La maison bleue
Modérateur : Elise-Gisèle
La maison bleue
La poutine de chez Austin
Richard Therrien
CHRONIQUE / Nous sommes au bureau ovale du président de la République du Québec. Élu en 2016, Jacques Hamelin réprimande sa fille Gabrielle, qui a osé présenter une dissertation au cégep sur les bienfaits du fédéralisme, saluée par son professeur, reprise depuis partout dans les médias, et tout ça, avec l’assentiment de la première dame. Un scandale de plus à étouffer pour le président Hamelin, qui en a déjà plein les bras avec les propositions farfelues de son homologue américain.
«Dans n’importe quel show politique, aussi sérieux soit-il, c’est une accumulation de problèmes un par-dessus l’autre», me dit l’auteur et réalisateur Ricardo Trogi, sur le plateau de tournage de La maison bleue, dans le sud-ouest de Montréal. Annoncée récemment, cette comédie destinée à l’Extra d’ICI Tou.tv imaginera ce qu’aurait été le Québec si le Oui l’avait emporté en 1995. À l’extérieur du bureau ovale, réplique réduite de celui de la Maison-Blanche, sont affichés des portraits des anciens chefs souverainistes (Landry, Bouchard, Lévesque, etc.) et de... Mario Tremblay. On ne sait toujours pas qui apparaîtra sur les dollars québécois. Au fait, Jacques Hamelin ne perd pas l’habitude de manger sa poutine, non pas chez Ashton, mais bien chez Austin.
La maison bleue pose essentiellement la question suivante : «A-t-on les moyens de nos ambitions?» Parce que, même 25 ans après son indépendance, le Québec ne parvient pas à se sortir du débat identitaire. Ricardo Trogi, en nomination au Gala Québec Cinéma dimanche soir prochain pour son film 1991, s’étonne que personne n’ait eu l’idée de faire une série sur ce sujet. Y’a-t-il un risque qu’on accuse la série de mépris envers le projet souverainiste? «C’est de la comédie, je ne peux pas y aller à moitié. On a fait attention pour que le Québec et le Canada soient couillons ou stupides égaux dans leurs façons de gérer leur propre pays. Il y a un souci d’équilibre, aussi en terme de diversité», affirme Trogi, qui s’attend à recevoir plus de réactions que pour ses œuvres précédentes. Après tout, la politique est une religion. «Mais je ne virerai pas fou non plus avec ça.»
Guy Nadon, qui incarne ce président rempli de bonne volonté, a le privilège et le luxe de cumuler en parallèle les rôles dramatiques et comiques depuis plusieurs années. «La vie d’un acteur est fantasmique. Je passe ma vie à me réaliser à travers quelqu’un d’autre que moi-même», confie le comédien avec un brin d’excitation. «Même O’ pouvait me permettre de juxtaposer le ridicule au drame des êtres humains. J’ai souvent vu ça dans ma propre vie, que ce soit dans les salons mortuaires ou les mariages.» Et si on avait dit Oui en 1995? «On aurait plus d’ambassadeurs, plus de compétences qui nous seraient utiles. C’est pour ça que les gens font des pays, pour devenir plus compétents», croit Guy Nadon, qui portait une écharpe au bras sur le plateau. La cause : une bataille du président avec son voisin fédéraliste, venu s’installer juste à côté juste pour lui rendre la vie impossible.
Aucun politicien ne retrouvera sa parodie dans La maison bleue, pas plus François Legault que Manon Massé. Le président américain ne s’appelle ni Flump, ni Crump, il s’appelle plutôt Lester Richards et a les cheveux blancs, pas oranges. On imagine tout de même qu’il est républicain. Le rôle a été confié à Bruce Gregory Dinsmore — vous vous souvenez du chum anglophone de Lola dans Chambres en ville? Ricardo Trogi, qui coécrit la série avec Daniel Savoie, avec la collaboration de Louis Morissette, miserait sur une deuxième saison pour faire apparaître un président français, et pour s’intéresser davantage aux opposants du parti de Jacques Hamelin, Nation Québec. Commençons par voir la première saison.
Ancienne duchesse du Carnaval, la première dame, Mireille Turcotte, arbore une robe rose en ce jour de tournage, plus inspirée de Melania Trump que de Jackie Kennedy. «C’est sûr que ça va faire parler les gens, parce que c’est un sujet chaud», croit son interprète, Anne-Marie Cadieux, ravie de camper cette femme qui ne parle pas la langue de Shakespeare, mais apprécie beaucoup, beaucoup son prof d’anglais. La comédienne ne croit pas que la série accentuera notre cynisme envers les politiciens et qu’il faut tout de même «la prendre avec un grain de sel».
Une partie de l’équipe de KOTV se déplaçait ce week-end trois jours de tournage à Québec, notamment pour une scène impliquant un sous-marin des Forces armées québécoises, menées par le général Charrette (Roger Léger). Bien que la Maison bleue soit située à Sillery dans l’histoire, on tourne essentiellement dans la métropole. Croisés sur le plateau, Geneviève Schmidt incarne la directrice des communications Karine Lavoie, Claude Despins, le vice-président Boudreau, et Richardson Zéphir, le garde du corps du président, Stéphane Boisclair. Il reste 15 jours de tournage à cette comédie, dont les 10 épisodes de 30 minutes seront mis en ligne l’hiver prochain.
https://www.lesoleil.com/arts/la-poutin ... ce=twitter" onclick="window.open(this.href);return false;
Richard Therrien
CHRONIQUE / Nous sommes au bureau ovale du président de la République du Québec. Élu en 2016, Jacques Hamelin réprimande sa fille Gabrielle, qui a osé présenter une dissertation au cégep sur les bienfaits du fédéralisme, saluée par son professeur, reprise depuis partout dans les médias, et tout ça, avec l’assentiment de la première dame. Un scandale de plus à étouffer pour le président Hamelin, qui en a déjà plein les bras avec les propositions farfelues de son homologue américain.
«Dans n’importe quel show politique, aussi sérieux soit-il, c’est une accumulation de problèmes un par-dessus l’autre», me dit l’auteur et réalisateur Ricardo Trogi, sur le plateau de tournage de La maison bleue, dans le sud-ouest de Montréal. Annoncée récemment, cette comédie destinée à l’Extra d’ICI Tou.tv imaginera ce qu’aurait été le Québec si le Oui l’avait emporté en 1995. À l’extérieur du bureau ovale, réplique réduite de celui de la Maison-Blanche, sont affichés des portraits des anciens chefs souverainistes (Landry, Bouchard, Lévesque, etc.) et de... Mario Tremblay. On ne sait toujours pas qui apparaîtra sur les dollars québécois. Au fait, Jacques Hamelin ne perd pas l’habitude de manger sa poutine, non pas chez Ashton, mais bien chez Austin.
La maison bleue pose essentiellement la question suivante : «A-t-on les moyens de nos ambitions?» Parce que, même 25 ans après son indépendance, le Québec ne parvient pas à se sortir du débat identitaire. Ricardo Trogi, en nomination au Gala Québec Cinéma dimanche soir prochain pour son film 1991, s’étonne que personne n’ait eu l’idée de faire une série sur ce sujet. Y’a-t-il un risque qu’on accuse la série de mépris envers le projet souverainiste? «C’est de la comédie, je ne peux pas y aller à moitié. On a fait attention pour que le Québec et le Canada soient couillons ou stupides égaux dans leurs façons de gérer leur propre pays. Il y a un souci d’équilibre, aussi en terme de diversité», affirme Trogi, qui s’attend à recevoir plus de réactions que pour ses œuvres précédentes. Après tout, la politique est une religion. «Mais je ne virerai pas fou non plus avec ça.»
Guy Nadon, qui incarne ce président rempli de bonne volonté, a le privilège et le luxe de cumuler en parallèle les rôles dramatiques et comiques depuis plusieurs années. «La vie d’un acteur est fantasmique. Je passe ma vie à me réaliser à travers quelqu’un d’autre que moi-même», confie le comédien avec un brin d’excitation. «Même O’ pouvait me permettre de juxtaposer le ridicule au drame des êtres humains. J’ai souvent vu ça dans ma propre vie, que ce soit dans les salons mortuaires ou les mariages.» Et si on avait dit Oui en 1995? «On aurait plus d’ambassadeurs, plus de compétences qui nous seraient utiles. C’est pour ça que les gens font des pays, pour devenir plus compétents», croit Guy Nadon, qui portait une écharpe au bras sur le plateau. La cause : une bataille du président avec son voisin fédéraliste, venu s’installer juste à côté juste pour lui rendre la vie impossible.
Aucun politicien ne retrouvera sa parodie dans La maison bleue, pas plus François Legault que Manon Massé. Le président américain ne s’appelle ni Flump, ni Crump, il s’appelle plutôt Lester Richards et a les cheveux blancs, pas oranges. On imagine tout de même qu’il est républicain. Le rôle a été confié à Bruce Gregory Dinsmore — vous vous souvenez du chum anglophone de Lola dans Chambres en ville? Ricardo Trogi, qui coécrit la série avec Daniel Savoie, avec la collaboration de Louis Morissette, miserait sur une deuxième saison pour faire apparaître un président français, et pour s’intéresser davantage aux opposants du parti de Jacques Hamelin, Nation Québec. Commençons par voir la première saison.
Ancienne duchesse du Carnaval, la première dame, Mireille Turcotte, arbore une robe rose en ce jour de tournage, plus inspirée de Melania Trump que de Jackie Kennedy. «C’est sûr que ça va faire parler les gens, parce que c’est un sujet chaud», croit son interprète, Anne-Marie Cadieux, ravie de camper cette femme qui ne parle pas la langue de Shakespeare, mais apprécie beaucoup, beaucoup son prof d’anglais. La comédienne ne croit pas que la série accentuera notre cynisme envers les politiciens et qu’il faut tout de même «la prendre avec un grain de sel».
Une partie de l’équipe de KOTV se déplaçait ce week-end trois jours de tournage à Québec, notamment pour une scène impliquant un sous-marin des Forces armées québécoises, menées par le général Charrette (Roger Léger). Bien que la Maison bleue soit située à Sillery dans l’histoire, on tourne essentiellement dans la métropole. Croisés sur le plateau, Geneviève Schmidt incarne la directrice des communications Karine Lavoie, Claude Despins, le vice-président Boudreau, et Richardson Zéphir, le garde du corps du président, Stéphane Boisclair. Il reste 15 jours de tournage à cette comédie, dont les 10 épisodes de 30 minutes seront mis en ligne l’hiver prochain.
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Les 10 épisodes de 30 minutes seront disponible dès jeudi sur l'EXTRA d'ICI.tou.tv.
La Maison-Bleue avec Guy Nadon vous fera rire aux éclats
La prémisse de La Maison-Bleue était particulièrement intrigante : que serait devenu le Québec si le « oui » avait remporté contre le « non » au Référendum de 1995. La seule proposition de cette réalité alternative était plutôt excitante. Le résultat, par contre, est bien au-delà des attentes.
Écrit par Daniel Savoie et Ricardo Trogi, en collaboration avec Louis Morissette et François Avard, La Maison-Bleue propose une caricature désopilante de notre société et de notre identité québécoise à travers des personnages aussi loufoques qu'attachants. Au contraire de ce qu'on pourrait s'imaginer, la comédie politique ne s'attaque pas qu'aux souverainistes, elle s'en prend également aux fédéralistes et même aux indécis. Elle n'épargne personne. Le gouvernement américain est aussi éclaboussé - et pas qu'un peu! - dans le processus.
La série est parsemée de délicieuses références à la culture populaire qui vous feront mourir de rire. On parle de mettre la face de Maripier Morin sur des billets de Banque, on mentionne un vin subventionné fabriqué à partir de bleuets du Lac par Mario Pelchat et on a fait de Réjean Houle et de Mario Tremblay rien de moins qu'un juge de la Cour Suprême et un ex-président de la République. Les habitants de la ville de Québec seront aussi ravis par les nombreuses références à la Capitale qui parsèment le récit; Place Laurier, le Centre Vidéotron et la fameuse poutine du Ashton, qui est devenu « Austin » pour l'occasion.
Guy Nadon est plus grand que nature dans le rôle du président Jacques Hamelin. Le comédien nous prouve encore qu'il n'est pas qu'un acteur dramatique, il possède un timing incroyable pour la comédie et désarçonne les téléspectateurs à plusieurs reprises. Parmi les rôles secondaires marquants, on doit mentionner le fantastique Dominic Paquet, qui incarne le fidèle garde du corps, un peu balourd, du président. Ce rôle, qui ressemble un peu à son personnage de scène, lui va comme un gant. Ce passage pendant lequel il s'exprime simplement avec des paroles de chansons des années 90 (parce qu'il ne parle pas anglais) est absolument délicieux. Richardson Zéphir, qui personnifie un membre de l'armée québécoise qui, dans les premiers épisodes, tente de négocier l'achat d'un sous-marin avec la République du Mawanda, se démarque également, tout comme Daniel Savoie, qui interprète un ancien athlète olympique en luge aux habitudes intellectuelles limitées.
La Maison-Bleue est un fantastique petit ovni dans le paysage télévisuel québécois. La satire politique n'est pas un genre qu'on a beaucoup exploité au petit écran au cours des dernières années, et on doit dire qu'on ne pourrait être plus enthousiaste de le retrouver, surtout sous cette forme inspirée.
La Maison-Bleue avec Guy Nadon vous fera rire aux éclats
La prémisse de La Maison-Bleue était particulièrement intrigante : que serait devenu le Québec si le « oui » avait remporté contre le « non » au Référendum de 1995. La seule proposition de cette réalité alternative était plutôt excitante. Le résultat, par contre, est bien au-delà des attentes.
Écrit par Daniel Savoie et Ricardo Trogi, en collaboration avec Louis Morissette et François Avard, La Maison-Bleue propose une caricature désopilante de notre société et de notre identité québécoise à travers des personnages aussi loufoques qu'attachants. Au contraire de ce qu'on pourrait s'imaginer, la comédie politique ne s'attaque pas qu'aux souverainistes, elle s'en prend également aux fédéralistes et même aux indécis. Elle n'épargne personne. Le gouvernement américain est aussi éclaboussé - et pas qu'un peu! - dans le processus.
La série est parsemée de délicieuses références à la culture populaire qui vous feront mourir de rire. On parle de mettre la face de Maripier Morin sur des billets de Banque, on mentionne un vin subventionné fabriqué à partir de bleuets du Lac par Mario Pelchat et on a fait de Réjean Houle et de Mario Tremblay rien de moins qu'un juge de la Cour Suprême et un ex-président de la République. Les habitants de la ville de Québec seront aussi ravis par les nombreuses références à la Capitale qui parsèment le récit; Place Laurier, le Centre Vidéotron et la fameuse poutine du Ashton, qui est devenu « Austin » pour l'occasion.
Guy Nadon est plus grand que nature dans le rôle du président Jacques Hamelin. Le comédien nous prouve encore qu'il n'est pas qu'un acteur dramatique, il possède un timing incroyable pour la comédie et désarçonne les téléspectateurs à plusieurs reprises. Parmi les rôles secondaires marquants, on doit mentionner le fantastique Dominic Paquet, qui incarne le fidèle garde du corps, un peu balourd, du président. Ce rôle, qui ressemble un peu à son personnage de scène, lui va comme un gant. Ce passage pendant lequel il s'exprime simplement avec des paroles de chansons des années 90 (parce qu'il ne parle pas anglais) est absolument délicieux. Richardson Zéphir, qui personnifie un membre de l'armée québécoise qui, dans les premiers épisodes, tente de négocier l'achat d'un sous-marin avec la République du Mawanda, se démarque également, tout comme Daniel Savoie, qui interprète un ancien athlète olympique en luge aux habitudes intellectuelles limitées.
La Maison-Bleue est un fantastique petit ovni dans le paysage télévisuel québécois. La satire politique n'est pas un genre qu'on a beaucoup exploité au petit écran au cours des dernières années, et on doit dire qu'on ne pourrait être plus enthousiaste de le retrouver, surtout sous cette forme inspirée.
Re: La maison bleue
Je trouve qu'ils ont beurré trop épais avec des gags faciles et de l'humour bas de gamme. Il y a des bons flash ici et là, mais on est loin des Bougon et des films de Ricardo Trogi. On dirait un sketch de Bye Bye qui ne fini plus.
Re: La maison bleue
J'ai lâché au 3 iême épisode
Re: La maison bleue
A part à l 'EXTRA d'ICI.tou.tv. est ce qu'on peux le voir ailleurs?
[color=#0000FF][i][b]Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse. [/b][/i][/color]
La Maison-Bleue: Ces 6 comédiens s'ajoutent à la 2e saison
28 septembre 2020
C'est aujourd'hui que s'est retrouvée la distribution de La Maison-Bleue pour donner un coup d'envoi aux tournages de la deuxième saison. Eh oui! À la fin du mois d'août, on avait appris que la série comique créée par Ricardo Trogi et Daniel Savoie allait revenir, mais pas qu'elle serait de retour dès l'hiver prochain! C'est en effet une belle surprise qu'a dévoilée ce matin Radio-Canada.
Comme pour la première saison, on y suivra le président Jacques Hamelin (Guy Nadon) et son entourage, alors que d'autres événements politiques et personnels viendront bouleverser leur quotidien. L'intrigue principale tournera cependant autour de la nationalisation du sirop d'érable. C'est donc « le gouvernement qui supervise la production et la distribution du sirop d’érable par le biais de la SQDSE (Société québécoise du sirop d’érable) ». L'équipe du président fera cependant rapidement face à une crise, comme les arbres de la SQDSE ne produiront plus de sirop. Tout sera tenté pour comprendre ce mystère avant que leur concurrent ne les double.
Outre l'excellent Guy Nadon, on peut compter sur le retour d'Anne-Marie Cadieux, Anyjeanne Savaria, Claude Despins, Geneviève Scmhidt, Simon Beaulé-Bulman, Roger Léger, Dominic Paquet, Myriam Leblanc, Jeff Boudreau, Richardson Zéphir et Frédéric Pierre.
De nouveaux visages s'ajouteront aussi à la distribution, dont celui de Lorna Gordon, qui campera la PDG de la Société québécoise du sirop d’érable, mais aussi Karine Gonthier-Hyndman, Kathleen Fortin, Patrick Drolet, Yannick De Martino et Wensi Yan.
La deuxième saison sera d'abord disponible en exclusivité sur l'Extra d'ICI Tou.tv avant d'être diffusée plus tard sur ICI Télé.
28 septembre 2020
C'est aujourd'hui que s'est retrouvée la distribution de La Maison-Bleue pour donner un coup d'envoi aux tournages de la deuxième saison. Eh oui! À la fin du mois d'août, on avait appris que la série comique créée par Ricardo Trogi et Daniel Savoie allait revenir, mais pas qu'elle serait de retour dès l'hiver prochain! C'est en effet une belle surprise qu'a dévoilée ce matin Radio-Canada.
Comme pour la première saison, on y suivra le président Jacques Hamelin (Guy Nadon) et son entourage, alors que d'autres événements politiques et personnels viendront bouleverser leur quotidien. L'intrigue principale tournera cependant autour de la nationalisation du sirop d'érable. C'est donc « le gouvernement qui supervise la production et la distribution du sirop d’érable par le biais de la SQDSE (Société québécoise du sirop d’érable) ». L'équipe du président fera cependant rapidement face à une crise, comme les arbres de la SQDSE ne produiront plus de sirop. Tout sera tenté pour comprendre ce mystère avant que leur concurrent ne les double.
Outre l'excellent Guy Nadon, on peut compter sur le retour d'Anne-Marie Cadieux, Anyjeanne Savaria, Claude Despins, Geneviève Scmhidt, Simon Beaulé-Bulman, Roger Léger, Dominic Paquet, Myriam Leblanc, Jeff Boudreau, Richardson Zéphir et Frédéric Pierre.
De nouveaux visages s'ajouteront aussi à la distribution, dont celui de Lorna Gordon, qui campera la PDG de la Société québécoise du sirop d’érable, mais aussi Karine Gonthier-Hyndman, Kathleen Fortin, Patrick Drolet, Yannick De Martino et Wensi Yan.
La deuxième saison sera d'abord disponible en exclusivité sur l'Extra d'ICI Tou.tv avant d'être diffusée plus tard sur ICI Télé.
- chien-loup
- Magicien des Mots
- Messages : 2602
- Inscription : ven. sept. 17, 2010 9:58 am
- lorraine48
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8240
- Inscription : mar. janv. 13, 2009 10:17 pm
Re: La maison bleue
moi aussi j ai annulé les enregistrements j embarque pas pan toute
Re: La maison bleue
Il me semble.. que ça aurait été bien que ce soit "Sérieux".
Après une attente interminable et parsemée d'embûches, bébé Hugo est dans nos vies depuis mars 2017.
BB2 est arrivée !
BB2 est arrivée !
Re: La maison bleue
J'avais lâché au 3 ieme épisode, je suis pas toute seule
- gingerstar
- Intronisé au Panthéon
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- Inscription : dim. sept. 21, 2003 12:00 am