Tout le monde en parle
Modérateur : Elise-Gisèle
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Marie_toutou
- Magicien des Mots
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Re: Tout le monde en parle
Je l'ai connue dans R-Force (outch! ça me rajeunie pas!) C'était une de mes préférées. Elle était toujours sympathique. Ensuite, je l'ai découverte comme commedienne dramatique dans 19-2, j'ignorais qu'elle était comédienne à ce moment, mais j'avais été agréablement surprise. Elle me fait rire en comédie aussi. En entrevue, je trouve que ça dépend du contexte et de l'interviewer. Parfois, on dirait qu'elle emprunte un peu du personnage de l'émission ou du film qu'elle présente...
« La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi ! » -Albert Einstein -
Ce dimanche, Guy A. Lepage reçoit :
• Claude Meunier, Marc Labrèche, Josée Deschênes, Marc Messier et Diane Lavallée pour le grand retour de La Petite Vie;
• le cinéaste Denys Arcand pour son film Testament;
• Louis Morissette pour son premier spectacle solo, Sous pression;
• les ministres François-Philippe Champagne et Pierre Fitzgibbon, à propos du projet d'usine de batteries de l'entreprise Northvolt;
• l'entraîneur-chef des Canadiens de Montréal Martin St-Louis et les joueurs Rafaël Harvey-Pinard, Mike Matheson, Samuel Montembeault et David Savard;
• la cheffe d'orchestre Dina Gilbert, qui dirigera les concerts de Orchestre symphonique de Montréal avec IAM.
• Claude Meunier, Marc Labrèche, Josée Deschênes, Marc Messier et Diane Lavallée pour le grand retour de La Petite Vie;
• le cinéaste Denys Arcand pour son film Testament;
• Louis Morissette pour son premier spectacle solo, Sous pression;
• les ministres François-Philippe Champagne et Pierre Fitzgibbon, à propos du projet d'usine de batteries de l'entreprise Northvolt;
• l'entraîneur-chef des Canadiens de Montréal Martin St-Louis et les joueurs Rafaël Harvey-Pinard, Mike Matheson, Samuel Montembeault et David Savard;
• la cheffe d'orchestre Dina Gilbert, qui dirigera les concerts de Orchestre symphonique de Montréal avec IAM.
Re: Tout le monde en parle
J'ai bien aimé revoir les académiciens de la 1ere année. C'était une super belle gang.
Et c'est pas fini, c'est rien qu'un début...... pu capable de me l'enlever de la tête ! 
Si vous voulez suivre Wilfred il chante dans le groupe les gars du Nord. Leur album de noël ''Caribou'' est excellent!!!
Si vous voulez suivre Wilfred il chante dans le groupe les gars du Nord. Leur album de noël ''Caribou'' est excellent!!!
Dernière modification par christou le lun. oct. 09, 2023 1:02 pm, modifié 3 fois.
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titemousse
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9370
- Inscription : sam. sept. 29, 2007 12:00 am
Non Non, c'était pour moi aussi. Merci belle titemousse!titemousse a écrit : christou juste pour toi
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=zyKzr6oQuJI[/youtube]
Quels beaux souvenirs! 
Marjo aborde sa réunion avec son ex, les raisons de son départ de La Voix et sa sobriété
«Ça a été une très belle expérience, mais plus jamais.»
Marjo se trouvait sur le plateau de Tout le monde en parle et abordait plusieurs aspects de sa vie, dont ses retrouvailles difficiles avec son ancien amoureux Jean Millaire, les raisons de son départ à La Voix et sa sobriété.
C’est tout d’abord dans le cadre du documentaire Amoureuse qu’elle a dû partager un moment avec son ancienne flamme, une expérience qui s’est avérée réparatrice malgré ses résistances.
«J’ai parlé avec votre recherchiste. Elle me posait des questions sur, mettons, le documentaire Amoureuse (…) lequel j’ai eu beaucoup de difficulté à regarder, parce que j’ai pleuré beaucoup. Les pleurs provenaient de… on m’a demandé: Est-ce que tu veux que Jean Millaire soit là, dans le documentaire? C’était dur de dire non. Parce que Jean a beaucoup fait partie de ma vie musicale (…) J’ai dit oui, mais de travers! J’ai pleuré beaucoup. Parce qu’il fallait exécuter des œuvres ensemble (…) C’était très prenant, mais le fait d’avoir fait ça, c’est une épreuve par laquelle je devais passer. Pour passer à l’intronisation et enfin redevenir de vrais amis!», souligne Marjo qui vient d’ailleurs d’être intronisée au panthéon des auteurs et compositeurs en compagnie de Jean Millaire pour l’ensemble de leurs œuvres.
Marjo nous surprenait par la suite en mentionnant les vraies raisons de son départ de La Voix, suite au questionnement de Guy A. Lepage.
«Ce n’est pas moi d’être assise et d’avoir des candidats devant moi qui veulent chanter. Moi, je n’en ferais jamais des affaires de même. Je suis trop timide pour aller me présenter devant du monde et dire: Regarde je sais chanter! (…) Il faut donner des commentaires, puis il y a des caméras devant nous. Puis, il y a du monde qui écoute ça. Ça a été une très belle expérience, mais plus jamais», lance avec franchise la chanteuse.
Par la suite, Marjo révélait être toujours sobre, un sujet qu’elle abordait lorsque Kim Lévesque-Lizotte l’a invitée pour prendre un verre afin de possiblement écrire sur sa vie!
«Je ne bois plus!», confirmait en effet Marjo.
«Ça a été une très belle expérience, mais plus jamais.»
Marjo se trouvait sur le plateau de Tout le monde en parle et abordait plusieurs aspects de sa vie, dont ses retrouvailles difficiles avec son ancien amoureux Jean Millaire, les raisons de son départ à La Voix et sa sobriété.
C’est tout d’abord dans le cadre du documentaire Amoureuse qu’elle a dû partager un moment avec son ancienne flamme, une expérience qui s’est avérée réparatrice malgré ses résistances.
«J’ai parlé avec votre recherchiste. Elle me posait des questions sur, mettons, le documentaire Amoureuse (…) lequel j’ai eu beaucoup de difficulté à regarder, parce que j’ai pleuré beaucoup. Les pleurs provenaient de… on m’a demandé: Est-ce que tu veux que Jean Millaire soit là, dans le documentaire? C’était dur de dire non. Parce que Jean a beaucoup fait partie de ma vie musicale (…) J’ai dit oui, mais de travers! J’ai pleuré beaucoup. Parce qu’il fallait exécuter des œuvres ensemble (…) C’était très prenant, mais le fait d’avoir fait ça, c’est une épreuve par laquelle je devais passer. Pour passer à l’intronisation et enfin redevenir de vrais amis!», souligne Marjo qui vient d’ailleurs d’être intronisée au panthéon des auteurs et compositeurs en compagnie de Jean Millaire pour l’ensemble de leurs œuvres.
Marjo nous surprenait par la suite en mentionnant les vraies raisons de son départ de La Voix, suite au questionnement de Guy A. Lepage.
«Ce n’est pas moi d’être assise et d’avoir des candidats devant moi qui veulent chanter. Moi, je n’en ferais jamais des affaires de même. Je suis trop timide pour aller me présenter devant du monde et dire: Regarde je sais chanter! (…) Il faut donner des commentaires, puis il y a des caméras devant nous. Puis, il y a du monde qui écoute ça. Ça a été une très belle expérience, mais plus jamais», lance avec franchise la chanteuse.
Par la suite, Marjo révélait être toujours sobre, un sujet qu’elle abordait lorsque Kim Lévesque-Lizotte l’a invitée pour prendre un verre afin de possiblement écrire sur sa vie!
«Je ne bois plus!», confirmait en effet Marjo.
Re: Tout le monde en parle
Sophie Grégoire-Trudeau: «Je ne suis pas divorcée, je suis séparée»
L’ex-amoureuse de Justin Trudeau, actuel premier ministre du Canada, était de passage à Tout le monde en parle pour parler de son nouveau livre intitulé Entre nous. Mieux se connaître, mieux s’aimer.
Pourquoi lance-t-elle un livre à ce stade-ci?
«Notre propre histoire, ce n’est jamais assez», lance-t-elle notamment à Guy A. Lepage, une réponse quand même assez vague, mais Sophie Grégoire-Trudeau n’en était alors qu’aux premiers efforts d’une entrevue qui allait s’avérer particulièrement intéressante.
Guy A. Lepage s’attarde ensuite au fait que l’ancienne première dame canadienne utilise toujours son nom de femme mariée malgré sa séparation.
Alors, pourquoi se nomme-t-elle Sophie Grégoire-Trudeau alors qu’elle quitte Justin Trudeau?
«Les gens ne me connaissent pas sous Sophie ou Sophie Grégoire. Je veux que les gens puissent avoir accès au livre», explique-t-elle alors avec une honnêteté qu’il est permis de souligner.
L’animateur de Tout le monde en parle souhaite ensuite revenir sur sa fameuse entrevue (et séance photo) avec le magazine Vogue, en marge de sa séparation, une belle porte d’entrée pour aborder le sujet, d’ailleurs.
«De quelle façon c’est difficile de vivre quelque chose qui est éminemment privé?», demande Guy A. Lepage.
«Je n’ai jamais perçu ma vie (…) pour moi la célébrité, c’est une illusion, c’est un vent de confusion, je n’y crois pas. C’est une construction mentale (…)», lance-t-elle, avant d’ajouter plus loin dans l’entrevue:
«C’est très difficile à comprendre quand on n’a pas été dans cette position-là.»
Par la suite, une question de l’humoriste Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques est venue raviver l’entretien de belle manière, alors qu’il évoque la possibilité que le divorce d’un chef d’État puisse avoir un impact sur la politique étrangère.
«Je ne suis pas divorcée, je suis séparée», lance d’abord sèchement Sophie Grégoire-Trudeau, ramenant les choses à l’ordre, avant d’assurer que «personne n’est venu lui parler de ça de cette manière-là».
C’est à partir de ce moment que la présence de Sophie Grégoire prend une tournure très intéressante, voire pertinente socialement.
«Il va falloir qu’on redéfinisse dans notre société notre maturité relationnelle, dans le sens où on a deux mots dans notre vocabulaire (…) mariage veut dire succès, la séparation, le divorce, veut dire échec», explique-t-elle.
«Êtes-vous en bons termes, avec Justin?», interjette ensuite MC Gilles.
«Mais, bien sûr! Et d’ailleurs, on a terriblement, on a un appel à comprendre… on peut restructurer une relation, puis la changer, sans la tuer, ou sans l’oublier tout en préservant l’histoire, la beauté qui a uni deux êtres (…) C’est une priorité que j’en fais, je vais mettre des efforts là-dessus. Mes enfants se nourrissent de cette énergie-là, puis je pense que c’est super important», répond avec aplomb Sophie Grégoire-Trudeau.
«Si on pouvait faire ça dans plus de famille, y’aurait aussi des enfants qui souffriraient moins», estime-t-elle dans la foulée.
Puis, alors qu’on lui demande si elle s’inquiète du fait que sa séparation pourrait avoir un impact psychologique sur ses propres enfants, elle répond:
«Je ne suis pas inquiète que cette décision-là ait un impact sur leur héritage émotionnel. Je suis concernée et préoccupée comme maman. L’énergie qu’il y a autour d’eux, ils s’en nourrissent.»
Sophie Grégoire-Trudeau estime donc qu’il est «d’autant plus important pour nous de vivre dans notre vérité, de faire face à nos traumatismes, de les régler, justement pour léguer un héritage conscient et mature (…)».
Si l’ancienne première dame du Canada est apparue jusqu’alors absolument en plein contrôle de ses moyens, elle laisse apparaître une brèche sur le plan émotif lorsque l’animateur de Tout le monde en parle revient sur l’entrevue de Justin Trudeau accordée sur ce même plateau quelques semaines auparavant et au cours de laquelle il confirmait vouloir continuer à faire de la politique malgré les conséquences que cela entraîne, dont, on le comprend par la bande, sa propre séparation.
«Je pense que quand on aime quelqu’un profondément (…) il faut créer un espace de liberté pour leurs propres réalisations, même si ça ne nous convient pas (…) choisir l’authenticité au-delà de l’attachement», lance d’abord Sophie Grégoire-Trudeau, avant d’ajouter:
«Tout le monde a peur d’être abandonné dans la vie, d’une manière ou d’une autre, on a besoin de la connexion (…) peu importe ce que vous traversez dans votre vie (…) le risque de se faire confiance ou de faire confiance à la vie vaut tout le jeu au complet.»
Un discours pour le moins inspiré et empreint d’honnêteté de la part de Sophie Grégoire-Trudeau, qu’on ne pourra taxer d’avoir usé de trop de langue de bois durant cet entretien, du moins pour ceux et celles capables de lire entre les lignes.
L’ex-amoureuse de Justin Trudeau, actuel premier ministre du Canada, était de passage à Tout le monde en parle pour parler de son nouveau livre intitulé Entre nous. Mieux se connaître, mieux s’aimer.
Pourquoi lance-t-elle un livre à ce stade-ci?
«Notre propre histoire, ce n’est jamais assez», lance-t-elle notamment à Guy A. Lepage, une réponse quand même assez vague, mais Sophie Grégoire-Trudeau n’en était alors qu’aux premiers efforts d’une entrevue qui allait s’avérer particulièrement intéressante.
Guy A. Lepage s’attarde ensuite au fait que l’ancienne première dame canadienne utilise toujours son nom de femme mariée malgré sa séparation.
Alors, pourquoi se nomme-t-elle Sophie Grégoire-Trudeau alors qu’elle quitte Justin Trudeau?
«Les gens ne me connaissent pas sous Sophie ou Sophie Grégoire. Je veux que les gens puissent avoir accès au livre», explique-t-elle alors avec une honnêteté qu’il est permis de souligner.
L’animateur de Tout le monde en parle souhaite ensuite revenir sur sa fameuse entrevue (et séance photo) avec le magazine Vogue, en marge de sa séparation, une belle porte d’entrée pour aborder le sujet, d’ailleurs.
«De quelle façon c’est difficile de vivre quelque chose qui est éminemment privé?», demande Guy A. Lepage.
«Je n’ai jamais perçu ma vie (…) pour moi la célébrité, c’est une illusion, c’est un vent de confusion, je n’y crois pas. C’est une construction mentale (…)», lance-t-elle, avant d’ajouter plus loin dans l’entrevue:
«C’est très difficile à comprendre quand on n’a pas été dans cette position-là.»
Par la suite, une question de l’humoriste Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques est venue raviver l’entretien de belle manière, alors qu’il évoque la possibilité que le divorce d’un chef d’État puisse avoir un impact sur la politique étrangère.
«Je ne suis pas divorcée, je suis séparée», lance d’abord sèchement Sophie Grégoire-Trudeau, ramenant les choses à l’ordre, avant d’assurer que «personne n’est venu lui parler de ça de cette manière-là».
C’est à partir de ce moment que la présence de Sophie Grégoire prend une tournure très intéressante, voire pertinente socialement.
«Il va falloir qu’on redéfinisse dans notre société notre maturité relationnelle, dans le sens où on a deux mots dans notre vocabulaire (…) mariage veut dire succès, la séparation, le divorce, veut dire échec», explique-t-elle.
«Êtes-vous en bons termes, avec Justin?», interjette ensuite MC Gilles.
«Mais, bien sûr! Et d’ailleurs, on a terriblement, on a un appel à comprendre… on peut restructurer une relation, puis la changer, sans la tuer, ou sans l’oublier tout en préservant l’histoire, la beauté qui a uni deux êtres (…) C’est une priorité que j’en fais, je vais mettre des efforts là-dessus. Mes enfants se nourrissent de cette énergie-là, puis je pense que c’est super important», répond avec aplomb Sophie Grégoire-Trudeau.
«Si on pouvait faire ça dans plus de famille, y’aurait aussi des enfants qui souffriraient moins», estime-t-elle dans la foulée.
Puis, alors qu’on lui demande si elle s’inquiète du fait que sa séparation pourrait avoir un impact psychologique sur ses propres enfants, elle répond:
«Je ne suis pas inquiète que cette décision-là ait un impact sur leur héritage émotionnel. Je suis concernée et préoccupée comme maman. L’énergie qu’il y a autour d’eux, ils s’en nourrissent.»
Sophie Grégoire-Trudeau estime donc qu’il est «d’autant plus important pour nous de vivre dans notre vérité, de faire face à nos traumatismes, de les régler, justement pour léguer un héritage conscient et mature (…)».
Si l’ancienne première dame du Canada est apparue jusqu’alors absolument en plein contrôle de ses moyens, elle laisse apparaître une brèche sur le plan émotif lorsque l’animateur de Tout le monde en parle revient sur l’entrevue de Justin Trudeau accordée sur ce même plateau quelques semaines auparavant et au cours de laquelle il confirmait vouloir continuer à faire de la politique malgré les conséquences que cela entraîne, dont, on le comprend par la bande, sa propre séparation.
«Je pense que quand on aime quelqu’un profondément (…) il faut créer un espace de liberté pour leurs propres réalisations, même si ça ne nous convient pas (…) choisir l’authenticité au-delà de l’attachement», lance d’abord Sophie Grégoire-Trudeau, avant d’ajouter:
«Tout le monde a peur d’être abandonné dans la vie, d’une manière ou d’une autre, on a besoin de la connexion (…) peu importe ce que vous traversez dans votre vie (…) le risque de se faire confiance ou de faire confiance à la vie vaut tout le jeu au complet.»
Un discours pour le moins inspiré et empreint d’honnêteté de la part de Sophie Grégoire-Trudeau, qu’on ne pourra taxer d’avoir usé de trop de langue de bois durant cet entretien, du moins pour ceux et celles capables de lire entre les lignes.
Re: Tout le monde en parle
C'est bizarre quand même que les femmes qui se marient ne peuvent plus prendre le nom de leurs maris , Mais elle a eu le droit de rajouter Trudeau et elle ne veut pas l'enlever.
Re: Tout le monde en parle
C'est parce qu'ils ne se sont pas mariés au Québec. Cette loi est juste au Québec. De plus, elle a bien précisé qu'ils ne sont pas divorcés, juste séparés, alors légalement c'est encore son nom j'imagine..
Re: Tout le monde en parle
Le couple s'est bel et bien mariés au Québec.
"Sophie Grégoire et Justin Trudeau lors de leur mariage à l’église Sainte-Madeleine d’Outremont, à Montréal, en 2005" La Presse
Socialement, c'est un libre choix. Légalement, c'est le nom à la naissance qui prévaut.
"Au Québec, la loi prévoit que les époux conservent leurs noms de naissance respectifs une fois qu'ils sont mariés (article 393 du Code civil)."
Re: Tout le monde en parle
Légalement, c'est toujours Sophie Grégoire même depuis son mariage. Socialement, c'est libre choix.
Re: Tout le monde en parle
La plupart des mariages auxquels j'ai assisté ont été signés avant la célébration en tant que telle, celle-ci n'étant pas l'événement légal et notarié..Jannic a écrit : ↑mar. avr. 23, 2024 5:21 pm
Le couple s'est bel et bien mariés au Québec.
"Sophie Grégoire et Justin Trudeau lors de leur mariage à l’église Sainte-Madeleine d’Outremont, à Montréal, en 2005" La Presse
Socialement, c'est un libre choix. Légalement, c'est le nom à la naissance qui prévaut.
"Au Québec, la loi prévoit que les époux conservent leurs noms de naissance respectifs une fois qu'ils sont mariés (article 393 du Code civil)."
Ce n'est pas un libre choix, c'est interdit au Québec de prendre le nom de son mari.. Tu peux sûrement l'écrire sur des trucs non officiels, mais aucun document ne portera ce nom, ce serait plus embêtant qu'autre chose..
Cela dit, je pense que le fait de résider ailleurs qu'au Québec permettrait à une femme de prendre le nom de son mari, même si le mariage a été signé au Québec..
Mais ça se peut bien que j'ai tort..