Le Musée Eden
Modérateur : Elise-Gisèle
Le Musée Eden
Publié le 24 février 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00
Musée Eden: la surprise du printemps
Richard Therrien
Le Soleil
«Oubliez ça, les séries historiques», nous répètent les patrons de télévision depuis quelques années. «Trop cher. On n'a plus les moyens.» La dernière à Radio-Canada? Asbestos en 2002, si on exclut René, sur la vie de René Lévesque.
Le thriller historique Musée Eden, qui commence le mardi 16 mars à 21h pour neuf épisodes, arrive donc comme une véritable surprise dans notre télé. À 956 000 $ l'heure, on ne voit plus ça souvent. Comment la société d'État a pu se payer un tel luxe en temps de disette? En finançant l'oeuvre à cheval sur deux années financières. Pas bête du tout.
Pas bête, surtout que la série vaut vraiment le détour. Une oeuvre très intrigante, un suspense efficace, et une reconstitution d'époque impressionnante, vraiment.
Deux soeurs manitobaines, Camille et Florence, jouées par Mariloup Wolfe et Laurence Leboeuf, héritent du musée d'un oncle assassiné sauvagement, Félix Courval, à Montréal. Un musée lugubre à souhait, où sont exposés des personnages de cire reconstituant des scènes de crime célèbres, et fabriqués par Louis Morin (Vincent-Guillaume Otis), un artiste patenteux qui tombe vite dans l'oeil de la jeune Florence.
Qui donc a pu tuer Courval? Un coupable d'origine italienne est identifié, mais le journaliste Étienne Monestier (Éric Bruneau, mordant) sait pertinemment que l'enquête a été bâclée et cherche à faire éclater la vérité. La réalité est en effet beaucoup plus complexe et cache des histoires de moeurs, inacceptables à cette époque, tout comme l'existence de Florence Courval, qui ment sur sa véritable identité.
Dans le rôle d'un enquêteur aussi corrompu que répugnant, Guy Nadon excelle, ressemblant comme deux gouttes d'eau à André Arthur. Cet inspecteur Dagenais raciste et adepte des bordels tourne les coins ronds dans ses enquêtes et fabrique des preuves pour accuser des innocents.
La série est signée Gilles Desjardins, qui a travaillé à plusieurs séries documentaires sur le monde criminel chez le même producteur, Sovimage. L'auteur admet d'ailleurs avoir pigé ici et là dans plusieurs cas réels de crimes pour écrire son histoire.
Il faut souligner la formidable réalisation d'Alain Desrochers (Les Bougon, Nos étés), qui nous transporte réellement dans le Montréal de 1910. On y croit à tous les points de vue, autant dans les costumes que dans les décors, et dans cet aspect sombre d'une ville en pleine mutation. Jacques L'Heureux, Paul Doucet, Gaston Lepage et Jean-Nicolas Verreault tirent tous très bien leur épingle du jeu. Même les barbes ont l'air vraies!
Le plus étonnant, c'est que ce musée Eden a bel et bien existé, de 1891 à 1940. Située au sous-sol du Monument national à Montréal, l'attraction morbide pouvait accueillir jusqu'à 1000 visiteurs par jour dans ses bonnes années. Autre similarité : le musée de cire appartenait à deux soeurs qui en avaient hérité de leur père. Plusieurs autres personnages de la série sont inspirés de personnes réelles, notamment le journaliste Monestier et le Dr Boyer, calqué sur le Dr Derome, fondateur de l'Institut médico-légal de Montréal.
Musée Eden succédera dans la grille-horaire à Trauma, qui reviendra pour une deuxième saison, confirme la direction de Radio-Canada.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/art ... ntemps.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Musée Eden: la surprise du printemps
Richard Therrien
Le Soleil
«Oubliez ça, les séries historiques», nous répètent les patrons de télévision depuis quelques années. «Trop cher. On n'a plus les moyens.» La dernière à Radio-Canada? Asbestos en 2002, si on exclut René, sur la vie de René Lévesque.
Le thriller historique Musée Eden, qui commence le mardi 16 mars à 21h pour neuf épisodes, arrive donc comme une véritable surprise dans notre télé. À 956 000 $ l'heure, on ne voit plus ça souvent. Comment la société d'État a pu se payer un tel luxe en temps de disette? En finançant l'oeuvre à cheval sur deux années financières. Pas bête du tout.
Pas bête, surtout que la série vaut vraiment le détour. Une oeuvre très intrigante, un suspense efficace, et une reconstitution d'époque impressionnante, vraiment.
Deux soeurs manitobaines, Camille et Florence, jouées par Mariloup Wolfe et Laurence Leboeuf, héritent du musée d'un oncle assassiné sauvagement, Félix Courval, à Montréal. Un musée lugubre à souhait, où sont exposés des personnages de cire reconstituant des scènes de crime célèbres, et fabriqués par Louis Morin (Vincent-Guillaume Otis), un artiste patenteux qui tombe vite dans l'oeil de la jeune Florence.
Qui donc a pu tuer Courval? Un coupable d'origine italienne est identifié, mais le journaliste Étienne Monestier (Éric Bruneau, mordant) sait pertinemment que l'enquête a été bâclée et cherche à faire éclater la vérité. La réalité est en effet beaucoup plus complexe et cache des histoires de moeurs, inacceptables à cette époque, tout comme l'existence de Florence Courval, qui ment sur sa véritable identité.
Dans le rôle d'un enquêteur aussi corrompu que répugnant, Guy Nadon excelle, ressemblant comme deux gouttes d'eau à André Arthur. Cet inspecteur Dagenais raciste et adepte des bordels tourne les coins ronds dans ses enquêtes et fabrique des preuves pour accuser des innocents.
La série est signée Gilles Desjardins, qui a travaillé à plusieurs séries documentaires sur le monde criminel chez le même producteur, Sovimage. L'auteur admet d'ailleurs avoir pigé ici et là dans plusieurs cas réels de crimes pour écrire son histoire.
Il faut souligner la formidable réalisation d'Alain Desrochers (Les Bougon, Nos étés), qui nous transporte réellement dans le Montréal de 1910. On y croit à tous les points de vue, autant dans les costumes que dans les décors, et dans cet aspect sombre d'une ville en pleine mutation. Jacques L'Heureux, Paul Doucet, Gaston Lepage et Jean-Nicolas Verreault tirent tous très bien leur épingle du jeu. Même les barbes ont l'air vraies!
Le plus étonnant, c'est que ce musée Eden a bel et bien existé, de 1891 à 1940. Située au sous-sol du Monument national à Montréal, l'attraction morbide pouvait accueillir jusqu'à 1000 visiteurs par jour dans ses bonnes années. Autre similarité : le musée de cire appartenait à deux soeurs qui en avaient hérité de leur père. Plusieurs autres personnages de la série sont inspirés de personnes réelles, notamment le journaliste Monestier et le Dr Boyer, calqué sur le Dr Derome, fondateur de l'Institut médico-légal de Montréal.
Musée Eden succédera dans la grille-horaire à Trauma, qui reviendra pour une deuxième saison, confirme la direction de Radio-Canada.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/art ... ntemps.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Dernière modification par Lison48 le mer. févr. 24, 2010 8:52 am, modifié 1 fois.
Lison de Gatineau
Re: Le Musée Eden
La bonne nouvelle c'est que Musée Eden semble très prometteur et ça veut dire que Trauma va être terminé. Et la mauvaise c'est que Trauma va revenir pour une autre saison.
- geneviève-2
- Immortel du Domaine
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- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
Re: Le Musée Eden
J'ai vraiment hâte de voir cette émission.Les publicités sont vraiment bonnes.
Je ne reçois pas les messages éclairs
Re: Le Musée Eden
geneviève-2 a écrit : J'ai vraiment hâte de voir cette émission.Les publicités sont vraiment bonnes.
J'ai bien hâte aussi.
Lison de Gatineau
Re: Le Musée Eden
Capuchino a écrit : La bonne nouvelle c'est que Musée Eden semble très prometteur et ça veut dire que Trauma va être terminé. Et la mauvaise c'est que Trauma va revenir pour une autre saison.
En plein ça...
Il est certain que serai au rendez-vous aussi bien pour l'histoire, pour les acteurs que pour le contexte historique, moi-même montréalaise de naissance (1947) née de parents montréalais. En fait, c'est l'époque de mes grands-parents. On a beaucoup vu la ruralité dans les séries historiques d'ici mais pas l'urbanité. Ça m'intéresse.
- SusanitaII
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Re: Le Musée Eden
Je vais aussi regarder ça. J'adore les séries d'époque et il y a une méchante belle distribution!!!
<a href="https://lilypie.com"><img src="https://b2.lilypie.com/273lm5.png" alt="Lilypie 2ème anniversaire Ticker" border="0" /></a>
Re: Le Musée Eden
Une autre critique:
Chronique télé de Roxanne Tremblay
Un 10/10 pour Musée Eden
/ 7Jours
2010-02-23 16:14:21
Lors du visionnement de presse de Musée Eden, qui prend l’antenne à compter du mardi 16 mars, à 21 h, sur les ondes de Radio-Canada, avant même avoir vu les premières images, nous pouvions déjà savoir que ce que nous allions regarder serait d’une très grande qualité.
Ce thriller historique, aux images magnifiques, aux textes savoureux et touffus d’intrigues, est du calibre des séries internationales et mérite une note parfaite. Surtout lorsque nous savons que la série a été produite avec un maigre budget de 976 000 $ par épisode et qu’une grande partie du porte-monnaie est investie dans les décors et les costumes d’époque.
Réalisée avec finesse par le cinéaste Alain DesRochers et écrite par le scénariste et documentariste Gilles Desjardins, la série nous plonge dans l’univers du Montréal de 1910. Une ville effervescente où l’arrivée de l’électricité et autres inventions de la Modernité laissaient place à une grande vitalité et un dynamisme, qui pourraient nous rendre jaloux, cent ans plus tard.
Nous sommes loin ici des sagas campagnardes du style (aussi appréciable) de Maria Chapdelaine ou de Nos étés (d’ailleurs Alain DesRochers a réalisé quelques segments de la série). Même si l’époque dépeinte démontre combien les hommes avaient du pouvoir, que les riches étaient anglophones, que l’on préférait mourir plutôt qu’avouer être homosexuel et que l’on gardait sous silence certains drames familiaux, il y a une fraîcheur amusante qui jaillit de ce projet d’envergure.
Pour écrire cette série de neuf épisodes d’une heure, Gilles Desjardins a fouillé dans les archives judiciaires de la province pour s’inspirer de cas véridiques. Très près de la réalité, nous pourrons ainsi nous remémorer et revoir les meurtres qui ont défrayé la chronique de l’époque.
Et ce ne sont pas seulement les intrigues qui sont calquées de la réalité. Le musée Eden, étrange lieu où l’on met en scène les pires meurtres grâce à des statues de cire, a lui aussi bel et bien existé. «Le musée Eden a réellement existé (de 1891 à 1940), et c’est un certain dénommé Mathurin qui en était propriétaire. Ce sont ses deux filles qui en ont hérité en 1910 et elles s’en sont occupées pendant 30 ans. C’est sous leur direction que le musée a connu ses plus belles années», explique Gilles Desjardins qui souhaite voir cette série devenir une trilogie pour laquelle il a déjà imaginé une suite survolant les années 1910 à 1914.
Le premier épisode débute avec le meurtre de son propriétaire Félix Courval, qui, étrangement, a nommé comme héritière quelques jours avant sa mort, sa nièce Camille, originaire du Manitoba francophone. Joué par Mariloup Wolfe, ce personnage riche et complexe est la première carte de visite de la comédienne dans une série autre que pour les jeunes. Certes nous avons déjà eu l’occasion de la voir brièvement dans C.A. mais c’est vraiment dans Musée Eden qu’elle évolue dans un autre registre.
Camille et sa sœur cadette, la naïve Florence (interprétée par Laurence Leboeuf), reprendront l’affaire même si on leur suggère fortement de s’en défaire. Bien que certains juristes, politiciens, hommes d’affaires et un inspecteur crapuleux du quartier leurs font la vie dure, Florence, la plus solide des deux soeurs, leur tiendra tête malgré les menaces.
Les trois premiers épisodes traitent d’une série de meurtres entourant l’oncle Courval et par la suite, les six autres épisodes se penchent sur d’autres cas. On nous promet une finale qui suggère une suite. Cependant, aucune confirmation en ce sens de la part de la direction de Radio-Canada, qui attend les réponses du Fonds des médias à la mi-mars.
Hormis cette trame un peu glauque et macabre, l’intérêt premier de la série réside dans les personnages uniques en leur genre. Parmi les alliés de Florence et de Camille, on trouve un artiste sympathique, un journaliste vraiment curieux, étonnement un bourreau de la couronne, un notaire et un médecin légiste. Vincent-Guillaume Otis, Éric Bruneau, Paul Dion, Jacques L’heureux et Paul Doucet campent respectivement l’entourage des sœurs Courval. Avis à tous: sans vous donner trop de détails, vous adorerez détester Guy Nadon et Jean-Nicolas Verreault qui nous offrent une excellente performance d’acteurs.
Grâce à des prouesses économiques, la Société d’État a étalé le budget de la production sur deux saisons budgétaires, c’est pour cette raison qu’on la présente dès le 16 mars, quelques semaines avant que ne débute la grille printemps-été. Autre fait intéressant, il serait davantage bénéfique pour les annonceurs d’investir dans la grille printanière plutôt qu’au mois de janvier, et ce malgré les excellentes parts de marché. La raison? Les téléspectateurs sont plus frileux côté dépense après la période du temps des Fêtes. Ah bon.
La série Musée Eden, dès le mardi 16 mars à 21 h sur les ondes de Radio-Canada
http://7jours.canoe.ca/tele/nouvelles/2 ... 91-7j.html#" onclick="window.open(this.href);return false;
Chronique télé de Roxanne Tremblay
Un 10/10 pour Musée Eden
/ 7Jours
2010-02-23 16:14:21
Lors du visionnement de presse de Musée Eden, qui prend l’antenne à compter du mardi 16 mars, à 21 h, sur les ondes de Radio-Canada, avant même avoir vu les premières images, nous pouvions déjà savoir que ce que nous allions regarder serait d’une très grande qualité.
Ce thriller historique, aux images magnifiques, aux textes savoureux et touffus d’intrigues, est du calibre des séries internationales et mérite une note parfaite. Surtout lorsque nous savons que la série a été produite avec un maigre budget de 976 000 $ par épisode et qu’une grande partie du porte-monnaie est investie dans les décors et les costumes d’époque.
Réalisée avec finesse par le cinéaste Alain DesRochers et écrite par le scénariste et documentariste Gilles Desjardins, la série nous plonge dans l’univers du Montréal de 1910. Une ville effervescente où l’arrivée de l’électricité et autres inventions de la Modernité laissaient place à une grande vitalité et un dynamisme, qui pourraient nous rendre jaloux, cent ans plus tard.
Nous sommes loin ici des sagas campagnardes du style (aussi appréciable) de Maria Chapdelaine ou de Nos étés (d’ailleurs Alain DesRochers a réalisé quelques segments de la série). Même si l’époque dépeinte démontre combien les hommes avaient du pouvoir, que les riches étaient anglophones, que l’on préférait mourir plutôt qu’avouer être homosexuel et que l’on gardait sous silence certains drames familiaux, il y a une fraîcheur amusante qui jaillit de ce projet d’envergure.
Pour écrire cette série de neuf épisodes d’une heure, Gilles Desjardins a fouillé dans les archives judiciaires de la province pour s’inspirer de cas véridiques. Très près de la réalité, nous pourrons ainsi nous remémorer et revoir les meurtres qui ont défrayé la chronique de l’époque.
Et ce ne sont pas seulement les intrigues qui sont calquées de la réalité. Le musée Eden, étrange lieu où l’on met en scène les pires meurtres grâce à des statues de cire, a lui aussi bel et bien existé. «Le musée Eden a réellement existé (de 1891 à 1940), et c’est un certain dénommé Mathurin qui en était propriétaire. Ce sont ses deux filles qui en ont hérité en 1910 et elles s’en sont occupées pendant 30 ans. C’est sous leur direction que le musée a connu ses plus belles années», explique Gilles Desjardins qui souhaite voir cette série devenir une trilogie pour laquelle il a déjà imaginé une suite survolant les années 1910 à 1914.
Le premier épisode débute avec le meurtre de son propriétaire Félix Courval, qui, étrangement, a nommé comme héritière quelques jours avant sa mort, sa nièce Camille, originaire du Manitoba francophone. Joué par Mariloup Wolfe, ce personnage riche et complexe est la première carte de visite de la comédienne dans une série autre que pour les jeunes. Certes nous avons déjà eu l’occasion de la voir brièvement dans C.A. mais c’est vraiment dans Musée Eden qu’elle évolue dans un autre registre.
Camille et sa sœur cadette, la naïve Florence (interprétée par Laurence Leboeuf), reprendront l’affaire même si on leur suggère fortement de s’en défaire. Bien que certains juristes, politiciens, hommes d’affaires et un inspecteur crapuleux du quartier leurs font la vie dure, Florence, la plus solide des deux soeurs, leur tiendra tête malgré les menaces.
Les trois premiers épisodes traitent d’une série de meurtres entourant l’oncle Courval et par la suite, les six autres épisodes se penchent sur d’autres cas. On nous promet une finale qui suggère une suite. Cependant, aucune confirmation en ce sens de la part de la direction de Radio-Canada, qui attend les réponses du Fonds des médias à la mi-mars.
Hormis cette trame un peu glauque et macabre, l’intérêt premier de la série réside dans les personnages uniques en leur genre. Parmi les alliés de Florence et de Camille, on trouve un artiste sympathique, un journaliste vraiment curieux, étonnement un bourreau de la couronne, un notaire et un médecin légiste. Vincent-Guillaume Otis, Éric Bruneau, Paul Dion, Jacques L’heureux et Paul Doucet campent respectivement l’entourage des sœurs Courval. Avis à tous: sans vous donner trop de détails, vous adorerez détester Guy Nadon et Jean-Nicolas Verreault qui nous offrent une excellente performance d’acteurs.
Grâce à des prouesses économiques, la Société d’État a étalé le budget de la production sur deux saisons budgétaires, c’est pour cette raison qu’on la présente dès le 16 mars, quelques semaines avant que ne débute la grille printemps-été. Autre fait intéressant, il serait davantage bénéfique pour les annonceurs d’investir dans la grille printanière plutôt qu’au mois de janvier, et ce malgré les excellentes parts de marché. La raison? Les téléspectateurs sont plus frileux côté dépense après la période du temps des Fêtes. Ah bon.
La série Musée Eden, dès le mardi 16 mars à 21 h sur les ondes de Radio-Canada
http://7jours.canoe.ca/tele/nouvelles/2 ... 91-7j.html#" onclick="window.open(this.href);return false;
Dernière modification par Lison48 le mer. févr. 24, 2010 2:27 pm, modifié 1 fois.
Lison de Gatineau
Re: Le Musée Eden
Tu as raison qu'on ne voit pas souvent des séries historiques du Québec en milieu urbain. Ca risque d'être très intéressant.Jannic a écrit : [...]
En plein ça...
Il est certain que serai au rendez-vous aussi bien pour l'histoire, pour les acteurs que pour le contexte historique, moi-même montréalaise de naissance (1947) née de parents montréalais. En fait, c'est l'époque de mes grands-parents. On a beaucoup vu la ruralité dans les séries historiques d'ici mais pas l'urbanité. Ça m'intéresse.
Re: Le Musée Eden
Trop content que Trauma revienne une seconde saison!
Et d'un autre côté, j'ai hâte de voir Musée Eden aussi!
Et d'un autre côté, j'ai hâte de voir Musée Eden aussi!
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Re: Le Musée Eden
J'ai hâte, il me semble que c'est quelque chose de vraiment originale pour une fois.
- geneviève-2
- Immortel du Domaine
- Messages : 13820
- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
Re: Le Musée Eden
Sa commence mardi 16 mars 21 heure va falloir que je choisise entre Lost et Musé Eden.
Je ne reçois pas les messages éclairs
Re: Le Musée Eden
Tu ne peux pas enregistrer l'un ou l'autre?geneviève-2 a écrit : Sa commence mardi 16 mars 21 heure va falloir que je choisise entre Lost et Musé Eden.
Lison de Gatineau
- geneviève-2
- Immortel du Domaine
- Messages : 13820
- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
Re: Le Musée Eden
Oui mais mon video ne va pas toujours bien je ne voie pas les annonces c'est noir dans ma télé et je ne peux pas savoir quand l'émission va recommencer à ccause de ça
Je ne reçois pas les messages éclairs
Re: Le Musée Eden
Tu ne peux pas le programmer?geneviève-2 a écrit : Oui mais mon video ne va pas toujours bien je ne voie pas les annonces c'est noir dans ma télé et je ne peux pas savoir quand l'émission va recommencer à ccause de ça
Lison de Gatineau
- geneviève-2
- Immortel du Domaine
- Messages : 13820
- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
Re: Le Musée Eden
Oui je peux le programmer c'est juste quand je pèse sur le bouton ff l'écran de ma télé devient noire mon video a des problèmes.
Je ne reçois pas les messages éclairs
Re: Le Musée Eden
Eh bien, tu serais dû pour un nouvel enregistreur.geneviève-2 a écrit : Oui je peux le programmer c'est juste quand je pèse sur le bouton ff l'écran de ma télé devient noire mon video a des problèmes.
Lison de Gatineau
Re: Le Musée Eden
J'ai hate de pouvoir écouter sa, cette série me semble vriament superbe
Re: Le Musée Eden
Ça lair vraiment intéressant... jai hâte de voir ça
https://pascalepicardband.forumactif.net/forum.htm