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LE DOMAINE BLEU • La nouvelle série 19-2 - Page 26
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Re: La nouvelle série 19-2

Publié : mer. avr. 13, 2011 3:37 pm
par Matou19
Lost25 a écrit : Mais qui est la taupe? Pas facile à deviner pareil! ;)

Image
:droite: :droite: :droite: Image

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : mer. avr. 13, 2011 4:20 pm
par Nikki
Et si la taupe était Audrey, et qu'elle ait été désignée pour le tabassage parce qu'elle ne voulait plus collaborer?

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : mer. avr. 13, 2011 5:29 pm
par misscool45
Nikki a écrit : Et si la taupe était Audrey, et qu'elle ait été désignée pour le tabassage parce qu'elle ne voulait plus collaborer?
Pas fou ça :eek:

Ça m'intrigue tellement, ça va être long longtemps d'attendre :cry:

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : mer. avr. 13, 2011 5:37 pm
par Matou19
matou19 a écrit : De façon générale, concevoir une bonne émission s'avère une entreprise exigeante. Et lorsque l'on parle de la production d'une série, ça devient de la quincaillerie lourde. Mieux vaut confier le mandat à une personne d'expérience. :top:
Matador a écrit : Tétu un ex de TQS coudonc? :lol:
:jap: :jap: :jap:

Dans les années 90, j'étais en charge du développement des séries dramatiques à TQS. :crazy:

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : mer. avr. 13, 2011 7:18 pm
par chouchoune 1
La taupe c'est le Sergent Julien Houle (Sylvain Marcel).

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : mer. avr. 13, 2011 7:39 pm
par Matou19
Pour dénicher la taupe, suffit simplement de trouver la photo originale. ;)

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : mer. avr. 13, 2011 10:03 pm
par Skarhet
matou19 a écrit : [...]


[...]

:jap: :jap: :jap:

Dans les années 90, j'étais en charge du développement des séries dramatiques à TQS. :crazy:
Tu es encore dans le domaine ?

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : jeu. avr. 14, 2011 12:09 pm
par Matador
matou19 a écrit : [...]


[...]

:jap: :jap: :jap:

Dans les années 90, j'étais en charge du développement des séries dramatiques à TQS. :crazy:
:hello:

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : sam. avr. 16, 2011 7:00 pm
par Skarhet
Podz... hanté par son travail
Spectacles - Télévision
Écrit par Pascale Lévesque
Vendredi, 15 avril 2011
Rue Frontenac

Qu’est-ce que Podz, Daniel Grou de son vrai nom, a dans l’oeil pour transformer tout ce qu’il tourne en or ? Sa méthode, qui n’a de secret que son amour du métier, livrée pour nous.

Lorsqu’un scénario tombe dans les mains de Podz, il est irrémédiablement gribouillé de tout partout. Aucune marge blanche maculée ne survit à son crayon. « Ça commence là. C’est là que je vois mes premiers plans. Dès que je reçois le scénario, je m’installe, je lis et j’imagine déjà de quoi la fin aura l’air, le tout dernier plan », décrit le réalisateur.

Mais si l’imagination n’a pas de limite, le budget, lui, atteint rapidement la sienne. « La deuxième phase, c’est celle où il faut couper. Être réaliste. Puis une fois en pré-production, recouper. C’est le moment où on se creuse les méninges pour trouver des solutions créatives, parce qu’en tournage, on est toujours confrontés à des contraintes qui te forcent à créer », poursuit Podz.

Sa touche magique se résume en fait à une question d’attitude. « Tu dois te servir de tout pour t’aider. C’est comme ça… Parce que des coupures, il faudra encore en faire une fois sur le plateau, souligne-t-il. Mais quand au final tu ne disposes que d’une heure pour tourner une scène qui en demandait le double, il faut que tu aies bien lu et relu le scénario pour prendre ces décisions. Comme par exemple faire sauter du dialogue et traduire le texte autrement, par un moment de silence. »

En fait, de la manière dont Podz parle de son processus de création, de sa façon d’assimiler le scénario pour mieux le transposer en images, on conclut que de tourner une série, un film, c’est un peu entrer en religion.

Habité par ses projets

« Dès le début du projet, tu es toujours en train d’y penser, tu rêves à ça, tu te réveilles en y pensant. Ça m’est même déjà arrivé de m’engueuler avec une ex-blonde durant le temps de Minuit le soir et qu’elle s’aperçoive que mon regard ait soudainement changé. Elle avait compris que ce qu’on venait de vivre, j’allais pouvoir le donner à une scène de Minuit… Bref, tu deviens habité par l’affaire et ça ne te lâche jamais », raconte le réalisateur.

De la même façon, le travail de Podz habite sa vie. À la fois en demande et maître de ses propres projets, il avoue un peu gêné qu’il est incapable de ne pas travailler. « Si je ne tourne pas la suite de 19-2 tout de suite, ou celle de Xanadu en France, et s’il ne se passe rien avec mes projets de film et de série télé en dépôt, je vais écrire », soulève Podz, qui a entrepris l’adaptation du roman Le Vide de Patrick Sénécal.

Lui qui a toujours dit que son objectif ultime dans la vie était de faire des films, après le succès de 10 ½ et des 7 jours du Talion, il ignore toujours quel sera son prochain objectif. « En même temps, je n’ai plus besoin de me mettre cette pression-là. Tourner, je veux faire ça jusqu’à 80 ans. Je suis rendu à l’âge où je dois prendre soin de mon corps pour prendre soin de ma tête et me permettre de faire ce que j’aime le plus longtemps possible. » Finalement, voilà ce qu’il a dans l’oeil.

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : sam. avr. 16, 2011 7:01 pm
par Skarhet
Podz va au coeur de l'humain
Spectacles - Télévision
Écrit par Pascale Lévesque
Vendredi, 15 avril 2011
Rue Frontenac

Réal Bossé manque d’espace sur son mur de salon pour y afficher tous les Post-it qui portent ses idées, alors que Podz a déjà bien en tête les dernières scènes d’une deuxième et d’une troisième saison. Même si 19-2 s’est terminée il y a tout juste une semaine, et que rien n’est confirmé quant à une suite, la série policière qui a ensorcelé le Québec cet hiver, à raison de 1,3 million de téléspectateurs par semaine, continue de nous habiter.

Même que 19-2 pourrait habiter les Français puisque son réalisateur est actuellement en France pour y présenter les deuxième et troisième épisodes.

D’abord invité au festival de télévision Séries Mania – pour sa série Xanadu – , destinée à la chaîne Arte et qui prendra l’antenne le 30 avril, Podz ne s’attendait pas à recevoir aussi une demande pour sa série policière « made in Québec ».

« Si un distributeur français est prêt à prendre la série, ça peut faire en sorte qu’elle se vende là-bas, telle quelle ou en remake. Mais si on me demandait de la refaire pour eux, je dirais non. J’aime mieux me lancer dans une saison deux ici », insiste le réalisateur.

Podz ne cache pas qu’il s’agit du tournage le plus difficile qu’il ait connu en télé. Mais ce n’est pas assez pour l’arrêter. « Avec l’expérience, tu apprends à mettre tes écouteurs quand la tempête fait trop de bruit et tu ne fais qu’une chose, garder le cap, confie-t-il. Le vrai boss de l’affaire, c’est le show. Je ne travaille pas pour que ça marche auprès du public, je travaille pour que lui et moi trouvions le résultat cool. »

Et cela a donné un excellent résultat. Si bien que, même si les créateurs s’attendaient à ce que 19-2 plaise aux téléspectateurs, la barre n’avait pas été mise si haute. « Ça fesse ! On avait parié sur les cotes à la première diffusion. J’avais lancé 1,2 million. Je n’étais pas très loin… mais je ne savais pas si les gens allaient rester. Au final, on a plutôt augmenté la cadence », relate Réal Bossé, l’interprète de Nick Beroff, mais avant tout l’idéateur de 19-2 avec Claude Legault.

Le droit aux contradictions

« C’est une série en teintes de gris. Quand on a commencé l’écriture, on s’est donné le droit aux contradictions. On ne peut pas aimer ou détester chaque personnage, mais on est forcé de se questionner en les observant », explique Bossé, soulignant que le sujet de la police, garant de succès à la télé, a sans doute pesé lourd. Sauf que cette fois, c’est le côté humain qui a été exploité : les policiers ne sont plus seulement définis par leurs fonctions, mais sont des êtres à part entière. Cela avait été la clef du succès pour David Milch et son NYPD Blue.

« La réalisation de Podz ajoute à cela. Il a permis au public de regarder des acteurs qui ne parlent pas constamment. Souvent, en télé, on a tendance à dire ce qu’on a à jouer. La télévision nous demande de remplir du temps et ne nous donne pas droit aux silences. Mais Podz a osé et du coup, les silences ont fait en sorte que chaque acteur et actrice puisse devenir un écran sur lequel les gens projettent leur propre vie », expose le comédien, qui a, disons-le, totalement explosé dans les 10 épisodes qu’a duré 19-2.

Un procédé osé, un pari risqué, qui a pourtant été la signature de la série, et une histoire qui semble par moments réécrite par la caméra de Podz. « Tout le monde contribue… Tu lis la scène, tu vois où ça s’en va et parfois, c’est plus approprié de couper le texte et de traduire l’idée dans le jeu. Ce n’est pas quelque chose que tu expliques, ça vient en le faisant », commente Podz.

Ce dernier a travaillé de manière instinctive, comme en témoigne par exemple le choix de tourner avec son iPhone la très dure scène d’agression d’Audrey, la frêle policière, par des jeunes. « C’était écrit dans le scénario que les kids tournaient pour YouTube. Et eux, dans la vraie vie, ils auraient tourné avec un téléphone. Le fait d’utiliser un iPhone a contribué à la violence de l’affaire. Plus cru, plus glauque… », fait-il valoir.

« Faire du mieux que je peux »

« Mon gage de qualité, c’est d’essayer de faire ça du mieux que je peux. Je veux faire de la bonne qualité, comme dans Mad Men ou Six Feet Under, des séries qui m’inspirent. Je n’ai pas la prétention de dire que je suis aussi bon, mais quand je travaille, je veux accoter ces œuvres-là. Et pourquoi pas ? C’est ça, la barre que je me mets, que je mets aux comédiens et au reste de l’équipe. Pourquoi ne pas aller au bout de nos limites et se surpasser ? » soutient le réalisateur, qui ne s’enfarge pas ni ne s’apitoie sur les contraintes budgétaires et les conditions de travail parfois difficiles des tournages québécois.

Car personne n’essaie de faire de mauvaises choses, dira-t-il. Et à la fin, au cinéma ou devant la télé, le public ne sera pas plus indulgent à l’égard de ce qu’il voit en se disant : « Ah ! c’est vrai, ils n’ont pas beaucoup d’argent, alors c’est correct si c’est moins bon. » « C’est le résultat qui compte, et c’est ça, mon gage », insiste-t-il.

Pourquoi est-ce que 19-2 nous hante encore ? Parce que Podz sait traduire les idées des auteurs mais aussi l’essence des acteurs. Car non seulement la série a connu un énorme succès, elle a aussi été un tremplin pour Réal Bossé en le révélant comme « leading man ». Le grand acteur polyvalent, connu de tous pour son rôle de Serge dans Dans une galaxie près de chez vous, s’est dans ce projet élevé au rang d’étoile.

« Le but, ce n’est pas de montrer l’acteur comme on ne l’a jamais vu, clarifie Podz. Le personnage est là, il souffre, il est brisé. On va mettre ça en place pour que son jeu traduise ce qu’il est sur papier. On va le montrer, ce Nick Beroff. J’avoue que Réal est un peu sorti de sa zone de confort ; on a au départ composé avec quelque chose qu’il n’avait pas fait souvent. Mais une fois installé, c’est simple.»
« Ce que le public aime le plus et fait remarquer, c’est que lorsque Beroff intervient dans la communauté, c’est le plus humain de la gang. C’est là qu’on voulait toucher », ajoute l’acteur.

À l’instar de son personnage de Beroff, Réal Bossé est chargé à bloc quant à la suite des aventures du poste 19. « En ce qui me concerne, je suis un créateur proactif. On me dit qu’il y a 1,4 million de personnes qui regardent mon projet ? Je ne laisserai pas ça comme ça. On a de quoi s’inspirer pour un long bout, la seule limite étant notre capacité à être intéressants. Car ce genre de série, ça peut changer les choses », plaide Bossé.

« J’ai toujours pensé que 19-2 allait marcher. Pas par prétention, ni à cause de la façon dont c’est joué ou tourné, mais parce que c’est une approche honnête et intègre. Et le plus important : on disait quelque chose de vrai », conclut Podz.

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : sam. avr. 16, 2011 7:02 pm
par Skarhet
Podz... vu par Julie Perrault et Louis Morissette
Spectacles - Télévision
Écrit par Pascale Lévesque
Vendredi, 15 avril 2011
Rue Frontenac

Parce qu’il porte l’œuvre de Patrick Sénécal à l’écran et qu’on reste marqué par sa façon unique de rendre des scènes de violence à la télé, on perçoit Podz comme un sombre personnage. Pourtant, il détient la collection complète des Sex And the City, est un fan de comédies romantiques et cite Jerry Mcguire et Eternal Sunshine of the Spotless Mind comme ses favorites.

Si on a cette idée de Podz, c’est parce que c’est lui qui pose un regard sur les autres de part sa profession. Mais si ses compères de travail posaient à l’inverse leur regard sur lui, qu’auraient-ils à nous dire ?

« C’est un mésadapté », dit le baveux Louis Morissette, rempli d’admiration pour son ami avec qui il a travaillé sur C.A., entre autres. Une révélation qui n’a pas surpris le réalisateur… « Morissette qui a dit ça, mésadapté ? Haha ! », ricane Podz.

Louis précise : « Podz, c'est un grand artiste, mais c'est aussi un gars hyper intelligent. Un gars socialement déficient qui est un expert pour exploiter les failles humaines chez les autres. » Julie Perreault, qui a notamment tourné avec dans Minuit, le soir et 19-2, abonde dans le même sens en soulignant sa préférence à montrer les personnages avec leurs défauts au lieu de « créer des personnages sympathiques qui font l’unanimité ».

Le mot clé avec Podz, pour les deux acteurs, c’est la direction. « Les acteurs sont trop souvent laissés à eux-mêmes. C'est un genre de tabou parce que les acteurs ne veulent pas se faire d'ennemis chez les réalisateurs, sinon ils le diraient que les réalisateurs sont souvent trop axés sur la technique et ne savent pas communiquer leurs intentions aux acteurs », fait valoir Louis Morissette.

« C'est vrai qu'on est rarement dirigés, enchaîne Julie Perreault. Nous sommes souvent employés pour nos forces et notre énergie première. Podz dirige selon son regard sur les choses. Il voit le personnage à l’intérieur de l’œuvre, pas indépendamment, comprend sa fonction et nous pousse vers sa vision à lui. »

Julie Perreault insiste, Podz n’est jamais mielleux, souvent cynique, il aime les acteurs, les comprend. « C’est un réalisateur qui s’amuse à vivre son histoire avec les acteurs », dit-elle.

« Par insécurité, pour camoufler un flou artistique, les acteurs, je m’inclus là-dedans dit Louis, jouent trop gros. Podz fait toujours descendre ton jeu de trois crans, pour revenir à l'essentiel. De cette façon, l'acteur vit plutôt que de crier. Il habite son personnage plutôt qu'être en représentation. Et t'arrives là quand t'as confiance en ton réalisateur et que tu te laisses aller. »

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : sam. avr. 16, 2011 7:03 pm
par Skarhet
Réal Bossé vers la lumière
Spectacles - Télévision
Écrit par Pascale Lévesque
Vendredi, 15 avril 2011
Rue Frontenac

Avant Nick Beroff, il a été le Serge 3, 4, 5…18 de Dans une Galaxie près de chez vous. Il a aussi été debout pendant 14 saisons sur la patinoire de la LNI, égalisant du coup le record de Robert Gravel. Il fut Louis dans Continental, un film sans fusil et Beurk dans l’univers de Kaboum. Mais ce sont ses habits de police qui ont autrement fait briller Réal Bossé.

Solide coureur de fond. Celui sur qui l’équipe peut se fier et s’appuyer. C’est un peu ainsi qu’on pouvait percevoir l’acteur avant de le voir dans 19-2. Mais celui qui se définit comme un « trooper » a malgré lui carrément volé la vedette cet hiver.

Aussi tourmenté, chargé et sombre pouvait être le patrouilleur Nick Beroff, il aura plongé son interprète dans la lumière. « C’est le genre de rôle qu’on ne m’aurait probablement pas offert à cause de mon association avec la comédie », explique Réal Bossé. Ce rôle, il aura fallu qu’il le souhaite, qu’il l'imagine et qu’il le crée avant de l’habiter.

L’acteur, qui est aussi l’idéateur et le co-auteur de 19-2, parle avec passion de ce métier de policier qui l’a inspiré. Une admiration qui se traduit dans son jeu et qui explique sûrement en partie pourquoi son interprétation nous a tant frappé.

« Dans ses fonctions, le patrouilleur est comme un chien de garde. Sans haine et sans amour. La police, c’est un service, on la paie pour nous protéger, mais au-delà de la fonction, ce sont des humains, chargés à bloc, qui doivent toujours se préparer au pire à chaque appel. On s’est dit qu’on allait leur donner une chance de se faire connaître dans ce projet », décrit le créateur qui avoue d’emblée qu’il ne serait pas un bon policier.

Un job qu’il ne ferait jamais parce qu’incapable de détacher sa grande empathie naturelle. Une qualité certes, mais comme on a vu au poste 19, au jour le jour quand on intervient en première ligne, ça devient difficile à gérer.

« On a fait le pari de montrer des gens qui à prime à bord, le public n’aimerait pas. Beroff est plein de haine et de tristesse. Son bouleversement, il le vit au quotidien. Lui comme ses collègues ne sont pas nécessairement dans le présent, mais vivent dans le passé en rêvant à un avenir meilleur. »

Quatre ans

Réal Bossé et Claude Legault ont fêté il n’y a pas longtemps le 4e anniversaire du début du projet 19-2. « Quand on commençait à travailler là-dessus, Claude et moi, on réinventait les histoires au fur et à mesure au point d’avoir la chair de poule tellement dans le fond elles étaient pleines et chargées. On ne voulait pas faire en sorte qu’ils soient des héros, mais des êtres remplis de contradictions, comme nous le sommes tous.»

C’est d’ailleurs ce qui a nourri Réal Bossé dans toute sa carrière de comédien, les contradictions ou plus justement, les contrastes. « J’aime pouvoir faire à la fois de la comédie, de la tragédie, du théâtre, des films, de la télévision, des projets pour adultes comme pour enfants. M’emputer de toutes ces possibilités là, ça me rendrait très malheureux », plaide-t-il.

Jamais Réal Bossé ne se priverait, par exemple, de jouer dans une œuvre destinée à un public jeunesse. « Parce que ça nous permet de jouer là où on ne joue jamais. Mon Beurk dans Kaboum, au fond, c’est très shakespearien comme jeu. C’est stimulant à mort de faire tout ça ! Et à quelque part, Beurk, m’aide énormément dans 19-2 », s’enthousiasme Bossé.

Au bout du fil, plus la conversation avance, plus il s’emballe. Ça vient même à se bousculer dans sa bouche quand il parle de Kaboum, de la série à sketch Lol :-) qu’il tourne en ce moment à Whisler, et quand il vante les mérites de son équipe de travail sur 19-2. Équipe qu’il espère retrouver le plus tôt possible pour le tournage d’une suite, encore incertaine.

Mais c’est surtout lorsque Réal Bossé parle de comment un projet artistique peut toucher les gens qu’on sent l’exaltation dans sa voix. « Quand je me fais raconter par un policier de Laval qu’un citoyen a pris la peine de cogner à sa vitre d’auto pour le saluer et lui dire merci pour le bon travail, je me dis que le public a bien compris l’essence de notre projet », évoque-t-il avant de souhaiter longue vie à 19-2, pour sa gang de fous furieux mais aussi les téléspectateurs. Parce que la télé, quand elle parle humain, peut changer les choses. Ne serait-ce que nous faire découvrir encore mieux des acteurs qu’on croyait connaître.

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : dim. avr. 17, 2011 12:55 am
par Matou19
WOW!!!

Ça en fait du stock, ça. :eek:

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : dim. avr. 17, 2011 1:03 am
par Matou19
Pascale Lévesque en avait long à dire! Faut croire qu'elle
retourne au Journal de Montréal et qu'elle tenait à profiter
au max de ses dernières heures de pleine liberté de presse. :tappe:

:chepa: :chepa: :chepa:

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : dim. avr. 17, 2011 6:51 am
par Lison48
matou19 a écrit : Pascale Lévesque en avait long à dire! Faut croire qu'elle
retourne au Journal de Montréal et qu'elle tenait à profiter
au max de ses dernières heures de pleine liberté de presse. :tappe:

:chepa: :chepa: :chepa:
Pascale Lévesque ne retourne pas au J. de M.

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : dim. avr. 17, 2011 7:55 am
par Lost25
Lison48 a écrit : [...]


Pascale Lévesque ne retourne pas au J. de M.
Elle s'est fait remplacer par Muguette Paillé :lol: :gla:

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : dim. avr. 17, 2011 7:56 am
par Lison48
Lost25 a écrit : [...]

Elle s'est fait remplacer par Muguette Paillé :lol: :gla:
:lol: :lol: :lol:

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : dim. avr. 17, 2011 9:49 am
par Skarhet
matou19 a écrit : Pascale Lévesque en avait long à dire! Faut croire qu'elle
retourne au Journal de Montréal et qu'elle tenait à profiter
au max de ses dernières heures de pleine liberté de presse. :tappe:

:chepa: :chepa: :chepa:
Le retour au travail des journalistes qui retournaient au JdeM s'est fait il y a quelques jours déjà et Pascale Lévesque fait partie de la majorité qui a décidé de ne pas y retourner.

J'ai regardé vite vite sur le site web du JdeM pour savoir qui y retournaient et à date je n'ai reconnu que 3-4 noms de "l'avant-lockout" soit 2 ou 3 gars aux sports et 1 aux nouvelles générales. Il n'y a que 23 syndiqués qui sont retournés à la salle de nouvelles alors qu'il y avait 42 postes de disponibles.

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : dim. avr. 17, 2011 3:43 pm
par lorraine48
claude legault choisi parmi les 10 plus beaux hommes du quebec, le plus bel homme c est arcadio de loft story, my god

Re: La nouvelle série 19-2

Publié : dim. avr. 17, 2011 4:13 pm
par Nikki
lorraine48 a écrit : claude legault choisi parmi les 10 plus beaux hommes du quebec, le plus bel homme c est arcadio de loft story, my god
Ah mon doux, non!.. Pas Arcadio :gla: Je l'aimais tellement pas lui!