Le «bourreau de Beaumont» libéré sous peu
Re: Le «bourreau de Beaumont» libéré sous peu
J'ai lu l'entrevue de son fils aîné dans La Semaine et ca me bouleverse tellement cette histoire.
J'avais vu son entrevue avec Denis Lévesque et j'ai lu son livre. C'est vraiment affreux ce que cet enfant a vécu pendant des années. C'est un enfant martyr. En effet, c'est très bouleversant cette histoire.MayClo a écrit : J'ai lu l'entrevue de son fils aîné dans La Semaine et ca me bouleverse tellement cette histoire.
Les délinquants dangereux
8 Août 2011
Toujours dans le cadre du projet d’inverser nos rôles, une lectrice qui désire garder l’anonymat m’a soumis le texte suivant. Le voici donc dans son intégralité:
“Dernièrement, il était possible de lire dans les journaux que le «bourreau de Beaumont» serait remis en liberté au 2/3 de sa peine (libération d’office) à l’automne parce qu’il sera possible de mieux l’encadrer que s’il terminait sa peine avant d’être remis en liberté. Pourtant, ce dernier est toujours considéré comme un danger pour la population. Dans le cas de ces délinquants, pourquoi n’y a-t-il pas une clause spéciale dans le Code criminel pour gérer ses cas particuliers tout en réduisant les risques pour la population ? Je ne suis pas la personne qui s’y connaît le plus en matière judiciaire, mais je fais ici une proposition qui pourrait peut-être aider.
Pour faciliter la tâche de la CLCC, la loi devrait réintégrer la peine indéterminée pour les personnes qui sont déclarées dangereuses pour la société. Pour déterminer leur admission à la libération conditionnelle, les personnes concernées devraient suivre les programmes et montrer qu’ils ne représentent plus un risque élevé pour la société. En fait, la personne aurait un minimum de temps à faire (le même temps qu’une personne qui n’a pas l’étiquette de délinquant dangereux ferait pour le même délit commis). La seule différence serait que la sécurité de la population est améliorée et en même temps, on encouragerait les détenus à suivre les programmes de réinsertion pour obtenir leur libération.
Par contre, comme les conservateurs sont au pouvoir et que leur politique est plutôt de durcir les peines, j’aurais peur que ce genre d’exception soit utilisé trop souvent. Je crois que cette mesure porterait le gouvernement à étiqueter plusieurs délinquants comme dangereux simplement pour qu’il reste plus longtemps derrière les barreaux ce qui n’est pas vraiment le but… il s’agit de garder ceux qui ont besoin d’aide avant de réintégrer la société. L’objectif n’est pas de les garder plus longtemps comme ce que souhaite le gouvernement en durcissant les peines, mais bien de protéger la population aussi longtemps que ces personnes ne seront pas prête à retourner dans la société sans poser un risque important.
En somme, je crois que les programmes de réinsertion devraient être priorisés pour les détenus et que le système devrait rendre les choses plus simples à ceux qui ont suivi les programmes et qui sont aptes à réintégrer la société en maison de transition et compliquer les libérations pour ceux qui ne se préoccupent pas des programmes et qui sont là simplement pour «faire leur temps». Ainsi, les détenus seraient plus encouragés à suivre les programmes de réinsertion plutôt que d’être décourager comme c’est le cas présentement.”
http://lacriminologue.com/?p=2962" onclick="window.open(this.href);return false;
8 Août 2011
Toujours dans le cadre du projet d’inverser nos rôles, une lectrice qui désire garder l’anonymat m’a soumis le texte suivant. Le voici donc dans son intégralité:
“Dernièrement, il était possible de lire dans les journaux que le «bourreau de Beaumont» serait remis en liberté au 2/3 de sa peine (libération d’office) à l’automne parce qu’il sera possible de mieux l’encadrer que s’il terminait sa peine avant d’être remis en liberté. Pourtant, ce dernier est toujours considéré comme un danger pour la population. Dans le cas de ces délinquants, pourquoi n’y a-t-il pas une clause spéciale dans le Code criminel pour gérer ses cas particuliers tout en réduisant les risques pour la population ? Je ne suis pas la personne qui s’y connaît le plus en matière judiciaire, mais je fais ici une proposition qui pourrait peut-être aider.
Pour faciliter la tâche de la CLCC, la loi devrait réintégrer la peine indéterminée pour les personnes qui sont déclarées dangereuses pour la société. Pour déterminer leur admission à la libération conditionnelle, les personnes concernées devraient suivre les programmes et montrer qu’ils ne représentent plus un risque élevé pour la société. En fait, la personne aurait un minimum de temps à faire (le même temps qu’une personne qui n’a pas l’étiquette de délinquant dangereux ferait pour le même délit commis). La seule différence serait que la sécurité de la population est améliorée et en même temps, on encouragerait les détenus à suivre les programmes de réinsertion pour obtenir leur libération.
Par contre, comme les conservateurs sont au pouvoir et que leur politique est plutôt de durcir les peines, j’aurais peur que ce genre d’exception soit utilisé trop souvent. Je crois que cette mesure porterait le gouvernement à étiqueter plusieurs délinquants comme dangereux simplement pour qu’il reste plus longtemps derrière les barreaux ce qui n’est pas vraiment le but… il s’agit de garder ceux qui ont besoin d’aide avant de réintégrer la société. L’objectif n’est pas de les garder plus longtemps comme ce que souhaite le gouvernement en durcissant les peines, mais bien de protéger la population aussi longtemps que ces personnes ne seront pas prête à retourner dans la société sans poser un risque important.
En somme, je crois que les programmes de réinsertion devraient être priorisés pour les détenus et que le système devrait rendre les choses plus simples à ceux qui ont suivi les programmes et qui sont aptes à réintégrer la société en maison de transition et compliquer les libérations pour ceux qui ne se préoccupent pas des programmes et qui sont là simplement pour «faire leur temps». Ainsi, les détenus seraient plus encouragés à suivre les programmes de réinsertion plutôt que d’être décourager comme c’est le cas présentement.”
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Le « Bourreau de Beaumont » libéré vendredi?
23/09/2011 14h01
La libération du « Bourreau de Beaumont » a été devancée d’une journée. L’homme - qui ne peut être nommé en raison d’un ordre de la cour - devait finalement recouvrer la liberté vendredi.
Son fils Patrick en a parlé, vendredi matin, sur les ondes d'une station de radio de Montréal et il s'est dit peu rassuré par la remise en liberté de celui qui a fait vivre l'enfer à sa famille, de 1980 à 1994. Aux services correctionnels canadiens, on se refuse cependant à confirmer l'information.
Le lieu actuel de son incarcération, tout comme l’endroit où il séjournera à partir de vendredi n’est pas connu, ni par les médias ni par Guillaume, en vertu de la Loi sur la protection des renseignements personnels. Il demeurera sous la haute surveillance des autorités.
L'homme de 52 ans avait écopé, en 1997, d'une peine d'emprisonnement de 22 ans pour avoir brutalisé et agressé les membres de sa famille.
Comme il en a maintenant purgé les deux tiers, il a droit à sa libération d'office et il sera transféré dans une maison de transition où il sera soumis à de sévères conditions : assignation à résidence, programmes de réhabilitation en lien avec ses problèmes de violence et de délinquance sexuelle, médication obligatoire et interdiction de communiquer avec ses victimes.
En entrevue, le plus jeune des fils du « Bourreau de Beaumont », Guillaume, disait craindre une vengeance de son père.
http://lejournaldemontreal.canoe.ca/jou ... 11029.html" onclick="window.open(this.href);return false;
23/09/2011 14h01
La libération du « Bourreau de Beaumont » a été devancée d’une journée. L’homme - qui ne peut être nommé en raison d’un ordre de la cour - devait finalement recouvrer la liberté vendredi.
Son fils Patrick en a parlé, vendredi matin, sur les ondes d'une station de radio de Montréal et il s'est dit peu rassuré par la remise en liberté de celui qui a fait vivre l'enfer à sa famille, de 1980 à 1994. Aux services correctionnels canadiens, on se refuse cependant à confirmer l'information.
Le lieu actuel de son incarcération, tout comme l’endroit où il séjournera à partir de vendredi n’est pas connu, ni par les médias ni par Guillaume, en vertu de la Loi sur la protection des renseignements personnels. Il demeurera sous la haute surveillance des autorités.
L'homme de 52 ans avait écopé, en 1997, d'une peine d'emprisonnement de 22 ans pour avoir brutalisé et agressé les membres de sa famille.
Comme il en a maintenant purgé les deux tiers, il a droit à sa libération d'office et il sera transféré dans une maison de transition où il sera soumis à de sévères conditions : assignation à résidence, programmes de réhabilitation en lien avec ses problèmes de violence et de délinquance sexuelle, médication obligatoire et interdiction de communiquer avec ses victimes.
En entrevue, le plus jeune des fils du « Bourreau de Beaumont », Guillaume, disait craindre une vengeance de son père.
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moi aussi justement j'ai lu le livre ya 2 semaines c vraiment epouvantable ce que le jeune a vecujoanna a écrit : [...]
J'avais vu son entrevue avec Denis Lévesque et j'ai lu son livre. C'est vraiment affreux ce que cet enfant a vécu pendant des années. C'est un enfant martyr. En effet, c'est très bouleversant cette histoire.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Anya a écrit : Le « Bourreau de Beaumont » libéré vendredi?
23/09/2011 14h01
La libération du « Bourreau de Beaumont » a été devancée d’une journée. L’homme - qui ne peut être nommé en raison d’un ordre de la cour - devait finalement recouvrer la liberté vendredi.
Son fils Patrick en a parlé, vendredi matin, sur les ondes d'une station de radio de Montréal et il s'est dit peu rassuré par la remise en liberté de celui qui a fait vivre l'enfer à sa famille, de 1980 à 1994. Aux services correctionnels canadiens, on se refuse cependant à confirmer l'information.
Le lieu actuel de son incarcération, tout comme l’endroit où il séjournera à partir de vendredi n’est pas connu, ni par les médias ni par Guillaume, en vertu de la Loi sur la protection des renseignements personnels. Il demeurera sous la haute surveillance des autorités.
L'homme de 52 ans avait écopé, en 1997, d'une peine d'emprisonnement de 22 ans pour avoir brutalisé et agressé les membres de sa famille.
Comme il en a maintenant purgé les deux tiers, il a droit à sa libération d'office et il sera transféré dans une maison de transition où il sera soumis à de sévères conditions : assignation à résidence, programmes de réhabilitation en lien avec ses problèmes de violence et de délinquance sexuelle, médication obligatoire et interdiction de communiquer avec ses victimes.
En entrevue, le plus jeune des fils du « Bourreau de Beaumont », Guillaume, disait craindre une vengeance de son père.
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- lorraine48
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Re: Le «bourreau de Beaumont» libéré sous peu
dire que ce monstre retournera dans la société , je sais il a fait sa sentence mais...................
- Rose-des-bois
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C'est à pleurer de voir comment lesAnya a écrit : Le « Bourreau de Beaumont » libéré vendredi?
23/09/2011 14h01
La libération du « Bourreau de Beaumont » a été devancée d’une journée. L’homme - qui ne peut être nommé en raison d’un ordre de la cour - devait finalement recouvrer la liberté vendredi.
Son fils Patrick en a parlé, vendredi matin, sur les ondes d'une station de radio de Montréal et il s'est dit peu rassuré par la remise en liberté de celui qui a fait vivre l'enfer à sa famille, de 1980 à 1994. Aux services correctionnels canadiens, on se refuse cependant à confirmer l'information.
Le lieu actuel de son incarcération, tout comme l’endroit où il séjournera à partir de vendredi n’est pas connu, ni par les médias ni par Guillaume, en vertu de la Loi sur la protection des renseignements personnels. Il demeurera sous la haute surveillance des autorités.
L'homme de 52 ans avait écopé, en 1997, d'une peine d'emprisonnement de 22 ans pour avoir brutalisé et agressé les membres de sa famille.
Comme il en a maintenant purgé les deux tiers, il a droit à sa libération d'office et il sera transféré dans une maison de transition où il sera soumis à de sévères conditions : assignation à résidence, programmes de réhabilitation en lien avec ses problèmes de violence et de délinquance sexuelle, médication obligatoire et interdiction de communiquer avec ses victimes.
En entrevue, le plus jeune des fils du « Bourreau de Beaumont », Guillaume, disait craindre une vengeance de son père.
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Je suis pour que l'identité de ce type soit dévoilé ainsi que sa photo!
Mamie vous aime mes petits amours !!!
Oh, surtout n'éteignez pas la lumière en l'enfant!!!
Une semaine après la libération
Le fils du «bourreau de Beaumont» ne sait toujours rien
30 septembre 2011 à 04h44
Par Jean-Nicolas Blanchet | Agence QMI
Une semaine après la sortie de prison de son père, le «bourreau de Beaumont», Guillaume Gosselin n'a toujours pas reçu d'information concernant l'endroit où se trouve son agresseur.
Rappelons que M. Gosselin avait confié au Journal de Québec, la semaine dernière, qu'il craignait que son père, présentant un risque inacceptable pour la société selon la Commission nationale des libérations conditionnelles, ne soit tenté de se venger.
Joint au téléphone hier, le jeune homme de 23 ans a affirmé que seuls les médias et la réceptionniste de Service correctionnel Canada (SCC) lui avaient vraiment offert un accompagnement utile jusqu'à présent. C'est après avoir été informé par des journalistes que des mesures existaient auprès du SCC pour obtenir des renseignements par rapport à son agresseur, que M. Gosselin a entrepris des démarches.
Il doit donc remplir le formulaire de demande de renseignements pour les victimes de SCC, qui lui permettra de savoir, par messagerie et appel téléphonique, la région dans laquelle se trouve son père et la durée de ses déplacements.
M. Gosselin a été étonné de réaliser que ce n'est pas le SCC qui initiait ces démarches, mais bien lui-même qui devait se rendre admissible à ce programme et être qualifié comme une victime. Aucun service d'aide ne lui avait parlé de ce programme auparavant, dit-il.
«Encore seul»
«J'ai un peu l'impression d'être encore seul. Ce n'est pas normal que ce soit plus facile et plus utile de parler avec des médias qu'avec des services d'aide. Je ne sais même pas s'il est vraiment sorti la semaine passée. Certains me disent que ce n'était pas la vraie date et qu'il était sorti il y a deux semaines. D'autres mentionnent qu'il n'est pas encore dehors», a-t-il blâmé.
Le jeune homme a aussi fait savoir que ses indemnités tardaient à venir, étant en arrêt de travail depuis qu'on lui a diagnostiqué un trouble de stress post-traumatique il y a deux semaines, a-t-il dit.
«Je ne suis pas paresseux, j'ai viré à l'envers quand j'ai réalisé que mon père sortait, je n'étais plus capable de travailler. Mais là, je pense que je devrai faire semblant que tout va bien. Je n'ai pas d'entrée d'argent depuis deux semaines.»
Se prouver comme victime
Christina Guest, de SCC, n'a pas voulu se prononcer sur le cas précis du «bourreau de Beaumont», mais elle a confirmé que quelqu'un qui aurait des motifs raisonnables de craindre la sortie de prison de son agresseur doit faire ses propres démarches pour prouver être victime afin d'obtenir la localisation de l'ex-détenu.
«Si vous n'êtes pas inscrit auprès de nous pour un délinquant, on ne peut pas savoir que vous voulez les renseignements», a-t-elle mentionné.
Forcé de se ranger derrière la protection de la vie privée du «bourreau», le service des communications de SCC n'a pas voulu confirmer si le «bourreau de Beaumont» a bien été libéré la semaine dernière.
http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/a ... 44405.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Le fils du «bourreau de Beaumont» ne sait toujours rien
30 septembre 2011 à 04h44
Par Jean-Nicolas Blanchet | Agence QMI
Une semaine après la sortie de prison de son père, le «bourreau de Beaumont», Guillaume Gosselin n'a toujours pas reçu d'information concernant l'endroit où se trouve son agresseur.
Rappelons que M. Gosselin avait confié au Journal de Québec, la semaine dernière, qu'il craignait que son père, présentant un risque inacceptable pour la société selon la Commission nationale des libérations conditionnelles, ne soit tenté de se venger.
Joint au téléphone hier, le jeune homme de 23 ans a affirmé que seuls les médias et la réceptionniste de Service correctionnel Canada (SCC) lui avaient vraiment offert un accompagnement utile jusqu'à présent. C'est après avoir été informé par des journalistes que des mesures existaient auprès du SCC pour obtenir des renseignements par rapport à son agresseur, que M. Gosselin a entrepris des démarches.
Il doit donc remplir le formulaire de demande de renseignements pour les victimes de SCC, qui lui permettra de savoir, par messagerie et appel téléphonique, la région dans laquelle se trouve son père et la durée de ses déplacements.
M. Gosselin a été étonné de réaliser que ce n'est pas le SCC qui initiait ces démarches, mais bien lui-même qui devait se rendre admissible à ce programme et être qualifié comme une victime. Aucun service d'aide ne lui avait parlé de ce programme auparavant, dit-il.
«Encore seul»
«J'ai un peu l'impression d'être encore seul. Ce n'est pas normal que ce soit plus facile et plus utile de parler avec des médias qu'avec des services d'aide. Je ne sais même pas s'il est vraiment sorti la semaine passée. Certains me disent que ce n'était pas la vraie date et qu'il était sorti il y a deux semaines. D'autres mentionnent qu'il n'est pas encore dehors», a-t-il blâmé.
Le jeune homme a aussi fait savoir que ses indemnités tardaient à venir, étant en arrêt de travail depuis qu'on lui a diagnostiqué un trouble de stress post-traumatique il y a deux semaines, a-t-il dit.
«Je ne suis pas paresseux, j'ai viré à l'envers quand j'ai réalisé que mon père sortait, je n'étais plus capable de travailler. Mais là, je pense que je devrai faire semblant que tout va bien. Je n'ai pas d'entrée d'argent depuis deux semaines.»
Se prouver comme victime
Christina Guest, de SCC, n'a pas voulu se prononcer sur le cas précis du «bourreau de Beaumont», mais elle a confirmé que quelqu'un qui aurait des motifs raisonnables de craindre la sortie de prison de son agresseur doit faire ses propres démarches pour prouver être victime afin d'obtenir la localisation de l'ex-détenu.
«Si vous n'êtes pas inscrit auprès de nous pour un délinquant, on ne peut pas savoir que vous voulez les renseignements», a-t-elle mentionné.
Forcé de se ranger derrière la protection de la vie privée du «bourreau», le service des communications de SCC n'a pas voulu confirmer si le «bourreau de Beaumont» a bien été libéré la semaine dernière.
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- Rose-des-bois
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- Inscription : sam. sept. 02, 2006 12:00 am
Justice
Le «bourreau de Beaumont» résidera près de chez son fils
Kathleen Frenette / Agence QMI
03/10/2011 13h02
Guillaume Gosselin
© Archives QMI
QUÉBEC – Après avoir été incarcéré durant 14 ans, le « bourreau de Beaumont » a été transféré ce week-end dans une maison de transition située à quelques minutes de la résidence d’un de ses fils, à qui il a fait subir les pires sévices physiques et psychologiques durant sa plus tendre enfance.
Guillaume Gosselin était tout simplement sans mots lorsqu’il a appris lundi, sur les ondes du FM 93, que son père avait été transféré au centre carcéral Marcel-Caron, situé sur la rue Kirouac, à Québec.
« Il faut surtout que les parents du coin fassent de la prévention. L’Halloween s’en vient, les jeunes vont se promener dans la rue et cette année, c’est un vrai monstre qui va se retrouver en face d’eux », a-t-il confié en entrevue.
Le « bourreau de Beaumont » a battu quotidiennement ses enfants de 1980 à 1994 en leur infligeant des lésions qui ont laissé des cicatrices, en les incitant à des attouchements et à des actes sexuels, en les privant de nourriture, en plus de les brûler et de les humilier, a rapporté la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC), dans un rapport publié en juillet.
Le « bourreau » a été libéré puisqu’il a purgé les deux tiers de sa peine et qu’aucune demande de maintien en incarcération n’a été formulée devant la CNLC. Il a toutefois reçu une interdiction formelle de communiquer avec ses victimes. Il doit également être accompagné d’un intervenant lors de chacune de ses sorties quotidiennes de 30 minutes.
Le «bourreau de Beaumont» résidera près de chez son fils
Kathleen Frenette / Agence QMI
03/10/2011 13h02
Guillaume Gosselin
© Archives QMI
QUÉBEC – Après avoir été incarcéré durant 14 ans, le « bourreau de Beaumont » a été transféré ce week-end dans une maison de transition située à quelques minutes de la résidence d’un de ses fils, à qui il a fait subir les pires sévices physiques et psychologiques durant sa plus tendre enfance.
Guillaume Gosselin était tout simplement sans mots lorsqu’il a appris lundi, sur les ondes du FM 93, que son père avait été transféré au centre carcéral Marcel-Caron, situé sur la rue Kirouac, à Québec.
« Il faut surtout que les parents du coin fassent de la prévention. L’Halloween s’en vient, les jeunes vont se promener dans la rue et cette année, c’est un vrai monstre qui va se retrouver en face d’eux », a-t-il confié en entrevue.
Le « bourreau de Beaumont » a battu quotidiennement ses enfants de 1980 à 1994 en leur infligeant des lésions qui ont laissé des cicatrices, en les incitant à des attouchements et à des actes sexuels, en les privant de nourriture, en plus de les brûler et de les humilier, a rapporté la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC), dans un rapport publié en juillet.
Le « bourreau » a été libéré puisqu’il a purgé les deux tiers de sa peine et qu’aucune demande de maintien en incarcération n’a été formulée devant la CNLC. Il a toutefois reçu une interdiction formelle de communiquer avec ses victimes. Il doit également être accompagné d’un intervenant lors de chacune de ses sorties quotidiennes de 30 minutes.
Mamie vous aime mes petits amours !!!
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- Krysantheme
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Re: Le «bourreau de Beaumont» libéré sous peu
Son fils a Denis Lesvesque : Mon dieu j'en ai des frissons d'horreur
Ce qu'on écrivait en juillet:
Après avoir passé plus de 14 ans derrière les barreaux, la Commission estime que le bourreau représente toujours un risque élevé de récidive pour un délit violent à long terme. Ses risques de récidive pour un crime sexuel sont évalués entre modéré et élevé. L'homme souffre de différents problèmes d'ordre psychologique et sexuel.
Difficile à comprendre la raison de sa libération. Son fils a dit à Denis Lévesque qu'il est persuadé que ses années de prison ne l'ont pas changé parce que c'est un fou. Il craint une vengeance de sa part. Je comprends sa peur...Pauvre gars, il fait pitié. C'est triste!
Et dire qu'il est présentement à quelques kilomètres d'ici...
Après avoir passé plus de 14 ans derrière les barreaux, la Commission estime que le bourreau représente toujours un risque élevé de récidive pour un délit violent à long terme. Ses risques de récidive pour un crime sexuel sont évalués entre modéré et élevé. L'homme souffre de différents problèmes d'ordre psychologique et sexuel.
Difficile à comprendre la raison de sa libération. Son fils a dit à Denis Lévesque qu'il est persuadé que ses années de prison ne l'ont pas changé parce que c'est un fou. Il craint une vengeance de sa part. Je comprends sa peur...Pauvre gars, il fait pitié. C'est triste!
Et dire qu'il est présentement à quelques kilomètres d'ici...
oui c'est tellement triste il disait qu'il est à 25 min de lui et qu'il ne connait même pas le visage de son père c'est à dire il peut le rencontrer n'importe quandjoanna a écrit : Ce qu'on écrivait en juillet:
Après avoir passé plus de 14 ans derrière les barreaux, la Commission estime que le bourreau représente toujours un risque élevé de récidive pour un délit violent à long terme. Ses risques de récidive pour un crime sexuel sont évalués entre modéré et élevé. L'homme souffre de différents problèmes d'ordre psychologique et sexuel.
Difficile à comprendre la raison de sa libération. Son fils a dit à Denis Lévesque qu'il est persuadé que ses années de prison ne l'ont pas changé parce que c'est un fou. Il craint une vengeance de sa part. Je comprends sa peur...Pauvre gars, il fait pitié. C'est triste!
Et dire qu'il est présentement à quelques kilomètres d'ici...
Est ce que j'ai bien compris, son pére à le droit de sortir 30 min par jour
Selon ce que j'ai lu dans un journal ce matin, cette sortie est accompagnée d'un « surveillant ».ShaNnon a écrit : [...]
oui c'est tellement triste il disait qu'il est à 25 min de lui et qu'il ne connait même pas le visage de son père c'est à dire il peut le rencontrer n'importe quand
Est ce que j'ai bien compris, son pére à le droit de sortir 30 min par jour
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Bourreau de Beaumont: le sénateur Boisvenu commente
10/04/11 @ 09:37
http://tvanouvelles.ca/video/bourreau-d ... 9225927001" onclick="window.open(this.href);return false;
10/04/11 @ 09:37
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- lemurcatta
- Caïd de la Causette
- Messages : 548
- Inscription : jeu. nov. 01, 2007 12:00 am
Re: Le «bourreau de Beaumont» libéré sous peu
C'est un vrai cauchemar!!!! les lois doivent changer !
- geneviève-2
- Immortel du Domaine
- Messages : 13820
- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
Malike a écrit : C'est totalement inconcevable que l'on n'informe pas les victimes adéquatement. Mais le pire je crois bien que c'est de remettre une bête sauvage en liberté alors qu'on sait très bien qu'elle va faire d'autres victimes.
Ils le savent en plus que c'est risqué et que les chances de récidive sont grandes.... c'est pas non plus comme si il avait fait son temps en entier... il est au 2/3 de sa peine.
Some people deserve to be hi-fived.... in the face.... with a chair!