40e Gala de l'ADISQ - 28 octobre - 20H
Re: 40e Gala de l'ADISQ - 28 octobre - 20H
Contente pour Patrice Michaud, je l'aime bien
Oui tellement, pis ses tattoos...je ne sais pas si les gens qui font ca le savent que ca devient laid en vieillissant? Tse, est ce que les tatoueurs les avertissent?Annouk a écrit : [...]
La fille est pourtant tellement jolie...Dommage...
J'avoue que ca fait beau sur le coup des fois, mais crime. Des manches jusque sur le bout des doigts!!
Mon mari a un tattoo qui etait tres beau et coloré fait dans la vingtaine....maintenant c juste laid de laideur selon moi. La peau vieillis et tout. Roxanne est trop jeune et belle pour tous ces artifices.
J'espere vivre assez longtemps pour voir toutes ces manches de tatoos vieillir
Océannes 20-5-2006, Sofianne 26-5-2008
Maélie 12-8-2010, Coralie 21-07-2013
Maélie 12-8-2010, Coralie 21-07-2013
Les gagnants du 40e Gala de l'ADISQ
Album de l'année (Adulte contemporain)
- 2Frères - La route
- Isabelle Boulay - En vérité
- Maxime Landry - Nos histoires
- Pierre Lapointe - La science du coeur
- Émile Proulx-Cloutier - Marée haute
Album de l'année (Hip-Hop)
- Eman X Vlooper - La Joie
- Fouki - Zay
- Loud - Une année record
- Rymz - Mille soleils
- Seba et Horg - Grosso-Modo
Album de l'année (Pop)
- Ludovick Bourgeois - Ludovick Bourgeois
- Roxane Bruneau - Dysphorie
- Dumas - Nos idéaux
- Marc Dupré - La vie qu'il nous reste
- Hubert Lenoir - Darlène
Auteur ou compositeur de l'année
- Fanny Bloom
- Philippe Brach
- Pierre Lapointe
- Loud
- Tire le coyote
Chanson de l'année
- 2Frères - Comme avant
- Émile Bilodeau - J'en ai plein mon cass
- Charlotte Cardin - Faufile
- Marc Dupré - Une raison d'exister
- Hubert Lenoir - Fille de personne II
- Les soeurs Boulay - Pour que tu m'aimes encore
- Loud - Toutes les femmes savent danser
- Andréanne A. Malette - Fou
- Patrice Michaud - La saison des pluies
- Vincent Vallières - À hauteur d'homme
Groupe ou duo de l'année
- 2Frères
- Alfa Rococo
- Galaxie
- Kaïn
- Les soeurs Boulay
Interprète féminine de l'année
- Isabelle Boulay
- Debbie Lynch-White
- Andréanne A. Malette
- Klô Pelgag
- Guylaine Tanguay
Interprète masculin de l'année
- Ludovick Bourgeois
- Philippe Brach
- Marc Dupré
- Hubert Lenoir
- Patrice Michaud
Révélation de l'année
- Ludovick Bourgeois
- Roxane Bruneau
- Lydia Képinski
- Hubert Lenoir
- Loud
Spectacle de l'année (auteur-compositeur-interprète)
- Philippe Brach - Le silence des troupeaux
- Marc Dupré - Marc Dupré au Centre Bell/Là dans ma tête 2
- Pierre Lapointe - La science du coeur
- Fred Pellerin - Un village en trois dés
- Tire le coyote - Désherbage
Spectacle de l'année (interprète)
- Angèle Dubeau/La Pieta - Pour une dernière fois
- Artistes variés - Demain matin, Montréal m'attend
- Isabelle Boulay - En vérité
- Ludovick Bourgeois - Ludovick Bourgeois
- Mario Pelchat et les prêtres - Agnus Dei et Noël ensemble: Le spectacle
Album de l'année (Adulte contemporain)
- 2Frères - La route
- Isabelle Boulay - En vérité
- Maxime Landry - Nos histoires
- Pierre Lapointe - La science du coeur
- Émile Proulx-Cloutier - Marée haute
Album de l'année (Hip-Hop)
- Eman X Vlooper - La Joie
- Fouki - Zay
- Loud - Une année record
- Rymz - Mille soleils
- Seba et Horg - Grosso-Modo
Album de l'année (Pop)
- Ludovick Bourgeois - Ludovick Bourgeois
- Roxane Bruneau - Dysphorie
- Dumas - Nos idéaux
- Marc Dupré - La vie qu'il nous reste
- Hubert Lenoir - Darlène
Auteur ou compositeur de l'année
- Fanny Bloom
- Philippe Brach
- Pierre Lapointe
- Loud
- Tire le coyote
Chanson de l'année
- 2Frères - Comme avant
- Émile Bilodeau - J'en ai plein mon cass
- Charlotte Cardin - Faufile
- Marc Dupré - Une raison d'exister
- Hubert Lenoir - Fille de personne II
- Les soeurs Boulay - Pour que tu m'aimes encore
- Loud - Toutes les femmes savent danser
- Andréanne A. Malette - Fou
- Patrice Michaud - La saison des pluies
- Vincent Vallières - À hauteur d'homme
Groupe ou duo de l'année
- 2Frères
- Alfa Rococo
- Galaxie
- Kaïn
- Les soeurs Boulay
Interprète féminine de l'année
- Isabelle Boulay
- Debbie Lynch-White
- Andréanne A. Malette
- Klô Pelgag
- Guylaine Tanguay
Interprète masculin de l'année
- Ludovick Bourgeois
- Philippe Brach
- Marc Dupré
- Hubert Lenoir
- Patrice Michaud
Révélation de l'année
- Ludovick Bourgeois
- Roxane Bruneau
- Lydia Képinski
- Hubert Lenoir
- Loud
Spectacle de l'année (auteur-compositeur-interprète)
- Philippe Brach - Le silence des troupeaux
- Marc Dupré - Marc Dupré au Centre Bell/Là dans ma tête 2
- Pierre Lapointe - La science du coeur
- Fred Pellerin - Un village en trois dés
- Tire le coyote - Désherbage
Spectacle de l'année (interprète)
- Angèle Dubeau/La Pieta - Pour une dernière fois
- Artistes variés - Demain matin, Montréal m'attend
- Isabelle Boulay - En vérité
- Ludovick Bourgeois - Ludovick Bourgeois
- Mario Pelchat et les prêtres - Agnus Dei et Noël ensemble: Le spectacle
Re: 40e Gala de l'ADISQ - 28 octobre - 20H
Ben sincèrement là, probablement que c'est moi qui évolue pas mais j'ai pas compris grand chose à propos des gagnants de ce soir ...
La " relève " se démarque pas par leur musique mais par leur langage et leur apparence physique (vêtements, maquillage, piercings & tatoos ) ... À ce compte là m'as aller faire un tour au village des valeurs pis m'acheter du maquillage d'Halloween pis j'vas en gagner en simonak des trophées ...
La " relève " se démarque pas par leur musique mais par leur langage et leur apparence physique (vêtements, maquillage, piercings & tatoos ) ... À ce compte là m'as aller faire un tour au village des valeurs pis m'acheter du maquillage d'Halloween pis j'vas en gagner en simonak des trophées ...
Redouter l'ironie, c'est craindre la raison - Sacha Guitry
Hubert se déguise en fille et elle Klo Pelgag le fait en gars puis elle gagne toujours. Je ne suis pas fan d'elle! L'autre nouvelle Lydia Chépasqui????, une autre qui fait des lamentations comme S. Nolin. Philippe Brach gagne toujours chaque année. J'avais tout regardé le 1er Gala avant celui-ci. C'était à Télé Québec à 18:00 hres. Yoan a gagné son 1er Félix.phosie a écrit : Aye pis la fille avec la moustache... Ah bin sti, elle gagne en plus De toute beauté en plus d'être plate à mort
Idem, je trouve que ça manque de "voix" dans la relève. Ça manque de grands chanteurs style Ginette Reno etc. On dirait qu'il n'y en a pas qui passeront les années mais bon, je peux me tromper.liz a écrit : Ben sincèrement là, probablement que c'est moi qui évolue pas mais j'ai pas compris grand chose à propos des gagnants de ce soir ...
La " relève " se démarque pas par leur musique mais par leur langage et leur apparence physique (vêtements, maquillage, piercings & tatoos ) ... À ce compte là m'as aller faire un tour au village des valeurs pis m'acheter du maquillage d'Halloween pis j'vas en gagner en simonak des trophées ...
Anya a écrit : Hubert Lenoir et sa gang
Je trouve qui commence en beurrer épais . Il va se brûler . Au début je l'aime bien .
mais trop c'est comme pas assez. Avaler son trophée c'était pas ce qui a de plus brillant .
Pourquoi les gars veulent ressembler aux filles et les filles veulent ressembler aux gars.
Je te dis que Klo avec sa moustache , c'était quelque chose .
Safia Nolin brillait par son absence . c'était plate on pouvait pas la bitcher.
- *Raphaëlle*
- Immortel du Domaine
- Messages : 22597
- Inscription : jeu. janv. 27, 2005 4:00 am
On est ben au courant quand on se fait tatouer.Mikaela a écrit : [...]
Oui tellement, pis ses tattoos...je ne sais pas si les gens qui font ca le savent que ca devient laid en vieillissant? Tse, est ce que les tatoueurs les avertissent?
J'avoue que ca fait beau sur le coup des fois, mais crime. Des manches jusque sur le bout des doigts!!
Mon mari a un tattoo qui etait tres beau et coloré fait dans la vingtaine....maintenant c juste laid de laideur selon moi. La peau vieillis et tout. Roxanne est trop jeune et belle pour tous ces artifices.
J'espere vivre assez longtemps pour voir toutes ces manches de tatoos vieillir
Aussi, les encres et les techniques ne sont plus comme il y a 20 ans.
Mon chum a des tatouages partout et je suis certaine qu'il va être magnifiquement badass à 75 ans
Saint Hubert, priez pour nous !
HUGO DUMAS
Deux personnes aux styles diamétralement opposés, c’est le cas de le dire, ont monopolisé les conversations de salon hier soir : le flamboyant Hubert Lenoir et le chic Louis-José Houde.
Commençons avec l’humoriste-animateur. Pour son 13e tour de piste de suite, Louis-José Houde a servi aux téléspectateurs de Radio-Canada un mélange parfait d’élégance, d’énergie et de drôleries. C’est le meilleur animateur de gala au Québec, toutes catégories confondues, point final.
Son sens de l’observation aiguisé, son enthousiasme contagieux et ses piques bienveillantes, tout a fonctionné pour lui.
Son analyse du gala de 1992 ? Tordante. Son monologue d’ouverture ? Rempli d’excellents gags sur les petits travers des 40 ans de la fête de la musique québécoise. D’ailleurs, le « tcha » de Richard Séguin sur Journée d’Amérique restera dans nos têtes à tout jamais.
Honnêtement, il n’y a presque rien à redire sur la prestation de Louis-José Houde. Ne pas se répéter après autant d’années relève de l’exploit.
Hubert Lenoir, maintenant. Il a remporté trois Félix hier, tous mérités. Fille de personne II est un bijou de chanson pop. C’est un artiste unique, doté d’un incroyable sens du spectacle, qui lui a permis d’éclipser les quatre autres révélations en début de cérémonie.
La musique d’Hubert Lenoir fait plus l’unanimité que son look christique d’hier. Le jeune homme de Beauport n’a pourtant rien inventé avec sa longue robe blanche, ses rangées de colliers, ses bottillons à talons hauts et ses couettes à la Coolio. David Bowie et Adam Ant l’ont précédé sur le chemin de l’androgynie. Pas certain du maquillage de type « colour run », par contre.
Comme l’a remarqué Louis-José Houde, Hubert ressemble à un mélange « d’Iggy Pop, Francis Reddy et Joe Bocan » et assume son originalité.
Ses remerciements restent cependant à peaufiner. La première fois, Hubert Lenoir a avoué n’avoir rien préparé, pour conclure avec un « au nom de la jeunesse québécoise, je trouve que vous êtes wack en estie ». Merci, Hubert. À son troisième passage au micro, il a essayé de s’enfoncer le Félix dans la gorge (pure provocation, on s’entend) et a lancé : « J’ai juste de l’amour à vous donner. » Ordinaire.
Le style blasé-ouais-je-me-sacre-du-showbiz d’Hubert Lenoir passe moins bien. Sa copine Noémie réagissait cinquante fois plus que lui à l’annonce des victoires.
Est-ce si difficile de dire merci aux fans qui achètent et écoutent notre disque ? Si la nouvelle génération n’a « rien à crisser » de l’industrie, pourquoi s’obstine-t-elle à se pointer à l’ADISQ ? Pourquoi vouloir à ce point opposer la relève aux chanteurs plus expérimentés ?
Le rappeur Loud n’avait pas l’air impressionné non plus de remporter une statuette.
C’est peut-être générationnel. Chose certaine, ça jurait avec les émotions générées par le superbe hommage symphonique rendu à Harmonium, avec une apparition de Céline Dion en vidéo. Les membres du mythique groupe ont été touchés en plein cœur et leur réaction était touchante. Serge Fiori a même éclaté en sanglots sur la scène. Un moment mémorable, dont on se souviendra longtemps.
Ce gala de 2 h 20 min s’est conclu sur les chapeaux de roue, et trois récompenses prestigieuses ont été attribuées vite, vite, vite. L’interprète féminine de l’année, Klô Pelgag, a été éloquente au micro, ce qui contrastait avec ses passages confus des années précédentes. Mais pourquoi portait-elle une moustache ? Quel message souhaitait-elle envoyer ? Ce prix remis à Klô Pelgag a été une des plus grosses surprises d’hier. Jamais je n’aurais pensé qu’elle puisse triompher dans cette catégorie-là. Jamais.
Cette belle soirée a décollé avec un super pot-pourri des 39 chansons de l’année primées entre 1979 et 2017, et interprétées par Maxime Landry, Guylaine Tanguay, Mario Pelchat et Martine St-Clair. Ça roulait à fond de train, et les succès s’enchaînaient d’habile façon. Le quatuor bien en voix a couvert quatre décennies de musique québécoise.
La politique s’est invitée avec le passage d’Émile Bilodeau, qui a imploré François Legault de ne pas forer à l’île d’Anticosti. Devant Justin Trudeau assis dans la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, Yann Perreau a dénoncé l’achat du pipeline Trans Mountain.
Du côté des performances musicales, ce fut inégal et assez convenu. Rien n’est vraiment ressorti du lot.
À la technique, les opérateurs de caméras n’avaient pas les réflexes de ceux des Gémeaux, qui filmaient toujours la bonne personne, au bon moment. Hier, ça manquait de rapidité pour les images de réactions.
Une prédiction pour le gala de l’ADISQ de 2019 ? La chanson qu’Olivier a composée pour Pézie à Occupation double ne figurera pas dans la listes des finalistes. La pièce s’appelle Encore et renferme des rimes faciles comme « Y’a cette envie qui nous dévore, soyons le fruit de nos efforts, tu m’as jeté un sort, laisse-moi toucher ton corps ». Eh boboy.
http://plus.lapresse.ca/screens/2546c20 ... ent=Screen
HUGO DUMAS
Deux personnes aux styles diamétralement opposés, c’est le cas de le dire, ont monopolisé les conversations de salon hier soir : le flamboyant Hubert Lenoir et le chic Louis-José Houde.
Commençons avec l’humoriste-animateur. Pour son 13e tour de piste de suite, Louis-José Houde a servi aux téléspectateurs de Radio-Canada un mélange parfait d’élégance, d’énergie et de drôleries. C’est le meilleur animateur de gala au Québec, toutes catégories confondues, point final.
Son sens de l’observation aiguisé, son enthousiasme contagieux et ses piques bienveillantes, tout a fonctionné pour lui.
Son analyse du gala de 1992 ? Tordante. Son monologue d’ouverture ? Rempli d’excellents gags sur les petits travers des 40 ans de la fête de la musique québécoise. D’ailleurs, le « tcha » de Richard Séguin sur Journée d’Amérique restera dans nos têtes à tout jamais.
Honnêtement, il n’y a presque rien à redire sur la prestation de Louis-José Houde. Ne pas se répéter après autant d’années relève de l’exploit.
Hubert Lenoir, maintenant. Il a remporté trois Félix hier, tous mérités. Fille de personne II est un bijou de chanson pop. C’est un artiste unique, doté d’un incroyable sens du spectacle, qui lui a permis d’éclipser les quatre autres révélations en début de cérémonie.
La musique d’Hubert Lenoir fait plus l’unanimité que son look christique d’hier. Le jeune homme de Beauport n’a pourtant rien inventé avec sa longue robe blanche, ses rangées de colliers, ses bottillons à talons hauts et ses couettes à la Coolio. David Bowie et Adam Ant l’ont précédé sur le chemin de l’androgynie. Pas certain du maquillage de type « colour run », par contre.
Comme l’a remarqué Louis-José Houde, Hubert ressemble à un mélange « d’Iggy Pop, Francis Reddy et Joe Bocan » et assume son originalité.
Ses remerciements restent cependant à peaufiner. La première fois, Hubert Lenoir a avoué n’avoir rien préparé, pour conclure avec un « au nom de la jeunesse québécoise, je trouve que vous êtes wack en estie ». Merci, Hubert. À son troisième passage au micro, il a essayé de s’enfoncer le Félix dans la gorge (pure provocation, on s’entend) et a lancé : « J’ai juste de l’amour à vous donner. » Ordinaire.
Le style blasé-ouais-je-me-sacre-du-showbiz d’Hubert Lenoir passe moins bien. Sa copine Noémie réagissait cinquante fois plus que lui à l’annonce des victoires.
Est-ce si difficile de dire merci aux fans qui achètent et écoutent notre disque ? Si la nouvelle génération n’a « rien à crisser » de l’industrie, pourquoi s’obstine-t-elle à se pointer à l’ADISQ ? Pourquoi vouloir à ce point opposer la relève aux chanteurs plus expérimentés ?
Le rappeur Loud n’avait pas l’air impressionné non plus de remporter une statuette.
C’est peut-être générationnel. Chose certaine, ça jurait avec les émotions générées par le superbe hommage symphonique rendu à Harmonium, avec une apparition de Céline Dion en vidéo. Les membres du mythique groupe ont été touchés en plein cœur et leur réaction était touchante. Serge Fiori a même éclaté en sanglots sur la scène. Un moment mémorable, dont on se souviendra longtemps.
Ce gala de 2 h 20 min s’est conclu sur les chapeaux de roue, et trois récompenses prestigieuses ont été attribuées vite, vite, vite. L’interprète féminine de l’année, Klô Pelgag, a été éloquente au micro, ce qui contrastait avec ses passages confus des années précédentes. Mais pourquoi portait-elle une moustache ? Quel message souhaitait-elle envoyer ? Ce prix remis à Klô Pelgag a été une des plus grosses surprises d’hier. Jamais je n’aurais pensé qu’elle puisse triompher dans cette catégorie-là. Jamais.
Cette belle soirée a décollé avec un super pot-pourri des 39 chansons de l’année primées entre 1979 et 2017, et interprétées par Maxime Landry, Guylaine Tanguay, Mario Pelchat et Martine St-Clair. Ça roulait à fond de train, et les succès s’enchaînaient d’habile façon. Le quatuor bien en voix a couvert quatre décennies de musique québécoise.
La politique s’est invitée avec le passage d’Émile Bilodeau, qui a imploré François Legault de ne pas forer à l’île d’Anticosti. Devant Justin Trudeau assis dans la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, Yann Perreau a dénoncé l’achat du pipeline Trans Mountain.
Du côté des performances musicales, ce fut inégal et assez convenu. Rien n’est vraiment ressorti du lot.
À la technique, les opérateurs de caméras n’avaient pas les réflexes de ceux des Gémeaux, qui filmaient toujours la bonne personne, au bon moment. Hier, ça manquait de rapidité pour les images de réactions.
Une prédiction pour le gala de l’ADISQ de 2019 ? La chanson qu’Olivier a composée pour Pézie à Occupation double ne figurera pas dans la listes des finalistes. La pièce s’appelle Encore et renferme des rimes faciles comme « Y’a cette envie qui nous dévore, soyons le fruit de nos efforts, tu m’as jeté un sort, laisse-moi toucher ton corps ». Eh boboy.
http://plus.lapresse.ca/screens/2546c20 ... ent=Screen
Un hommage mémorable à Harmonium
Quel bel hommage et quelle belle façon de célébrer les 40 ans de l’ADISQ que ce coup de chapeau grandiose à Harmonium. Que c’était émouvant de voir
Serge Fiori, au bord des larmes, recevoir cette «tonne d’amour» grandement méritée avec ses compagnons d’armes tout aussi remués que lui.
«Que c’est que vous venez de faire là, hostie?», a lancé Fiori, les yeux mouillés, après ce vibrant hommage à un des groupes les plus marquants de l’histoire
de la musique québécoise.
Tout était parfait. À commencer par le choix des interprètes, Patrice Michaud, Philippe Brach, Yann Perreau, Ariane Moffatt, Catherine Major et Marie-Pierre Arthur,
dont les interprétations sensibles des hymnes d’Harmonium étaient superbement mises en valeur par la musique de l’OSM.
Puis quand Céline Dion, Michel Rivard, Paul Piché et Richard Séguin sont apparus sur l’écran géant pour chanter Un musicien parmi tant d’autres, on est passé au niveau d’émotions supérieur. Saisi, Serge Fiori s’est renfoncé dans son fauteuil.
Il était touché en plein cœur. Comme nous tous.
Quel bel hommage et quelle belle façon de célébrer les 40 ans de l’ADISQ que ce coup de chapeau grandiose à Harmonium. Que c’était émouvant de voir
Serge Fiori, au bord des larmes, recevoir cette «tonne d’amour» grandement méritée avec ses compagnons d’armes tout aussi remués que lui.
«Que c’est que vous venez de faire là, hostie?», a lancé Fiori, les yeux mouillés, après ce vibrant hommage à un des groupes les plus marquants de l’histoire
de la musique québécoise.
Tout était parfait. À commencer par le choix des interprètes, Patrice Michaud, Philippe Brach, Yann Perreau, Ariane Moffatt, Catherine Major et Marie-Pierre Arthur,
dont les interprétations sensibles des hymnes d’Harmonium étaient superbement mises en valeur par la musique de l’OSM.
Puis quand Céline Dion, Michel Rivard, Paul Piché et Richard Séguin sont apparus sur l’écran géant pour chanter Un musicien parmi tant d’autres, on est passé au niveau d’émotions supérieur. Saisi, Serge Fiori s’est renfoncé dans son fauteuil.
Il était touché en plein cœur. Comme nous tous.