LE DOMAINE BLEU

Comme les Jeux débutent dans un peu plus d'une semaine, j'ai pensé que ce serait bien d'avoir un topic réservé aux articles, nouvelles, rumeurs et pourquoi pas, nos prédictions sur nos supers athlètes canadiens

Je commence avec un article pris sur RDS.ca qui parle de nos patineurs de vitesse canadiens. Discipline dans laquelle on excelle:


On mise beaucoup sur nos patineurs
 

Mercredi 01 février 2006 - (RDS) - C'est dans un peu plus d'une semaine, que s'amorceront les Jeux olympiques de Turin et le Canada vise rien de moins que le troisième rang des médailles. Un objectif élevé et s'il doit se réaliser, nos représentants en patinage de vitesse devront répondre aux attentes.

C'est bien connu, le Canada est une puissance mondiale en patinage de vitesse que ce soit en longue piste ou en courte piste. Pour les puristes, la longue piste est une véritable discipline alors que la courte piste est un sport marginal et peu sérieux.

Fort spectaculaire, le patinage de vitesse sur courte piste a fait son entrée aux Jeux olympiques de 1992. De quatre épreuves en 92, il y en a maintenant le double. Autant chez les hommes que chez les femmes, on retrouve des épreuves de 500, 1000 et 1500 mètres en plus des deux compétitions de relais.

Malgré les innombrables chutes, réclamations, disqualifications, podiums rectifiés, en dépit de la confusion des courses de relais, la discipline, spectaculaire, plaît et a fait sa place aux Jeux contrairement aux opinions des puristes.

La longue piste est considérée comme la discipline la plus noble du patinage de vitesse. Avec ses courses contre la montre, on assiste à une performance pure. La longue piste figure au programme des Jeux olympiques d'hiver depuis leur première édition, en 1924 à Chamonix.

Dix épreuves sont au programme dans cette discipline popularisée au Canada par Gaétan Boucher dans les années 80. Habituellement, il n'y a pas d'imprévues comme en courte de piste à moins de s'appeler Jeremy Wotherspoon et de cafouiller bêtement au départ à Salt Lake City en 2002.

Le Canada veut terminer au troisième rang au tableau des médailles... Pour ce faire, il faudra que les patineurs de vitesse courte piste et longue piste performent comme à Salt Lake City alors qu'ils avaient remporté neuf des 17 médailles canadiennes. Qui sera médaillé? Pariez sur Cindy Klassen et Clara Hughes en longue piste. François-Louis Tremblay, Érir Bédard et Mathieu Turcotte en courte piste.

Bowman analyse l'équipe canadienne



Mardi 31 janvier 2006 - TORONTO (PC) - L'équipe canadienne de hockey est l'une des plus solides et talentueuses jamais réunies en vue des Jeux olympiques même si plusieurs joueurs n'ont pas d'expérience olympique.

Il s'agit d'un excellent groupe qui devrait jouer avec énergie et passion.

Voici ce que je pense des olympiens.

Gardiens

Martin Brodeur. Présentement à son mieux, il a mérité son statut de no 1.

Roberto Luongo. Il est la raison de la plupart des victoires des Panthers et il devrait accepter son rôle de réserviste.

Marty Turco. A semblé en arracher après avoir signé son gros contrat mais est actuellement le principal rouage dans les succès des Stars.

En résumé - Le Canada n'a jamais été aussi fort devant le filet. Ce n'est pas un luxe compte tenu du talent de la Suède et de la République tchèque à cette même position.


Défenseurs

Rob Blake. A trouvé son rythme après un départ laborieux consacré à s'ajuster aux nouveaux règlements. Devra éviter les punitions inutiles.

Adam Foote. Vient tout juste de revenir au jeu mais son expérience dans les matchs d'importance devrait aider.

Bryan McCabe. Tout comme Ed Jovanovski (qu'il remplace), un joueur à risques mais talentueux. Il connaît la saison de sa carrière et j'estime qu'il mérite d'être là. Il semble en mesure de récupérer de sa blessure à l'aine et devrait être en bonne forme compte grâce à toutes ces minutes qu'il a passées sur la glace.

Scott Niedermayer. Le défenseur le plus rapide. Sa vitesse et son maniement de la rondelle joueront un très grand rôle. On le manquera s'il ne peut jouer à cause de sa blessure à un genou.

Chris Pronger. Il m'a impressionné dernièrement. Il patine avec la rondelle comme il devrait toujours le faire et ses grandes habilités de passeur devraient aider les attaquants sur une grande patinoire.

Robyn Regehr. Une véritable tour à la défense des Flames et, à 25 ans, il arrive à peine au niveau des meilleurs défenseurs de la LNH.

En résumé - Un groupe très impressionnant qui combine expérience et vitesse, mais on ne peut plus se permettre de perdre d'autres défenseurs.


Attaquants

Todd Bertuzzi. Un attaquant de puissance difficile à contrer devant le filet. Le choix de ses compagnons de trio sera important. Il a surtout joué avec Brendan Moprrison et Markus Naslund et pourrait avoir de la difficulté à s'adapter à d'autres.

Shane Doan. En a arraché en début de saison à Phoenix parce qu'il tentait d'en faire trop mais joue mieux depuis quelque temps. S'il s'en tient à son style de "plombier", il pourra aider.

Kris Draper. Excellent en désavantage numérique avec beaucoup de vitesse et de caractère. Va accepter son rôle et contribuer à 100 pour cent.

Simon Gagné. Un pur marqueur capable de réussir le gros but. Devrait aborder le tournoi avec beaucoup de confiance en ses talents de marqueur.

Dany Heatley. S'est entendu parfaitement avec Jason Spezza et Daniel Alfredsson à Ottawa. Comme pour Bertuzzi, il sera essentiel de l'associer aux bons coéquipiers capables pour qu'ils puissent faire ce qu'il aime tant: marquer des buts.

Jarome Iginla. Peut jouer dans toutes les situations et a récemment retrouvé sa touche de marqueur. Devrait être un leader à l'attaque.

Vincent Lecavalier. A haussé son niveau de jeu lors des récents tournois internationaux. Devrait jouer un rôle important.

Rick Nash. Si le championnat du monde de 2005 est une bonne indication, marquer des buts dans des situations cruciales sera ce qu'on attendra de lui.

Brad Richards. Peut compléter n'importe quel trio à cause de sa polyvalence. Il est très sous-estimné et ses talents de passeur sont sa grande force.

Martin St-Louis. Le genre de joueur qui met tout son coeur à l'ouvrage qui peut jouer dans toutes les situations, ce qui le rend si utile.

Joe Sakic. En tant que capitaine et joueur le plus expérimenté, il devra remplir le vide laissé par Steve Yzerman et Mario Lemieux et calmer son monde dans les moments cruciaux. Je suis confiant que ce sera le cas.

Ryan Smyth. Son expérience internationale sera une fois de plus appréciée au sein d'un si jeune groupe d'attaquants. Devra accepter son rôle.

Joe Thornton. Il a bien réagi en acceptant des responsabilités à San José. A tous les outils pour s'avérer un joueur dominant.

En résumé - Il y a beaucoup de joueurs sans expérience olympique même si la plupart ont participé à la Coupe du monde. Un bon groupe de jeunes attaquants qui, espérons le, ne seront pas handicapés par leur manque d'expérience. Ca ne devrait pas être un gros problème étant donné leur talent.

Réservistes

Jason Spezza et Eric Staal. Tous les deux connaissent une année de rêve avec des équipes qui ont beaucoup de succès. Ils sont des rouages importants dans leur équipe respective et leur nouveau rôle est très différent. Ils devront l'accepter et être prêt si on doit faire appel à eux.

Équipe Canada à la défense de son titre



Mardi 31 janvier 2006 - TORONTO (PC) - L'équipe canadienne de hockey féminin a pris tous les moyens cet hiver dans l'espoir de défendre avec succès son titre olympique à Turin, en Italie.

Mais les Américaines auront une fois encore leur mot à dire.

Le Canada et les Etats-Unis se sont affrontés en finale des neuf championnats du monde et lors des deux finales du tournoi olympique où le hockey féminin était à l'affiche. Les Canadiennes ont remporté huit de ces finales au championnat du monde et raflé l'or olympique aux Jeux de 2002.

Si une victoire inattendue de la Suède ou de la Finlande est dans le domaine du possible, ces pays doivent encore démontrer qu'ils ont réduit l'écart avec les Nord-Américaines.

Si la médaille d'or olympique devait se décider à l'issue d'une série quatre-de-sept, les Canadiennes auraient l'avantage face aux Américaines parce qu'elles ont mis davantage l'emphase sur leur préparation cet hiver.

Mais comme il s'agira d'un match unique, les chances sont égales. Les Canadiennes l'ont prouvé en 2002 à Salt Lake City lorsqu'elles ont subi huit défaites d'affilée face aux Américaines avant de gagner la médaille d'or grâce à une victoire de 3-2 en finale.

Le Canada entreprendra la défense de son titre le 11 février contre le pays hôte, l'Italie, au Palasport Olympico.

Le Canada, classé première tête de série, évolue dans le groupe A en compagnie de la Suède, no 4, de la Russie, no 5, et de l'Italie, no 8.

Les Etats-Unis, classés no 2 dans ce tournoi regroupant huit pays, font partie du groupe B avec la Finlande, no 3, l'Allemagne, no 6, et la Suisse, no 7.

Les deux meilleures équipes de chaque groupe accéderont aux demi-finales, le 17 février, et les matches pour les médailles auront lieu le 20 février.

L'équipe canadienne féminine n'a jamais été aussi bien préparée en prévision des Jeux olympiques, ayant disputé un record de 46 matches cet hiver. C'est plus que tout autre pays. Les Américaines, par exemple, ont livré 24 matches.

Vingt-deux des matches du Canada ont été joués contre des équipes masculines de niveau midget AAA (joueurs âgés de 15 à 17 ans) en Alberta et il s'agit d'un nouvel élément dans la préparation olympique. Ces matches ont offert aux Canadiennes le genre de compétition que seules les Américaines dans un tournoi international sont en mesure de leur donner.

La faiblesse du Canada quand vient le temps d'affronter les Américaines, c'est qu'après avoir exercé une domination dans la possession de la rondelle contre d'autres pays, l'équipe doit soudainement s'ajuster à jouer sans la rondelle. Les agiles Américaines sont également les seules à mettre de la pression sur la défensive canadienne dans sa zone.

Ces matches contre des équipes masculines avaient justement pour but d'améliorer ces facettes du jeu.

"Lors des matches et même à l'entraînement, nous avons travaillé au cours du dernier mois en mettant le plus de pression possible sur les défenseurs, a précisé l'attaquante Hayley Wickenheiser. Si nous pouvons le faire dans ce moment de vérité qu'est la finale, nous allons avoir du succès et tout le monde le sait."

Le défi de l'équipe canadienne sera aussi de se montrer plus opportuniste en attaque. Les meilleures attaquantes ont effectivement été tenues en échec dans la défaite de 1-0 en tirs de barrage face aux Américaines en finale du championnat du monde en 2005.

Le Canada, dirigé par Melody Davidson, présente une fiche de 8-2 contre les Etats-Unis dans les matches préparatoires aux Jeux, mais les Américaines ont remporté deux des trois dernières confrontations.

De grandes ambitions pour Bourque



Mardi 31 janvier 2006 - MONTREAL (PC) - François Bourque, l'une des étoiles montantes de l'équipe canadienne de ski alpin, n'aime pas attirer l'attention sur lui. Quand il se retrouve en public, il est plutôt du genre réservé. Et dès qu'il en a l'occasion, il aime retourner dans ses terres à New Richmond, en Gaspésie, où il retrouve la quiétude qui lui permet de décrocher du rythme effréné du circuit de la Coupe du monde.

Mais que cela lui plaise ou non, il ne passera pas inaperçu très longtemps encore. Et il devrait d'ailleurs se retrouver sous les projecteurs dès les Jeux olympiques de Turin, où il pourrait causer des surprises dans les épreuves de slalom géant et de super-G.

A 21 ans, Bourque nourrit de grandes ambitions, qui ne se résument pas à gagner une médaille olympique.

"Mon objectif absolu est de devenir le skieur le plus complet du plateau et de terminer au premier rang du classement général de la Coupe du monde, affirme celui qui voue beaucoup d'admiration au champion autrichien Hermann Maier. Je retirerais une plus grande satisfaction personnelle de remporter le globe de cristal que d'obtenir une médaille d'or aux Jeux olympiques.

"Le globe de cristal récompense les efforts et les succès de toute une saison alors qu'aux Olympiques, tout se joue sur une seule épreuve."

Et les aspirations de Bourque, déjà monté à deux reprises sur le podium en Coupe du monde, sont réalistes. Plusieurs observateurs crédibles voient en lui une future vedette.

"François possède le talent pour gagner en slalom géant, en super-G et en descente", soutient Ken Read, ex-membre des "Crazy Canucks" et aujourd'hui président d'Alpin Canada.

"François a certainement le potentiel de finir premier au classement général dans quelques années, renchérit Max Gartner, chef d'équipe à Turin et vice-président aux affaires sportives à Alpin Canada. C'est emballant de miser sur un gars dans le programme qui a le talent pour gagner le globe de cristal au classement cumulatif, ce qui n'a pas été réussi au pays depuis Nancy Greene" (en 1967 et 1968).

Passionné de chasse et pêche

Pourtant, quand son père l'a initié au ski à l'âge de 4 ans, Bourque ne croyait pas que ce sport le mènerait jusqu'aux Jeux olympiques. "Au début, je n'aimais même pas ça. Je préférais faire de la motoneige", se rappelle-t-il avec un certain amusement. Il a toutefois persisté.

"Par la suite, j'ai dû faire un choix entre le hockey et le ski. J'ai opté pour le ski parce que c'est un sport individuel qui convient mieux à ma personnalité."

En dehors du ski, Bourque affectionne la mécanique et la course automobile, et il a même disputé quelques épreuves de moto-cross au niveau québécois.

"C'est un hobby pour moi. Je ne pense pas que j'aurais pu en faire une carrière mais j'ai du plaisir à rouler à 250 km/h entre les arbres, mentionne-t-il, lui qui a déjà pris part au rallye de la baie des Chaleurs comptant pour le championnat nord-américain.

"J'ai toutefois vendu mon moto-cross le printemps dernier. J'ai décidé de mettre ça de côté pour l'instant."

Bourque ne pourra toutefois jamais se défaire de sa passion pour la chasse et la pêche. "Je suis un passionné de chasse. Mes grands-parents et mes oncles sont des chasseurs, j'ai été élevé là-dedans. Ça me permet de me retrouver, de faire le vide. C'est calme dans le bois. Il n'y a pas de téléphone, il n'y a personne qui peut me déranger. Ca me permet de décrocher."

Se décrivant comme un athlète déterminé, discipliné et travaillant, Bourque soutient qu'il ne fait jamais les choses à moitié et c'est sans doute la raison pour laquelle il puise tant d'inspiration dans cette maxime: "Ceux qui lâchent ne gagnent pas; ceux qui gagnent ne lâchent pas".

C'est connu je suis vendue au patinage de vitesse longue ou courte piste

Le monsieur qui a écrit:
«C'est bien connu, le Canada est une puissance mondiale en patinage de vitesse que ce soit en longue piste ou en courte piste. Pour les puristes, la longue piste est une véritable discipline alors que la courte piste est un sport marginal et peu sérieux.

Fort spectaculaire, le patinage de vitesse sur courte piste a fait son entrée aux Jeux olympiques de 1992. De quatre épreuves en 92, il y en a maintenant le double. Autant chez les hommes que chez les femmes, on retrouve des épreuves de 500, 1000 et 1500 mètres en plus des deux compétitions de relais.»  Il devrait prendre la peine d'expliquer que le patinage de vitesse courte piste  n'est pas une simple course contre la montre, mais tout comme le vélo sur l'anneaux en hauteur, c'est une course ou la stratégie et la rapidité d'esprit peut avoir plus de poids que la force musculaire: qui part en premier, qui se repose derrière l'autre, qui tente un dépassement risqué, etc...  Ils sont tellement rapides, les patins sont tellement particuliers et les lames tellement coupantes que parfois on a l'impression qu'ils ne pourront prendre le virage, bref il faut le voir de près pour le croire !  

En passant, ils sont plus qu'au trois-quart québécois   --Message edité par Ti-radis le 2006-02-02 13:34:32--

Ti-radis  a écritC'est connu je suis vendue au patinage de vitesse longue ou courte piste

Le monsieur qui a écrit:
«C'est bien connu, le Canada est une puissance mondiale en patinage de vitesse que ce soit en longue piste ou en courte piste. Pour les puristes, la longue piste est une véritable discipline alors que la courte piste est un sport marginal et peu sérieux.

Fort spectaculaire, le patinage de vitesse sur courte piste a fait son entrée aux Jeux olympiques de 1992. De quatre épreuves en 92, il y en a maintenant le double. Autant chez les hommes que chez les femmes, on retrouve des épreuves de 500, 1000 et 1500 mètres en plus des deux compétitions de relais.»  Il devrait prendre la peine d'expliquer que le patinage de vitesse courte piste  n'est pas une simple course contre la montre, mais tout comme le vélo sur l'anneaux en hauteur, c'est une course ou la stratégie et la rapidité d'esprit peut avoir plus de poids que la force musculaire: qui part en premier, qui se repose derrière l'autre, qui tente un dépassement risqué, etc...  Ils sont tellement rapides, les patins sont tellement particuliers et les lames tellement coupantes que parfois on a l'impression qu'ils ne pourront prendre le virage, bref il faut le voir de près pour le croire !  

En passant, ils sont plus qu'au trois-quart québécois    

Est-ce que ta fille fait du courte-piste?

Moi c'est vraiment le courte-piste qui m'impressionne. Wow! C'est tellement époustouflant les voir aller, ça prend une telle maîtrise du corps, j'ai toujours peur qu'ils tombent sur le côté!

tipet  a écrit

Est-ce que ta fille fait du courte-piste?

Moi c'est vraiment le courte-piste qui m'impressionne. Wow! C'est tellement époustouflant les voir aller, ça prend une telle maîtrise du corps, j'ai toujours peur qu'ils tombent sur le côté!
Oui, il y a mademoiselle radis no.1 , mademoiselle radis no. 2 et monsieur radis aussi .

D'ailleurs mademoiselle radis no. 2 sera à Matane en compet dès demain.

Ti-radis  a écrit  Oui, il y a mademoiselle radis no.1 , mademoiselle radis no. 2 et monsieur radis aussi .

D'ailleurs mademoiselle radis no. 2 sera à Matane en compet dès demain.


Wow! famille d'athlète!

Tu disais dans le topic du vote de québec dans le Dôme, qu'une de tes filles avaient été choisi dans les espoirs? C'est cool J'ai toujours cru que si plus de jeunes s'intéressaient aux sports, la violence, le décrochage et la toxicomanie diminuerait...Mais ça, c'est juste une opinion.

Moi je t'avoue que mon fils est un super sportif (hockey, basket et soccer), mon  chum aussi et ma fille a fait du patinage artistique durant toute son enfance et pré-adolescence...Il n'y a que moi qui est pas une super athlète Chez-moi on m'appelle "La gérante d'estrade! J'accompagne, j'encourage, je cris, je suis remplie de fierté mais c'est pas mal tout
Et je fais du taxi aussi

tipet  a écrit

Wow! famille d'athlète!

Tu disais dans le topic du vote de québec dans le Dôme, qu'une de tes filles avaient été choisi dans les espoirs? C'est cool J'ai toujours cru que si plus de jeunes s'intéressaient aux sports, la violence, le décrochage et la toxicomanie diminuerait...Mais ça, c'est juste une opinion.

Moi je t'avoue que mon fils est un super sportif (hockey, basket et soccer), mon  chum aussi et ma fille a fait du patinage artistique durant toute son enfance et pré-adolescence...Il n'y a que moi qui est pas une super athlète Chez-moi on m'appelle "La gérante d'estrade! J'accompagne, j'encourage, je cris, je suis remplie de fierté mais c'est pas mal tout
Et je fais du taxi aussi être la moins bonne dans tout (sauf la natation) c'est ma vie, mais je suis habituée, probablement aussi que je serai la moins grande  

Pour la reconnaissance "espoir", c'est quand mademoiselle radis no2 était au patin artistique, mais depuis elle a changé pour  patin de vitesse (mais elle profite grandement de cette formidable formation qu'elle le patin artistique).  En fait ça me coûte la peau de fesse, mais ils sont heureux la dedans et un enfant heureux et occuppé chercher moins les mauvais coups (du moins je le crois aussi) --Message edité par Ti-radis le 2006-02-03 18:57:28--

je ne savais pas ou mettre cet article alors je le met ici pour ceux que ça pourrait interresser ... juste à titre d,information  


Citation :Hbc appuie le mouvement olympique canadien



Aujourd'hui, en tant que troisième grand partenaire du Comité d'organisation de Vancouver 2010, Hbc joue un rôle encore plus important dans le déroulement des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2010. Le partenariat, en vigueur de 2005 à 2012, fait de Hbc le grand magasin commanditaire officiel et exploitant de grands magasins offrant les produits dérivés officiel au Canada. Le principal résultat de ce partenariat est que Hbc a été sélectionné en tant que Fournisseur officiel de l'Équipe olympique canadienne pour les Jeux d'hiver de 2006, à Turin en Italie. Les vêtements fournis comprennent le costume pour le défilé, les vêtements de podium ainsi que l'habillement à porter aux réceptions : manteaux, vestes, tricots, chemises, pantalons, chaussures, tuques, foulards et gants. En plus des vêtements, Hbc fournit à l'équipe les articles de voyage.

voici les liens pour voir la collection

http://shop.hbc.com/webapp/wcs/stores/s ... &langId=-2