LE DOMAINE BLEU

Meurtre à Godmanchester
Qui a tué Karine Faubert?
15/08/2011 21h42



GODMANCHESTER – La voiture de Karine Faubert, cette jeune femme de 21 ans assassinée au cours des derniers jours, sera examinée dès mardi par les techniciens en scène de crime de la Sûreté du Québec.

La Toyota Tercel bleu marine à quatre portes, modèle 1997 a été retrouvée lundi par des patrouilleurs de la Sûreté du Québec (SQ) dans le stationnement de l'église de Saint-Louis-de-Gonzague, village où résidait la jeune femme, près de Salaberry-de-Valleyfield. Les policiers recherchaient activement ce véhicule depuis la fin de semaine.

La voiture a été remorquée dans la région de Montréal pour expertise, après qu’un périmètre eut été établi autour de l’endroit où elle se trouvait afin que les enquêteurs puissent tenter d'y trouver des indices.

La SQ à la recherche d'informations

En entrevue avec Claude Poirier, lors de l'émission «Le vrai négociateur», le sergent de la Sûreté du Québec Ronald McInnis a indiqué que le poste de commandement a été établi lundi matin à l'endroit où la voiture a été retrouvée.

La SQ demande d'ailleurs aux gens qui auraient vu quelque chose ou qui auraient de l'information dans ce dossier, si minime qu'elle soit, à venir rencontrer les enquêteurs. Ronald McInnis a affirmé que pour le moment, la SQ dispose de peu d'éléments d'enquête dans ce dossier.

«Il y a sûrement des gens qui ont vu ou entendu quelque chose par rapport au véhicule ou par rapport à la jeune victime», a affirmé le porte-parole de la SQ. Il a ajouté que pour le moment, «les enquêteurs n'ont aucune piste».

Les personnes ayant de l'information peuvent aussi rejoindre la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.

Autre opération de ratissage

Par ailleurs, les policiers ont décidé d'agrandir lundi avant-midi le secteur de fouilles près de l'endroit où le corps a été retrouvé.

Des fouilles avaient déjà été effectuées pendant deux jours, à l'aide de maîtres-chiens et de l'hélicoptère de la SQ. La décision a cependant été prise d'agrandir la zone de recherche, afin de s'assurer que les policiers disposent de tous les éléments pertinents se trouvant dans ce secteur. Une dizaine de policiers ont été affectés à la tâche, lundi.

Le corps de la jeune femme de 21 ans, qui habitait Saint-Louis-de-Gonzague, a été retrouvé vendredi vers 11 h 15, dans un sentier situé près de la route 138 à Godmanchester.

La SQ a confirmé que la jeune femme a été tuée par arme à feu, mais cette arme n'a pas encore été retrouvée. Une autopsie a été pratiquée sur le corps de la jeune femme.

Ses collègues bouleversés

À l'Hôtel Plaza Valleyfield, où la jeune femme travaillait avec plusieurs de ses proches, ses collègues et patrons sont encore ébranlés du meurtre de cette dernière.

En entrevue avec TVA Nouvelles, Yves Deschamps, directeur général de l'établissement, a affirmé que les employés ont eu beaucoup de difficulté à travailler depuis l'annonce de la mort de Karine Faubert.

«Les employés étaient tous concernés. Ça a été très difficile», a-t-il ajouté. Yves Deschamps a aussi affirmé qu'une des amies de la victime n'a pas pu rentrer travailler, étant trop ébranlée.

Son conjoint dévasté

Les proches de la jeune femme ne comprennent toujours pas ce qui a pu se passer. Jean-Christophe Leroux, l'amoureux de la victime, est dévasté. Il a fait état de ses sentiments sur sa page Facebook, où il a écrit plusieurs messages et poèmes à Karine Faubert.

Dans une des lettres, il a écrit: «Je ne sais plus quoi faire, Karine... Dois-je continuer de fêter nos anniversaires de couple? Dois-je aller à ta tombe chaque jour? Dois-je continuer à vivre ma vie, ou dois-je toujours me souvenir de toi, sans jamais te trahir? Je pense à toi sans arrêt, et pour ne pas pleurer, je me dis que tu es vivante. Je me dis que tu es simplement ailleurs, indéfiniment». Une lettre qui témoigne bien de la douleur que vivent les proches de la jeune fille.

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Meurtre | Enquête
Tuée pour une affaire d'argent?

Marc Pigeon
16/08/2011 06h03

Karine Faubert pourrait-elle avoir été tuée par un individu qui lui devait de l'argent ? Voilà une hypothèse plausible aux yeux de l'entourage de la jeune victime, qui n'est jamais revenue vivante d'un rendez-vous.

La police croit que la jeune femme de 21 ans aurait quitté son domicile vendredi matin.

Selon ce qu'il a été possible d'apprendre de l'entourage de la jeune victime, celle-ci devait se rendre rencontrer un individu lui devant une somme d'argent, plusieurs milliers de dollars, afin de tenter de récupérer ce montant.

On ignore ce qui s'est produit par la suite, mais chose certaine elle n'a jamais été revue vivante: c'est plutôt son cadavre qui a été retrouvé, quelques heures plus tard, à environ 35 kilomètres de chez elle. Elle a été tuée par balle.

Voiture retracée

Quant à sa voiture, qui était introuvable depuis vendredi, elle a été retracée par des patrouilleurs dans la nuit de dimanche à hier.

La Toyota Tercel 1997 avait été abandonnée dans le stationnement de l'église de Saint-Louis-de-Gonzague, le village qu'elle habitait, avec ses parents, à environ 35 kilomètres de l'endroit où son corps a été retrouvé.

Une découverte importante, dans l'enquête, qui pourrait rapprocher les détectives du meurtrier.

Un périmètre de sécurité a aussitôt été érigé et un expert en scènes de crime est venu y prélever des indices à l'extérieur et autour du véhicule. À première vue, rien de suspect n'avait été découvert, hier.

Expertises et recherches

D'autres expertises seront menées à l'intérieur de la voiture, à la recherche de traces d'ADN, d'empreintes digitales ou d'autres indices pertinents.

Les policiers de la Sûreté du Québec ont aussi repris les recherches près du lieu où le corps de la victime a été retrouvé, vendredi. On a toutefois élargi le périmètre de recherches, où les membres de l'unité d'urgence ont passé le secteur au peigne fin, a indiqué le sergent Ronald McInnis.

Les forces policières ont aussi installé leur poste de commandement mobile et invité les citoyens à venir les rencontrer, s'ils ont de l'information sur cette affaire.

En fin de journée, la récolte était décevante, selon la police.

Commotion

Les détectives de la Sûreté du Québec ont continué à rencontrer les proches, la famille et les amis de la jeune femme, afin d'en apprendre davantage sur cette ténébreuse affaire.

À l'hôtel Plaza de Salaberry-de-Valleyfield, où la jeune victime travaillait en compagnie de sa mère, son copain et plusieurs amis, la mort de Karine a causé tout un choc, ce week-end.

«Les employés étaient tous consternés, a dit son ancien patron, Yves Deschamps, au réseau TVA. En fin de semaine, ça a été très difficile. Les gens ont eu de la misère à travailler. Il y a une de ses amies qui n'a pas été capable de rentrer.»

Des événements tragiques

Jeudi soir : Karine Faubert est vue pour la dernière fois, chez elle, par ses parents.

Vendredi en matinée : Elle quitte son domicile de Saint-Louis-de-Gonzague.

Vendredi vers 11h15 : Un corps sans vie est retrouvé, dans un sentier non loin de la route 138, à Godmanchester.

Vendredi soir : La police confirme qu'il s'agit d'un meurtre et demande la collaboration du public pour identifier le corps de la victime.

Samedi : Des recherches sont effectuées à Godmanchester, près des lieux où le corps a été découvert. Les parents de Karine contactent les policiers, craignant que la victime soit leur fille.

Dimanche : La police annonce qu'elle est à la recherche de la voiture de Karine, une Totota Tercel bleue, vieux modèle.

Lundi : La voiture est retrouvée dans le stationnement de l'église de Saint-Louis-de-Gonzague. D'autres recherches sont menées à Godmanchester, où le corps a été découvert.

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Meurtre à Godmanchester
L'ex-conjoint de Karine Faubert arrêté
Première publication 17 août 2011 à 14h34



L'ex-conjoint de Karine Faubert, cette jeune femme de 21 ans retrouvée morte à Godmanchester, a été arrêté à Montréal, cet après-midi, relativement à cette affaire.

Marc-Olivier Perras, qui a aussi 21 ans, a été mis en état d'arrestation par les enquêteurs de la Sûreté du Québec (SQ).

Ce développement majeur survient cinq jours après le meurtre de la jeune femme tuée par balle et dont le corps a été retrouvé dans un sentier aux abords de la route 138.



Karine Faubert a quitté son domicile de Saint-Louis-de-Gonzague vendredi matin pour aller rencontrer quelqu'un qui lui devait une certaine somme d'argent, selon ce qu'ont rapporté des proches. Son cadavre a toutefois été découvert peu de temps après, vers 11h15.

Ce n'est que dans la nuit de dimanche à lundi que le véhicule de la victime a été découvert par des patrouilleurs de la SQ dans le stationnement de l'église Saint-Louis-de-Gonzague, près de Salaberry-de-Valleyfield.



Au cours des derniers jours, les enquêteurs de la SQ ont travaillé sans relâche pour trouver des indices leur permettant d'en arriver à l'arrestation d'un suspect. Un poste de commandement avait même été installé à l'endroit de la découverte du véhicule de Karine Faubert afin de recueillir des informations.



Les funérailles de la jeune femme seront célébrées le 27 août prochain. Déjà, une croix de bois très sobre et des fleurs ont été déposées à l'endroit où son corps a été trouvé.

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Il devait sentir la soupe chaude....

titine a écrit : Il devait sentir la soupe chaude....

Mets-en

Voici son facebook

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Sur une des photos on voit qu'il a le même chandail

Ca me glace toujours le sang de voir qu'une personne en apparence correcte puisse commettre des gestes aussi cruels. La jeune fille ne devait certainement pas se méfier si elle y est allée seule à ce rendez-vous.

gazzoux1 a écrit : [...]


Mets-en

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Sur une des photos on voit qu'il a le même chandail

il semblait en grande forme ces jours ci selon son babillard

le facebook de Karine Faubert
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Capuchino a écrit : Ca me glace toujours le sang de voir qu'une personne en apparence correcte puisse commettre des gestes aussi cruels. La jeune fille ne devait certainement pas se méfier si elle y est allée seule à ce rendez-vous.

tuée par balle pour une dette $$ trop triste la vie vaut plus que l'argent me semble

gazzoux1 a écrit : [...]


Mets-en

Voici son facebook

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Sur une des photos on voit qu'il a le même chandail

Quand on va voir les photos on voit un beau jeune de 21 ans, il a l'air gentil. Comment un jeune de cet âge peut aller à un tel rendez-vous avec une arme? Tirer sur son ex-copine et jeter son corps quelque part... Ça me dépasse tellement. Tout cela pour une simple dette. Bien en admettant qu'il soit vraiment coupable car pour le moment il est seulement suspect... Même si ça regarde très mal pour lui.

Capuchino a écrit : Ca me glace toujours le sang de voir qu'une personne en apparence correcte puisse commettre des gestes aussi cruels. La jeune fille ne devait certainement pas se méfier si elle y est allée seule à ce rendez-vous.

Comme tu dis Capucgino, ça glace le sang. Et cette jeune femme ne se doutait sûrement pas de son potentiel de violence si elle s'est présentée seule, comme ça...

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Il y a aussi celle-ci...

Arrestation de l'ex-conjoint: la SQ explique
17 aoû 2011, 18:19
De TVA Nouvelles
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Capuchino a écrit : Ca me glace toujours le sang de voir qu'une personne en apparence correcte puisse commettre des gestes aussi cruels. La jeune fille ne devait certainement pas se méfier si elle y est allée seule à ce rendez-vous.

Le rendez-vous qu'elle est allé avec lui,était au pont st-louis,ou je vais souvent pour la piste cyclable.

ca ne veut pas dire qu'il l'a tué pour une dette. Il y avait peut-être une dette oui, mais c'était certainement pas le seul motif, sinon ça l'a aucun sens cette histoire là!

Stara a écrit : ca ne veut pas dire qu'il l'a tué pour une dette. Il y avait peut-être une dette oui, mais c'était certainement pas le seul motif, sinon ça l'a aucun sens cette histoire là!

Je pense aussi que ça ne peut pas être le seul mobile du meurtre, me semble qu'il aurait pu juste ne pas lui rembourser au pire. Ca cache sûrement autre chose.

et bien, dans le journal ce matin ,ils disent qu'ils ont trouvé l'arme dans une petite rivìere.......c'est parceque c'est juste en face ou je travail.Je l'ai ai vu toute la journée les policiers près du pont.On se demandait bien ce qu,il y avait ,mais on se doutait que ça avait rapport avec la jeune fille.

Meurtre de Karine Faubert
Une arme à feu trouvée dans une rivière
Première publication 18 août 2011 à 05h28
Marc Pigeon | Journal de Montréal

Karine Faubert aurait été assassinée par son amour de jeunesse, un jeune homme qu'elle a pourtant aimé pendant toute son adolescence. La police a épinglé cet ex-ami de coeur qui pourrait avoir été trahi par une découverte tant inespérée que discrète, effectuée la veille.

Marc-Olivier Perras, 21 ans, de Saint-Stanislas-de-Kostka, a été arrêté, vers 14h mercredi, à Montréal, en vertu d'un mandat d'arrestation, alors qu'il se trouvait à l'angle des rues Prince-Arthur et Hôtel de ville, à Montréal.

Il devrait comparaître jeudi, au palais de justice de Salaberry-de-Valleyfield sous des accusations de meurtre qui seront précisées par un procureur de la poursuite, a indiqué la sergente Geneviève Bruneau de la Sûreté du Québec. Le développement majeur survient cinq jours après que la jeune femme eut trouvé la mort de façon tragique.

Découverte déterminante

Le dénouement pourrait trouver son origine dans une providentielle découverte faite par les policiers, mardi, dans la petite rivière Nord, à Saint-Étienne-de-Beauharnois, près du pont de la rue de l'église, a appris le Journal.

Les plongeurs de la Sûreté du Québec y ont fait de discrètes recherches en rapport avec l'odieux crime, selon ce qu'a constaté et rapporté au Journal de Montréal un résident du secteur témoin de l'affaire.

Les policiers sont ressortis de l'eau avec un petit coffret contenant une arme à feu. De là à penser qu'il s'agisse de l'arme du crime, il n'y a qu'un pas. D'ailleurs, dès le lendemain, les policiers obtenaient un mandat d'arrestation contre Perras et plaçaient le suspect sous les verrous.

Amoureux durant cinq ans

Le suspect et la victime ont commencé à se fréquenter dès l'âge de 15 ans. Ils ont été amoureux pendant toute leur adolescence, soit cinq ans et auraient rompu il y a environ un an.

Sans trop s'en vanter, Karine aurait prêté une somme d'argent considérable à Perras. Il est question de quelques milliers de dollars, selon ce que le Journal de Montréal a appris.

Vendredi dernier, elle se serait rendue rencontrer Perras près du pont de Saint-Louis-de-Gonzague, vers 9 heures. Elle devait y récupérer l'argent prêté.

Elle n'a jamais été revue vivante. Un passant a plutôt retrouvé son corps environ deux heures plus tard, dans un secteur boisé d'un village voisin, Godmanchester. La jeune femme avait été abattue par balle.

Gros train de vie

Blessé, Perras était en arrêt de travail, recevant des prestations de la Commission de la santé et de la sécurité du travail.

Toutefois, il menait semble-t-il un train de vie qui attirait l'attention dans la région, a-t-il été permis d'apprendre.

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Un garçon de bonne famille
Valérie Gonthier
Le Journal de Montréal
18/08/2011 06h41



Les citoyens de Saint-Stanislasde-Kostka qui ont connu le suspect à travers les années n'avaient que des bons mots à son sujet et se sont montrés des plus surpris de son arrestation pour un crime aussi grave.

L'annonce de l'arrestation de Marc-Olivier Perras a eu l'effet d'une bombe.

Même si le nom du jeune homme a rapidement été associé au meurtre de Karine Faubert dans la région, plusieurs personnes rencontrées par le Journal peinaient à croire qu'il ait pu commettre un tel crime.

«Marc-Olivier a travaillé pour nous durant plusieurs années. Il a toujours été un excellent employé», rap-porte Gaétan Cécype, ancien propriétaire de la ferme Iceberg.

L'homme, visiblement troublé par l'annonce de l'arrestation de Marc-Olivier Perras, se souviendra toujours que l'ancien employé a sauvé la ferme des flammes en 2009.

«Il gardait mes enfants»

«Les gens peuvent dire ce qu'ils veulent sur lui, mais moi je garde en tête que s'il n'était pas arrivé très tôt ce matin-là, on aurait pu tout perdre. Il nous a fait sauver plus de 100 000 $», expose-t- il, ému.

Une voisine de la famille Perras, également impliquée dans la ferme, s'est pour sa part dite éprouvée par la nouvelle de l'arrestation de celui qu'elle appelait «Marco».

«Il gardait mes enfants. Il est même venu à mon mariage», lance la jeune femme, incrédule.

Celle qui n'a pas vu Marc-Olivier depuis les six derniers mois, soit après qu'il ait subitement quitté son emploi en décembre dernier, s'est montrée préoccupée par l'état du jeune homme.

Bonne famille

Pour Claire Buisson, voisine immédiate des Perras depuis longtemps, il était inconcevable d'imaginer que le garçon puisse être l'auteur de ce crime dont tout le monde parle depuis la fin de semaine.

«C'est une bonne famille, du bon monde. Nous n'avons rien vu venir» explique Mme Buisson.

Même son de cloche pour Denise Barrette, serveuse au Bar Tendress à St-Louis-de-Gonzague, qui a connu le jeune homme alors qu'il fréquentait l'école avec ses enfants.

«C'était un garçon comme les autres. Ses parents étaient impliqués dans plusieurs activités», relate-t-elle.

«C'est triste ce qui se passe. Ce l'est d'autant plus pour l'entourage, qui doit vivre avec ça», conclut-elle.

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titine a écrit : et bien, dans le journal ce matin ,ils disent qu'ils ont trouvé l'arme dans une petite rivìere.......c'est parceque c'est juste en face ou je travail.Je l'ai ai vu toute la journée les policiers près du pont.On se demandait bien ce qu,il y avait ,mais on se doutait que ça avait rapport avec la jeune fille.

Ca doit te faire drôle, c'est pas tous les jours que ça arrive des affaires de même.

Capuchino a écrit : [...]

Ca doit te faire drôle, c'est pas tous les jours que ça arrive des affaires de même.

oui c'est spécial, Poirier dit que les plongeurs ont trouvé l'arme, c'est que la rivière est pas clair clair et surtout en tout cas en arrière de chez nous, c'est pas ben creux,alors les policiers sont arrivés avec leur gros zodiac, ils ont ben vu que ils ne pourraient pas se servir de ça.