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LE DOMAINE BLEU • Relations avec la Chine
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Relations avec la Chine

Publié : sam. août 01, 2020 5:58 am
par Citron500
Beaucoup d'articles concernent les relations avec la Chine ces temps-ci :)

On pourrait les mettre ici ;)
Tout lire >>Trump annonce qu'il interdira TikTok aux États-Unis 
Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi soir qu'il avait prévu de signer dès samedi un décret interdisant TikTok aux États-Unis, accentuant la pression sur la firme chinoise propriétaire de l'application vidéo pour qu'elle la vende.

En ce qui concerne TikTok, nous l'interdisons aux États-Unis, a déclaré vendredi soir Donald Trump à des journalistes à bord de l'avion présidentiel Air Force One.

Cette mesure marquerait un pic des préoccupations de Washington en matière de sécurité nationale, alors que des représentants s'inquiètent de la gestion par TikTok des données privées des utilisateurs.

Publié : lun. août 03, 2020 8:50 am
par Anya
La Chine s’installe dans le Grand Nord canadien

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L’achat d’une mine d’or dans l’Arctique par une entreprise chinoise d’État passe mal au Canada. La présence croissante de l’Empire du Milieu dans une région qui prend de plus en plus d’importance stratégique pour ses voies de navigation et ses ressources, est diversement appréciée.

Le gouvernement canadien va-t-il bloquer la vente de la mine de Hope Bay et de la société TMAC Resources Inc. à l’entreprise chinoise Shandong Gold Mining Co ? 97 % des actionnaires ont approuvé la vente pour 149 millions de dollars US. Or, avec cette mine viennent un aérodrome et un port. Ceux-ci pourraient permettre à la Chine de prendre pied au cœur de l’Arctique canadien et d’y mener des activités duales.

Les explications de Mikaa Mered, professeur de géopolitique des Pôles (Arctique et Antarctique) à l’Institut libre d’étude des relations internationales (ILERI, Paris), auteur des Mondes polaires (Puf, 2019) et expert-évaluateur auprès de la Commission européenne.

Cet achat chinois au Canada a une dimension stratégique. En quoi consiste-t-elle ?

La suite de l'article...

https://www.ouest-france.fr/monde/la-ch ... en-6925348

Publié : lun. août 10, 2020 12:33 pm
par Citron500
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Tout lire >>La Chine sera chargée de l’avenir des droits de la personne à l’ONU. 
En intégrant le comité de sélection du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, la Chine aura son mot à dire sur le choix des personnes chargées d’enquêter sur des questions de liberté d’expression, de disparition forcée, de détention arbitraire… Deux universitaires canadiens dénoncent. Alors que la majorité des pays du monde tentent d’endiguer la propagation du coronavirus, une autre affaire connaît des développements préoccupants au Conseil des droits de l’homme des Nations unies (CDHNU) – un organe intergouvernemental basé à Genève, en Suisse.

Interpellée par différents États et organismes à propos de son bilan concernant les droits de la personne, la Chine se voit en effet conférer le pouvoir d’influencer l’examen d’enjeux internationaux liés aux droits de ces mêmes personnes.

L’UN Watch, entité non gouvernementale de surveillance des droits de la personne associée à l’Organisation des Nations unies (ONU), dévoilait récemment que la République populaire de Chine avait été nommée membre d’un comité de sélection chargé spécifiquement de composer le prochain groupe d’enquêteurs spéciaux. Au cours de la prochaine année, il incombera à ce comité de pourvoir au moins 17 postes dont les titulaires seront saisis d’importants dossiers sur les droits de la personne.

Publié : jeu. oct. 15, 2020 9:14 am
par Anya
L’Arabie Saoudite échoue à rejoindre le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU

L’Arabie Saoudite a échoué dans sa tentative de devenir membre du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies mardi, alors que la Chine et la Russie ont été élues pour une durée de trois ans.

Les organisations de défense des droits de l’Homme ont salué le coup porté à Riyad et à ses tentatives d’améliorer son image vis-à-vis de la communauté internationale.

«Le Conseil des droits de l’Homme a aujourd’hui envoyé une réprimande spectaculaire à l’Arabie Saoudite de Mohammed ben Salmane» a écrit sur Twitter Bruno Stagno, directeur exécutif adjoint de l’ONG Human Rights Watch (HRW), en référence au prince héritier du pays.

«Le seul pays à ne pas être élu, fui par une majorité des membres de l’ONU. Le royaume récolte ce qu’il mérite pour ses graves violations des droits de l’Homme et pour ses crimes de guerre à l’étranger», a-t-il ajouté.

Quinze sièges étaient en jeu dans ce conseil qui compte 47 membres, critiqué par les organisations de défense des droits de l’Homme et par les Etats-Unis, car on y trouve des pays accusés de violer ces mêmes droits.

Toutefois, seuls quatre des 15 sièges ont été disputés -- tous dans l’Asie et le Pacifique.

La Chine a obtenu 139 voix lors du vote à bulletin secret, une chute spectaculaire au regard des 180 votes recueillis la dernière fois qu’elle avait été élue en 2016.

«Cela montre que de plus en plus d’États sont perturbés par le bilan désastreux de la Chine en terme de respect des droits», a écrit sur Twitter Louis Charbonneau, responsable de HRW aux Nations unies.

Le Pakistan et l’Ouzbékistan ont été élus avec 169 voix et le Népal avec 150 votes.

L’Arabie Saoudite est le seul pays à s’être présenté à cette élection et à n’avoir pas été élu, recueillant seulement 90 votes.

«A moins que l’Arabie Saoudite n’entreprenne de grandes réformes pour relâcher ses prisonniers politiques, mettre fin à sa terrible guerre au Yémen et permettre à ses citoyens une réelle participation politique, elle restera un paria planétaire» a dit Sarah Leah Whitson, directrice exécutive de Democracy for the Arab World Now.

L’organisation qu’elle représente -- fondée par le journaliste saoudien Jamal Khashoggi, tué par les agents de son pays au consulat d’Arabie Saoudite à Istanbul il y a deux ans -- a salué ce résultat.

La Russie et Cuba font partie des 11 pays élus sans opposition. Les 193 membres de l’ONU ont pu voter dans toutes les régions.

Le système de vote controversé fait que les pays négocient et se mettent d’accord pour décider qui se présente, souvent sans rencontrer d’opposition.

Le président américain Donald Trump a retiré les États-unis du Conseil en 2018.

«Aujourd’hui, l’Assemblée générale des Nations unies a une fois de plus élu des pays affichant un bilan désastreux au sujet des droits de l’Homme», a estimé le secrétaire d’État américain Mike Pompeo dans un communiqué.

https://www.journaldequebec.com/2020/10 ... me-de-lonu

Publié : jeu. oct. 15, 2020 9:17 am
par Anya
La Chine inquiète au port de Québec: des craintes pour la sécurité nationale
Une entreprise de Hong Kong est associée à un projet d’agrandissement de plusieurs centaines de millions de dollars

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Dans un contexte de tensions entre le Canada et la Chine, le gouvernement fédéral craint les enjeux de sécurité nationale liés à la présence d’une entreprise de Hong Kong au cœur d’un projet d’agrandissement de 775 millions $ au port de Québec, a appris Le Journal.

Ports Hutchison Canada et son partenaire, le Canadien National (CN), ont conclu en 2019 un contrat avec l’Administration du port de Québec (APQ) pour la construction et l’exploitation d’un terminal de conteneurs.

Pour démarrer ses activités, leur coentreprise, Terminal de conteneurs Québec ltée, devra cependant recevoir l’autorisation du gouvernement fédéral en vertu de la Loi sur Investissement Canada.

Cette procédure est obligatoire pour toutes les entreprises étrangères qui veulent investir au Canada, comme c’est le cas de Ports Hutchison, une filiale de CK Hutchison. L’analyse prévoit une évaluation des risques à la sécurité nationale.

Selon nos informations, Ottawa est préoccupé par la présence de CK Hutchison dans le projet d’agrandissement du port de Québec.

Le siège de l’entreprise est à Hong Kong, un territoire sur lequel la Chine a récemment resserré son emprise.

«Il y a une préoccupation quand les entreprises chinoises investissent au Canada et que la transaction pourrait faire l’objet d’une révision en vertu de la loi pour cause d’atteinte potentielle à la sécurité nationale», nous a révélé une source bien informée, qui a préféré ne pas être identifiée pour protéger l’intégrité du processus.

Confidentialité

Malgré nos demandes d’entrevue, ni le CN ni CK Hutchison n’ont été en mesure de préciser si leur coentreprise a déjà entamé les démarches administratives en vertu de la Loi sur Investissement Canada.

À Ottawa, le cabinet du ministre de l’Industrie Navdeep Bains a expliqué que la procédure d’autorisation détermine si des investissements étrangers sont avantageux ou non pour l’économie canadienne.

«Ces investissements étrangers sont également soumis à un processus rigoureux d’examen de la sécurité nationale en plusieurs étapes, dirigé par nos services de sécurité nationale», a déclaré le conseiller John Power.

Comme la procédure est confidentielle, il a été impossible d’apprendre quoi que ce soit à propos du terminal de conteneurs prévu à Québec, un projet baptisé Laurentia.

En 2018, M. Bains a bloqué l’investissement d’une entreprise chinoise qui souhaitait acheter l’entreprise de construction canadienne Aecon.

Il avait justifié cette décision par les risques que cette transaction pourrait faire courir à la sécurité nationale du Canada.

Hutchinson au Canada

L’APQ a balayé les enjeux de sécurité nationale qui pourraient être reliés au partenariat avec CK Hutchison.

Frédéric Lagacé a fait valoir que l’entreprise est déjà actionnaire de l’entreprise pétrolière canadienne Husky Energy.

«Le holding de Hutchison est déjà très présent au Canada dans le domaine de l’énergie, qui est un secteur à fort enjeu national», a dit le porte-parole.

Le terminal de conteneurs du projet Laurentia doit entrer en activité d’ici 2024. En vertu du contrat conclu par l’APQ, le CN et Hutchison vont gérer l’installation pour une durée de 60 ans.

Aide financière

À Québec, le maire Régis Labeaume a récemment pressé le fédéral de s’engager financièrement en faveur du projet Laurentia, comme il l’a fait pour un projet d’agrandissement du port de Montréal.

Selon nos informations, une éventuelle aide financière d’Ottawa dépendra nécessairement de l’analyse des enjeux de sécurité.

«À Montréal, il n’y avait pas d’entreprise proche de la Chine dans le projet», a indiqué notre source.

L’entreprise CK Hutchison

Siège social : Hong Kong.
Fondateur : Li Ka-shing, multimilliardaire né en Chine, qui réside à Hong Kong.
Secteurs d’activité : ports et services reliés, vente au détail, infrastructures, énergie et télécommunications.
Chiffre d’affaires en 2019 : 75 milliards $ CA.
Nombre d’employés : 300 000 dans 50 pays.
Présence au Canada : Investissements dans Husky Energy, Adrien Gagnon, Park N’Fly. La fondation Li Ka Shing est incorporée au Canada.
Ports Hutchison : 57 ports de conteneurs dans 27 pays. En 2019, l’équivalent de 86 millions de conteneurs ont transité par ses installations.


Le projet Laurentia

Promoteurs : Administration du port de Québec (APQ) et Terminal de conteneurs Québec ltée, une entreprise formée par le Canadien National et Ports Hutchison Canada.
Investissements : Le budget total est de 775 millions $. L’APQ investira 90 millions $, tandis que Hutchison et le CN injecteront 505 millions $. Un appui de 180 millions $ des gouvernements fédéral et québécois est espéré.
Projet : Construction d’un terminal de conteneurs après un agrandissement de 17 hectares, soit l’équivalent du terrain des sports (anneau) des plaines d’Abraham ou de la moitié du parc La Fontaine, à Montréal. La nouvelle superficie sera gagnée sur le fleuve par un remblai dans la Baie de Beauport, face à l’île d’Orléans.
Capacité : l’équivalent de 700 000 conteneurs par an.
Durée : Hutchison et le CN exploiteront le terminal pendant 60 ans.

https://www.journaldemontreal.com/2020/ ... e-inquiete

Publié : sam. oct. 17, 2020 1:36 pm
par Anya
Le Canada veut adhérer à une banque d'investissements chinoise

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Justin Trudeau a officiellement présenté la candidature du Canada pour rejoindre les rangs d'une controversée nouvelle banque chinoise consacrée au financement des infrastructures - une initiative lancée par le géant asiatique dans l'espoir de rehausser sa crédibilité économique à travers le monde.

La Chine a fondé, à hauteur de 100 milliards $ US, la Banque asiatique d'investissement pour les infrastructures (BAII) à la fin de l'an dernier pour offrir aux autres pays de la région l'accès au financement dont ils ont besoin pour des projets dans des secteurs comme les transports, l'énergie et les télécommunications.

Le gouvernement canadien a fait cette annonce après une rencontre entre M. Trudeau et son homologue chinois Li Keqiang, mercredi à Pékin, mais n'a pas immédiatement révélé quelle somme il investira dans cette banque.

Le gouvernement a expliqué par voie de communiqué que cette décision permettra au Canada de participer encore davantage aux efforts multilatéraux d'infrastructure, en plus d'ouvrir la voie aux entreprises canadiennes qui recherchent des occasions d'affaires.
M. Trudeau avait laissé entendre l'an dernier que la candidature du Canada était en préparation.

«Mon gouvernement croit beaucoup à l'importance des investissements en infrastructures, avait dit M. Trudeau lors d'une rencontre avec des hommes d'affaires. C'est notamment pourquoi nous envisageons très favorablement de nous joindre à la BAII.»

Le ministre des Finances Bill Morneau, qui accompagne le premier ministre en Chine, a rencontré mercredi à Pékin le président de la BAII, Jin Liqun.

La banque a déjà investi plus de 500 millions $ US au Bangladesh, en Indonésie, au Pakistan et au Tadjikistan, et des dirigeants chinois ont révélé qu'elle prévoit prêter entre 10 et 15 milliards $ US au cours des cinq prochaines années.

Le Canada en deviendrait le premier membre nord-américain. Il se joindrait aux 57 autres pays - dont l'Australie, le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne et la Corée du Sud - qui ont fait la même chose l'an dernier, en dépit de l'opposition des États-Unis.

Les pays qui se joignent à la BAII acceptent de contribuer des fonds sous forme d'actions. L'Australie a accepté de verser 930 millions $ sur cinq ans, soit la sixième contribution la plus importante.

Les dirigeants de la banque pourraient annoncer les nouveaux membres au début de 2017, selon des documents du gouvernement canadien. Le communiqué ajoute que l'ampleur de la participation canadienne sera décidée à ce moment.

Des responsables américains préviennent que la nouvelle banque offrira des prêts aux pays en voie de développement sans exiger de garanties en ce qui concerne l'environnement, les droits des travailleurs ou les efforts anticorruption, comme cela est typiquement le cas lors de prêts consentis par le Fonds monétaire international ou la Banque mondiale.

L'ancien diplomate canadien Charles Burton a expliqué que l'inclusion du Canada au sein de cette banque démontrerait qu'Ottawa est prête à voir la Chine jouer un rôle important sur la scène économique mondiale.

«Nous essayons certainement d'indiquer que nous sommes prêts à voir la Chine jouer un rôle de premier plan dans l'économie mondiale, a dit M. Burton, qui est maintenant politologue à l'Université Brock. Et en appuyant une institution qui est une idée de la Chine, nous indiquons que nous avons confiance que la Chine utilisera cette institution pour le bien commun, d'une manière libérale et internationaliste, et non seulement pour augmenter son pouvoir géopolitique.»

Hésitations au Canada

Certains dirigeants canadiens hésitent quand même à appuyer l'influence globale de la Chine, surtout en raison de ses récents agissements en mer de Chine méridionale, a dit Paul Evans, de l'Université de la Colombie-Britannique. La plupart croient toutefois que le Canada a commis une erreur en ne joignant pas la banque l'an dernier.

Les quatre projets approuvés cette année ont calmé plusieurs des inquiétudes de l'Occident face à la nouvelle banque, a-t-il dit, notamment de voir la Chine l'utiliser pour faire avancer ses propres intérêts stratégiques et commerciaux.

M. Evans a ajouté que la décision du gouvernement libéral de rejoindre la banque aurait une importance symbolique pour les relations Canada-Chine.

Et si le coût risque d'être élevé - il estime qu'il pourrait atteindre 1 milliard $ -, les compagnies canadiennes profiteront indirectement des milliards de dollars en projets que la banque financera, selon lui.

https://www.lesoleil.com/actualite/poli ... 8d0fec7fba

Publié : sam. oct. 17, 2020 1:38 pm
par Anya
La Chine met en garde le Canada contre le droit d’asile à des Hongkongais
16/10/2020

Un haut diplomate chinois a mis en garde, jeudi, le Canada au sujet de l’accueil de manifestants hongkongais prodémocratie sur son sol, expliquant qu’il pourrait y avoir des conséquences pour «la santé et la sécurité» des Canadiens vivant dans ce territoire chinois théoriquement autonome.

Ces commentaires de Cong Peiwu, ambassadeur chinois à Ottawa, ont provoqué la réaction du ministre des Affaires étrangères canadien, François-Philippe Champagne, qui a jugé ses propos «totalement inacceptables et dérangeants», signe des tensions de plus en plus vives entre les deux pays.

Le diplomate s’exprimait sur l’octroi du droit d’asile au Canada à un couple de Hongkongais ayant pris part aux manifestations parfois violentes qui ont secoué la ville l’année dernière, qui pourrait ouvrir la voie à d’autres demandes similaires de la part de manifestants fuyant la répression des forces de l’ordre chinoises.

«Nous demandons instamment au gouvernement canadien de ne pas accorder un soi-disant asile politique à ces violents criminels hongkongais, car il s’agit d’une ingérence dans les affaires intérieures chinoises et cela ne fera qu’enhardir ces violents criminels», a déclaré le représentant chinois lors d’une conférence de presse en ligne.

«Si le Canada tient réellement à la prospérité et à la stabilité de Hong Kong ainsi qu’à la santé et à la sécurité des quelque 300 000 Canadiens vivant dans la ville et des nombreuses entreprises canadiennes qui y travaillent, il devrait soutenir les efforts de lutte contre ces crimes violents», a ajouté M. Cong.

«J’ai demandé à mes services de joindre l’ambassadeur afin de bien clarifier le fait que le Canada sera toujours du côté des droits de l’Homme et des droits des Canadiens partout dans le monde», a répondu M. Champagne dans un communiqué.

Les relations sino-canadiennes se sont profondément dégradées depuis la fin de l’année 2018, avec l’arrestation de la directrice financière du géant chinois des télécoms Huawei, Meng Wanzhou, également fille du fondateur du groupe.

Le Canada répondait à une requête des États-Unis qui accusent Mme Meng d’avoir contourné les sanctions américaines vis-à-vis de l’Iran pour le compte de Huawei.

Assignée à résidence, la cadre dirigeante de Huawei tente d’obtenir l’annulation de la procédure d’extradition actuellement étudiée par la justice canadienne.

Peu après l’interpellation de Mme Meng, l'ancien diplomate canadien Michael Kovrig et l'homme d’affaires Michael Spavor ont été arrêtés en Chine, accusés d’espionnage, un acte considéré par les pays occidentaux comme des représailles de la part de Pékin.

https://www.journaldemontreal.com/2020/ ... ongkongais

Publié : lun. oct. 26, 2020 8:19 am
par Anya
Patty Hajdu: la Chine devrait être «tenue responsable» si elle a menti
25 octobre 2020

La ministre fédérale de la Santé, Patty Hajdu, a déclaré que la Chine devait être «tenue responsable» si elle avait caché des informations au monde concernant sa gestion de la pandémie de COVID-19.

C’est une des déclarations qui ressort d’un entretien que la ministre a accordé à l'émission Question Period de CTV dimanche.

Si le nouveau coronavirus a fait son apparition dans la ville de Wuhan, dans la province chinoise d’Hubei, et dans un pays aussi populeux que la Chine, les chiffres officiels partagés par le pays à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) affichent un taux d’infection spectaculairement bas, avec 91 131 cas déclarés positifs depuis janvier, comparativement à plus de 215 000 au Canada.

En avril, le New York Times ainsi que Bloomberg News avaient rapporté que les services américains d’intelligence ont averti l’administration américaine que la Chine avait «caché l’ampleur de l’épidémie de coronavirus».

«Il n’y a aucune indication que les données fournies par la Chine en termes de taux d’infection et de mortalité aient été falsifiées de quelque manière que ce soit», avait alors dit la ministre Hajdu, en réponse aux nouvelles du New York Times et de Bloomberg News.

«La Chine devrait faire un examen sur la manière dont elle s’est comportée pendant la pandémie. L’Organisation mondiale de la santé a déclaré qu’elle allait faire un examen sur la façon dont elle [l’OMS] avait géré la pandémie», et le Canada fera de même, soutient la ministre dans l'entrevue diffusée dimanche.

Patty Hajdu n’a cependant pas laissé entendre qu’elle pensait que la Chine avait caché quoi que ce soit. La ministre n’a pas détaillé non plus la manière dont le pays allait agir si de nouvelles informations incriminantes en lien avec la gestion du virus par la Chine devaient sortir.

La Chine a connu un pic très important d’infections au début de l’année 2020, mais avec des mesures sanitaires extrêmement contraignantes, elle a rapidement pu contrôler la propagation du virus. Elle a aujourd’hui un des taux d’infection les plus bas au monde.

https://www.journaldemontreal.com/2020/ ... le-a-menti

Publié : lun. déc. 07, 2020 5:35 am
par Citron500
La pire menace pour les É.-U.

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Vous pensez peut-être que la pandémie ou le risque de dépression économique sont les plus grands dangers qui guettent les États-Unis. Pas pour John Ratcliffe, le directeur du Renseignement national des États-Unis.

Selon lui, la Chine constitue le principal danger contre la démocratie et la liberté. Le principal danger « depuis la Seconde Guerre mondiale ». En d’autres termes, la menace chinoise est pire que la menace autrefois posée par l’Union soviétique. Selon Ratcliffe, la Chine tenterait « de dominer les États-Unis et le reste de la planète économiquement, militairement et technologiquement ».

En quoi ces propos sont-ils surprenants ?

Ratcliffe est un fidèle de Donald Trump. Il règne sur tous les services de renseignements américains. Il a accès à toutes les informations des services de renseignements. Fort de toutes ces informations, il a donc publié ce jeudi une lettre, dans le Wall Street Journal, pour mettre en garde les Américains. Cependant, Ratcliffe avait déjà déclaré en mai dernier, lors de son assermentation à ce poste, que la Chine constituait le principal ennemi des États-Unis. La lettre de Ratcliffe est d’autant plus surprenante que le Directeur du Renseignement national s’exprime rarement sur la place publique, et on comprend bien pourquoi. Par ailleurs, les démocrates et les républicains partagent à peu près la même vision sur la Chine, ce qui rend sa sortie encore plus étonnante.

La suite de l'article...

https://www.journaldemontreal.com/2020/ ... ur-les-e-u" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : dim. sept. 26, 2021 11:39 pm
par Citron500
L'arrestation des deux hommes en Chine : la libération

https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... ne-a-gagne" onclick="window.open(this.href);return false;

Le régime chinois est un régime de bandits.

Les dirigeants de la Chine l’ont démontré clairement vendredi.

Ils ne tentent même plus de se cacher.

Ce sont des pirates qui sont prêts à tout pour arriver à leurs fins. Même à prendre des innocents en otages.

DIGNE DE JOHN LE CARRÉ

On aurait cru qu’ils attendraient quelques jours, pour ne pas dire quelques mois avant de libérer les deux Michael, histoire de garder en vie le mythe selon lequel il n’y avait aucun lien entre leur arrestation arbitraire et la détention de Meng Wanzhou à Vancouver.

Même pas.

Ils les ont libérés tout de suite.


L’avion qui transportait madame Wanzhou vers la Chine a croisé dans le ciel celui qui transportait les deux Michael vers le Canada.

On aurait dit la scène d’un vieux film d’espionnage des années 60, genre L’Espion qui venait du froid.

Un pont recouvert de brume, faiblement éclairé par des lampadaires.

Des guérites.

Des vigiles qui s’observent de loin avec des jumelles.

Deux camions militaires qui s’approchent l’un de l’autre.

Des espions soviétiques qui retournent en Allemagne de l’Est, des espions britanniques qui retournent en Allemagne de l’Ouest.

Générique de fin.

Publié : lun. sept. 27, 2021 3:34 pm
par Citron500
La chine a enquêté l'utilisation du coronavirus comme arme biologique en 2015

Médias Indiens :

https://www.indiatoday.in/coronavirus-o ... 2021-05-11" onclick="window.open(this.href);return false;

TRADUCTION PAR MOI (du texte seulement, pas la vidéo) :

Les scientifiques militaires chinois ont prétendument enquêter sur l'idée d'utiliser le coronavirus comme arme biologique cinq ans avant la pandémie et aurait prédit une troisième guerre mondiale qui se règlerait à coup d'armes biologiques, d'après les rapports des médias qui font référence à des documents obtenus par le US State Department. D'après le "The Sun" (journal du Royaume-Uni), qui cite des rapports d'abord sortis par "The Australian", les documents canon obtenus par le US State Department rapportaient que les commandants du Chinese People's Liberation Army (PLA) avaient fait cette prédiction sinistre.

Les fonctionnaires du US ont prétendument obtenu les papiers écrits par les scientifiques militaires et les fonctionnaires du senior Chinese Public Health en 2015 dans le cadre d'une enquête sur les origines du coronavirus.

COMMENTAIRE : Quand même inquiétant, surtout que ces documents prédisaient la chute des systèmes de santé des autres pays. :eek:

Publié : mer. déc. 29, 2021 4:04 pm
par Citron500
Bilan 2021 : nouvelle guerre froide sur fond de pandémie durable

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C’est sans doute le fait saillant n° 1 de l’année qui se termine : 30 ans après la fin de l’Union soviétique, la nouvelle guerre froide du 21e siècle est arrivée. L’ascension de la Chine et son face-à-face tendu avec les États-Unis ont dominé la scène mondiale.

Le monde est aussi entré résolument dans l’ère des pandémies, laquelle semble être là pour rester et affecte le tissu même des relations internationales.

La pandémie de COVID-19 a bouleversé le monde de façon durable. En 2021, il est devenu clair qu'on n'en finira pas rapidement avec elle. À l’été 2020, on pouvait encore espérer, et beaucoup disaient : Allez, encore six mois, un an, et quelque part en 2021, les nuages vont s’estomper… Que non!

Fin 2021, en Europe et en Amérique du Nord, les cas nouveaux de COVID-19 – mais pas les cas graves ni les décès – ont atteint des niveaux comparables aux grands pics du début de l’année. Selon les pays, on en est aujourd’hui à la quatrième vague (en Allemagne), à la cinquième (en France) ou même à la sixième (aux Pays-Bas).

La COVID fouette la rivalité Chine–États-Unis

La pandémie a aggravé les relations entre les deux grandes puissances mondiales. En 2021, la nouvelle administration Biden a accusé le Parti communiste chinois de ne pas avoir réussi à contenir le virus qui a émergé de Wuhan à la fin de 2019.

Selon une hypothèse plausible, le SRAS-CoV-2 aurait émergé d’un laboratoire chinois d’où il se serait échappé par accident, probablement à l’automne 2019, une hypothèse que la Chine a combattue comme s’il y allait de son honneur, bloquant activement – et de façon suspecte – toute enquête approfondie sur le sujet.

La Chine, blessée et affaiblie dans un premier temps au début de 2020, s’est ressaisie, a mieux résisté aux contagions et en a ensuite fait un argument de prestige. Elle paraît aujourd’hui moins amochée par la COVID-19 que l’ont été les États-Unis et d’autres pays.

Recensant officiellement moins de 6000 morts, Pékin ne prend même plus la peine de cacher son mépris pour les États-Unis et pour leur bilan catastrophique qui, à la mi-décembre, dépassait les 800 000 décès.

Fouettée par la COVID-19, la rivalité entre la Chine et les États-Unis structure aujourd’hui les relations internationales comme jamais auparavant.

La suite de l'article...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/18 ... etats-unis" onclick="window.open(this.href);return false;

Re: Relations avec la Chine

Publié : mer. déc. 29, 2021 9:35 pm
par Mimosa
La covid va avoir l'air de la p'tite bière à côté de ça quand ça va péter...

Publié : ven. déc. 31, 2021 4:29 am
par Citron500
Mimosa a écrit : La covid va avoir l'air de la p'tite bière à côté de ça quand ça va péter...
Ouais, malheureusement, j'ai l'impression que c'est le prochain mur qui nous attend. :/ Surtout si jamais on apprend que c'est eux qui ont volontairement balancé la covid dans le monde... (c'est encore sous enquête je crois, mais la Chine met des bâtons dans les roues de cette enquête et certains témoins auraient même disparus...)

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=beDmuDDknNI[/youtube]

Quand même effrayant.

Les médias indiens sont pas très cléments avec la Chine en tk. :lol: