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EN DIRECT. Libye : Sarkozy condamne «l'usage inacceptable de la force»
Publié le 21.02.2011, 14h01 | Mise à jour : 20h56
La télévision d'Etat libyenne diffuse les images de manifestants qui soutiennent le colonel Kadhafi.
| AFP/LIBYAN TV
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La Libye continue de connaître un vent de révolte sans précédent. Lundi matin, le bilan s'élevait à plus de 230 morts, selon Human Rights Watch, après 5 jours d'intense mouvement de contestation. Plus de 160 victimes supplémentaires auraient trouvé la mort lundi, selon Al-Arabiya. SUR LE MÊME SUJET
Une carte permettant d'avoir accès aux tweets libyens Au moins 233 morts, le fils Kadhafi menace les manifestants En milieu de journée, des villes seraient même tombés aux mains des opposants. Après la Tunisie, l'Egypte, la Libye ? Seïf Al-Islam, le fils du leader contesté Mouammar Kadhafi, a brandi la menace d'un bain de sang dans le pays.
20h53. Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi, dont le pays est très lié économiquement à la Libye condamné dans un communiqué «l'usage inacceptable de la violence sur la population civile».
20h49. Des affrontements meurtriers ont eu lieu lundi dans les quartiers de Fachloum et de Tajoura à Tripoli, déclare à l'AFP des habitants de ces quartiers joints au téléphone, l'un d'eux qualifiant les évènements de «massacre». «Ce que s'est passé aujourd'hui à Tajoura est un massacre», ajoute un habitant. «Des hommes armés tirent de manière aveugle. Il y a même des femmes qui sont mortes», a-t-il ajouté, sous couvert de l'anonymat. Un autre témoin à Fachloum a indiqué que des hélicoptères avaient survolé le quartier pour faire descendre des mercenaires africains armés, qui ont tiré sur toutes les personnes se trouvant dans la rue. Il a fait état d'un grand nombre de morts.
20h11. Les deux pilotes des deux avions de chasse libyens qui ont atterri sur l'île de Malte en début de soirée affirment aux autorités insulaires qu'ils avaient dû fuir de leur base de Benghazi (nord est) prise par les insurgés. Les pilotes de deux Mirage F1 ont par ailleurs confié avoir refusé d'ouvrir le feu avec leur appareil sur la foule.
19h40. Le gouvernement libyen nie le départ de Mouammar Kadhafi, selon Al Jarzeera.
19h36. Nicolas Sarkozy condamne «l'usage inacceptable de la force» contre les manifestants. Il exige «l'arrêt immédiat» des violences et appelle à une «solution politique afin de répondre à l'aspiration du peuple libyen à la démocratie et à la liberté».
19h28. Le mouvement armé libanais Hezbollah dénonce les «massacres» commis par le régime de Mouammar Kadhafi en Libye, affirmant qu'il «priait» pour que les «révolutionnaires» vainquent «le tyran.
19h30. Plusieurs diplomates libyens en poste à l'étranger démissionnent, comme l'ambassadeur en Inde. Trois employés non diplomates de l'ambassade libyenne à Stockholm annonce dans une lettre qu'ils quittent leurs fonctions pour protester contre les violences en cours en Libye.
19h10. Selon la chaîne Al-Arabiya, des témoins font état de 160 morts à Tripoli.
19h03. Dix Egyptiens ont été tués par balles dans la ville libyenne de Tobrouk, non loin de la frontière avec l'Egypte, a indiqué un médecin égyptien qui tentait de se rendre en Libye.
VIDEO. Des réfugiés libyens affluent à la frontière tunisienne
18h50. Des hôpitaux tunisiens (notamment ceux de Tataouine et de Ben Gardane), situés aux frontières avec la Libye s'organisent pour l'accueil des blessés. «Que ce soit des Libyens ou des Tunisiens qui fuient le pays. Nous avons mis en place un dispositif médical en place», confie un médecin tunisien joint depuis Paris par le parisien.fr.
18h44. L'Italie déclenche l'alerte maximum dans toutes ses bases aériennes, après l'atterrissage un peu plus tôt à Malte de deux avions militaires et deux hélicoptères civils en provenance de Libye. Rome a également décidé l'envoi dans le sud de la péninsule d'un nombre important d'hélicoptères de l'Armée de l'Air et de la Marine.
18h40. Selon France 24, de très nombreux tweets affirment que la situation à Tripoli serait chaotique. Certains évoquent des centaines de morts.
18h30. Malgré le démenti de Caracas, le ministre britannique des Affaires étrangères soutient la thèse d'un départ du chef libyen vers le Venezuela.«Vous m'avez demandé si le colonel Kadhafi est au Venezuela, je n'ai pas d'information me permettant de dire qu'il y est» mais «j'ai vu des informations qui suggèrent qu'il est en route», a-t-il réaffirmé.
18h20. Le fils du raïs, Seif al-Islam annonce une commission d'enquête sur les violences.
18h10. A priori, quatre soldats, qui se seraient enfuis de la base militaire de Benghazi, étaient à bord des deux avions militaires libyens (dont au moins un Mirage) qui ont atterri sur l'île de Malte. Les deux hélicoptères civils auraient transporté sept personnes, se prétendant de nationalité française. Elles ont affirmé travailler sur une plate-forme pétrolière en haute mer, du côté de Benghazi, et ont demandé la protection des autorités maltaises.
18h08. Le gouvernement vénézuélien dément que Kadhafi soit sur son territoire.
18h05. Le groupe français de BTP Vinci rapatrie son personnel travaillant sur la construction de la tour de contrôle du nouvel aéroport international de Tripoli.
17h50. La ministre française des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie déclare que la violence en Libye «doit absolument cesser».
17h48. Le groupe pétrolier français Total a changé d'avis. Il va rapatrier «la majeure partie» de ses employés français en Libye ainsi que leurs familles. «Quelques effectifs» restent toutefois sur place «avec des mesures de sécurité renforcées».
17h55. Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, téléphone à Mouammar Kadhafi. Il lui dit que les violences contre les manifestants devaient «cesser immédiatement».
17h50. La chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton n'a «pas connaissance» d'un voyage de Kadhafi vers le Venezuela.
17h45. L'opération contre «les terroristes», menée par les forces de sécurité en Libye, a fait plusieurs morts dans la journée, a annoncé la télévision d'Etat.
17h35. La Bourse de Milan s'est terminée une chute de 3,59% à 22.230 points. Les liens économiques sont très étroits entre l'Italie et la Libye.
17h35. Selon Al Jazira, des avions de chasse tirent contre les manifestants à Tripoli. Ce serait le cas, également à Benghazi, selo, lemonde.fr. Des tirs à balles réelles sont signalés dans la capitale.
17h30. Le ministère des Affaires Etrangères anglais, cité par l'agence Reuters, affirme que Kadhafi pourrait avoir quitté son pays pour le Venezuela. L'information a été démentie par un ancien militaire du régime.
17h20. L'Union européenne «condamne» la répression des manifestations.
17h05. Deux avions militaires libyens et deux hélicoptères civils, avec sept personnes à bord affirmant être françaises, ont atterri lundi après-midi à La Valette, la capitale de Malte. Mais seule une d'entre elles possèderait un passeport français Toutes ont été retenues à l'aéroport pour identification. Les hélicoptères, qui n'avaient pas l'autorisation de quitter le pays du Maghreb, ont par contre eu l'aval de Malte pour se poser sur l'île.
16h54. L'agence de notation Fitch a annoncé lundi avoir abaissé la note souveraine de la Libye d'un cran, de BBB+ à BBB.
16h30. Les entreprises étrangères commencent à rapatrier leurs salariés, notamment dans le secteur pétrolier : l'italien ENI, premier producteur étranger a entamé l'évacuation de son personnel «non essentiel» ainsi que des familles des salariés. Le britannique BP va évacuer les siens dans les 48 heures. La compagnie norvégienne Statoil et les allemandes Wintershall et RWE Dea, filiale pétrole et gaz du groupe d'énergie RWE, ont également procédé à l'évacuation de leurs expatriés. Chez le français Total, «toutes les dispositions sont prises pour assurer la sécurité des employés». La Turquie a rapatrié ce week-end environ 600 des 25 000 de ses ressortissant installés en Libye. Quelque 200 entreprises du BTP turques y sont présentes.
16h10. La Bourse de Milan chute de plus de 3%.
16h05. Barack Obama «étudie toutes les actions appropriées» face aux événements en Libye. Il exhorte le régime de Mouammar Kadhafi à ne pas faire usage de la force.
16 heures. Les pays européens réfléchissent à l'évacuation de leurs citoyens de Libye face au risque croissant de guerre civile dans le pays, mais restent divisés entre partisans de la fermeté et de la prudence à l'égard de Mouammar Kadhafi.
15h59. Kadhafi a assuré le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan qu'il s'efforce de garantir la sécurité des milliers de Turcs qui travaillent en Libye.
15h20. Mustapha Mohamad Abdeljali, le ministre de la Justice a démissionné de son poste «pour protester contre l'usage excessif de la force», selon l'édition en ligne d'un journal libyen.
15h15. L'Union européenne redoute un afflux de migrants tunisiens mais aussi libyens vers ses côtes méridionales, ce qui pourrait mettre à rude épreuve la solidarité entre ses pays membres.
15h03. Des témoins à Syrte démentent la chute de cette ville libyenne aux mains des manifestants anti-Kadhafi, comme l'avait affirmé la Fédération internationale des ligues de droits de l'Homme.
14h50. Outre Benghazi et Syrte, la FIDH affirme que les localités de Tobrouk, à l'extrême Est, ainsi que celles de Misrata, Khoms, Tarhounah, Zeiten, Zaouia et Zouara, qui sont plus proches de la capitale, sont également tombées aux mains des manifestants.
14h42. L'Autriche annonce l'envoi lundi d'un avion militaire, basé à Malte depuis dimanche, vers Tripoli en vue d'évacuer des ressortissants autrichiens et européens.
14h31. La police libyenne a déserté dimanche midi Zaouia (60 km à l'ouest de Tripoli) qui est depuis livrée au chaos, ont indiqué à l'AFP plusieurs Tunisiens arrivant de cette ville lundi matin à Ben Guerdane en Tunisie près de la frontière entre les deux pays. «Il y a des affrontements entre pro et anti-Khadafi depuis deux jours et la police a quitté la ville dimanche midi. Depuis hier, tous les magasins sont fermés, une maison de Kadhafi a été brûlée, des gens ont volé les voitures de policiers, il y a des braquages sur les routes», a raconté Omar Dhawadi, coiffeur de 30 ans, dont les propos ont été confirmés par une dizaine de personnes. «Il y a des tireurs, des violences, des maisons brûlées, il n'y a pas de police, elle est partie depuis hier matin. Dans le centre-ville, il y a des manifestations de partisans de Kadhafi», a également dit un maçon de 27 ans.
14h23. Le groupe pétrolier italien ENI annonce avoir entamé l'évacuation de ses salariés «non essentiels» expatriés en Libye ainsi que des familles de tous ses salariés dans le pays en raison des violences.
14h14. «Beaucoup de villes sont tombées, notamment sur l'Est de la côte. Des militaires se sont ralliés» au soulèvement contre Mouammar Kadhafi, déclare la présidente de la FIDH, Souhayr Belhassen, citant notamment Benghazi, bastion de l'opposition, et Syrte, ville natale du colonel Kadhafi. Les informations de la FIDH, basée à Paris, proviennent essentiellement des ligues libyennes des droits de l'Homme. Selon ces informations, le camp de Bab el Azizia, où vit le dirigeant libyen en périphérie de Tripoli, aurait également été attaqué dans la nuit de dimanche à lundi.
14h08. Les douaniers et policiers libyens ont déserté pendant quelques heures la frontière au principal point de passage entre la Libye et la Tunisie à Ras Jdir, selon des sources militaires, douanières et des témoins tunisiens venant du territoire libyen.
14 heures. Plusieurs villes libyennes dont Benghazi et Syrte, sont tombées aux mains des manifestants à la suite de défections dans l'armée, affirme lundi la Fédération internationale des ligues de droits de l'homme (FIDH) qui avance un bilan de 300 à 400 morts depuis le début du soulèvement.
13h57. La Bulgarie demande à ses ressortissants se trouvant en Libye de quitter ce pays secoué par de violentes émeutes où Sofia craint la mise en place prochaine de restrictions sur les voyages.
13h45. Un poste de police est en flammes lundi dans une banlieue de la capitale libyenne Tripoli, et plusieurs véhicules garés devant brûlent également, selon un journaliste de Reuters présent sur les lieux.
13h30. Le Parti socialiste attend du gouvernement une «condamnation et une parole forte» sur la répression actuelle en Libye et déplore que la diplomatie française soit «en panne» sans «aucune déclaration» de Michèle Alliot-Marie sur la question, après sa «timidité» sur la Tunisie et l'Egypte.
VIDEO. Le fils de Mouammar Kadhafi assure que la Libye n'est pas la Tunisie ni l'Egypte
13h25. Le gouvernement portugais annonce l'envoi d'un avion militaire C-130 qui devrait atterrir dans les prochaines heures à Tripoli pour rapatrier ses ressortissants et des citoyens d'autres pays de l'Union européenne
13h12. Le chef de la Ligue arabe, Amr Moussa, exprime son «extrême inquiétude» après la répression sanglante des manifestations contre le colonel Mouammar Kadhafi en Libye, appelant à «cesser toutes les formes de violence».
13h09. La France renouvelle son appel à «la cessation immédiate des violences» et «au respect du droit de manifester pacifiquement» en Libye.
13h06. Plus de 2 300 Tunisiens vivant en Libye ont quitté ce pays depuis dimanche pour des raisons de sécurité, indique l'agence officielle Tap, citant l'office des Tunisiens à l'étranger.
12h55. 71 personnes ont trouvé la mort dans des affrontements à Tripoli depuis ces dernières heures, rapporte lundi la chaîne Al-Jazira.
12h40. La Chine demande lundi à ses hommes d'affaires de différer leurs déplacements en Libye et aux entreprises chinoises de prendre leurs précautions en raison des affrontements qui secouent le pays.
12h35. Le ministère italien des Affaires étrangères déconseille lundi «tout voyage» en Libye en raison des «manifestations qui se déroulent ces jours-ci dans diverses villes du pays» et qui, violemment réprimées, ont fait au moins 233 morts selon l'ONG Human Rights Watch.
Les portes ouvertes d'une prison à Tripoli
12h10. La chaîne de télévision Al-Jazeera du Qatar a accusé lundi les renseignements libyens de brouiller son signal dans le pays. Selon la chaîne, son signal est brouillé à partir d'un bâtiment du sud de Tripoli qui est le siège de l'un des services de renseignement.
11h58. La Grande-Bretagne convoque l'ambassadeur de Libye à Londres pour protester contre la violence de la répression des manifestations dans le pays.
11h42. Environ 1 000 Tunisiens vivant en Libye veulent être rapatriés, annonce l'ambassadeur de Tunisie en Libye Slah Eddinne Jemali.
11h37. Le pétrole grimpe au-dessus de 105 dollars le baril à Londres, un niveau comparable à celui atteint fin septembre 2008, porté par des inquiétudes sur l'approvisionnement d'or noir alimentées par une flambée de violence en Libye.
11h07. Le groupe italien d'aéronautique et de défense Finmeccanica a rapatrié ses salariés expatriés présents en Libye qui étaient «moins de dix», en raison des violences dans le pays.
10h38. La compagnie pétrolière norvégienne Statoil commence à évacuer «la poignée» d'expatriés travaillant pour elle en Libye en raison des violences dans ce pays.
10h06. Le groupe pétrolier britannique BP se prépare à évacuer sous 48 heures une partie de son personnel en Libye, où il emploie en tout 140 personnes dont une quarantaine d'expatriés.
9h46. L'Union européenne envisage d'évacuer ses citoyens de Libye et en particulier de la ville de Benghazi, bastion des opposants, à 1 000 km à l'est de Tripoli, annonce la ministre espagnole des Affaires étrangères, Trinidad Jimenez.
9h30. Le siège d'une télévision et d'une radio publiques ont été saccagés dimanche soir par des manifestants à Tripoli où des postes de polices et des locaux des comités révolutionnaires ont été incendiés.
9h27. Interrogé sur un possible rapatriement de ces ressortissants, le ministre des Affaires européennes, Laurent Wauquiez, affirme que «pour l'instant, il n'y avait pas de menaces directes» visant les 750 Français vivant en Libye, en dépit des violentes manifestations contre le régime libyen.
9h09. L'ambassadeur de Libye en Inde annonce à la BBC qu'il a démissionné pour protester contre la violente répression par le régime des manifestations en cours dans son pays.
8h25. Les violences lors des manifestations en Libye contre le pouvoir de Mouammar Kadhafi ont fait au moins 233 morts depuis le 17 février, dont 60 pour la seule journée de dimanche dans la ville de Benghazi, selon un nouveau bilan publié lundi par l'ONG Human Rights Watch.
8h16. Quelque 500 Libyens ont envahi et ont pillé lundi un chantier de construction sud-coréen près de Tripoli, faisant des blessés parmi les ouvriers bangladeshis et les Sud-coréens, selon le ministère des Affaires étrangères à Séoul.
VIDEO. Une vidéo tournée devant un commissariat à Tripoli
6h10. Hussein Sadiq al Mousrati, un diplomate libyen en poste en Chine, annonce sa démission et appelle tous les membres du personnel diplomatique libyen à faire pareil, selon la chaîne de télévision satellitaire qatarie Al-Jazira. Selon le diplomate, il se pourrait que le numéro un libyen, Mouammar Kadhafi, ait déjà «quitté la Libye».
5h56. Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon appelle à «ne pas faire usage de la force et à respecter les libertés fondamentales» dans les pays d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient en proie à une contestation populaire sans précédent.
4h29. Les cours du brut sont en nette hausse dans les échanges électroniques en Asie, soutenus par la montée des tensions en Libye et les craintes de propagation des manifestations aux pays de la région gros producteurs de pétrole, indiquent les analystes.
VIDEO. Des images de Tripoli tournées par un amateur
3h16. L'Australie demande à ses citoyens présents en Lybie de s'en aller et à ceux qui entendaient s'y rendre de renoncer à leur voyage, en raison des affrontements qui secouent le pays et qui ont fait plusieurs dizaines de morts.
1h15. Des tirs nourris sont entendus dans plusieurs quartiers de Tripoli après le discours de Seïf Al-Islam, fils du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi.
1 heure. Seïf Al-Islam Kadhafi, le fils du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, affirme que la Libye est au bord de la guerre civile et la cible d'un complot étranger, lors d'une allocution télévisée dans la nuit de dimanche à lundi. «Nous allons détruire les éléments de la sédition», a-t-il dit, tout en promettant une constitution et de nouvelles lois libérales.
LeParisien.fr
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