LE DOMAINE BLEU

la premiere journée qu'on est arrivé ici... René Angélil avec le champagne. On dirait que ça fait un mois...3 mois...Comme si ça fait longtemsp qu'on est ici.

Rich dit que c'est parce qu'ils font plus de choses qu'il a jaamis fait de sa vie.

tout le monde nous apprend des choses en plus... on va être bons à la fin ( Sophie)

Vanessa montre ses bleus... Joanie dit vous avez pas été très intelligents.

c'est crazy dans la tête. Rich réalise que tout ce qu'ils ont fait en 2 semaines.

Y'en a qui feront jamais ça dans toute une vie.

Vanessa s'en va s'entrainer.

Sophie lui dit d'aller au téléphone a sa place, elle ira après comme ça Vanessa va pouvoir s'entrainer. (elle est fine cette fille)

Brigitte raconte quelque chose qui fait rire tout le monde....mais pas de son

Brigitte est toute émue par son téléphone.

Brigitte dit ça a pas d'allure j'm'ennuie même de mon char.

C'est Rich au salon, méditatif, qui se pose des questions, des questions profondes sur sa présence dans cette aventure... il parle du vide... de l'inattendu qui devient de l'attendu... une sorte d'irréalité qui banalise... ex: voir Céline, échanger avec elle devient à la fois extraordinaire et ordinaire, familier... c'est pas normal, tout est trop... trop gros, trop vite, le cerveau s'adapte mais, quand tu t'arrêtes pour réfléchir, tu te dis que non, quelque chose ne fitte pas... Joanie réfléchit à haute voix elle aussi pour faire écho aux états d'âme de Rich... elle dit même: je me sens comme un pion, comme si on nous avait pris comme pions dans un jeu de société... Elle dit qu'elle réalise pour la première fois de sa vie qu'elle écoute de la musique dans son Ipod par obligation... Ensuite, Sophie puis, Brigitte embarquent dans la conversation. les quatre s'expriment sur la liberté, leur liberté dans ce tourbillon, des journée chargées qui ne laissent pas de temps à la réflexion... Ils disent que le temps passe vite mais, étonnamment, ils ont le sentiment de vivre là depuis quelques mois, six mois même... Tout est fou. Tout est malade disent-ils.