Page 1 sur 1
César visite Mathieu de chez maître chez soi
Publié : mar. sept. 14, 2010 8:51 pm
par Kitsy
Quelle émission préférez-vous ? Quelle mentalité préférez-vous ? Cesar en tant que Chef de meute, que les chiens qui vont a son centre deviennent tres docile etc.. Ou Maître chez soi qui lui est plus porter sur le renforcement positif mais que n'ont jamais vue a des cas extrême comme Cesar ?
Moi personnellement qui a bcps d'animaux je préfère la méthode de Mathieu de maître chez soi a date la plus part de ses trucs fonctionnes. Mais en cas extreme pour saisir un de mes animaux je fais le fameux tshhhh a la méthode de Cesar et ça fonctionne
Re: César visite Mathieu de chez maître chez soi
Publié : mer. sept. 15, 2010 5:38 pm
par MsPontchartrain
César ... j'ai l'impression qu'il va au-delà de ce qui est ''entendu'' (ce qu'on sait si on lit des livres de base sur les chiens). La méthode Mathieu pour moi, ça ''va de soi''. Tandis que la méthode César, je trouve qu'elle force à changer la mentalité, la façon dont on voit le chien et dont on interprète ses besoins. Je trouve qu'il retourne à la source avec son esprit de chef de meute, et je crois qu'aucun éthologiste ne pourrait remettre en question ce qu'il dit sur les comportements sociaux des meutes ...
Re: César visite Mathieu de chez maître chez soi
Publié : sam. sept. 18, 2010 2:50 am
par nancy31f
je prefere cesar
Re: César visite Mathieu de chez maître chez soi
Publié : mar. sept. 28, 2010 7:52 am
par DeadLikeFly
En fait .. les deux méthodes se complètent.
Cesar a une approche plus simpliste, les besoins primaires du chien. Son Exercice-Discipline-Affection règle beauuuucoup de problèmes comportementaux. Ca résume les principes que j'avais appliqué avec mon chien AVANT l'arrivée de Cesar dans le paysage. Le "Dans la vie rien n'est gratuit" et "Un chien fatigué est un bon chien" sont des principes qui te garantissent un chien écoutant.
Le gros problème en ce moment, c'est de prendre un chiot pour un chiot. Si tout le monde voyaient un chiot comme un FUTUR CHIEN ADULTE, on s'en porterait mieux. Ca explique tous les chiens dans les rescue qui ont 9 mois, un an. C'est la conséquence directe d'un chiot non éduqué qui est rendu à l'âge où les dommages sont plus importants.
Matthieu aborde les problèmes de façon positive. Moi j'appelle ça de l'entrainement. Évidemment, le but est TOUJOURS de réduire les récompenses pour avoir un chien qui écoute en tout temps au bout de la ligne. Mais qu'on fasse des tsshhh, qu'on donne des biscuits... on peut facilement "scrapper" un chien si on a pas le bon timing et est inconstant.
Je dis donc que l'important est de faire de l'exercice avec son chien pour drainer son surplus d'énergie, de l'entrainer pour lui donner une "job" et récompenser les bons comportement en tout temps (mon chien est calme, bon chien. Mon chien ne quête pas, bon chien)
Re: César visite Mathieu de chez maître chez soi
Publié : jeu. sept. 30, 2010 9:32 pm
par MsPontchartrain
DeadLikeFly a écrit :
Le gros problème en ce moment, c'est de prendre un chiot pour un chiot. Si tout le monde voyaient un chiot comme un FUTUR CHIEN ADULTE, on s'en porterait mieux. Ca explique tous les chiens dans les rescue qui ont 9 mois, un an. C'est la conséquence directe d'un chiot non éduqué qui est rendu à l'âge où les dommages sont plus importants.
Amen !!!! Essayer d'entraîner mon chiot en public est un véritable cauchemar ! Je vis en appartement et je n'ai pas de terrain. Je joue avec lui tous les jours, mais si je veux le promener ou le faire courir, je dois aller dans des parcs. Mais que font les gens quand j'ESSAIE de faire marcher mon chien ou de lui apprendre des commandes dans des situations courantes ?
OHHHHHHHHH LE BEAU PETIT CHIEN
Alors là mon chien devient fou et cherche à sauter sur les gens. En le retenant comme je peux avec la laisse et entre deux ''ASSIS!'' ferme, les gens n'attendent pas que je leur donne la permission de toucher à mon chien, ils se jettent dessus sans crier gare, se laisse sauter dessus, encourage le chien à leur sauter dessus !!!
J'ai même dû à un moment me montrer ferme avec des enfants qui se sont carrément jetés sur mon chien en leur disant ''Non, attendez qu'il soit assis !'' Et les parents de me contredire immédiatement ''MAIS NON C'EST CORRECT ! Ils peuvent le flatter !''.
Et moi de les mitrailler du regard jusqu'à ce qu'il comprennent et demandent à leurs enfants de me laisser calmer le chien avant qu'ils le flattent .... grrr..
Re: César visite Mathieu de chez maître chez soi
Publié : jeu. sept. 30, 2010 10:45 pm
par ornitho-max
voici un article de Jean Lessard un des meilleurs éducateur canin au Québec. C'est tres anti Cesar, mais c'est à vous de faire votre opinion. Cesar c'est la methode américaine, Mathieu la méthode québécois.
On s'entend que Cesar est + charismatique que Mathieu. mais j'ai jamais été adepte de Cesar pour la simple raison que les méthodes de Cesar si tu les applique pas a la perfection. si tu les applique mal ça l'abime le chien.
Mathieu ou Cesar, Il faut adapter son aproche selon le chien et le probleme. il ne faut pas l'oublier.
Je ne suis pas un dresseur donc je vote pour Mathieu
----------------------------------------------
Pourquoi je ne suis pas le Cesar québécois.
Se rendre aux commentaires
par Jean Lessard (en collaboration avec Sophie Picard, traductrice)
Il arrive souvent, lorsque mes clients sont heureux des résultats obtenus avec leur chien, après ou même pendant une consultation, qu’ils me remercient ou soulignent mon bon travail en me disant: «Vous êtes le Cesar québécois!»
On m’a même déjà présenté ainsi avant une conférence: «notre Cesar à nous!»
Mmmm… Voyons voir. Mettons quelques points sur les i et quelques barres sur les t.
Lors d’une chronique à la télévision, j’ai déjà parlé des méthodes préconisées par cet entraîneur. J’ai dit que certaines techniques qu’il utilise sont considérées comme dangereuses et dépassées: la confrontation, l’immersion, l’inhibition, etc. Je ne travaille pas avec les contraintes et les punitions positives*. Je ne soumets pas un chien afin de l’arrêter de produire tel ou tel comportement. Attention: il n’est pas dit que les punitions ne fonctionnent pas; elles peuvent être efficaces. Mais il faut voir les traces qu’elles laissent et comment elles peuvent modifier la relation à notre animal d’une manière qui n’est pas toujours souhaitée, en stimulant de la peur, par exemple. Il va sans dire que ces approches aversives sont absolument inappropriées dans les cas d’agression et d’anxiété puisqu’elles n’agissent que sur les symptômes (ou manifestations extérieures) de ces troubles, sans aucun effet sur leurs sources (qui elles se retrouvent au niveau interne: perceptions ou modifications physiologiques et déséquilibre de l’homéostasie, par exemple.)
Suite à ces affirmations, des téléspectateurs m’ont écrit afin de me demander pourquoi les techniques de Cesar ne me plaisaient pas puisqu’il réussit si bien. Alors au risque de me répéter : je ne dis pas que ces techniques ne fonctionnent pas. La peur est un stimulus aversif puissant. Nous le savons tous pour l’avoir expérimenté nous-mêmes face à des menaces de punitions des parents ou à l’école face à des ennemis cherchant la bagarre.
Je pense simplement que les techniques de Monsieur Millan sont souvent trop sévères et même abusives, dans certains cas. Je ne crois pas qu’elles soient essentielles au travail de réhabilitation que requièrent certains comportements. Dans la grande majorité des cas, je crois même qu’elles sont nuisibles. Tellement de clients viennent me consulter «en dernier recours» parce qu’ils ont justement essayé ces techniques dures et que le problème a empiré.
La violence engendre la violence, dit un proverbe bien sage.
Mais, comme nul n’est prophète en son pays, voici le point de vue d’entraîneurs et comportementalistes qui ne sont peut-être pas aussi populaires que notre entraîneur hollywoodien, mais qui jouissent néanmoins d’une énorme reconnaissance de leurs pairs.
Voici ce qu’a dit Andrew Luescher, vétérinaire comportementaliste à l’Animal Behavior Clinic de l’université Purdue, en Indiana, lorsqu’il a été consulté sur l’émission de Cesar:
«J’ai visionné les quatre bandes vidéo préliminaires que m’a soumises la chaîne National Geographic. Je suis très reconnaissant d’avoir eu l’occasion de voir ces bandes vidéo avant que l’émission ne soit en ondes. Je suis toujours heureux de visionner les émissions qui traitent de l’entraînement et du comportement des animaux de compagnie. À mon avis, il s’agit d’une des responsabilités que doivent endosser les gens de ma profession.
Je suis impliqué dans la formation continue des entraîneurs de chiens depuis plus de dix ans. Tout a commencé par le programme « How Dogs Learn » de l’université de Guelph (collège de médecine vétérinaire en Ontario) puis par le cours »DOGS! » à l’Université Purdue.
Je sais très bien où se situe l’entraînement des chiens de nos jours, et je dois avouer que les techniques utilisées par Cesar Millan sont désuètes et inadmissibles, non seulement pour la communauté vétérinaire en général, mais aussi pour les entraîneurs de chiens. Elles sont presque exclusivement basées sur deux approches: l’immersion (ou flooding) et la punition positive. Dans la technique de l’immersion, l’animal est exposé à l’objet de sa peur (ou de son agression), ce qui provoque une réponse, puis on empêche l’animal de se sortir de cette situation jusqu’à ce qu’il cesse de réagir. Prenons un exemple humain: l’arachnophobie serait traitée en jetant une personne dans un placard verrouillé à clé en y faisant pénétrer une centaine d’araignées et en gardant la porte fermée jusqu’à ce que la personne cesse de réagir. La personne pourrait être guérie de sa phobie par cette méthode mais elle serait sévèrement ébranlée et aurait vécu un stress immense. C’est pourquoi la technique d’immersion ou «envahissement» a été considérée comme une méthode de traitement risquée et cruelle.
La punition positive quant à elle fait appel à l’application d’un stimulus aversif ou d’une correction comme conséquence à un comportement. Plusieurs inquiétudes ont été soulevées en ce qui concerne la punition, mis à part son côté désagréable. La punition est tout à fait inappropriée pour la plupart des agressions et pour tout comportement relié à de l’anxiété. La punition peut éliminer un comportement mais ne résout pas le problème de base, par exemple la peur ou l’anxiété. Même si elle est bien appliquée et même si elle semble appropriée, elle doit comprendre plusieurs critères que même la plupart des entraîneurs de chiens ne peuvent pas respecter: elle doit être appliquée chaque fois que le comportement survient, dans la demi-seconde qui suit le comportement et selon l’intensité qui convient pour l’animal.
La plupart des explications théoriques fournies par Cesar Millan à propos de la cause des problèmes de comportement du chien sont erronées. Aucun chien présenté n’avaient de problème de dominance. Pas un seul des chiens ne voulait contrôler son maître. Cesar Millan avait toutefois raison sur un point: le calme et la constance sont extrêmement importants, mais cela ne rend pas les techniques utilisées appropriées ou valables.
Le dernier épisode que j’ai visionné (trouble compulsif) est particulièrement perturbant puisqu’un trouble compulsif est relié à un déséquilibre au niveau des neurotransmetteurs et des récepteurs; il s’agit donc sans équivoque d’un état pathologique. Serait-il approprié de traiter les personnes souffrant d’un trouble obsessionnel compulsif par la punition?
Mes collègues et moi ainsi que plusieurs autres leaders de la communauté de l’entraînement des chiens, nous travaillons depuis plusieurs décennies afin d’enrayer ces techniques cruelles, inefficaces et carrément inappropriées.»
De toutes parts, les gens travaillant sérieusement dans le domaine réagissent.
Dre Patricia McConnell détient un doctorat en Zoologie de l’Université du Wisconsin-Madison. Elle a fait sa recherche sur les comportements canins et la communication entre les entraîneurs professionnels et les animaux domestiques.
«La source de la plupart des problèmes de comportement est une mauvaise communication et non un problème de dominance. Soit les chiens ne savent pas ce que souhaitent leurs maîtres, dit la Dre McDonnell, soit nous leur avons enseigné le mauvais comportement par mégarde.» Elle affirme aussi: «La plupart des problèmes de comportement peuvent être solutionnés en apprenant aux maîtres comment enseigner à leurs chiens ce qu’ils veulent, et ce en utilisant la science de l’apprentissage chez les animaux.»
Janis Bradley, entraîneure de San Francisco, ajoute «que le chien se retrouve dans un état de désarroi que Millan appelle une «soumission calme». Les comportementalistes définissent plutôt cet état comme un stress chronique pouvant provoquer certains mécanismes de défense comme l’agression.»
Nicholas Dodman, un vétérinaire comportementaliste parmi les plus réputés au monde, affirme que Cesar Millan se sert de deux outils poussiéreux qui ont été mis en vogue par des entraîneurs de chiens militaires à la main dure et qui sont aujourd’hui considérés comme étant désuets puisque l’emphase est maintenant mise sur le conditionnement par récompense. «Un de ces outils est la «punition positive» qui consiste à poser un geste aversif, en l’occurrence donner un coup, filer un crochet, tirer sur la laisse ou frapper à l’aide d’un bâton, pour que le chien cesse un comportement. L’autre outil est l’immersion, où le chien se retrouve «submergé» dans quelque chose qu’il n’aime pas du tout.»
Il ajoute: «Imaginez si un nouveau Dr. Phil pour enfants arrivait en nous disant que si nos enfants passent trop de temps à jouer aux jeux vidéo, il suffit de les frapper avec une grosse palette de bois. Les gens seraient indignés.»
Andrea Arden, entraîneure à Manhattan raconte ceci: «Les aficionados de Cesar Millan ne sont pas toujours aussi chanceux. J’ai actuellement une cliente qui a reproduit plusieurs choses… (que Millan démontrait pendant son émission)… comme par exemple, s’approcher du chien et le pincer, l’attraper par le cou et l’immobiliser au sol. Il n’est pas surprenant que ce chien ait été la cause de ses 50 points de suture à la figure.»
Paul Owen, de Burbank en Californie, était le premier «Homme qui parle aux chiens». Il a publié son livre du même nom en 1999, plusieurs années avant que Cesar Millan n’apparaissent au petit écran. Paul Owen croit que la réaction des gens face aux techniques énoncées dans l’émission en dit plus long sur ces gens que sur Cesar Millan: «On ne peut faire porter le blâme à National Geographic ou à Cesar Millan, dit Paul Owen. Les gens doivent choisir de quelle façon ils entraînent leurs animaux. S’ils ressentent un malaise en immobilisant ou en étranglant ou en frappant un chien, ils ne le feront pas.»
Et la liste de professionnels émettant des avertissements de la sorte ne cesse de s’allonger; les Jean Donaldson, Dre Sophia Yin, Dr Joël Dehasse et aussi l’association des médecins vétérinaires du Québec (l’AMVQ) encourage les propriétaires de chien à suivre des cours d’éducation canine orientés sur le renforcement positif, non pas sur la punition.
Alors ?
Que pensez des techniques de Cesar Millan ? À vous de vous faire votre propre opinion. Si vous préférez jouer les mâles Alpha et soumettre votre chien en lui exigeant obéissance, assumez-en les responsabilités et les conséquences avec un chien qui fera de l’évitement par peur. Si, par contre, vous optez pour être pédagogue et renforcez les bons comportements tout en réorientant les indésirables en enseignant plutôt qu’en exigeant, profitez d’heures de plaisir et de bien-être avec votre chien heureux et volontaire.
*Par punition positive on entend que quelque chose est ajouté, «additionné» en guise de conséquence à un comportement, quelque chose de désagréable -une punition est toujours désagréable. Il n’est donc pas question de «bonne» punition. Tout comme un renforcement négatif n’est pas un «mauvais» renforcement; les renforcements sont toujours agréables. Un renforcement négatif signifie que l’on enlève, on «soustrait» quelque chose de désagréable. En termes de conditionnement, « positif » et « négatif » veulent donc dire quelque chose d’agréable ou de désagréable en plus ou en moins et jamais « bon » ou « mauvais ».
Jean Lessard est éducateur canin et comportementaliste affilié à l’Hôpital Vétérinaire Rive Sud. Journaliste, auteur et conférencier, on peut lire ses chroniques dans les magazines et l’entendre à la radio et à la télévision. Il est chroniqueur au magazine Canis Familiaris et bientôt au Magazine Animal, il a publié Comme un chien chez Le Jour, éditeur, et collaboré aux ouvrages Comportement chez le chien et le chat; observer, comprendre, modifier, publié aux éditions CCDMD, La Zoothérapie, une thérapie hors du commun, publiée aux Éditions Ressources et Zoothérapie, nouvelles avancées aux éditions Option Santé (2010). Depuis 10 ans, il est à la barre du Chienposium, premier et unique symposium annuel francophone en obéissance et en comportement canin en Amérique.
Sophie Picard est traductrice de métier. Éprise des chiens, elle a suivi une formation en obéissance et en comportement canin et a été l’adjointe de M. Lessard.
Re: César visite Mathieu de chez maître chez soi
Publié : mer. oct. 06, 2010 8:05 pm
par MsPontchartrain
Il parle de punitions mais ne donne pas d'exemple. En quoi est-ce punir un chien que de lui donner de l'affection ou une récompense lorsqu'il agit bien ? Ni César ni Mathieu ne préconisent de ''punitions''. Ni même aucun des livres que j'ai lus sur l'entraînement du chiot.
J'avoue ne pas comprendre à quoi il fait allusion. J'ai écouté l'émission souvent pourtant, mais je ne comprends pas.
Je continue de croire qu'on ne peut mieux répondre aux besoins de l'animal, qu'en pensant comme l'animal. Les chiens, comme des loups, sont des animaux de meutes, et ils sont naturellement faits pour comprendre certains signaux de la hiérarchie. C'est dénaturer l'animal que de trop l'humaniser. Ce n'est pas une question de peur non plus, c'est une question de dominance et de subdominance (et non de ''soumission'', il y a une nuance).
Re: César visite Mathieu de chez maître chez soi
Publié : mer. oct. 06, 2010 8:09 pm
par MsPontchartrain
En passant, on guérit aussi les phobies humaines en désamorçant progressivement la phobie de l'individu, en l'y exposant. Je trouve l'exemple des araignées exagéré. Non, on n'enfermera pas la personne dans un garde-robe avec des centaines d'araignées ; on va commencer par lui faire penser au mot, lui montrer une image, lui montrer une araignée derrière une vitre, etc. On ne guérit pas non plus un chien anxieux d'un seul coup comme ce que sous-entend l'auteur de cet article, mais de façon progressive, en l'exposant à différentes situations, jusqu'à ce que cela devienne banal. Je trouve que de qualifier ça de cruauté, c'est un peu gros ...
Re: César visite Mathieu de chez maître chez soi
Publié : jeu. oct. 07, 2010 12:21 pm
par myna
Perso, j'aimerais voir Mathieu avec les cas de César...j'ai de forts doutes...il ne prends que des cas simple de jappement, tirage de laisse, sautage sur les gens. Je ne suis pas une adepte des émissions de Mathieu je ne peut donc pas être certaine de ce que j'affirme mais je n'ai jamais vu un chien agressif dans ses émissions.
Bon, personnellement je ne prône pas la soumission chez le chien car je considère que la dominance inter race n'existe pas.
Ensuite étant adepte de César, je ne l'ai jamais vu non plus faire de la violence aux chiens ou toutes les choses qui lui sont reprochés par les gens qui commentent ses techniques ou même les Français qui l'ont bannis de leurs ondes.
J'ai acheter un sac à dos à mon chien suite aux conseils de César dans ses émissions, pour un chien de travail...en quoi cette méthode est-elle barbare?