Les armes - TVA - Septembre 2024
Publié : lun. mai 27, 2024 4:22 pm
Nouvelle série annuelle pour TVA: Vincent-Guillaume Otis de retour à la télé dans «Les armes»
Deux ans après la fin de District 31, Vincent-Guillaume Otis sera de retour au petit écran dans la nouvelle série annuelle Les armes, un suspense qui s’intéressera aux rouages d’une base fictive des Forces armées canadiennes (FAC) sur fond de tensions canado-russes.
Il faudra toutefois patienter jusqu’en septembre 2024 avant de découvrir cette nouveauté de TVA carburant à l’espionnage, aux trahisons et aux alliances. Cela n’empêche pas le comédien de 45 ans de s’entraîner déjà en vue des tournages qui s’amorceront dans quelques mois.
C’est Aetios Productions, la boîte des producteurs Fabienne Larouche et Michel Trudeau qui développe Les armes, en collaboration avec Québecor Contenu. Après la comédie Le bonheur, c’est donc un autre projet important entre Aetios et TVA, en plus de Blue Moon qui a atterri sur Club illico.
Fabienne Larouche, qui sera la script-éditrice de Les armes, est ravie de retravailler avec Vincent-Guillaume Otis, qui a joué dans ses séries Ruptures et District 31. «Tu veux un comédien qui est capable de tenir une série sur ses épaules.»
L’auteur Pierre-Marc Drouin, qui a rencontré plusieurs militaires et visité la base de Valcartier – découvrant un monde méconnu et fascinant –, a déjà trois épisodes de complétés sur les 24 que comptera la première saison. Il vient de bosser en solo sur les intrigues de Doute raisonnable 3. Fabienne Larouche a d'ailleurs de bons mots pour lui aussi, parlant d’un «auteur brillant». Pour l’heure, on ne sait pas qui réalisera Les armes.
Un événement tragique qui surviendra au début de la série tiendra les téléspectateurs en haleine pendant un long moment. «C’est tellement gros ce qui se passe, avec tellement de ramifications, le suspense dont on parle peut non seulement durer 24 épisodes, mais plusieurs saisons», a dit Pierre-Marc Drouin, que l’on connaît aussi pour les textes de Max et Livia et Le siège.
Retour de Vincent-Guillaume Otis à la télé
Les costumes du sergent-détective Patrick Bissonnette étant rangés depuis un an, Vincent-Guillaume Otis se prépare à incarner l’officier Louis-Philippe Savard, basé au Nouveau-Brunswick avec sa famille. On forcera Savard, un ancien soldat d’infanterie qui est allé en Afghanistan, à prendre les commandes de la base militaire de Kanawata à la suite de la mort d’un soldat lors d’un entraînement. La victime faisait partie du commando d’élite JFT16, créé sur fond d’instabilité géopolitique avec les Russes.
Située au nord de Montréal, Kanawata est gérée comme dans les années 1980, c’est-à-dire qu’on y pratique l’intimidation, en plus d’avoir recours à des abus psychologiques et physiques. Les Forces armées tolèrent cette situation parce que la base produit les meilleurs soldats d’infanterie du pays depuis un quart de siècle.
Le colonel Alan Craig, qui dirige la base jusqu’à l’arrivée de Savard, n’est pas dans la mouvance vers laquelle tend l’armée. «Aujourd’hui, on est beaucoup dans le respect et l’inclusion. Maintenant, on tolère la barbe, les cheveux teints, et bientôt les piercings et les tatouages. C’est une affaire que j’ai très hâte de montrer», a dit M. Drouin.
En arrivant à Kanawata, le lieutenant-colonel Savard en a plein les bras et rencontre de la résistance au changement. «Il se rend compte qu’il se passe des choses très mystérieuses et très troublantes dans cette base-là.»
Et comme si ce n’était pas assez, sa femme d’origine russe s’est engagée dans l’armée après avoir obtenu sa citoyenneté canadienne. Pourrait-elle être à la solde des Russes comme il est question d’espionnage? Il ne faut pas se fier aux apparences, qui sont souvent trompeuses.
Les intrigues mettront aussi de l’avant une policière militaire, des soldats d’infanterie recrus qui prennent part à un camp, des spécialistes des communications et de l’image de l’armée ainsi que d’autres officiers.
https://www.journaldemontreal.com/2023/ ... -les-armes
Deux ans après la fin de District 31, Vincent-Guillaume Otis sera de retour au petit écran dans la nouvelle série annuelle Les armes, un suspense qui s’intéressera aux rouages d’une base fictive des Forces armées canadiennes (FAC) sur fond de tensions canado-russes.
Il faudra toutefois patienter jusqu’en septembre 2024 avant de découvrir cette nouveauté de TVA carburant à l’espionnage, aux trahisons et aux alliances. Cela n’empêche pas le comédien de 45 ans de s’entraîner déjà en vue des tournages qui s’amorceront dans quelques mois.
C’est Aetios Productions, la boîte des producteurs Fabienne Larouche et Michel Trudeau qui développe Les armes, en collaboration avec Québecor Contenu. Après la comédie Le bonheur, c’est donc un autre projet important entre Aetios et TVA, en plus de Blue Moon qui a atterri sur Club illico.
Fabienne Larouche, qui sera la script-éditrice de Les armes, est ravie de retravailler avec Vincent-Guillaume Otis, qui a joué dans ses séries Ruptures et District 31. «Tu veux un comédien qui est capable de tenir une série sur ses épaules.»
L’auteur Pierre-Marc Drouin, qui a rencontré plusieurs militaires et visité la base de Valcartier – découvrant un monde méconnu et fascinant –, a déjà trois épisodes de complétés sur les 24 que comptera la première saison. Il vient de bosser en solo sur les intrigues de Doute raisonnable 3. Fabienne Larouche a d'ailleurs de bons mots pour lui aussi, parlant d’un «auteur brillant». Pour l’heure, on ne sait pas qui réalisera Les armes.
Un événement tragique qui surviendra au début de la série tiendra les téléspectateurs en haleine pendant un long moment. «C’est tellement gros ce qui se passe, avec tellement de ramifications, le suspense dont on parle peut non seulement durer 24 épisodes, mais plusieurs saisons», a dit Pierre-Marc Drouin, que l’on connaît aussi pour les textes de Max et Livia et Le siège.
Retour de Vincent-Guillaume Otis à la télé
Les costumes du sergent-détective Patrick Bissonnette étant rangés depuis un an, Vincent-Guillaume Otis se prépare à incarner l’officier Louis-Philippe Savard, basé au Nouveau-Brunswick avec sa famille. On forcera Savard, un ancien soldat d’infanterie qui est allé en Afghanistan, à prendre les commandes de la base militaire de Kanawata à la suite de la mort d’un soldat lors d’un entraînement. La victime faisait partie du commando d’élite JFT16, créé sur fond d’instabilité géopolitique avec les Russes.
Située au nord de Montréal, Kanawata est gérée comme dans les années 1980, c’est-à-dire qu’on y pratique l’intimidation, en plus d’avoir recours à des abus psychologiques et physiques. Les Forces armées tolèrent cette situation parce que la base produit les meilleurs soldats d’infanterie du pays depuis un quart de siècle.
Le colonel Alan Craig, qui dirige la base jusqu’à l’arrivée de Savard, n’est pas dans la mouvance vers laquelle tend l’armée. «Aujourd’hui, on est beaucoup dans le respect et l’inclusion. Maintenant, on tolère la barbe, les cheveux teints, et bientôt les piercings et les tatouages. C’est une affaire que j’ai très hâte de montrer», a dit M. Drouin.
En arrivant à Kanawata, le lieutenant-colonel Savard en a plein les bras et rencontre de la résistance au changement. «Il se rend compte qu’il se passe des choses très mystérieuses et très troublantes dans cette base-là.»
Et comme si ce n’était pas assez, sa femme d’origine russe s’est engagée dans l’armée après avoir obtenu sa citoyenneté canadienne. Pourrait-elle être à la solde des Russes comme il est question d’espionnage? Il ne faut pas se fier aux apparences, qui sont souvent trompeuses.
Les intrigues mettront aussi de l’avant une policière militaire, des soldats d’infanterie recrus qui prennent part à un camp, des spécialistes des communications et de l’image de l’armée ainsi que d’autres officiers.
https://www.journaldemontreal.com/2023/ ... -les-armes