Publié : lun. oct. 30, 2006 6:06 pm
Voici ce que j'ai trouvé sur le site officiel d'Eva:
Eva: La vie après Canadian Idol…
Toujours aussi pétillante et débordante d’énergie, Eva Avila s’est une fois de plus livrée avec une gentillesse renouvelée aux questions des médias. C’est ainsi que La Revue a appris le titre de son prochain extrait et plusieurs autres informations sur sa vie à Toronto, celle qu’elle mène depuis que les lumières de Canadian Idol se sont éteintes.
Ce sera donc une chanson qui s’intitule I Owe It All to You qu’on entendra prochainement sur les radios. «C’est une chanson très rythmée, ça sonne un peu latino. C’est une chanson pour faire la fête. La première fois que je l’ai entendu, j’ai eu les frissons. Ce qui fait la beauté de la chanson, c’est qu’elle a un message différent dépendant de qui l’écoute. Ça peut être un message amoureux, ça peut être dédié aux fans ou ça peut être dédié à mon père qui m’a appris à chanter.»
Le vidéoclip de cette chanson sera tourné la semaine prochaine à Toronto. Le scénario n’a pas encore été choisi, mais plusieurs projets ont été sélectionnés. Reste à Eva et à son équipe de choisir le clip qui représentera le plus la jeune chanteuse.
Car Eva Avila tient à avoir son mot à dire sur tout ce qu’elle entreprend, et tout doit sonner «Eva». Elle répète d’ailleurs à qui veut l’entendre que rien ne lui a été imposé sur cet album, qu’elle a choisi elle-même les chansons. Surtout quand il s’agit des ballades : «Je veux absolument éviter le quétaine!», de s’exclamer la chanteuse. Deux ou trois chansons plus douces figureront tout de même sur l’album, mais c’est seulement parce qu’Eva a eu un coup de cœur pour ces dernières.
En trois semaines et demie, Eva et son équipe ont enregistré 19 chansons. Malgré les journées de studio qui s’allongeaient parfois jusqu’aux petites heures du matin, Eva n’a que de bons mots pour son équipe de production. «On a ri beaucoup, ce n’était pas comme du travail, c’était une partie de plaisir! On était très productif mais on avait du fun en même temps», explique-t-elle.
En moyenne, deux chansons étaient enregistrées tous les trois jours. Des gens de la Suède, de l’Angleterre et d’ailleurs ont fait parvenir de leurs compositions en espérant qu’Eva ressente des frissons en l’entendant. Au cours de sa recherche de titres accrocheurs, elle a vécu plusieurs coups de cœur, mais devra se limiter à une douzaine d’entre eux pour son premier album. Parmi eux se trouve une chanson écrite et produite par nulle autre que Cindy Lauper, intitulée This Kind of Love.
Ceux et celles qui rêvent d’entendre chanter l’idole canadienne dans la langue de Molière devront patienter. En raison de l’horaire serré, tous les titres du premier album d’Eva Avila seront en anglais. Mais ce n’est que partie remise, promet la chanteuse: «Je n’ai pas eu le temps de trouver la ‘toune’ parfaite en français. Je veux trouver la chanson qui va devenir un hit et encore mieux, faire un album complet en français.»
Malgré l’unilinguisme de l’album et malgré la pression, Eva est satisfaite du travail accompli: «Oui je suis nerveuse, mais j’ai un bon feeling. J’ai été très à l’aise dans l’enregistrement, c’est un album qui me ressemble. Je suis contente de l’album et je ne vois pas pourquoi le public ne le serait pas.»
Partout où elle se déplace, on la suit, on la complimente. Même le serveur de l’hôtel où se déroulait l’entrevue est venu lui dire fièrement qu’il avait voté au moins vingt fois pour elle. Tous ces compliments la flattent, bien entendu, mais augmentent également la pression sur ses épaules.
Quoi qu’il en soit, ni la fatigue ni la pression ne viennent atténuer son bonheur. Les derniers six mois, elle les a vécus comme un conte de fée auquel elle ne changerait absolument rien: «Je crois très fort au destin. C’est une question d’intuition qui m’a amenée là. Le matin de l’audition, je me suis levée et j’ai eu un bon feeling. Dans les dernières années, j’ai acquis assez de maturité pour être capable de me dire que je suis prête à plonger dans le show-b
Eva: La vie après Canadian Idol…
Toujours aussi pétillante et débordante d’énergie, Eva Avila s’est une fois de plus livrée avec une gentillesse renouvelée aux questions des médias. C’est ainsi que La Revue a appris le titre de son prochain extrait et plusieurs autres informations sur sa vie à Toronto, celle qu’elle mène depuis que les lumières de Canadian Idol se sont éteintes.
Ce sera donc une chanson qui s’intitule I Owe It All to You qu’on entendra prochainement sur les radios. «C’est une chanson très rythmée, ça sonne un peu latino. C’est une chanson pour faire la fête. La première fois que je l’ai entendu, j’ai eu les frissons. Ce qui fait la beauté de la chanson, c’est qu’elle a un message différent dépendant de qui l’écoute. Ça peut être un message amoureux, ça peut être dédié aux fans ou ça peut être dédié à mon père qui m’a appris à chanter.»
Le vidéoclip de cette chanson sera tourné la semaine prochaine à Toronto. Le scénario n’a pas encore été choisi, mais plusieurs projets ont été sélectionnés. Reste à Eva et à son équipe de choisir le clip qui représentera le plus la jeune chanteuse.
Car Eva Avila tient à avoir son mot à dire sur tout ce qu’elle entreprend, et tout doit sonner «Eva». Elle répète d’ailleurs à qui veut l’entendre que rien ne lui a été imposé sur cet album, qu’elle a choisi elle-même les chansons. Surtout quand il s’agit des ballades : «Je veux absolument éviter le quétaine!», de s’exclamer la chanteuse. Deux ou trois chansons plus douces figureront tout de même sur l’album, mais c’est seulement parce qu’Eva a eu un coup de cœur pour ces dernières.
En trois semaines et demie, Eva et son équipe ont enregistré 19 chansons. Malgré les journées de studio qui s’allongeaient parfois jusqu’aux petites heures du matin, Eva n’a que de bons mots pour son équipe de production. «On a ri beaucoup, ce n’était pas comme du travail, c’était une partie de plaisir! On était très productif mais on avait du fun en même temps», explique-t-elle.
En moyenne, deux chansons étaient enregistrées tous les trois jours. Des gens de la Suède, de l’Angleterre et d’ailleurs ont fait parvenir de leurs compositions en espérant qu’Eva ressente des frissons en l’entendant. Au cours de sa recherche de titres accrocheurs, elle a vécu plusieurs coups de cœur, mais devra se limiter à une douzaine d’entre eux pour son premier album. Parmi eux se trouve une chanson écrite et produite par nulle autre que Cindy Lauper, intitulée This Kind of Love.
Ceux et celles qui rêvent d’entendre chanter l’idole canadienne dans la langue de Molière devront patienter. En raison de l’horaire serré, tous les titres du premier album d’Eva Avila seront en anglais. Mais ce n’est que partie remise, promet la chanteuse: «Je n’ai pas eu le temps de trouver la ‘toune’ parfaite en français. Je veux trouver la chanson qui va devenir un hit et encore mieux, faire un album complet en français.»
Malgré l’unilinguisme de l’album et malgré la pression, Eva est satisfaite du travail accompli: «Oui je suis nerveuse, mais j’ai un bon feeling. J’ai été très à l’aise dans l’enregistrement, c’est un album qui me ressemble. Je suis contente de l’album et je ne vois pas pourquoi le public ne le serait pas.»
Partout où elle se déplace, on la suit, on la complimente. Même le serveur de l’hôtel où se déroulait l’entrevue est venu lui dire fièrement qu’il avait voté au moins vingt fois pour elle. Tous ces compliments la flattent, bien entendu, mais augmentent également la pression sur ses épaules.
Quoi qu’il en soit, ni la fatigue ni la pression ne viennent atténuer son bonheur. Les derniers six mois, elle les a vécus comme un conte de fée auquel elle ne changerait absolument rien: «Je crois très fort au destin. C’est une question d’intuition qui m’a amenée là. Le matin de l’audition, je me suis levée et j’ai eu un bon feeling. Dans les dernières années, j’ai acquis assez de maturité pour être capable de me dire que je suis prête à plonger dans le show-b