Publié : sam. juil. 12, 2008 3:52 pm
Premier Development League à Québec : l'Impact est d'accord, mais...
L’Impact de Montréal n’a aucune opposition à ce que la ville de Québec puisse bénéficier d’une formation masculine de la ligue de développement de la United Soccer Leagues (USL) en vue de la saison 2009, mais avant que l’équipe montréalaise ne donne son accord, elle veut trouver un terrain d’entente avec la ligue sur des différends qui existent entre les deux entités.
Jeudi, la USL a accordé deux concessions à un groupe de la capitale qui est dirigé par Stéphane Alain, Maxime Barabé, Samir Ghrib et David Desloges. L’équipe féminine de la W-League entreprendra sa saison dès l’été prochain, mais pour le club masculin de la Premier Development League (PDL), le groupe de Québec doit obtenir l’accord de l’Impact avant le 1er septembre prochain pour débuter sa première campagne dès la période estivale de 2009.
«Nous n’avons aucun problème à ce que Québec ait son club dans la PDL dès 2009», a expliqué Richard Legendre, vice-président exécutif de l’Impact et du stade Saputo. «Mais nous devrons trouver un terrain d’entente avec la ligue sur des différends qui existent entre notre équipe et la USL. Et nous pensons qu’il est très possible de régler nos problèmes avant le 1er septembre, ce qui permettrait à Québec d’être là dès 2009.
«Les gens de Québec doivent comprendre que nos différends n’ont rien à voir avec l’arrivée de Québec dans la PDL, ajoute-t-il. Nous ne nous entendons pas avec la USL sur des questions de marketing et des droits de visibilité. Nous avons une des franchises les plus solides financièrement de la ligue et nous attirons des foules de 12 000 et 13 000 personnes par match, alors que plusieurs autres ont des assistances de 4000 spectateurs.»
Malgré l’insistance du journaliste, M. Legendre a refusé de préciser la teneur exacte de ces différends. «Je ne veux pas négocier dans les journaux, s’est-il contenté de dire. La USL demande notre collaboration pour l’arrivée de Québec et de lever notre exclusivité sur le territoire de la province de Québec, mais on n’a pas la même collaboration de leur part pour nos différends. Mais nous souhaitons vraiment que ça marche pour Québec.»
M. Legendre ne croit pas que le club de la capitale pourrait accueillir d’éventuels espoirs de la formation montréalaise s’il ne devait pas avoir de place pour eux dans leur club-école de Trois-Rivières. «Notre club-école est à Trois-Rivières.»
L’Impact de Montréal n’a aucune opposition à ce que la ville de Québec puisse bénéficier d’une formation masculine de la ligue de développement de la United Soccer Leagues (USL) en vue de la saison 2009, mais avant que l’équipe montréalaise ne donne son accord, elle veut trouver un terrain d’entente avec la ligue sur des différends qui existent entre les deux entités.
Jeudi, la USL a accordé deux concessions à un groupe de la capitale qui est dirigé par Stéphane Alain, Maxime Barabé, Samir Ghrib et David Desloges. L’équipe féminine de la W-League entreprendra sa saison dès l’été prochain, mais pour le club masculin de la Premier Development League (PDL), le groupe de Québec doit obtenir l’accord de l’Impact avant le 1er septembre prochain pour débuter sa première campagne dès la période estivale de 2009.
«Nous n’avons aucun problème à ce que Québec ait son club dans la PDL dès 2009», a expliqué Richard Legendre, vice-président exécutif de l’Impact et du stade Saputo. «Mais nous devrons trouver un terrain d’entente avec la ligue sur des différends qui existent entre notre équipe et la USL. Et nous pensons qu’il est très possible de régler nos problèmes avant le 1er septembre, ce qui permettrait à Québec d’être là dès 2009.
«Les gens de Québec doivent comprendre que nos différends n’ont rien à voir avec l’arrivée de Québec dans la PDL, ajoute-t-il. Nous ne nous entendons pas avec la USL sur des questions de marketing et des droits de visibilité. Nous avons une des franchises les plus solides financièrement de la ligue et nous attirons des foules de 12 000 et 13 000 personnes par match, alors que plusieurs autres ont des assistances de 4000 spectateurs.»
Malgré l’insistance du journaliste, M. Legendre a refusé de préciser la teneur exacte de ces différends. «Je ne veux pas négocier dans les journaux, s’est-il contenté de dire. La USL demande notre collaboration pour l’arrivée de Québec et de lever notre exclusivité sur le territoire de la province de Québec, mais on n’a pas la même collaboration de leur part pour nos différends. Mais nous souhaitons vraiment que ça marche pour Québec.»
M. Legendre ne croit pas que le club de la capitale pourrait accueillir d’éventuels espoirs de la formation montréalaise s’il ne devait pas avoir de place pour eux dans leur club-école de Trois-Rivières. «Notre club-école est à Trois-Rivières.»