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Publié : mar. mai 19, 2020 10:12 pm
par joanna
Un bel article de Stéphane Laporte

https://www.lapresse.ca/covid-19/202005 ... -peine.php" onclick="window.open(this.href);return false;


P.S.Il s'est peut-être trompé en écrivant Monique Leyrac plutôt que Mercure quoiqu'elle est décédée en décembre elle aussi.

Publié : mar. mai 19, 2020 10:55 pm
par Lollita
Ma vieille tante disait : Ce qui est le pire quand on vieillit , c'est de voir mourir tous ceux qu'on aime . :ouin:

Publié : mar. mai 19, 2020 11:04 pm
par Anya
Fini, les cheveux longs : les premiers salons de coiffure rouvriront en juin

Les Québécois aux cheveux hirsutes et décolorés pourront bientôt se refaire une beauté s'ils le souhaitent.

Selon nos informations, le gouvernement Legault annoncera mercredi la reprise graduelle de services de soins personnels dans la première semaine de juin. C'est donc dire que les premiers salons de coiffure pourront reprendre leurs activités dans un peu moins de deux semaines.

Si tout se passe comme prévu, le plan de déconfinement sera présenté par le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Solidarité sociale, Jean Boulet.

À l'instar du plan de réouverture des commerces de détail, celui des entreprises offrant des services de soins corporels débutera dans les régions du Québec. Il s'étendra par la suite aux 82 municipalités de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).

Un guide de la Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) sur les mesures à mettre en place sera disponible. Il devrait normalement être élaboré en fonction des recommandations de l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ).

Suite...
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/17 ... -19-quebec

Re: Coronavirus

Publié : mer. mai 20, 2020 3:15 pm
par Placeress
Bouffe a l’extérieur de 10 personnes et moins dès vendredi !

Yahou!!

Publié : mer. mai 20, 2020 3:45 pm
par Capuchino
Ils n'avaient pas vraiment le choix d'assouplir les règles avant que trop de monde se déconfinent n'importe comment. Au moins là y'a des règles claires et tout le monde pourra en profiter.

Publié : mer. mai 20, 2020 4:24 pm
par Placeress
Capuchino a écrit : Ils n'avaient pas vraiment le choix d'assouplir les règles avant que trop de monde se déconfinent n'importe comment. Au moins là y'a des règles claires et tout le monde pourra en profiter.

Exact !

Publié : jeu. mai 21, 2020 10:22 am
par Anya
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Publié : jeu. mai 21, 2020 2:22 pm
par Anya
« Lâchez le 2 mètres pour les moins de 18 ans ! »
Lisa-Marie Gervais

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Des spécialistes du développement de l’enfant réclament que la Santé publique assouplisse les mesures pour les plus jeunes. Car, selon eux, la réouverture des écoles et des garderies — et possiblement des camps de jour — est assortie d’un lot de règles difficiles à appliquer pour les éducateurs et impossibles à respecter pour des enfants.

« Lâchez le 2 mètres pour les moins de 18 ans ! » Ce cri du cœur du pédiatre Jean-François Chicoine résume bien ce que lui et plusieurs de ses collègues conseillent aux autorités de la santé publique. Ce spécialiste de l’hôpital Sainte-Justine aimerait qu’on permette aux adolescents de « se lâcher lousse » quand ils sont entre eux et qu’on «laisse vivre» les moins de 11 ans.

Sa pensée, et celle de ses collègues de l’Association des pédiatres du Québec, fait d’ailleurs écho à celle de la Société française de pédiatrie, qui déclarait ces derniers jours dans une lettre ouverte que les mesures de distanciation « excessives », comme celles interdisant aux enfants de jouer entre eux ou qui rendent impossible de consoler un enfant, sont « inutiles, voire préjudiciables » puisqu’elle risque de générer beaucoup d’anxiété.

Selon le Dr Chicoine, le gouvernement, qu’il accuse de ne pas consulter suffisamment les pédiatres, doit se préoccuper du sort des enfants... autant que celui des coiffeuses. Il s’explique mal qu’il ait annoncé mercredi que les rassemblements extérieurs de moins de dix personnes allaient désormais être autorisés, mais qu’on ne permette pas à un enfant de jouer au ballon avec ses amis.

« On déconfine pour les adultes parce qu’il y en a qui sont en train de tricher, mais qu’a-t-on prévu pour les enfants? »

Des règles trop strictes

Bac de jouets au nom de l’enfant, aires de jeux délimitées par des lignes au sol, horaires de l’accueil et parcours de déambulation modifiés, activités et câlins interdits... Les écoles et garderies étant à nouveau ouvertes en région — celles du Grand Montréal feront de même début juin —, les milieux ont interprété chacun à leur façon les directives de l’Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ).

« On a pu faire des petits laboratoires et on arrive avec plus de normes, mais des adaptations pour chacun des secteurs », explique Geneviève Bélisle, de l’Association québécoise des Centres de la petite enfance (AQCPE), qui reconnaît que certains milieux font une gestion plus «serrée» des consignes. « J’ai l’impression qu’on est en train de se chercher collectivement et c’est tout à fait normal. »

Même les camps de jours, qui attendent le feu vert pour ouvrir, ont déjà défini leurs propres règles en détail. Dans le guide de relance des camps en contexte de COVID-19, on y apprend que le jeu de la cachette est « plus approprié » que la tague et que pour se saluer, un petit jeu de pieds pourra remplacer la poignée de main. « Lors de l’accueil, une seule personne manipule le crayon », va-t-on jusqu’à préciser.

Pédiatre au Centre hospitalier universitaire (CHU) Fleurimont, Marie-Claude Roy croit qu’une bonne désinfection et des lavages de mains fréquents suffisent. Pour elle, les mesures excessives, comme la distanciation physique et le port du masque, pourraient devenir anxiogènes pour les enfants à long terme.

« Le deux mètres, ça doit être exclu pour les enfants. Non seulement ce n’est pas applicable, mais c’est dommageable », dit-elle. « Je n’ai pas l’impression qu’une éducatrice en CPE va laisser pleurer un enfant et rester à deux mètres de distance avec sa visière. »

Un développement compromis?

« Si les enfants ne voient pas le sourire de leur éducatrice ou ne reçoivent pas de câlins, c’est clair qu’on va avoir des problèmes d’insécurité affective », lance Jean-François Chicoine, qui se dit contre le port du masque pour les personnes s’occupant des 18-24 mois. Lui aussi s’oppose aux règles trop strictes.

« Des tout-petits dans des carrés dessinés par terre, qui n’ont pas le droit de jouer ensemble, c’est contraire au développement de l’enfant », dit-il, en indiquant que c’est particulièrement délétère à partir de l’âge de 3 ans.

« C’est là qu’on voit l’importance de la régulation du comportement, le début de l’empathie. S’il n’est pas collé sur l’autre, l’enfant ne se développera pas normalement. »

Marie-Claude Roy rappelle qu’un bambin fait d’importants apprentissages durant la petite enfance, comme apprendre à «  négocier  » avec l’autre et gérer une émotion. Comment le fera-t-il s’il ne peut pas toucher au jouet de son ami ni entrer en contact étroit avec lui?

« Les 3 à 5 ans peuvent avoir de la difficulté à se construire socialement et émotivement si on les tient dans leur territoire », insiste-t-elle. Et c’est la même chose pour les ados. « Ils ont besoin de se distancier de leurs parents, de se créer une identité propre et d’apprendre à se faire confiance. »

Richard E. Tremblay, psychologue et grand spécialiste du développement de l’enfant, se dit pour sa part peu inquiet par ce que vivent les enfants du Québec. « C’est une situation unique et personne ne sait vraiment l’impact qu’elle aura, car il n’existe encore aucune recherche scientifique. Mais ça me surprendrait beaucoup qu’on soit en train de gaspiller une génération », croit-il, en reconnaissant que la situation est plus difficile pour les enfants les plus vulnérables.

Avec des collègues nés comme lui pendant la Seconde Guerre mondiale, ce professeur émérite de l’Université de Montréal est en train d’écrire un livre rassemblant ces récits de l’enfance dans un contexte difficile.

« On y a vécu des choses épouvantables, mais nous nous en sommes tous sortis très bien; alors, d’imaginer que le fait de ne pas aller à l’école pendant quelques mois et d’être confinés à la maison puisse causer un tort irréparable m’apparaît impossible », se permet-il de relativiser.
https://www.ledevoir.com/politique/5793 ... se-se-vive

Publié : jeu. mai 21, 2020 5:58 pm
par Anya
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Publié : jeu. mai 21, 2020 7:37 pm
par Capuchino
Difficile de déconfiner tout en étant prudent et de plaire à tout le monde. J'ai lu qu'au Nouveau Brunswick le gouvernement avait instauré une façon de donner la possibilité que des gens puissent se réunir pour contrer l'isolement. Les gens pouvaient choisir une seule autre famille avec laquelle ils seraient jumelées jusqu'à l'étape suivante du confinement. Et bien, ça l'air que ça faisait plein de chicanes intra-familiales, les gens non choisis le prenaient vraiment personnel et se sentaient rejetés. Y'a pas trop de solutions faciles à appliquer :gla: . C'est peut-être pour éviter cela qu'au Québec c'est 3 familles et pas toujours les mêmes, quitte à perdre le contrôle sur de futures éclosions! C'est en ce moment qu'on voit toute la complexité du déconfinement, c'est loin d'être facile à gérer le tout avec prudence, car ça va au-delà du virus lui-même.

Publié : jeu. mai 21, 2020 9:35 pm
par maya213
Anya a écrit : « Lâchez le 2 mètres pour les moins de 18 ans ! »
Lisa-Marie Gervais

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Des spécialistes du développement de l’enfant réclament que la Santé publique assouplisse les mesures pour les plus jeunes. Car, selon eux, la réouverture des écoles et des garderies — et possiblement des camps de jour — est assortie d’un lot de règles difficiles à appliquer pour les éducateurs et impossibles à respecter pour des enfants.

« Lâchez le 2 mètres pour les moins de 18 ans ! » Ce cri du cœur du pédiatre Jean-François Chicoine résume bien ce que lui et plusieurs de ses collègues conseillent aux autorités de la santé publique. Ce spécialiste de l’hôpital Sainte-Justine aimerait qu’on permette aux adolescents de « se lâcher lousse » quand ils sont entre eux et qu’on «laisse vivre» les moins de 11 ans.

Sa pensée, et celle de ses collègues de l’Association des pédiatres du Québec, fait d’ailleurs écho à celle de la Société française de pédiatrie, qui déclarait ces derniers jours dans une lettre ouverte que les mesures de distanciation « excessives », comme celles interdisant aux enfants de jouer entre eux ou qui rendent impossible de consoler un enfant, sont « inutiles, voire préjudiciables » puisqu’elle risque de générer beaucoup d’anxiété.

Selon le Dr Chicoine, le gouvernement, qu’il accuse de ne pas consulter suffisamment les pédiatres, doit se préoccuper du sort des enfants... autant que celui des coiffeuses. Il s’explique mal qu’il ait annoncé mercredi que les rassemblements extérieurs de moins de dix personnes allaient désormais être autorisés, mais qu’on ne permette pas à un enfant de jouer au ballon avec ses amis.

« On déconfine pour les adultes parce qu’il y en a qui sont en train de tricher, mais qu’a-t-on prévu pour les enfants? »

Des règles trop strictes

Bac de jouets au nom de l’enfant, aires de jeux délimitées par des lignes au sol, horaires de l’accueil et parcours de déambulation modifiés, activités et câlins interdits... Les écoles et garderies étant à nouveau ouvertes en région — celles du Grand Montréal feront de même début juin —, les milieux ont interprété chacun à leur façon les directives de l’Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ).

« On a pu faire des petits laboratoires et on arrive avec plus de normes, mais des adaptations pour chacun des secteurs », explique Geneviève Bélisle, de l’Association québécoise des Centres de la petite enfance (AQCPE), qui reconnaît que certains milieux font une gestion plus «serrée» des consignes. « J’ai l’impression qu’on est en train de se chercher collectivement et c’est tout à fait normal. »

Même les camps de jours, qui attendent le feu vert pour ouvrir, ont déjà défini leurs propres règles en détail. Dans le guide de relance des camps en contexte de COVID-19, on y apprend que le jeu de la cachette est « plus approprié » que la tague et que pour se saluer, un petit jeu de pieds pourra remplacer la poignée de main. « Lors de l’accueil, une seule personne manipule le crayon », va-t-on jusqu’à préciser.

Pédiatre au Centre hospitalier universitaire (CHU) Fleurimont, Marie-Claude Roy croit qu’une bonne désinfection et des lavages de mains fréquents suffisent. Pour elle, les mesures excessives, comme la distanciation physique et le port du masque, pourraient devenir anxiogènes pour les enfants à long terme.

« Le deux mètres, ça doit être exclu pour les enfants. Non seulement ce n’est pas applicable, mais c’est dommageable », dit-elle. « Je n’ai pas l’impression qu’une éducatrice en CPE va laisser pleurer un enfant et rester à deux mètres de distance avec sa visière. »

Un développement compromis?

« Si les enfants ne voient pas le sourire de leur éducatrice ou ne reçoivent pas de câlins, c’est clair qu’on va avoir des problèmes d’insécurité affective », lance Jean-François Chicoine, qui se dit contre le port du masque pour les personnes s’occupant des 18-24 mois. Lui aussi s’oppose aux règles trop strictes.

« Des tout-petits dans des carrés dessinés par terre, qui n’ont pas le droit de jouer ensemble, c’est contraire au développement de l’enfant », dit-il, en indiquant que c’est particulièrement délétère à partir de l’âge de 3 ans.

« C’est là qu’on voit l’importance de la régulation du comportement, le début de l’empathie. S’il n’est pas collé sur l’autre, l’enfant ne se développera pas normalement. »

Marie-Claude Roy rappelle qu’un bambin fait d’importants apprentissages durant la petite enfance, comme apprendre à «  négocier  » avec l’autre et gérer une émotion. Comment le fera-t-il s’il ne peut pas toucher au jouet de son ami ni entrer en contact étroit avec lui?

« Les 3 à 5 ans peuvent avoir de la difficulté à se construire socialement et émotivement si on les tient dans leur territoire », insiste-t-elle. Et c’est la même chose pour les ados. « Ils ont besoin de se distancier de leurs parents, de se créer une identité propre et d’apprendre à se faire confiance. »

Richard E. Tremblay, psychologue et grand spécialiste du développement de l’enfant, se dit pour sa part peu inquiet par ce que vivent les enfants du Québec. « C’est une situation unique et personne ne sait vraiment l’impact qu’elle aura, car il n’existe encore aucune recherche scientifique. Mais ça me surprendrait beaucoup qu’on soit en train de gaspiller une génération », croit-il, en reconnaissant que la situation est plus difficile pour les enfants les plus vulnérables.

Avec des collègues nés comme lui pendant la Seconde Guerre mondiale, ce professeur émérite de l’Université de Montréal est en train d’écrire un livre rassemblant ces récits de l’enfance dans un contexte difficile.

« On y a vécu des choses épouvantables, mais nous nous en sommes tous sortis très bien; alors, d’imaginer que le fait de ne pas aller à l’école pendant quelques mois et d’être confinés à la maison puisse causer un tort irréparable m’apparaît impossible », se permet-il de relativiser.
https://www.ledevoir.com/politique/5793 ... se-se-vive
La dernière phrase me fait tellement tiquer!! ''on faisait ça dans mon temps et on n'est pas mort'' en est un excellent synonyme. Ce n'est pas parce que dans le temps, avec les connaissances de l'époque, avec des fratries plus grandes, des mamans à la maison, ça se faisait que c'est bien et approprié pour nos enfants d'aujourd'hui!

Publié : ven. mai 22, 2020 4:47 pm
par Citron500
Capuchino a écrit : Difficile de déconfiner tout en étant prudent et de plaire à tout le monde. J'ai lu qu'au Nouveau Brunswick le gouvernement avait instauré une façon de donner la possibilité que des gens puissent se réunir pour contrer l'isolement. Les gens pouvaient choisir une seule autre famille avec laquelle ils seraient jumelées jusqu'à l'étape suivante du confinement. Et bien, ça l'air que ça faisait plein de chicanes intra-familiales, les gens non choisis le prenaient vraiment personnel et se sentaient rejetés. Y'a pas trop de solutions faciles à appliquer :gla: . C'est peut-être pour éviter cela qu'au Québec c'est 3 familles et pas toujours les mêmes, quitte à perdre le contrôle sur de futures éclosions! C'est en ce moment qu'on voit toute la complexité du déconfinement, c'est loin d'être facile à gérer le tout avec prudence, car ça va au-delà du virus lui-même.
J'imagine les chicanes :eek: :lol: :lol:

Publié : ven. mai 22, 2020 4:58 pm
par Fabi
Le Doc Mailloux affirme que la 2e vague va s'attaquer aux grosses «Vous allez y goûter solide!»

Le Doc Mailloux n'a jamais eu peur de créer de la controverse et il l'a prouvé une fois de plus, jeudi, dans une étrange vidéo publiée sur Facebook où il affirme que la deuxième vague de contagion touchera particulièrement « Les grosses et les gros. »

La vidéo, mise en ligne jeudi, montre le Doc Mailloux aux côtés de Josey Arsenault, qui semble un peu dépassée par les propos de son controversé collègue. Dans un monologue plus ou moins cohérent, celui dont le vrai nom est Pierre Mailloux affirme:

« Qu'est-ce qu'on va faire? On va protéger les grosses et les gros. Graduellement, on va retirer les femmes - pour les hommes on établira des poids plus tard, j'utilise les femmes parce que c'est plus facile - pour comprendre l'idée. Fait que crissez-moi la paix à matin avec la grossophobie. On essaie d'être intelligent.

On va, graduellement... ça va venir, la deuxième vague, ça va venir des grosses dans le système scolaire, de l'éducation et des garderies, ainsi que dans le système de la santé.

Les grosses, vous allez y goûter. Ça ne sera pas drôle la deuxième vague pour vous autres. Et ça va se répandre par une traînée de poudre parce que ça va être propagé par les enfants, les adolescents et vos collègues de travail du même âge que vous. Mais qui sont pas grosses. Elles vont le faire la grippe, elles vont l'avoir la grippe.

Beaucoup moins de complications, beaucoup de moins de soins intensifs et beaucoup moins de morts. Vous allez y goûter. La deuxième vague, d'après moi, va vous frapper. Solide! D'où l'importance de vous protéger. »

Voici la vidéo qui a été mise en ligne, jeudi, sur la page Facebook Doc Mailloux et Josey:


https://www.facebook.com/docmaillouxetj ... 189527493/" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : ven. mai 22, 2020 5:44 pm
par DePassage
Fabi a écrit : Le Doc Mailloux affirme que la 2e vague va s'attaquer aux grosses «Vous allez y goûter solide!»

Le Doc Mailloux n'a jamais eu peur de créer de la controverse et il l'a prouvé une fois de plus, jeudi, dans une étrange vidéo publiée sur Facebook où il affirme que la deuxième vague de contagion touchera particulièrement « Les grosses et les gros. »

La vidéo, mise en ligne jeudi, montre le Doc Mailloux aux côtés de Josey Arsenault, qui semble un peu dépassée par les propos de son controversé collègue. Dans un monologue plus ou moins cohérent, celui dont le vrai nom est Pierre Mailloux affirme:

« Qu'est-ce qu'on va faire? On va protéger les grosses et les gros. Graduellement, on va retirer les femmes - pour les hommes on établira des poids plus tard, j'utilise les femmes parce que c'est plus facile - pour comprendre l'idée. Fait que crissez-moi la paix à matin avec la grossophobie. On essaie d'être intelligent.

On va, graduellement... ça va venir, la deuxième vague, ça va venir des grosses dans le système scolaire, de l'éducation et des garderies, ainsi que dans le système de la santé.

Les grosses, vous allez y goûter. Ça ne sera pas drôle la deuxième vague pour vous autres. Et ça va se répandre par une traînée de poudre parce que ça va être propagé par les enfants, les adolescents et vos collègues de travail du même âge que vous. Mais qui sont pas grosses. Elles vont le faire la grippe, elles vont l'avoir la grippe.

Beaucoup moins de complications, beaucoup de moins de soins intensifs et beaucoup moins de morts. Vous allez y goûter. La deuxième vague, d'après moi, va vous frapper. Solide! D'où l'importance de vous protéger. »

Voici la vidéo qui a été mise en ligne, jeudi, sur la page Facebook Doc Mailloux et Josey:


https://www.facebook.com/docmaillouxetj ... 189527493/" onclick="window.open(this.href);return false;
Non mais quel danger public celui-là! :gluk: Il ne devrait pas avoir encore un droit de pratique et on devrait cesser de l'appeler doc. Je dirais plutôt : le fou à Mailloux, ou quelque chose du genre.

Publié : sam. mai 23, 2020 8:59 pm
par Capuchino
Pas évident le déconfinement :gla: . Au lieu de faire des heureux, ça met en maudit plein de monde. Pourquoi eux et pas nous au lieu d'être fier de voir que tranquillement l'économie ouvre, chacun met de la pression pour ne pas souffrir personnellement des mesures sanitaires mises en place. Personnellement, je trouve cela bien désolant de voir que pour certains c'est la fin du monde si leur camping ouvrirait avec un mois de retard. Je comprends leur frustration, mais me semble qu'en temps de pandémie on vit tous des frustrations que ce soit des jeunes qui ne peuvent pas vivre leur bal de finissants, les nombreux mariages annulés, les nombreux voyages tombés à l'eau, les parents aux prises de devoir composer entre le travail et la garde des enfants, etc, etc. J'ai le goût de dire à tout le monde de prendre leur gaz égal. On en souffre tous de cette pandémie. Ce n'est pas vrai que c'est pire pour les campeurs que les autres.

Publié : sam. mai 23, 2020 9:12 pm
par DePassage
Capuchino a écrit : Pas évident le déconfinement :gla: . Au lieu de faire des heureux, ça met en maudit plein de monde. Pourquoi eux et pas nous au lieu d'être fier de voir que tranquillement l'économie ouvre, chacun met de la pression pour ne pas souffrir personnellement des mesures sanitaires mises en place. Personnellement, je trouve cela bien désolant de voir que pour certains c'est la fin du monde si leur camping ouvrirait avec un mois de retard. Je comprends leur frustration, mais me semble qu'en temps de pandémie on vit tous des frustrations que ce soit des jeunes qui ne peuvent pas vivre leur bal de finissants, les nombreux mariages annulés, les nombreux voyages tombés à l'eau, les parents aux prises de devoir composer entre le travail et la garde des enfants, etc, etc. J'ai le goût de dire à tout le monde de prendre leur gaz égal. On en souffre tous de cette pandémie. Ce n'est pas vrai que c'est pire pour les campeurs que les autres.
:jap:

Publié : sam. mai 23, 2020 9:42 pm
par Jannic
Capuchino a écrit : Pas évident le déconfinement :gla: . Au lieu de faire des heureux, ça met en maudit plein de monde. Pourquoi eux et pas nous au lieu d'être fier de voir que tranquillement l'économie ouvre, chacun met de la pression pour ne pas souffrir personnellement des mesures sanitaires mises en place. Personnellement, je trouve cela bien désolant de voir que pour certains c'est la fin du monde si leur camping ouvrirait avec un mois de retard. Je comprends leur frustration, mais me semble qu'en temps de pandémie on vit tous des frustrations que ce soit des jeunes qui ne peuvent pas vivre leur bal de finissants, les nombreux mariages annulés, les nombreux voyages tombés à l'eau, les parents aux prises de devoir composer entre le travail et la garde des enfants, etc, etc. J'ai le goût de dire à tout le monde de prendre leur gaz égal. On en souffre tous de cette pandémie. Ce n'est pas vrai que c'est pire pour les campeurs que les autres.
:jap:

Et ce n'est pas ad vitam æternam cette fermeture. La ministre a bien spécifié que l'idée était d'y aller graduellement. L'été comme tel n'est même pas encore commencé. Leur bébéisme c'est comme entendre des enfants dire: les autres peuvent pis moi, j'peux pas... Tu veux jamais ! Franchement :no:

Publié : sam. mai 23, 2020 10:58 pm
par nancy31f
ouinn le deconfinement dans mon bout le monde sont content mais j`entend des party pis ca gueule ca crie pas reposant

je vois pas mais pas sur que ca respecte le 2 metre pis je reste dans un petit domaine pres de mon village

et vous comment ca se passe?

Publié : dim. mai 24, 2020 12:04 am
par joanna
Il n'y a pas juste dans ton coin Nancy que ça fêtait le retour d'un peu de liberté. Je suis sortie lire avec ma tablette vers 22:00 et dans la petite rue de l'autre côté d'ici, ça jasait fort assez et je voyais les p'tits feux dans les cours arrières des blocs appartements. Ça gueulait pas mal fort à certains endroits. Plus tard, j'ai vu une voiture de police tourner vers cette rue. Sans doute des plaintes de voisins. D'un côté de cette rue, ce sont des maisons seules appartenant à des gens plus âgés qui doivent se coucher plus tôt. Peut-être aussi pour les feux que les policiers surveillent, c'est défendu ces temps-ci à cause de la sécheresse. Ça s'est tranquillisé un peu par la suite.

Je crois bien que plusieurs ont célébré... Retrouver la liberté et le beau temps, on a oublié la pandémie et les consignes. Perso, ça ne m'a pas dérangée, je suis une couche-tard. Et je suis habituée, c'est ainsi chaque soir d'été dans cette rue. Quand mon climatiseur sera installé, je n'entendrai pas les bruits extérieurs la nuit. :hello:

Publié : dim. mai 24, 2020 1:19 am
par Jannic
Hier en après-midi, deux amies sont venues et aujourd'hui, elles m'ont dit combien ces quelques heures à nous retrouver leur avaient fait un bien fou! Je suis sortie aller marcher vers 23h ce soir et partout dans le quartier c'était bien tranquille. Dans la journée, j'ai vu quelques visiteurs ici et là dans le voisinage mais sans plus. Je m'attendais à un peu plus d'activités pour dire vrai.