Je suis entièrement d'accord avec toi!Capuchino a écrit : [...]
Contrairement à toi, moi ça fait déjà longtemps que j'ai cessé d'être péquiste car je n'y crois plus du tout à ce projet de séparation du Québec (c'est très personnel mais je trouve que nous ne serions pas prêt à vivre les conséquences en tant que peuple et que ça risquerait beaucoup plus de tourner très mal par manque de réalisme en croyant que la seule différence que ça ferait serait de ne plus avoir d'impôt fédéral à payer. Je ne crois pas que les québécois(ses) seraient prêt(e)s à se serrer les coudes suffisamment pour nous permettre de passer au travers, j'aurais bien plus peur que ça vire au cauchemar une fois devant les faits. Entre le fantasme et la réalité y'a souvent tout un monde et, à moins qu'un énorme pourcentage de gens seraient d'accord pour prendre un tel risque, je ne voudrais pas qu'un référendum gagne à 51%, ça serait le free for all que sûrement plusieurs personnes qui auraient voté oui le regrettaient amèrement après coup. Tout ça est mon opinion sans plus.) Indépendamment de cette possibilité d'un référendum, moi aussi je trouve que PKP semble avoir un style de gestion qui s'apparente à une forme de dictature, j'ai bien hâte de voir combien de temps il va pouvoir tenir à jouer le jeu de la politique soft sans que sa personnalité ne ressorte. Cependant, la seule bonne nouvelle que je trouve de son arrivée en politique c'est que le gouvernement en place va se sentir un peu moins confortable et que l'aura de PKP les aidera peut-être à se tenir les fesses plus serrées pour mieux gérer notre province. Juste ça ça serait un gros plus. C'est à suivre....
Course à la direction du PQ
[nouvelle=http://www.parismatch.com/Actu/Internat ... -771822|De passage à Paris
Pierre-Karl Peladeau, celui qui veut "faire de Québec un pays"]Paris Match
Pierre-Karl Peladeau, député fraichement élu à la tête du Parti québécois (PQ, opposition), est de passage à Paris dans le cadre de l’entrée du premier Québécois à l’Académie française, Dany Laferrière. L’occasion pour l’indépendantiste de rappeler la force des relations franco-québécoises, mais aussi de nous expliquer ses ambitions politiques précises : faire de Québec un pays.
Il est le nouveau chef de l’opposition québécoise, et une personnalité haute en couleurs. Pierre-Karl Peladeau est de passage éclair à Paris ce jeudi. Il a passé la nuit dans l’avion, et repart dès demain ; néanmoins, l’homme de 53 ans est jovial et plein d’entrain. Heureusement, car son programme est chargé. La raison de sa venue dans la capitale française, son premier déplacement à l’étranger depuis qu’il est devenu, le 15 mai, le leader du Parti québécois (PQ), est l’entrée du premier Québécois à l’Académie française, en l’occurrence Dany Laferrière, un «Québécois d’adoption» pour reprendre le terme de «PKP», puisqu’il est d’origine haïtienne. Un événement symbolique pour l’indépendantiste, qui illustre la force de la relation franco-québécoise, notamment culturelle. «Elle existe depuis des décennies», souligne-t-il, rappelant le discours du Général de Gaulle à l’Hôtel de Ville en 1967, «Vive le Québec libre !». Et d’après lui, que les gouvernements soient de droite ou de gauche, ils ont toujours eu cette «grande proximité» avec notre pays, et l’intention de la maintenir.[/nouvelle]
Pierre-Karl Peladeau, celui qui veut "faire de Québec un pays"]Paris Match
Pierre-Karl Peladeau, député fraichement élu à la tête du Parti québécois (PQ, opposition), est de passage à Paris dans le cadre de l’entrée du premier Québécois à l’Académie française, Dany Laferrière. L’occasion pour l’indépendantiste de rappeler la force des relations franco-québécoises, mais aussi de nous expliquer ses ambitions politiques précises : faire de Québec un pays.
Il est le nouveau chef de l’opposition québécoise, et une personnalité haute en couleurs. Pierre-Karl Peladeau est de passage éclair à Paris ce jeudi. Il a passé la nuit dans l’avion, et repart dès demain ; néanmoins, l’homme de 53 ans est jovial et plein d’entrain. Heureusement, car son programme est chargé. La raison de sa venue dans la capitale française, son premier déplacement à l’étranger depuis qu’il est devenu, le 15 mai, le leader du Parti québécois (PQ), est l’entrée du premier Québécois à l’Académie française, en l’occurrence Dany Laferrière, un «Québécois d’adoption» pour reprendre le terme de «PKP», puisqu’il est d’origine haïtienne. Un événement symbolique pour l’indépendantiste, qui illustre la force de la relation franco-québécoise, notamment culturelle. «Elle existe depuis des décennies», souligne-t-il, rappelant le discours du Général de Gaulle à l’Hôtel de Ville en 1967, «Vive le Québec libre !». Et d’après lui, que les gouvernements soient de droite ou de gauche, ils ont toujours eu cette «grande proximité» avec notre pays, et l’intention de la maintenir.[/nouvelle]
Dernière modification par Solange le dim. juin 12, 2016 6:13 pm, modifié 1 fois.
- Mozusse que ça pourrait être plus simple! Solange de Beauvoil', dans 'le Domaine Bleu' (et partout ailleurs, d'ailleurs)
Véronique Hivon se retire de la course
La députée de Joliette Véronique Hivon se retire de la course à la direction du Parti québécois pour des raisons de santé.
Mme Hivon s’était vue contrainte il y a 10 jours de suspendre temporairement ses activités en raison d’une infection virale aiguë, une forme de labyrinthite.
Dans un communiqué publié vendredi, elle indique que son infection s’aggrave et que sa condition se détériore et qu’elle doit prendre un repos complet. «C’est fortement contrariée qu’elle se voit obligée de se retirer de la course», peut-on lire.
Véronique Hivon est l’une des cinq aspirants-chefs avec Alexandre Cloutier, Jean-François Lisée, Martine Ouellet et Paul St-Pierre Plamondon.
«Chère @vhivon, je sais à quel point tu t'es investie dans cette course et combien il t'en coûte de t'en retirer. On pense à toi très fort», a écrit Jean-François Lisée sur Twitter.
L’identité du prochain chef du PQ sera connue le 7 octobre prochain, à la suite d’un vote électronique de deux jours.
http://www.tvanouvelles.ca/2016/08/26/v ... o#cxrecs_s" onclick="window.open(this.href);return false;
La députée de Joliette Véronique Hivon se retire de la course à la direction du Parti québécois pour des raisons de santé.
Mme Hivon s’était vue contrainte il y a 10 jours de suspendre temporairement ses activités en raison d’une infection virale aiguë, une forme de labyrinthite.
Dans un communiqué publié vendredi, elle indique que son infection s’aggrave et que sa condition se détériore et qu’elle doit prendre un repos complet. «C’est fortement contrariée qu’elle se voit obligée de se retirer de la course», peut-on lire.
Véronique Hivon est l’une des cinq aspirants-chefs avec Alexandre Cloutier, Jean-François Lisée, Martine Ouellet et Paul St-Pierre Plamondon.
«Chère @vhivon, je sais à quel point tu t'es investie dans cette course et combien il t'en coûte de t'en retirer. On pense à toi très fort», a écrit Jean-François Lisée sur Twitter.
L’identité du prochain chef du PQ sera connue le 7 octobre prochain, à la suite d’un vote électronique de deux jours.
http://www.tvanouvelles.ca/2016/08/26/v ... o#cxrecs_s" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Course à la direction du PQ
Déçue...
- Mozusse que ça pourrait être plus simple! Solange de Beauvoil', dans 'le Domaine Bleu' (et partout ailleurs, d'ailleurs)
PQ: la fille de Félix Leclerc pressentie pour devenir candidate
Le Parti québécois miserait sur la fille de Félix Leclerc, Nathalie, comme candidate dans la circonscription de Charlevoix-Côte-de-Beaupré lors des prochaines élections.
Selon la station de radio CIHO, sa candidature serait annoncée officiellement dans les prochains jours.
Nathalie Leclerc en serait à sa toute première expérience en politique provinciale.
Mère de trois enfants, elle s'est fait connaître pour la gestion de l'Espace Félix-Leclerc et de la Fondation qui porte également le nom de son père, qui est décédé en 1988.
Sans confirmer la nouvelle, le président de l'Association du Parti québécois de Charlevoix-Côte-de-Beaupré, Josué Gaudreault-Bouchard, qui a songé à se présenter, s'est rangé derrière la future candidate.
Le chef péquiste Jean-François Lisée sera d'ailleurs à Baie-Saint-Paul le 20 janvier pour assister à l'investiture de la candidate.
Le Parti québécois miserait sur la fille de Félix Leclerc, Nathalie, comme candidate dans la circonscription de Charlevoix-Côte-de-Beaupré lors des prochaines élections.
Selon la station de radio CIHO, sa candidature serait annoncée officiellement dans les prochains jours.
Nathalie Leclerc en serait à sa toute première expérience en politique provinciale.
Mère de trois enfants, elle s'est fait connaître pour la gestion de l'Espace Félix-Leclerc et de la Fondation qui porte également le nom de son père, qui est décédé en 1988.
Sans confirmer la nouvelle, le président de l'Association du Parti québécois de Charlevoix-Côte-de-Beaupré, Josué Gaudreault-Bouchard, qui a songé à se présenter, s'est rangé derrière la future candidate.
Le chef péquiste Jean-François Lisée sera d'ailleurs à Baie-Saint-Paul le 20 janvier pour assister à l'investiture de la candidate.
Fin d'une époque au PQ
Élue depuis 1996 à l'Assemblée nationale, la députée péquiste de Pointe-aux-Trembles, Nicole Léger, annoncera aujourd'hui qu'elle ne sollicitera pas un nouveau mandat aux élections d'octobre 2018. Son vétéran collègue François Gendron, qui siège sans interruption depuis 1976, prépare également sa sortie.
La Presse a révélé samedi que le chef du Parti québécois (PQ), Jean-François Lisée, espérait ce départ et avait même offert ce siège sûr pour le parti à Jean-Martin Aussant, dans l'espoir de le voir revenir en politique. Mme Léger a eu de sérieux problèmes de santé - un cancer de la langue - qui l'a incitée à repenser à son avenir. Hier matin, cependant, le chroniqueur Bernard Drainville, ex-ministre péquiste, soutenait sur les ondes du 98,5 qu'il n'était pas question pour Mme Léger de jeter l'éponge.
Par voie de communiqué, hier, la députée de Pointe-aux-Trembles a convié les médias à une conférence de presse ce matin, dans sa circonscription. Son frère, Jean-Marc Léger, patron de la firme de sondage Léger, a confié à plusieurs personnes que sa soeur y expliquerait les raisons de son départ.
Jean-Martin Aussant a fait savoir à plusieurs personnes à Montréal qu'on lui avait offert Pointe-aux-Trembles, mais semblait peu enclin à refaire le saut en politique - sa conjointe Catherine Fiset y était fermement opposée.
Proche de Pauline Marois, Mme Léger avait déjà accepté de quitter son poste pour laisser sa circonscription à André Boisclair quand il était devenu chef du PQ en 2005. Elle est actuellement porte-parole de l'opposition pour les dossiers du Conseil du trésor. Elle avait été affectée aux dossiers à la Famille sous Lucien Bouchard.
Mme Léger est la fille de Marcel Léger, premier ministre de l'Environnement sous René Lévesque.
DÉPART D'UN RECORDMAN
Un autre péquiste est sur le point d'annoncer qu'il terminera sa carrière aux prochaines élections. François Gendron, député d'Abitibi-Ouest, aura le record de longévité à l'Assemblée nationale - il siège sans interruption depuis le 15 novembre 1976. Depuis un bon moment, il a préparé sa succession dans la circonscription : un permanent local de l'Union des producteurs agricoles, indique-t-on. Il aura 74 ans à l'automne.
Le député de Bertrand, Claude Cousineau, envisage aussi de ne pas se représenter. Atteint du cancer il y a quelques années, il avait failli jeter l'éponge avant de se lancer dans une nouvelle campagne électorale. Le chef du PQ a aussi testé la volonté de Maka Kotto, député du bastion péquiste de Bourget, de solliciter un nouveau mandat. M. Kotto, conjoint de Caroline St-Hilaire, ex-mairesse de Longueuil, ne compte pas céder sa place.
Des rumeurs indiquent que Nicolas Marceau, l'ex-ministre des Finances de Pauline Marois, réfléchit à son avenir. Professeur d'université, M. Marceau profite toujours d'un congé de son institution.
Élue depuis 1996 à l'Assemblée nationale, la députée péquiste de Pointe-aux-Trembles, Nicole Léger, annoncera aujourd'hui qu'elle ne sollicitera pas un nouveau mandat aux élections d'octobre 2018. Son vétéran collègue François Gendron, qui siège sans interruption depuis 1976, prépare également sa sortie.
La Presse a révélé samedi que le chef du Parti québécois (PQ), Jean-François Lisée, espérait ce départ et avait même offert ce siège sûr pour le parti à Jean-Martin Aussant, dans l'espoir de le voir revenir en politique. Mme Léger a eu de sérieux problèmes de santé - un cancer de la langue - qui l'a incitée à repenser à son avenir. Hier matin, cependant, le chroniqueur Bernard Drainville, ex-ministre péquiste, soutenait sur les ondes du 98,5 qu'il n'était pas question pour Mme Léger de jeter l'éponge.
Par voie de communiqué, hier, la députée de Pointe-aux-Trembles a convié les médias à une conférence de presse ce matin, dans sa circonscription. Son frère, Jean-Marc Léger, patron de la firme de sondage Léger, a confié à plusieurs personnes que sa soeur y expliquerait les raisons de son départ.
Jean-Martin Aussant a fait savoir à plusieurs personnes à Montréal qu'on lui avait offert Pointe-aux-Trembles, mais semblait peu enclin à refaire le saut en politique - sa conjointe Catherine Fiset y était fermement opposée.
Proche de Pauline Marois, Mme Léger avait déjà accepté de quitter son poste pour laisser sa circonscription à André Boisclair quand il était devenu chef du PQ en 2005. Elle est actuellement porte-parole de l'opposition pour les dossiers du Conseil du trésor. Elle avait été affectée aux dossiers à la Famille sous Lucien Bouchard.
Mme Léger est la fille de Marcel Léger, premier ministre de l'Environnement sous René Lévesque.
DÉPART D'UN RECORDMAN
Un autre péquiste est sur le point d'annoncer qu'il terminera sa carrière aux prochaines élections. François Gendron, député d'Abitibi-Ouest, aura le record de longévité à l'Assemblée nationale - il siège sans interruption depuis le 15 novembre 1976. Depuis un bon moment, il a préparé sa succession dans la circonscription : un permanent local de l'Union des producteurs agricoles, indique-t-on. Il aura 74 ans à l'automne.
Le député de Bertrand, Claude Cousineau, envisage aussi de ne pas se représenter. Atteint du cancer il y a quelques années, il avait failli jeter l'éponge avant de se lancer dans une nouvelle campagne électorale. Le chef du PQ a aussi testé la volonté de Maka Kotto, député du bastion péquiste de Bourget, de solliciter un nouveau mandat. M. Kotto, conjoint de Caroline St-Hilaire, ex-mairesse de Longueuil, ne compte pas céder sa place.
Des rumeurs indiquent que Nicolas Marceau, l'ex-ministre des Finances de Pauline Marois, réfléchit à son avenir. Professeur d'université, M. Marceau profite toujours d'un congé de son institution.
Alexandre Cloutier ne sollicitera pas un nouveau mandat
Député péquiste de Lac-Saint-Jean depuis 2007, Alexandre Cloutier ne se représentera pas aux prochaines élections. « La motivation n'était plus là », a expliqué mardi matin son bras droit, Jean Briand.
Pour lui, ce départ n'est pas un jugement sur les chances du Parti québécois (PQ) de remporter les élections du 1er octobre prochain. « Alexandre a toujours fonctionné à 200 km/h, mais pour ça, il faut de la motivation, et elle n'était plus là », a dit Jean Briand.
Le jeune député avait fait le saut avec André Boisclair en 2007. Il avait alors battu par 5 000 voix le Dr Yves Bolduc, bien connu dans la région et déjà pressenti par les libéraux comme le successeur de Philippe Couillard à la Santé. Par la suite, M. Cloutier avait occupé le poste de ministre aux Relations intergouvernementales sous Pauline Marois, puis il avait mordu la poussière aux courses à la direction du PQ qui ont choisi d'abord Pierre-Karl Péladeau et puis Jean-François Lisée. Le comté de Lac-Saint-Jean est toujours un fief du PQ -l'association y compte 4 000 membres.
Cloutier, c'est connu, avait été un opposant au virage « identitaire » du PQ, incarné par l'ex-ministre Bernard Drainville. Encore récemment, il était l'un de ceux qui avaient protesté en coulisses quand le chef Lisée avait voulu renouer avec ce positionnement.
Docteur en droit, spécialiste en constitution, Cloutier n'a pas arrêté de projet pour la suite des choses, affirme Jean Briand. Il a annoncé sa décision à son entourage dans les dernières heures et était un peu déçu que cette annonce tombe le même jour que celle de sa collègue Nicole Léger qui abandonnera Pointe-aux-Trembles à la prochaine élection aussi.
Député péquiste de Lac-Saint-Jean depuis 2007, Alexandre Cloutier ne se représentera pas aux prochaines élections. « La motivation n'était plus là », a expliqué mardi matin son bras droit, Jean Briand.
Pour lui, ce départ n'est pas un jugement sur les chances du Parti québécois (PQ) de remporter les élections du 1er octobre prochain. « Alexandre a toujours fonctionné à 200 km/h, mais pour ça, il faut de la motivation, et elle n'était plus là », a dit Jean Briand.
Le jeune député avait fait le saut avec André Boisclair en 2007. Il avait alors battu par 5 000 voix le Dr Yves Bolduc, bien connu dans la région et déjà pressenti par les libéraux comme le successeur de Philippe Couillard à la Santé. Par la suite, M. Cloutier avait occupé le poste de ministre aux Relations intergouvernementales sous Pauline Marois, puis il avait mordu la poussière aux courses à la direction du PQ qui ont choisi d'abord Pierre-Karl Péladeau et puis Jean-François Lisée. Le comté de Lac-Saint-Jean est toujours un fief du PQ -l'association y compte 4 000 membres.
Cloutier, c'est connu, avait été un opposant au virage « identitaire » du PQ, incarné par l'ex-ministre Bernard Drainville. Encore récemment, il était l'un de ceux qui avaient protesté en coulisses quand le chef Lisée avait voulu renouer avec ce positionnement.
Docteur en droit, spécialiste en constitution, Cloutier n'a pas arrêté de projet pour la suite des choses, affirme Jean Briand. Il a annoncé sa décision à son entourage dans les dernières heures et était un peu déçu que cette annonce tombe le même jour que celle de sa collègue Nicole Léger qui abandonnera Pointe-aux-Trembles à la prochaine élection aussi.
Je l'aimais bien Mme Agnès Maltais.
Ça va mal pour le Parti Québécois...
Agnès Maltais quitterait la vie politique
Selon Radio-Canada, Agnès Maltais ne sollicitera pas un nouveau mandat comme députée du PQ.
Députée de Taschereau pour le Parti québécois, Mme Maltais est vice-présidente de la Commission de la culture et de l'éducation, porte-parole de l'opposition officielle en matière de laïcité, porte-parole de l'opposition officielle en matière de culture et de communications, porte-parole de l'opposition officielle responsable de la région de la Capitale-Nationale.
- Plus de détails suivront
http://www.lapresse.ca/actualites/polit ... itique.php
Ça va mal pour le Parti Québécois...
Agnès Maltais quitterait la vie politique
Selon Radio-Canada, Agnès Maltais ne sollicitera pas un nouveau mandat comme députée du PQ.
Députée de Taschereau pour le Parti québécois, Mme Maltais est vice-présidente de la Commission de la culture et de l'éducation, porte-parole de l'opposition officielle en matière de laïcité, porte-parole de l'opposition officielle en matière de culture et de communications, porte-parole de l'opposition officielle responsable de la région de la Capitale-Nationale.
- Plus de détails suivront
http://www.lapresse.ca/actualites/polit ... itique.php