Piégés
Modérateur : Elise-Gisèle
Piégés
Découvrez la saisissante bande-annonce de Piégés, une nouvelle série avec Jean-Philippe Perras
Ils sont cinq. Ils ont été enlevés et ils sont enfermés dans un immeuble. La série Piégés fera ses débuts le 21 octobre sur addiktv.
Ce thriller psychologique en six épisodes met en vedette, dans les rôles des prisonniers, Martin Dubreuil, Schelby Jean-Baptiste, Brigitte Lafleur, Jean-Philippe Perras et Brigitte Poupart.
Un individu tire les ficelles de personnes enfermées dans cinq cellules et qui portent des colliers électrisants autour du cou.
«Ces gens ont quelque chose en commun et s’ils ne le trouvent pas, ils ne retrouveront pas leur liberté», a indiqué Anne Boyer qui, avec Michel d’Astous, de Duo Productions, produit cette série en collaboration avec Québecor Contenu.
Série fermée
Série fermée écrite par François Pagé, l’auteur de la série Après, Piégés est une idée du réalisateur Yannick Savard. Elle sera diffusée les jeudis à 22h. Le premier épisode sera aussi diffusé le 21 octobre, en soirée, sur TVA.ca.
[Cliquer sur le lien qui suit pour voir la bande annonce :https://www.facebook.com/addiktv/videos ... 04578/?t=0]
«Il se fait très peu de séries de genre au Québec et je suis très fière de Piégés. Je suis certaine que les gens vont embarquer et se faire piéger», a ajouté Anne Boyer, précisant qu’il s’agit d’un thriller psychologique et non d’une série d’horreur.
Piégés a été tourné au début de l’année 2021 à Montréal. Le nombre limité de comédiens et la facture de la série ont permis le tournage en temps de pandémie.
«J’ai aimé l’idée de Yannick Savard. C’est une série qui ne met pas en vedette des policiers ou des agents secrets. Les personnes enlevées sont du monde ordinaire. On a approché François Pagé, qui est l’auteur d’Après, pour écrire la série», a raconté Anne Boyer.
Étienne Courville, Mylia Corbeil-Gauvreau, Mylène Dinh-Robic, Fabien Dupuis et Pierre-Luc Fontaine font également partie de la distribution.
Ils sont cinq. Ils ont été enlevés et ils sont enfermés dans un immeuble. La série Piégés fera ses débuts le 21 octobre sur addiktv.
Ce thriller psychologique en six épisodes met en vedette, dans les rôles des prisonniers, Martin Dubreuil, Schelby Jean-Baptiste, Brigitte Lafleur, Jean-Philippe Perras et Brigitte Poupart.
Un individu tire les ficelles de personnes enfermées dans cinq cellules et qui portent des colliers électrisants autour du cou.
«Ces gens ont quelque chose en commun et s’ils ne le trouvent pas, ils ne retrouveront pas leur liberté», a indiqué Anne Boyer qui, avec Michel d’Astous, de Duo Productions, produit cette série en collaboration avec Québecor Contenu.
Série fermée
Série fermée écrite par François Pagé, l’auteur de la série Après, Piégés est une idée du réalisateur Yannick Savard. Elle sera diffusée les jeudis à 22h. Le premier épisode sera aussi diffusé le 21 octobre, en soirée, sur TVA.ca.
[Cliquer sur le lien qui suit pour voir la bande annonce :https://www.facebook.com/addiktv/videos ... 04578/?t=0]
«Il se fait très peu de séries de genre au Québec et je suis très fière de Piégés. Je suis certaine que les gens vont embarquer et se faire piéger», a ajouté Anne Boyer, précisant qu’il s’agit d’un thriller psychologique et non d’une série d’horreur.
Piégés a été tourné au début de l’année 2021 à Montréal. Le nombre limité de comédiens et la facture de la série ont permis le tournage en temps de pandémie.
«J’ai aimé l’idée de Yannick Savard. C’est une série qui ne met pas en vedette des policiers ou des agents secrets. Les personnes enlevées sont du monde ordinaire. On a approché François Pagé, qui est l’auteur d’Après, pour écrire la série», a raconté Anne Boyer.
Étienne Courville, Mylia Corbeil-Gauvreau, Mylène Dinh-Robic, Fabien Dupuis et Pierre-Luc Fontaine font également partie de la distribution.
Re: Piégés
Perso, peu probable que je suivrai cette série. Trop risqué que je fasse des cauchemars.
- little_miss
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- Inscription : ven. sept. 04, 2009 7:43 pm
Re: Piégés
Je vais surement l'écouter et revenir commenter. Ca me fait penser un peu a des films comme Décadence
Le chat et la souris, version inhumaine
Hugo Dumas
Dans une offre bourrée de téléromans chaotiques et de productions policières classiques, les diffuseurs québécois osent rarement programmer des séries dites de genre comme la nouveauté Piégés, à mi-chemin entre le thriller psychologique et le film d’horreur.
Découpée en six épisodes d’une heure, cette minisérie débute jeudi à 22 h sur la chaîne addikTV, propriété du Groupe TVA, avec un premier épisode très accrocheur, bien glauque. Un dangereux homme en noir, qui porte un masque grillagé à la Squid Game, enlève cinq personnes et les enferme dans des cellules au sous-sol d’un bunker. Les cinq victimes portent un collier électrique qui s’active à distance.
Les cinq otages de Piégés ne se connaissent pas. Il s’agit du courtier immobilier Charles (Jean-Philippe Perras), de l’infirmière Hélène (Brigitte Lafleur), de l’ingénieure Brigitte (Brigitte Poupart), de la secrétaire juridique Sabine (Schelby Jean-Baptiste) et de l’éboueur Alain (Martin Dubreuil).
Chacun occupe un cachot différent, toujours de style Guantánamo, et chacun subit une forme de torture différente. Sabine passe au supplice de la goutte d’eau. Alain endure une chaleur étouffante. Charles entend de la musique aliénante, et ainsi de suite. Certaines scènes s’approchent de la limite du supportable. Dans l’une d’elles, un prisonnier lance ses excréments à la caméra qui l’espionne.
Piégés ne s’adresse pas aux enfants, mais bien aux amateurs de trucs plus tordus. Le bourreau communique avec ses cinq victimes par haut-parleur. Il leur rappelle « qu’il y a des conséquences à leurs actes » et leur demande s’ils dorment avec la conscience tranquille.
De toute évidence, un lien traumatisant unit les victimes à leur tortionnaire assoiffé de vengeance. Mais lequel ? En même temps que nous, les personnages de Piégés cherchent ce qui les relie, dans une atmosphère de paranoïa et de violence.
Parfois, les portes des cellules s’ouvrent et les otages disposent de quelques minutes pour se parler et élaborer des stratégies d’évasion. Leur ravisseur entend cependant tout ce qu’ils disent et il s’amuse à les voir se débattre dans cette souricière géante. Un immense jeu de cruauté et de manipulation.
À la fin du deuxième épisode, le téléspectateur n’a pratiquement aucune piste pour rattacher les protagonistes à une intrigue commune. C’est un des petits défauts de Piégés : il aurait fallu distiller plus d’indices, d’autant que la série ne dure que six heures.
Au tiers du parcours, tout demeure vague et il est impossible de spéculer sur la suite. Donnez-nous un peu de jus si vous voulez que l’on revienne la semaine prochaine.
Aussi, la voix trafiquée du tortionnaire rend plusieurs répliques inaudibles. C’est fâchant. Même chose quand les prisonniers chuchotent et que la musique enterre leurs dialogues. C’est désagréable de devoir constamment reculer pour comprendre des morceaux du scénario.
En remontant dans le temps, Piégés nous montre le passé des cinq disparus, qui n’ont pas commis de crime et qui, pour le moment, n’ont jamais croisé le chemin de celui qui prend un plaisir sadique à les faire souffrir.
C’est vraiment intrigant et bien écrit par François Pagé (Après), à partir d’une idée de Yannick Savard (L’heure bleue), le réalisateur de la minisérie. Les cinq acteurs pris dans ce huis clos angoissant offrent des performances de haut calibre. Les scènes de persécution sont loin d’être évidentes à jouer.
Bref, si vous détestez Squid Game et les autres émissions peuplées de gens déséquilibrés, passez votre tour pour Piégés. Moi, j’ai le goût de savoir qui se cache sous la cagoule de ce « crisse de malade », dixit une des victimes de ce psychopathe.
https://www.lapresse.ca/arts/chroniques ... umaine.php
Hugo Dumas
Dans une offre bourrée de téléromans chaotiques et de productions policières classiques, les diffuseurs québécois osent rarement programmer des séries dites de genre comme la nouveauté Piégés, à mi-chemin entre le thriller psychologique et le film d’horreur.
Découpée en six épisodes d’une heure, cette minisérie débute jeudi à 22 h sur la chaîne addikTV, propriété du Groupe TVA, avec un premier épisode très accrocheur, bien glauque. Un dangereux homme en noir, qui porte un masque grillagé à la Squid Game, enlève cinq personnes et les enferme dans des cellules au sous-sol d’un bunker. Les cinq victimes portent un collier électrique qui s’active à distance.
Les cinq otages de Piégés ne se connaissent pas. Il s’agit du courtier immobilier Charles (Jean-Philippe Perras), de l’infirmière Hélène (Brigitte Lafleur), de l’ingénieure Brigitte (Brigitte Poupart), de la secrétaire juridique Sabine (Schelby Jean-Baptiste) et de l’éboueur Alain (Martin Dubreuil).
Chacun occupe un cachot différent, toujours de style Guantánamo, et chacun subit une forme de torture différente. Sabine passe au supplice de la goutte d’eau. Alain endure une chaleur étouffante. Charles entend de la musique aliénante, et ainsi de suite. Certaines scènes s’approchent de la limite du supportable. Dans l’une d’elles, un prisonnier lance ses excréments à la caméra qui l’espionne.
Piégés ne s’adresse pas aux enfants, mais bien aux amateurs de trucs plus tordus. Le bourreau communique avec ses cinq victimes par haut-parleur. Il leur rappelle « qu’il y a des conséquences à leurs actes » et leur demande s’ils dorment avec la conscience tranquille.
De toute évidence, un lien traumatisant unit les victimes à leur tortionnaire assoiffé de vengeance. Mais lequel ? En même temps que nous, les personnages de Piégés cherchent ce qui les relie, dans une atmosphère de paranoïa et de violence.
Parfois, les portes des cellules s’ouvrent et les otages disposent de quelques minutes pour se parler et élaborer des stratégies d’évasion. Leur ravisseur entend cependant tout ce qu’ils disent et il s’amuse à les voir se débattre dans cette souricière géante. Un immense jeu de cruauté et de manipulation.
À la fin du deuxième épisode, le téléspectateur n’a pratiquement aucune piste pour rattacher les protagonistes à une intrigue commune. C’est un des petits défauts de Piégés : il aurait fallu distiller plus d’indices, d’autant que la série ne dure que six heures.
Au tiers du parcours, tout demeure vague et il est impossible de spéculer sur la suite. Donnez-nous un peu de jus si vous voulez que l’on revienne la semaine prochaine.
Aussi, la voix trafiquée du tortionnaire rend plusieurs répliques inaudibles. C’est fâchant. Même chose quand les prisonniers chuchotent et que la musique enterre leurs dialogues. C’est désagréable de devoir constamment reculer pour comprendre des morceaux du scénario.
En remontant dans le temps, Piégés nous montre le passé des cinq disparus, qui n’ont pas commis de crime et qui, pour le moment, n’ont jamais croisé le chemin de celui qui prend un plaisir sadique à les faire souffrir.
C’est vraiment intrigant et bien écrit par François Pagé (Après), à partir d’une idée de Yannick Savard (L’heure bleue), le réalisateur de la minisérie. Les cinq acteurs pris dans ce huis clos angoissant offrent des performances de haut calibre. Les scènes de persécution sont loin d’être évidentes à jouer.
Bref, si vous détestez Squid Game et les autres émissions peuplées de gens déséquilibrés, passez votre tour pour Piégés. Moi, j’ai le goût de savoir qui se cache sous la cagoule de ce « crisse de malade », dixit une des victimes de ce psychopathe.
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- little_miss
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Re: Piégés
je viens de l'écouter je l'avais enregistrée. a date j'aime bien, sauf que le son est mauvais j,entends jamais ce que le gars masqué dit car il y a de la musique par dessus
- chien-loup
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- little_miss
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Re: Piégés
est ce qu'il y a encore des braves qui l'écoutent? Dernier épisode cette semaine. Je trouve ca tiré par les cheveux de tout savoir au dernier episode. Comme j'ai commencée, je l'écoute jusqu'a la fin mais je ne ne suis pas épatée.
- chien-loup
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- chien-loup
- Magicien des Mots
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- Inscription : ven. sept. 17, 2010 9:58 am
Finalement, j'avais les 4e et 5e épisodes à voir, ce que j'ai fait ce matin. Au 4e, les kidnappés se trainaient, n'avaient plus d'énergie, étaient assoiffés et affamés ... et puis, oups ! ils retrouvent tous leur énergie au 5e. Je pense que c'est l'invraisemblance qui m'a le plus dérangée. Sinon, j'ai bien aimé et j'ai hâte de voir la finale pour savoir qui s'en sortira ou pas.