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Publié : sam. sept. 27, 2008 5:25 am
par Pico82
Conditions exécrables

Une vision d'horreur

Joanie Godin
27/09/2008 07h24  




Les bêtes étaient entassées dans des conditions exécrables.  

© Le Journal de Montréal





Les bêtes étaient entassées dans des conditions exécrables.


Une centaine de chiens ont été rescapés hier d'une usine à chiots de Rawdon, où ils vivaient dans des conditions exécrables. Ils étaient maigres, entassés, maltraités et déshydratés.


C'est une vision d'horreur que les intervenants de la SPCA et de la Humane Society International ont eue en allant chercher 117 animaux dans un chenil infect.


Au cours des dernières semaines, la SPCA a reçu de nombreuses plaintes et une enquête l'a menée à sauver 110 chiens, six chats et un lapin de conditions de vie tout simplement terribles.


«Il y avait des chiens vivants, d'autres morts, tous entassés dans des cages minuscules. Ils vivaient dans leurs excréments et l'odeur était tellement épouvantable que je ne suis même pas capable de la décrire», a expliqué Alanna Devine, directrice par intérim de la SPCA de Montréal.


Des squelettes d'animaux ont également été retrouvés à l'intérieur de la maison, dans des cages encore verrouillées. À l'extérieur, il y avait aussi une pile de carcasses d'animaux brûlés.


«La cruauté envers les animaux est un grave problème au Québec. La province est reconnue comme la capitale des usines à chiots en Amérique du Nord», insiste Mme Devine.


Plusieurs blessures à guérir


Les chiens étaient presque tous malades et ils n'avaient pas mangé depuis des jours pour la plupart. Une bête a dû être euthanasiée sur place, mais la SPCA espère pouvoir sauver tous les autres.


«On a euthanasié un chien parce que son corps était en décomposition et on croyait qu'il était déjà mort tellement il était faible et malade», a raconté Mme Devine.


Les chiens, de toutes races et de tous âges, devront être soignés pour différentes blessures, des plaies, des puces, des problèmes de vision mais surtout de sous-alimentation et de déshydratation.


«Une fois qu'ils seront guéris, on espère pouvoir leur trouver une bonne famille d'adoption», ajoute la directrice de la SPCA de Montréal.


Pires conditions jamais vues


Les gens de la SPCA ont reçu l'aide de deux organismes internationaux qui oeuvrent aussi pour la protection des animaux.


De toutes les interventions que Scotlund Haisley et son équipe de la Humane Society International a faites, jamais il n'avait vu des conditions aussi terribles. «Mon coeur se brise chaque fois que je vois des usines à chiots, mais celle-là était vraiment la plus dégoûtante de toutes.»


Le couple propriétaire de l'endroit pourrait faire face à des accusations de cruauté envers les animaux.

Publié : sam. sept. 27, 2008 5:26 am
par Pico82
Continuez avec vos sentences bonbons...  

Publié : sam. sept. 27, 2008 7:47 am
par Ernestine
Citation : Le couple propriétaire de l'endroit pourrait faire face à des accusations de cruauté envers les animaux.

N'importe quoi !!!!!

Si j'étais responsable de leur sentence, ils y penserait 2 fois avant de maltraiter un animal, vous n'avez pas idée  

Quand les animaleries fermeront leurs portes ou qu'elles refuseront de vendre des animaux, sachant très bien d'où ils viennent, on pourra peut-être tenter de régler le problème !

Pauvres petites bêtes    

Publié : sam. sept. 27, 2008 1:38 pm
par nancy31f
Ernestine  a écrit

N'importe quoi !!!!!

Si j'étais responsable de leur sentence, ils y penserait 2 fois avant de maltraiter un animal, vous n'avez pas idée  

Quand les animaleries fermeront leurs portes ou qu'elles refuseront de vendre des animaux, sachant très bien d'où ils viennent, on pourra peut-être tenter de régler le problème !

Pauvres petites bêtes      
moi je leur ferais subir le meme sort a ceux qui ont maltraités ces pauvres betes

Publié : mar. sept. 30, 2008 6:26 am
par Chanelle
Ernestine  a écrit

N'importe quoi !!!!!

Si j'étais responsable de leur sentence, ils y penserait 2 fois avant de maltraiter un animal, vous n'avez pas idée  

Quand les animaleries fermeront leurs portes ou qu'elles refuseront de vendre des animaux, sachant très bien d'où ils viennent, on pourra peut-être tenter de régler le problème !

Pauvres petites bêtes      

Bah c est pas grave les fautifs auront une tite tappe dans le dos en se faisant dire recommence pu là complètement ridicule