Wildcards
- Brindesoleil
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1288
- Inscription : dim. oct. 03, 2004 12:00 am
et d'apres moi julie & mélody ne seront pas du wildcards.. vu les commentaires des juges a leu égard...
Plus la photo est vieille, et plus on a l'air jeune
https://www.regardencoulisse.com" onclick="window.open(this.href);return false;
Mon blog Voyage
Prochaine destination : Istanbul et Cappadoce (Turquie) en septembre
https://www.regardencoulisse.com" onclick="window.open(this.href);return false;
Mon blog Voyage
Prochaine destination : Istanbul et Cappadoce (Turquie) en septembre
Ninty a écritC'est pas Jenny c'est Jenn. Spéciale comme tu dit Dreamer... Un peu trop peut-etre...
Elle me fait pensé à une chanteuse des années 60 au Québec, Jenny Rock.
Citation :Si le rock'n roll a tardé à révéler ses premières vedettes locales dans le Québec de la fin des années 50, il a néanmoins influencé toute une génération de jeunes artistes qui vont se tailler une place de choix quelques années plus tard, lorsque s'imposeront les vagues successives du twist et du yé-yé. Déjà en 1959 celle que l'on présente alors comme la petite émule d'Elvis Presley, Jenny Rock fait bouger toute la province en se présentant, avec son énorme guitare, au sein de la troupe de Jean Grimaldi. Malheureusement, aucun document sonore ne témoigne de cette époque frénétique.
Ce n'est que quelques années plus tard, en 1963, que la maison de disques Sélect lui offre l'opportunité de graver ses premiers enregistrements. Elle prête alors sa voix à de jeunes auteurs de la nouvelle chanson française comme Robert Cogoi ou Michel Paje qui lui fournissent ses premiers succès: "Donne-moi ta jeunesse", "Laisse-moi aimer". Elle y interprète également plusieurs créations locales d'Élizabeth Daniel qui vont de la fantaisie légère à la chanson yé-yé. Les titres "Yé-yé partout" et "Vas-y" sont tout indiqués pour celle que la jeunesse couronnera bientôt comme sa petite reine du rythme. Jenny est en effet élue Découverte féminine lors du Festival du Disque 1965. C'est qu'entre temps, elle est devenue une des artistes les plus populaires auprès de la jeunesse, suite à son interprétation de "Douliou douliou Saint-Tropez", que chantait Geneviève Grad au générique du film Le Gendarme de Saint-Tropez, paru sur les écrans des cinémas québécois au printemps 1965. Cette même année, elle fait partie de la Revue Yé-Yé qui parcourt tout le Québec avant de se rendre en Ontario et au Nouveau Brunswick. Une partie de la tournée, qui met également en vedette Tony Roman, Michèle Richard et Dany Aumont, est filmée par le jeune cinéaste Claude Fournier.
À mesure que déferle la vague des groupes britanniques, la chanteuse se tourne vers le répertoire de ces nouveaux chefs-de-file; elle enregistre ainsi les adaptations québécoises, souvent signées par Lucien Brien, de succès rock comme "Johnny B. Goode" ("Go, go, Jenny Go") et "Walking The Dog". Celle-ci est d'ailleurs empruntée au répertoire des Rolling Stones qu'elle côtoie lors de leur premier passage en terre québécoise, le 23 avril 1965. Jenny est alors la seule artiste francophone à se produire en première partie de leur spectacle à l'Aréna Maurice-Richard.
L'année suivante, Jenny passe chez Compo, maison propriétaire de l'étiquette Apex, qui héberge alors plusieurs idoles du moment, notamment les deux Ginette (Ginette Sage et Ginette Reno), les trois L (Michel Louvain, Pierre Lalonde, Donald Lautrec) et les uniques Hou-Lops. Elle s'impose aussitôt avec "Le sloopy". Cette nouvelle danse, qui annonce la fièvre de la discothèque comme lieu de divertissement, devient le nouveau rythme fétiche de Jenny Rock et lui assure une série de succès au palmarès dont "Viens danser" et "102 de fièvre", classique des années cinquante d'abord popularisé par Peggy Lee "Fever" dont la traduction est de Boris Vian mais que Jenny reprend à la façon beaucoup plus contemporaine des McCoys.
source: Québec Info Musique
http://www.qim.com/artistes/biographie.asp?artistid=360
--Message edité par felix le 2005-06-25 00:58:32--
Elle me fait pensé à une chanteuse des années 60 au Québec, Jenny Rock.
Citation :Si le rock'n roll a tardé à révéler ses premières vedettes locales dans le Québec de la fin des années 50, il a néanmoins influencé toute une génération de jeunes artistes qui vont se tailler une place de choix quelques années plus tard, lorsque s'imposeront les vagues successives du twist et du yé-yé. Déjà en 1959 celle que l'on présente alors comme la petite émule d'Elvis Presley, Jenny Rock fait bouger toute la province en se présentant, avec son énorme guitare, au sein de la troupe de Jean Grimaldi. Malheureusement, aucun document sonore ne témoigne de cette époque frénétique.
Ce n'est que quelques années plus tard, en 1963, que la maison de disques Sélect lui offre l'opportunité de graver ses premiers enregistrements. Elle prête alors sa voix à de jeunes auteurs de la nouvelle chanson française comme Robert Cogoi ou Michel Paje qui lui fournissent ses premiers succès: "Donne-moi ta jeunesse", "Laisse-moi aimer". Elle y interprète également plusieurs créations locales d'Élizabeth Daniel qui vont de la fantaisie légère à la chanson yé-yé. Les titres "Yé-yé partout" et "Vas-y" sont tout indiqués pour celle que la jeunesse couronnera bientôt comme sa petite reine du rythme. Jenny est en effet élue Découverte féminine lors du Festival du Disque 1965. C'est qu'entre temps, elle est devenue une des artistes les plus populaires auprès de la jeunesse, suite à son interprétation de "Douliou douliou Saint-Tropez", que chantait Geneviève Grad au générique du film Le Gendarme de Saint-Tropez, paru sur les écrans des cinémas québécois au printemps 1965. Cette même année, elle fait partie de la Revue Yé-Yé qui parcourt tout le Québec avant de se rendre en Ontario et au Nouveau Brunswick. Une partie de la tournée, qui met également en vedette Tony Roman, Michèle Richard et Dany Aumont, est filmée par le jeune cinéaste Claude Fournier.
À mesure que déferle la vague des groupes britanniques, la chanteuse se tourne vers le répertoire de ces nouveaux chefs-de-file; elle enregistre ainsi les adaptations québécoises, souvent signées par Lucien Brien, de succès rock comme "Johnny B. Goode" ("Go, go, Jenny Go") et "Walking The Dog". Celle-ci est d'ailleurs empruntée au répertoire des Rolling Stones qu'elle côtoie lors de leur premier passage en terre québécoise, le 23 avril 1965. Jenny est alors la seule artiste francophone à se produire en première partie de leur spectacle à l'Aréna Maurice-Richard.
L'année suivante, Jenny passe chez Compo, maison propriétaire de l'étiquette Apex, qui héberge alors plusieurs idoles du moment, notamment les deux Ginette (Ginette Sage et Ginette Reno), les trois L (Michel Louvain, Pierre Lalonde, Donald Lautrec) et les uniques Hou-Lops. Elle s'impose aussitôt avec "Le sloopy". Cette nouvelle danse, qui annonce la fièvre de la discothèque comme lieu de divertissement, devient le nouveau rythme fétiche de Jenny Rock et lui assure une série de succès au palmarès dont "Viens danser" et "102 de fièvre", classique des années cinquante d'abord popularisé par Peggy Lee "Fever" dont la traduction est de Boris Vian mais que Jenny reprend à la façon beaucoup plus contemporaine des McCoys.
source: Québec Info Musique
http://www.qim.com/artistes/biographie.asp?artistid=360
--Message edité par felix le 2005-06-25 00:58:32--
JOYEUX NOEL ET BONNE ANNÉE 2009!!!!