Pour Sarah
La jeune Marianne Fortier interprétera le personnage principal de la nouvelle série Pour Sarah, que TVA présentera à l’automne et qui misera sur un quatuor d’acteurs d’expérience formé de Patrice Robitaille, Hélène Florent, Sylvain Marcel et Brigitte Lafleur, a appris Le Journal.
Marianne Fortier, connue pour ses rôles dans Aurore, La galère et Le berceau des anges, aura comme compagnon de jeu Félix-Antoine Duval, connu pour ses apparitions dans des émissions jeunesse et qui jouera Cédric, l’ami de Sarah.
La série, dont le tournage démarrera le 19 avril, à Laval, se penchera sur les conséquences d’un grave accident de la route impliquant Cédric et Sarah survenu après que les deux amis eurent quitté un party au volant d’une voiture empruntée, relate l’auteure Michelle Allen (Destinées).
«Ça parle des répercussions émotives de cet accident parce que ce sont deux amis d’enfance. Et aussi des répercussions physiques, car ils auront des séquelles – Cédric avait été recruté par une université américaine pour jouer au football – en plus de la saga judiciaire», indique Mme Allen.
Cette dernière ajoute qu’il y aura un volet suspense puisque tout au long des 10 épisodes, on cherchera à reconstituer ce qu’il s’est passé durant le party, dans les heures qui ont précédé le drame.
Fiction inspirée d’une histoire vraie
Les autres acteurs joueront les parents des deux jeunes. Marcel et Florent ceux de Sarah, Robitaille et Lafleur ceux de Cédric.
L’histoire de Sarah est inspirée librement de celle de la fille du producteur François Rozon, gravement blessée dans une tragédie routière impliquant des adolescents. Mais attention! Pour Sarah demeure une fiction, notamment en ce qui trait aux circonstances de l’accident, précise l’auteure.
«Par contre, ce qui tient de l’histoire vraie, ce sont certains détails de l’histoire médicale de Sarah auxquels je n’aurais pas pensé. Justine (la fille de M. Rozon) m’a notamment raconté la joie qu’elle a éprouvée la première fois qu’on lui a lavé les cheveux.»
Ultimement, Mme Allen espère que le sujet, percutant à ses yeux, rejoindra autant les jeunes que les parents.
«Le ton n’est pas moralisateur, mais ça va poser beaucoup de questions. Les gens vont se demander ce qu’ils feraient si ça leur arrivait.»
Source: http://www.journaldemontreal.com/2015/0 ... h-devoilee" onclick="window.open(this.href);return false;
La liberté n'est pas une marque de yogourt. - Pierre Falardeau
Ben moi jai bien aimer jai hate a la semaine prochaine
