Publié : mar. janv. 27, 2004 6:46 am
Internet en alerte : nouvelle vague de virus
Les éditeurs de solutions antivirales sont sur les dents. Un nouveau virus identifié sous les noms de MyDoom ou Novag prend d'assaut les boîtes aux lettres électroniques de millions d'internautes.
Des dizaines de milliers de PC de par le monde exécutant les versions 95, 98, ME, NT, 2000 et XP du système d'exploitation Windows sont infectés par un nouveau virus reçu par courriel et dont la signature se reconnaît très facilement par le libellé du sujet :
Mail Delivery System
Test
Mail Transaction Failed
Outre un fichier attaché exécutable qu'il ne faut surtout pas cliquer, le corps du message du courriel se lit ainsi : «The message contains Unicode characters and has been sent as a binary attachment» ou «The message cannot be represented in 7-bit ASCII encoding and has been sent as a binary attachment.»
Si par malheur, l'ordinateur est infecté, un petit programme s'installe sur le disque dur de la victime et permet à une personne de prendre le contrôle de son appareil à distance. Plus grave encore, ce même virus s'activera le premier février prochain pour envoyer et inonder d'un flux de données le site Internet de la compagnie SCO.
Rappelons que SCO est cette société qui poursuit IBM pour un montant de 3 milliards de dollars en raison de ses prétentions sur le système d'exploitation Linux. Selon SCO, plusieurs programmeurs auraient copié une partie du code source de son propre système d'exploitation UNIX System V, dans celui de Linux, d'ou la poursuite judiciaire.
Les utilisateurs du système d'échange P2P Kazaa doivent aussi porter une attention toute particulière aux fichiers qu'ils téléchargent. En effet, MyDoom, si ce n'était pas déjà assez, s'installe dans le répertoire racine de téléchargement (download directory) de Kazaa sous les noms de Winamp5, RootkitXP, Officecrack and Nuke2004. Toute personne téléchargeant à son tour ces fichiers se trouve à son tour infectée.
Cette alerte, d'une ampleur qui n'est pas sans rappeler celle de cet été, alors que Sobig avait pris d'assaut la Toile, met en lumière la quasi-obligation qu'ont les internautes de se protéger des dangers d'une infection en investissant dans une solution antivirale mise à jour à toutes les semaines.
Les éditeurs de solutions antivirales sont sur les dents. Un nouveau virus identifié sous les noms de MyDoom ou Novag prend d'assaut les boîtes aux lettres électroniques de millions d'internautes.
Des dizaines de milliers de PC de par le monde exécutant les versions 95, 98, ME, NT, 2000 et XP du système d'exploitation Windows sont infectés par un nouveau virus reçu par courriel et dont la signature se reconnaît très facilement par le libellé du sujet :
Mail Delivery System
Test
Mail Transaction Failed
Outre un fichier attaché exécutable qu'il ne faut surtout pas cliquer, le corps du message du courriel se lit ainsi : «The message contains Unicode characters and has been sent as a binary attachment» ou «The message cannot be represented in 7-bit ASCII encoding and has been sent as a binary attachment.»
Si par malheur, l'ordinateur est infecté, un petit programme s'installe sur le disque dur de la victime et permet à une personne de prendre le contrôle de son appareil à distance. Plus grave encore, ce même virus s'activera le premier février prochain pour envoyer et inonder d'un flux de données le site Internet de la compagnie SCO.
Rappelons que SCO est cette société qui poursuit IBM pour un montant de 3 milliards de dollars en raison de ses prétentions sur le système d'exploitation Linux. Selon SCO, plusieurs programmeurs auraient copié une partie du code source de son propre système d'exploitation UNIX System V, dans celui de Linux, d'ou la poursuite judiciaire.
Les utilisateurs du système d'échange P2P Kazaa doivent aussi porter une attention toute particulière aux fichiers qu'ils téléchargent. En effet, MyDoom, si ce n'était pas déjà assez, s'installe dans le répertoire racine de téléchargement (download directory) de Kazaa sous les noms de Winamp5, RootkitXP, Officecrack and Nuke2004. Toute personne téléchargeant à son tour ces fichiers se trouve à son tour infectée.
Cette alerte, d'une ampleur qui n'est pas sans rappeler celle de cet été, alors que Sobig avait pris d'assaut la Toile, met en lumière la quasi-obligation qu'ont les internautes de se protéger des dangers d'une infection en investissant dans une solution antivirale mise à jour à toutes les semaines.