelle. Vous pourrez entendre des perles tels, «Faster is better», «Notre job, c’est de mettre du crémage sur un tas de marde» et, la meilleure de toutes: «Les journalistes sont comme les Romains un vendredi saint: ils veulent juste crucifier quelqu’un pour “spinner” là-dessus.» On dira ce que l’on voudra, les personnages n’ont pas tort... parole d’une journaliste. Même que nous avons rigolé avec les créateurs de la série en précisant que ce n’était pas seulement les vendredis que nous voulions crucifier quelqu’un, mais les lundis aussi…
C’est ce ton irrévérencieux — nous sommes à mille lieues du déni — qu’on apprécie tant. La série plaira à ceux qui sont intéressés à découvrir comment les relationnistes tentent de récupérer une mauvaise nouvelle à l’avantage d’un client et à quel point il est facile de manipuler les médias. Que vous soyez dans le camp des gens de pouvoir, dans celui des victimes de scandales ou dans celui des journalistes, vous verrez que les auteurs ne se gênent pas pour montrer tous les aspects de chacune des parties.
Au cours des 10 épisodes d’une heure, nous suivons le destin de ce héros, Philippe Racine, joué par Patrick Labbé. Ayant quitté l’agence de son paternel il y a près de deux ans afin de faire un voyage initiatique en Amérique du Sud, il réapparaît, tel un fantôme, pour démissionner de façon officielle mais aussi pour exorciser ses vieux démons. En effet, pour un client, Philipe est allé contre ses valeurs morales et a sur la conscience le suicide d’une jeune femme éclaboussée par un parfum de scandale qui est devenue le bouc émissaire d’une sombre affaire.
Depuis son départ, bien des choses ont changé à l’agence. L'entreprise est maintenant gérée par Luc, le frère aîné fantasque et irrévérencieux de Philippe, pour qui l’éthique et les manières ont été relégués aux oubliettes. David La Haye fait un retour remarqué avec ce personnage qu’on aime détester. Il a tout de ces hommes métrosexuels sans attaches, durs en amour et en affaires, qui ont un penchant pour l’alcool et les belles filles. On devine que sous cette épaisse carapace se cache une faible estime de soi. Le père, campé par Gilles Renaud, supervise l’agence avec poigne. Comme il ne croit pas en les capacités de Luc à gérer l’entreprise, en fin renard, il manipule son autre fils, Philippe, afin que celui-ci reprenne son poste de «responsable de la cellule de crise» laissé vacant.
Outre ce fil conducteur, chaque épisode nous présente un scandale que la boîte aura à gérer. Le premier épisode en fera sourire plus d’un. Seb, une jeune vedette de Québec Idole, dont le public est composé «d’ados avec des broches sur les dents et de madames avec des broches aux hanches», verra une soirée olé olé devenir un réel cauchemar.
Parmi les scandales, il y a Véronique Laplace, l’ancienne amoureuse de Philippe, campée par Pascale Bussières, qui laisse enfin un peu de sa froideur habituelle pour nous offrir une belle interprétation de cette photographe de presse sexy, bien vivante et chaleureuse. Il était temps que nous puissions la redécouvrir de cette façon. Autre belle performance, celle du comédien Benoît Gouin qui incarne Sylvain Choquette, le parfait animateur de radio gueulard qui aime la provocation. Il dira un jour un mot de trop, et on devine qu’il aura à demander de l’aide à ceux qu’il déteste tant…
Les scènes les plus drôles se déroulent dans le bureau de Mirador, où l’on est témoin du quotidien de ceux qui gèrent les crises. On retrouve Chantal Boutin (Catherine Trudeau), la chargée de projet toujours débordée surnommée «Chtaboutte». Steve Laplante, qu’on a découvert cet automne au petit écran dans Aveux et Le gentleman, campe cette fois-ci Alexandre Dalphond, le nerd de service. Elle aussi remarquée dans Aveux, la comédienne Évelyne Brochu se joint à la distribution dès le quatrième épisode.
Tout comme c'est le cas pour Trauma, le budget alloué à Mirador est de 710 000 $ par épisode. Jocelyn Deschênes, le producteur de Sphère-Média (Rumeurs, Les hauts et les bas de Sophie Paquin), a fait une sortie au début du visionnement de presse, pour «expliquer la réalité» des producteurs, qui doivent composer avec des enveloppes budgétaires de plus en plus minces. Il dénonce le fait que les techniciens «doivent faire des journées de fous» pour arriver à offrir un produit de qualité, que l’atmosphère devient ainsi lourde, que les producteurs doivent couper plusieurs scènes extérieures et que tout cela crée un casse-tête au moment du montage.
Une situation difficile, surtout que la compétition avec les productions américaines est bien sentie. «Les comparatifs sont là», dit le producteur qui a vendu plusieurs de ses séries, dont Sophie Parker, la version anglophone de Les hauts et les bas de Sophie Paquin), et qui sera au MIP à Cannes cette semaine. Tout ce climat d’incertitude chez les producteurs de fiction et les diffuseurs est causé par les nouvelles règles; on ignore toujours les directives qui régiront le Fonds des médias, qui remplacera en avril 2010 le Fonds canadien de télévision et le Fonds des nouveaux médias.
Triste constat pour une industrie fleurissante qui attire de plus en plus les regards à l'échelle internationale.
Roxanne Tremblay / 7Jours
2009-12-09 16:44:19
Lorsque vous faites la lecture des journaux le matin, quand vous écoutez la radio ou même lorsque vous lisez ces lignes sur internet, selon vous, le message envoyé par le journaliste a-t-il été pensé de toutes pièces par une firme de relations publiques?
Admettons-le, dans plusieurs des cas, oui. En tout cas, ceux qui nous sont présentés dans la série Mirador nous laissent deviner ce qui se passe vraiment dans les locaux des grandes agences montréalaises qui s’occupent de gérer — ou plutôt d’étouffer — les scandales les plus juteux.
Écrite par Daniel Thibault et Isabelle Pelletier, deux anciens du monde des relations publiques, la série Mirador — qui sera en ondes les mercredis à 21 h dès le 6 janvier à Radio-Canada — se veut intelligente, drôle, urbaine, audacieuse et sexy. Rien de moins. La réalisation de Louis Choquette est toujours empreinte de ce réalisme qui nous fait pratiquement croire que nous sommes nous-mêmes dans les coulisses de cette agence où toutes les stratégies sont permises pour arriver à nos fins. Et ça bouge.
Attendez-vous à des lignes crues et cyniques car on ne fait pas dans la dentelle. Vous pourrez entendre des perles tels, «Faster is better», «Notre job, c’est de mettre du crémage sur un tas de marde» et, la meilleure de toutes: «Les journalistes sont comme les Romains un vendredi saint: ils veulent juste crucifier quelqu’un pour “spinner” là-dessus.» On dira ce que l’on voudra, les personnages n’ont pas tort... parole d’une journaliste. Même que nous avons rigolé avec les créateurs de la série en précisant que ce n’était pas seulement les vendredis que nous voulions crucifier quelqu’un, mais les lundis aussi…
C’est ce ton irrévérencieux — nous sommes à mille lieues du déni — qu’on apprécie tant. La série plaira à ceux qui sont intéressés à découvrir comment les relationnistes tentent de récupérer une mauvaise nouvelle à l’avantage d’un client et à quel point il est facile de manipuler les médias. Que vous soyez dans le camp des gens de pouvoir, dans celui des victimes de scandales ou dans celui des journalistes, vous verrez que les auteurs ne se gênent pas pour montrer tous les aspects de chacune des parties.
Au cours des 10 épisodes d’une heure, nous suivons le destin de ce héros, Philippe Racine, joué par Patrick Labbé. Ayant quitté l’agence de son paternel il y a près de deux ans afin de faire un voyage initiatique en Amérique du Sud, il réapparaît, tel un fantôme, pour démissionner de façon officielle mais aussi pour exorciser ses vieux démons. En effet, pour un client, Philipe est allé contre ses valeurs morales et a sur la conscience le suicide d’une jeune femme éclaboussée par un parfum de scandale qui est devenue le bouc émissaire d’une sombre affaire.
Depuis son départ, bien des choses ont changé à l’agence. L'entreprise est maintenant gérée par Luc, le frère aîné fantasque et irrévérencieux de Philippe, pour qui l’éthique et les manières ont été relégués aux oubliettes. David La Haye fait un retour remarqué avec ce personnage qu’on aime détester. Il a tout de ces hommes métrosexuels sans attaches, durs en amour et en affaires, qui ont un penchant pour l’alcool et les belles filles. On devine que sous cette épaisse carapace se cache une faible estime de soi. Le père, campé par Gilles Renaud, supervise l’agence avec poigne. Comme il ne croit pas en les capacités de Luc à gérer l’entreprise, en fin renard, il manipule son autre fils, Philippe, afin que celui-ci reprenne son poste de «responsable de la cellule de crise» laissé vacant.
Outre ce fil conducteur, chaque épisode nous présente un scandale que la boîte aura à gérer. Le premier épisode en fera sourire plus d’un. Seb, une jeune vedette de Québec Idole, dont le public est composé «d’ados avec des broches sur les dents et de madames avec des broches aux hanches», verra une soirée olé olé devenir un réel cauchemar.
Parmi les scandales, il y a Véronique Laplace, l’ancienne amoureuse de Philippe, campée par Pascale Bussières, qui laisse enfin un peu de sa froideur habituelle pour nous offrir une belle interprétation de cette photographe de presse sexy, bien vivante et chaleureuse. Il était temps que nous puissions la redécouvrir de cette façon. Autre belle performance, celle du comédien Benoît Gouin qui incarne Sylvain Choquette, le parfait animateur de radio gueulard qui aime la provocation. Il dira un jour un mot de trop, et on devine qu’il aura à demander de l’aide à ceux qu’il déteste tant…
Les scènes les plus drôles se déroulent dans le bureau de Mirador, où l’on est témoin du quotidien de ceux qui gèrent les crises. On retrouve Chantal Boutin (Catherine Trudeau), la chargée de projet toujours débordée surnommée «Chtaboutte». Steve Laplante, qu’on a découvert cet automne au petit écran dans Aveux et Le gentleman, campe cette fois-ci Alexandre Dalphond, le nerd de service. Elle aussi remarquée dans Aveux, la comédienne Évelyne Brochu se joint à la distribution dès le quatrième épisode.
Tout comme c'est le cas pour Trauma, le budget alloué à Mirador est de 710 000 $ par épisode. Jocelyn Deschênes, le producteur de Sphère-Média (Rumeurs, Les hauts et les bas de Sophie Paquin), a fait une sortie au début du visionnement de presse, pour «expliquer la réalité» des producteurs, qui doivent composer avec des enveloppes budgétaires de plus en plus minces. Il dénonce le fait que les techniciens «doivent faire des journées de fous» pour arriver à offrir un produit de qualité, que l’atmosphère devient ainsi lourde, que les producteurs doivent couper plusieurs scènes extérieures et que tout cela crée un casse-tête au moment du montage.
Une situation difficile, surtout que la compétition avec les productions américaines est bien sentie. «Les comparatifs sont là», dit le producteur qui a vendu plusieurs de ses séries, dont Sophie Parker, la version anglophone de Les hauts et les bas de Sophie Paquin), et qui sera au MIP à Cannes cette semaine. Tout ce climat d’incertitude chez les producteurs de fiction et les diffuseurs est causé par les nouvelles règles; on ignore toujours les directives qui régiront le Fonds des médias, qui remplacera en avril 2010 le Fonds canadien de télévision et le Fonds des nouveaux médias.
Triste constat pour une industrie fleurissante qui attire de plus en plus les regards à l'échelle internationale.
- geneviève-2
- Immortel du Domaine
- Messages : 13820
- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
Re: Mirador
Retour en septembre à la SRC.
Mardi 21h
Mardi 21h
Re: Mirador
Super!!!!!matou19 a écrit : Retour en septembre à la SRC.
Mardi 21h
Re: Mirador
Le premier épisode sera à 20 heures, puisque l'on aura droit à un programme double.
Ça va donc commencer une semaine avant Providence.
Ça va donc commencer une semaine avant Providence.
Re: Mirador
J'étais tout content en voyant les pancartes jaunes écrites "Mirador" et "plateau -->" aujourd'hui autours du 1250 René-Levesque. Yé.
[affiche]Ma signature est plus forte que la tienne![/affiche]
Re: Mirador
Voulais-tu plutôt dire autour du 12 500 René-Lévesque, à Pointe-aux-Trembles?
Re: Mirador
Non.... 1250 René-Lévesque ouest c'est là où était situé le bureau de Mirador (les belles vues de Montréal via les grandes fenêtres des bureaux). Comme ça avait coûté très cher tout tourner là dans la saison 1 ils ont recréé les bureaux en studio mais ont pris la location des bureaux pour quelques scènes.matou19 a écrit : Voulais-tu plutôt dire autour du 12 500 René-Lévesque, à Pointe-aux-Trembles?
Re: Mirador
Non, la tour anciennement appelée "Tour IBM" à côté du centre Bell. Où les bureaux de Mirador étaient situés.matou19 a écrit : Voulais-tu plutôt dire autour du 12 500 René-Lévesque, à Pointe-aux-Trembles?
[affiche]Ma signature est plus forte que la tienne![/affiche]
Re: Mirador
Pour les fans un aperçu du tournage
http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... SNbbu8NQoo" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.youtube.com/watch?v=JJODJoIi ... re=related" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... SNbbu8NQoo" onclick="window.open(this.href);return false;
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Dernière modification par Skarhet le dim. mai 29, 2011 9:57 pm, modifié 4 fois.