Sorcières – lundi 11 septembre à 20 h
Publié : mar. août 08, 2023 11:28 am
Louise Laparé marque un retour à la télé dans cette nouvelle série prometteuse
À Sainte-Piété, un petit village situé dans les Cantons-de-l’Est, un fait divers fait la manchette. Trois sœurs qui ne se sont pas vues depuis 30 ans apprennent la nouvelle d’un drame survenu dans leur village natal qui les touche de plein fouet et qui les amène à se retrouver. Quelle est la tragédie qui provoque leur réunion? Comment se déroulera celle-ci?
LE SCOOP DES AUTEURS : UN RETOUR SPECTACULAIRE
Les auteurs tiennent à souligner le retour à l’écran de Louise Laparé, qui tient un rôle très important dans le téléroman. Son arrivée à Sainte-Piété ne laisse personne indifférent. Son personnage est-il agréable? Détestable? Important? «Elle est un de ces êtres qui portent plusieurs blessures troubles qui rendent mal à l’aise», dit Germain Larochelle. Le personnage est à ce point important qu’on a choisi de le laisser dans l’anonymat presque total.
Sorcières est né du désir commun des comédiennes Marie-Joanne Boucher, Céline Bonnier et Noémie O’Farrell d’incarner un personnage qu’elles avaient toujours rêvé d’interpréter. Entre en scène l’auteur Germain Larochelle, qui présente le projet au producteur André Dupuy, chez Amalga (L’Échappée, Feux, Le jeu). Puis Marie-Josée Ouellet, qui faisait partie de l’équipe d’auteurs de L’Échappée, se joint à eux. «Nous avons eu un coup de foudre créatif. Nous avions des approches différentes mais complémentaires. On a compris ce que les trois comédiennes voulaient jouer, raconte Germain Larochelle. Nous pensions en faire une série, mais TVA nous a commandé un téléroman de 26 épisodes d’une heure. La situation est devenue surréaliste!»
Chapeaux pointus et balais?
La question se pose. Le titre est bien Sorcières, mais il ne s’agit pas d’une version remaniée de Ma sorcière bien-aimée. Germain Larochelle et Marie-Josée Ouellet expliquent:
«La série ne donne pas dans le fantastique ou l’horreur. Elle se situe à la frontière entre les croyances ésotériques et les rituels. Elle est lumineuse, et l’humour y tient une place importante. C’est un drame familial et psychologique qui se situe dans l’univers de trois sœurs.» Ainsi, la sorcellerie devient la peur de l’autre, le jugement, le positionnement face à la féminité. Comment cela se manifeste-t-il dans une série où l’action oscille entre le passé et le présent? Joanne (CélineBonnier), Élizabeth (Marie-Joanne Boucher) et Agnès (Noémie O’Farrell) ont grandi dans une commune des Cantons-de-l’Est fondée par leur père, Armand Bussières (Olivier Lamarche), qui est maintenant décédé. La vie y était régie par un code de vie, des principes et des règlements stricts. Le groupe vivait en marge de la société. «La commune a été démantelée à la suite d’un drame familial. À l’époque, les sœurs avaient 5, 11 et 19 ans, puis elles ne se sont jamais revues.»
La découverte d’un bébé abandonné près de leur ancienne demeure familiale amène les sœurs à se revoir, afin de comprendre ce qui se passe. Est-ce un message? Connaissent-elles le bébé? Pourquoi l’a-t-on abandonné? Germain Larochelle confirme que la série nous gardera en haleine: «Il y aura une enquête policière, de grandes unions et des désunions, des trahisons et des maladies.» Le tournage s’est fait à Montréal, à Longueuil et à Saint-Côme. Les scènes d’hôpital ont eu lieu dans un ancien couvent des Sœurs Dominicaines, à Salaberry-de-Valleyfield.
https://www.7jours.ca/2023/08/08/louise ... rometteuse
À Sainte-Piété, un petit village situé dans les Cantons-de-l’Est, un fait divers fait la manchette. Trois sœurs qui ne se sont pas vues depuis 30 ans apprennent la nouvelle d’un drame survenu dans leur village natal qui les touche de plein fouet et qui les amène à se retrouver. Quelle est la tragédie qui provoque leur réunion? Comment se déroulera celle-ci?
LE SCOOP DES AUTEURS : UN RETOUR SPECTACULAIRE
Les auteurs tiennent à souligner le retour à l’écran de Louise Laparé, qui tient un rôle très important dans le téléroman. Son arrivée à Sainte-Piété ne laisse personne indifférent. Son personnage est-il agréable? Détestable? Important? «Elle est un de ces êtres qui portent plusieurs blessures troubles qui rendent mal à l’aise», dit Germain Larochelle. Le personnage est à ce point important qu’on a choisi de le laisser dans l’anonymat presque total.
Sorcières est né du désir commun des comédiennes Marie-Joanne Boucher, Céline Bonnier et Noémie O’Farrell d’incarner un personnage qu’elles avaient toujours rêvé d’interpréter. Entre en scène l’auteur Germain Larochelle, qui présente le projet au producteur André Dupuy, chez Amalga (L’Échappée, Feux, Le jeu). Puis Marie-Josée Ouellet, qui faisait partie de l’équipe d’auteurs de L’Échappée, se joint à eux. «Nous avons eu un coup de foudre créatif. Nous avions des approches différentes mais complémentaires. On a compris ce que les trois comédiennes voulaient jouer, raconte Germain Larochelle. Nous pensions en faire une série, mais TVA nous a commandé un téléroman de 26 épisodes d’une heure. La situation est devenue surréaliste!»
Chapeaux pointus et balais?
La question se pose. Le titre est bien Sorcières, mais il ne s’agit pas d’une version remaniée de Ma sorcière bien-aimée. Germain Larochelle et Marie-Josée Ouellet expliquent:
«La série ne donne pas dans le fantastique ou l’horreur. Elle se situe à la frontière entre les croyances ésotériques et les rituels. Elle est lumineuse, et l’humour y tient une place importante. C’est un drame familial et psychologique qui se situe dans l’univers de trois sœurs.» Ainsi, la sorcellerie devient la peur de l’autre, le jugement, le positionnement face à la féminité. Comment cela se manifeste-t-il dans une série où l’action oscille entre le passé et le présent? Joanne (CélineBonnier), Élizabeth (Marie-Joanne Boucher) et Agnès (Noémie O’Farrell) ont grandi dans une commune des Cantons-de-l’Est fondée par leur père, Armand Bussières (Olivier Lamarche), qui est maintenant décédé. La vie y était régie par un code de vie, des principes et des règlements stricts. Le groupe vivait en marge de la société. «La commune a été démantelée à la suite d’un drame familial. À l’époque, les sœurs avaient 5, 11 et 19 ans, puis elles ne se sont jamais revues.»
La découverte d’un bébé abandonné près de leur ancienne demeure familiale amène les sœurs à se revoir, afin de comprendre ce qui se passe. Est-ce un message? Connaissent-elles le bébé? Pourquoi l’a-t-on abandonné? Germain Larochelle confirme que la série nous gardera en haleine: «Il y aura une enquête policière, de grandes unions et des désunions, des trahisons et des maladies.» Le tournage s’est fait à Montréal, à Longueuil et à Saint-Côme. Les scènes d’hôpital ont eu lieu dans un ancien couvent des Sœurs Dominicaines, à Salaberry-de-Valleyfield.
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