Réacteur à fusion
Selon les ministres européens, il sera bâti en France, n'en déplaise au Japon candidat.
Pour les Européens, Cadarache sera l'Iterminus
La décision est «irrévocable». Le mot est du ministre français de la recherche, François d'Aubert, au sortir du conseil européen vendredi. «Nous avons décidé de faire Iter à Cadarache», affirme-t-il, quelle que soit l'issue des négociations que la Commission européenne mène encore avec le Japon et les Etats-Unis afin de les rallier au projet de réacteur thermonucléaire expérimental.
Le ministre a beau prétendre ne voir là «aucun ultimatum», le message de l'Union européenne est clair. Le mandat donné à la Commission, sans date butoir, est d'effectuer toutes les opérations nécessaires au lancement du projet dont la rédaction du traité entre partenaires sans avoir besoin d'une nouvelle réunion du conseil. Même si le pire des cas possibles survenait, avec une coopération réduite à trois : UE, Russie, Chine. Dans ce sombre scénario, le budget (4,7 milliards d'euros pour les dix ans de construction) serait bouclé par des participations supplémentaires «de la France (20 %), de l'Espagne et de l'Italie», selon d'Aubert. Ainsi que par l'arrivée de nouveaux partenaires comme le Brésil, la Suisse ou l'Inde.
Mauvaises manières. La Commission doit toutefois tenter de convaincre le maximum de partenaires pour mieux partager le coût et s'assurer de réunir toutes les compétences. Le Japon se verrait offrir une place de choix, avec la construction d'une installation de tests destinée aux matériaux irradiés et des contrats industriels pour Iter. Problème : les Nippons ont mal pris l'annonce européenne. «Si l'Europe maintient sa position de fermeté et si la France commence la construction sans aucun accord de notre part, nous ne collaborerons jamais», a prévenu Satoru Ohtake, responsable de la fusion nucléaire au sein de l'administration japonaise. «Ce sont de mauvaises manières. Nous avons notre fierté», a-t-il ajouté.
Un discours qui n'émeut guère François d'Aubert, convaincu par les experts du Commissariat à l'énergie atomique qu'il n'y aura qu'une machine de ce type au monde. S'ils veulent rester dans la course, les physiciens japonais et américains feront le voyage à Cadarache, parie-t-il.
Pour les Européens, Cadarache sera l'Iterminus
La décision est «irrévocable». Le mot est du ministre français de la recherche, François d'Aubert, au sortir du conseil européen vendredi. «Nous avons décidé de faire Iter à Cadarache», affirme-t-il, quelle que soit l'issue des négociations que la Commission européenne mène encore avec le Japon et les Etats-Unis afin de les rallier au projet de réacteur thermonucléaire expérimental.
Le ministre a beau prétendre ne voir là «aucun ultimatum», le message de l'Union européenne est clair. Le mandat donné à la Commission, sans date butoir, est d'effectuer toutes les opérations nécessaires au lancement du projet dont la rédaction du traité entre partenaires sans avoir besoin d'une nouvelle réunion du conseil. Même si le pire des cas possibles survenait, avec une coopération réduite à trois : UE, Russie, Chine. Dans ce sombre scénario, le budget (4,7 milliards d'euros pour les dix ans de construction) serait bouclé par des participations supplémentaires «de la France (20 %), de l'Espagne et de l'Italie», selon d'Aubert. Ainsi que par l'arrivée de nouveaux partenaires comme le Brésil, la Suisse ou l'Inde.
Mauvaises manières. La Commission doit toutefois tenter de convaincre le maximum de partenaires pour mieux partager le coût et s'assurer de réunir toutes les compétences. Le Japon se verrait offrir une place de choix, avec la construction d'une installation de tests destinée aux matériaux irradiés et des contrats industriels pour Iter. Problème : les Nippons ont mal pris l'annonce européenne. «Si l'Europe maintient sa position de fermeté et si la France commence la construction sans aucun accord de notre part, nous ne collaborerons jamais», a prévenu Satoru Ohtake, responsable de la fusion nucléaire au sein de l'administration japonaise. «Ce sont de mauvaises manières. Nous avons notre fierté», a-t-il ajouté.
Un discours qui n'émeut guère François d'Aubert, convaincu par les experts du Commissariat à l'énergie atomique qu'il n'y aura qu'une machine de ce type au monde. S'ils veulent rester dans la course, les physiciens japonais et américains feront le voyage à Cadarache, parie-t-il.
Editorial de François d’Aubert, Ministre délégué à la Recherche
Avec tous les pays de l’Union européenne, avec la Chine, avec la Russie, nous partageons une grande ambition : accueillir en Provence le centre de recherche international ITER, et ainsi faire gagner l’Europe et progresser la coopération scientifique mondiale sur la fusion.
Cadarache est le meilleur site mondial pour construire ITER, pour y accueillir les plus grands savants mondiaux de la fusion. ITER à Cadarache, c’est partager notre savoir-faire, nos compétences, notre expertise, pour réussir ensemble.
Pour mener à bien un projet aussi complexe, pour éviter les retards, pour anticiper les aléas, pour limiter les coûts, le bon sens, le sens des responsabilités, c’est de faire confiance à l’expérience. En Europe, la France avec d’autres pays, a cette expérience. Nos chercheurs ont cette passion. Leur envie de réussir, ce n’est pas de l’arrogance, c’est une conviction. Je partage, moi aussi, cette conviction.
L’Etat, les collectivités territoriales – départements et région - en Provence Alpes Côte d’Azur font un effort financier considérable en faveur d’ITER. Pour être prêts les premiers et accueillir rapidement ITER à Cadarache, nous avons déjà prévu les conditions de vie et d’accueil des chercheurs internationaux et de leurs familles, nous avons prévu les aspects managériaux et logistiques pour réussir le pari technologique de la construction de ce très grand équipement. Nous avons déjà engagé les procédures d’autorisation légale pour l’installation d’ITER. En favorisant l’amélioration du tissu économique, en donnant plus d’atouts à cette région, nous renforcerons notre place dans la compétition économique européenne et internationale.
Avec ITER, nous travaillons à doter l’Union européenne et la planète de l’énergie du futur. Dans notre société où la protection de l’environnement dans la perspective du développement durable est prioritaire, envisager et prévoir la production d’une énergie abondante, respectueuse de l’environnement, c’est un beau défi. C’est une nouvelle frontière pour les savants, pour les décideurs, pour les responsables socio-économiques, pour tous nos concitoyens. Cette responsabilité-là, en pensant aux générations futures, je suis fier de la porter au nom du gouvernement.
Le choix du site d’implantation d’ITER, Cadarache ou le Japon, ne peut être repoussé plus longtemps. Nous avons fourni des efforts d’explication, nous avons loyalement cherché toutes les solutions pour que chacun ait sa place dans la coopération internationale à laquelle nous sommes attachés.
La seule question que tous nos partenaires internationaux doivent désormais se poser avec nous est : quel est le meilleur projet ? La réponse est claire : c’est le site de Cadarache.
ITER est une ambition trop forte pour que la décision soit différée. Le calendrier est serré, la discussion est âpre mais nos atouts sont reconnus. Ma détermination est totale.
http://www.iter.gouv.fr/
http://www.itercad.org/index_fr.html --Message edité par Acrux le 2004-11-28 23:25:49--
Avec tous les pays de l’Union européenne, avec la Chine, avec la Russie, nous partageons une grande ambition : accueillir en Provence le centre de recherche international ITER, et ainsi faire gagner l’Europe et progresser la coopération scientifique mondiale sur la fusion.
Cadarache est le meilleur site mondial pour construire ITER, pour y accueillir les plus grands savants mondiaux de la fusion. ITER à Cadarache, c’est partager notre savoir-faire, nos compétences, notre expertise, pour réussir ensemble.
Pour mener à bien un projet aussi complexe, pour éviter les retards, pour anticiper les aléas, pour limiter les coûts, le bon sens, le sens des responsabilités, c’est de faire confiance à l’expérience. En Europe, la France avec d’autres pays, a cette expérience. Nos chercheurs ont cette passion. Leur envie de réussir, ce n’est pas de l’arrogance, c’est une conviction. Je partage, moi aussi, cette conviction.
L’Etat, les collectivités territoriales – départements et région - en Provence Alpes Côte d’Azur font un effort financier considérable en faveur d’ITER. Pour être prêts les premiers et accueillir rapidement ITER à Cadarache, nous avons déjà prévu les conditions de vie et d’accueil des chercheurs internationaux et de leurs familles, nous avons prévu les aspects managériaux et logistiques pour réussir le pari technologique de la construction de ce très grand équipement. Nous avons déjà engagé les procédures d’autorisation légale pour l’installation d’ITER. En favorisant l’amélioration du tissu économique, en donnant plus d’atouts à cette région, nous renforcerons notre place dans la compétition économique européenne et internationale.
Avec ITER, nous travaillons à doter l’Union européenne et la planète de l’énergie du futur. Dans notre société où la protection de l’environnement dans la perspective du développement durable est prioritaire, envisager et prévoir la production d’une énergie abondante, respectueuse de l’environnement, c’est un beau défi. C’est une nouvelle frontière pour les savants, pour les décideurs, pour les responsables socio-économiques, pour tous nos concitoyens. Cette responsabilité-là, en pensant aux générations futures, je suis fier de la porter au nom du gouvernement.
Le choix du site d’implantation d’ITER, Cadarache ou le Japon, ne peut être repoussé plus longtemps. Nous avons fourni des efforts d’explication, nous avons loyalement cherché toutes les solutions pour que chacun ait sa place dans la coopération internationale à laquelle nous sommes attachés.
La seule question que tous nos partenaires internationaux doivent désormais se poser avec nous est : quel est le meilleur projet ? La réponse est claire : c’est le site de Cadarache.
ITER est une ambition trop forte pour que la décision soit différée. Le calendrier est serré, la discussion est âpre mais nos atouts sont reconnus. Ma détermination est totale.
http://www.iter.gouv.fr/
http://www.itercad.org/index_fr.html --Message edité par Acrux le 2004-11-28 23:25:49--
Merci Accrux, cette fois-ci c,est toi qui a joué au detective........lol
Citation :Dans notre société où la protection de l’environnement dans la perspective du développement durable est prioritaire, envisager et prévoir la production d’une énergie abondante, respectueuse de l’environnement, c’est un beau défi
Tu pars de ça = tout a l'air beau comme dans le meilleur des mondes.......tu rajoutes réacteur nucléaire........cela ne devient-il pas une antithèse ??????
Citation :Dans notre société où la protection de l’environnement dans la perspective du développement durable est prioritaire, envisager et prévoir la production d’une énergie abondante, respectueuse de l’environnement, c’est un beau défi
Tu pars de ça = tout a l'air beau comme dans le meilleur des mondes.......tu rajoutes réacteur nucléaire........cela ne devient-il pas une antithèse ??????
Tu m'as transmis ta passion
C'est clair que dans tout avancé technologique il y a du bon et du mauvais... Je ne crois pas que le fait de la ralentir ou de la stopper règlerait le problème. De toute ça serait impossible à faire.
C'est dans la façon de faire les choses qu'il y a du travail à faire. Le Mr Aubert c'est pas fort son affaire...
C'est clair que dans tout avancé technologique il y a du bon et du mauvais... Je ne crois pas que le fait de la ralentir ou de la stopper règlerait le problème. De toute ça serait impossible à faire.
C'est dans la façon de faire les choses qu'il y a du travail à faire. Le Mr Aubert c'est pas fort son affaire...
Acrux a écritEditorial de François d’Aubert, Ministre délégué à la Recherche
ITER est une ambition trop forte pour que la décision soit différée. Le calendrier est serré, la discussion est âpre mais nos atouts sont reconnus. Ma détermination est totale.
Ce qui m'a frappé du message est cette petite phrase. Faut croire que les politiciens Français ne sont pas si différent que nos voisins. Je n'aime pas beaucoup les déterminantion totale. J'ai hâte de voir ce que la population en pense.
ITER est une ambition trop forte pour que la décision soit différée. Le calendrier est serré, la discussion est âpre mais nos atouts sont reconnus. Ma détermination est totale.
Ce qui m'a frappé du message est cette petite phrase. Faut croire que les politiciens Français ne sont pas si différent que nos voisins. Je n'aime pas beaucoup les déterminantion totale. J'ai hâte de voir ce que la population en pense.
Et je reviens encore sur ça.. Il est impératif qu'un organisme ou un gouvernement mondial prenne en charge ce genre de truc parce que sinon nous risqueront gros...
Beaucoup de seront pas d'accord, mais mon opinion c'est qu'une dictature communiste mondiale vaut mieux qu'une ou plusieurs guerres nucléaires.
Beaucoup de seront pas d'accord, mais mon opinion c'est qu'une dictature communiste mondiale vaut mieux qu'une ou plusieurs guerres nucléaires.
Acrux a écritEt je reviens encore sur ça.. Il est impératif qu'un organisme ou un gouvernement mondial prenne en charge ce genre de truc parce que sinon nous risqueront gros...
Beaucoup de seront pas d'accord, mais mon opinion c'est qu'une dictature communiste mondiale vaut mieux qu'une ou plusieurs guerres nucléaires.
Méchant choix que tu nous donnes, une mort lente ou rapide.
Beaucoup de seront pas d'accord, mais mon opinion c'est qu'une dictature communiste mondiale vaut mieux qu'une ou plusieurs guerres nucléaires.
Méchant choix que tu nous donnes, une mort lente ou rapide.
Fabine a écrit
Ce qui m'a frappé du message est cette petite phrase. Faut croire que les politiciens Français ne sont pas si différent que nos voisins. Je n'aime pas beaucoup les déterminantion totale. J'ai hâte de voir ce que la population en pense.
Des polititiens parfait ça n'existe pas... J'ai toujours eu un sourire en coin quand je voyais Chirac se péter les bretelles en jouant au grand diplômate contre la guerre en Irak pour défendre les soi-disants intérêts irakiens, sachant que la France et l'Irak étaient de très bons partenaires économique... --Message edité par Acrux le 2004-11-28 23:51:34--
Ce qui m'a frappé du message est cette petite phrase. Faut croire que les politiciens Français ne sont pas si différent que nos voisins. Je n'aime pas beaucoup les déterminantion totale. J'ai hâte de voir ce que la population en pense.
Des polititiens parfait ça n'existe pas... J'ai toujours eu un sourire en coin quand je voyais Chirac se péter les bretelles en jouant au grand diplômate contre la guerre en Irak pour défendre les soi-disants intérêts irakiens, sachant que la France et l'Irak étaient de très bons partenaires économique... --Message edité par Acrux le 2004-11-28 23:51:34--
Fabine a écrit
Méchant choix que tu nous donnes, une mort lente ou rapide.
On meurt tous un jour!
Non sérieux, c'est juste que sans ça je ne vois aucun moyen de pouvoir s'en sortir, tant qu'il y aura une compétition entre les peuples pour conquérir richesses et pouvoir il y aura des guerres, et de nos jour une guerre peut-être pas mal plus dévastatrice qu'au moyenne âge... --Message edité par Acrux le 2004-11-28 23:53:08--
Méchant choix que tu nous donnes, une mort lente ou rapide.
On meurt tous un jour!
Non sérieux, c'est juste que sans ça je ne vois aucun moyen de pouvoir s'en sortir, tant qu'il y aura une compétition entre les peuples pour conquérir richesses et pouvoir il y aura des guerres, et de nos jour une guerre peut-être pas mal plus dévastatrice qu'au moyenne âge... --Message edité par Acrux le 2004-11-28 23:53:08--
Cette histoire me fait penser au Suroît, on sentait bien que derrière une soit-disant urgence énergitique, qu'en fait c'était des intérêts économiques de petits amis du pouvoir, m'étonnerait pas d'ailleurs que ces derniers, qui qu'ils soient aient recyclé dans l'énergie éolienne dernièrement.
Il y a la même apparence dans cette histoire....on dirait que dans le domaine nucléaire ça grenouille comme dans celui du pétrole.....je vais dire comme vs, j'espère que la population va réagir...
Il y a la même apparence dans cette histoire....on dirait que dans le domaine nucléaire ça grenouille comme dans celui du pétrole.....je vais dire comme vs, j'espère que la population va réagir...
La fusion nucléaire est largement préférable à la fission nucléaire puisqu'elle ne produit aucun déchet radioactif et donc aucune manière de réutiliser le tout pour faire une bombe sale...
Par ailleurs, si je ne m'abuse, il est impossible pour un réacteur à fusion nucléaire de s'emballer contrairement à un réacteur à fission nucléaire, puisque dans la réaction de fusion, l'énergie ne peut pas être réutilisée pour continuer la réaction... Ceci dit sous doute réserve... C'est un vague souvenir de mes cours de physique
Par ailleurs, si je ne m'abuse, il est impossible pour un réacteur à fusion nucléaire de s'emballer contrairement à un réacteur à fission nucléaire, puisque dans la réaction de fusion, l'énergie ne peut pas être réutilisée pour continuer la réaction... Ceci dit sous doute réserve... C'est un vague souvenir de mes cours de physique
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
cadarache=danger
une petite explication:
sur les dangers du site nuclcléaire de cadarache placé sur la principale faille active de provence.
deux régions française,la provence et le gard-ardeche,ont le privilége d'avoir en commun le soleil,un sous sol instable et une forte concentration d'installations nucléaire comportant chacune une usine manipulant du plutonium .
le site de cadarache est situé sur la faille d'aix-en-provence- durance,de direction N.N.E et S.S.W la plus active de france,et à proximité d'une autre,celle de la trévaresse de direction E.W,qui à engendré le plus grave séisme enregistré en france, il y a presque 100 ans.
l'inventaire des fichiers des séismes répertorié en provence démontre aussi un grand nombre de séismes actuels ont leur foyer
à grande profondeur,souvent superieure à 10 000 métres,c'est à dire au niveau du socle,l'éxamen comparatif des documents géologiques et géophysiques vient appuyer encore cette évidence des anomalies gravimétriques à fort rejet vertical se calquent sur le réseau de failles de surface,tant à l'ouest de la faille d'aix-en-provence-durance qu'a l'est de celle-ci.
la tentative du C.E.A ,de minimiser les risques sismiques à cadarache à conduit également les nombreux experts du sérial nucléaire financé par le C.E.A,à passer sous silence l'existence des"faille capable" de maragrate et de vinon qui sont à proximité immédiate de cadarache et dont l'une chevauchante,passe sous le site nucléaire.elle sont effectivement capables de rejouer dans le futur,comme elle l'ont fait dans un passé récent ,c'est pourquoi l'A.I.E.A proscrit l'implantation de site sensible à proximité de telle faille.
la france posséde aujourd'hui 58 réacteurs nucléaires en activité sur 19 sites répartis à travers toute la france,
un surgénérateur en cour de révision(phénix).
un surgénérateur définitivement arrété(super phénix)
deux usines de retraitement,trois usines de fabrications de combustible,des centrales en démantellement,en 2003,on comptait officiellement en france plus de 11000 sites renferment des dechets nucléaires . la france le pays le plus nucléarisé au monde.
source"sortire du nucléaire"
une petite explication:
sur les dangers du site nuclcléaire de cadarache placé sur la principale faille active de provence.
deux régions française,la provence et le gard-ardeche,ont le privilége d'avoir en commun le soleil,un sous sol instable et une forte concentration d'installations nucléaire comportant chacune une usine manipulant du plutonium .
le site de cadarache est situé sur la faille d'aix-en-provence- durance,de direction N.N.E et S.S.W la plus active de france,et à proximité d'une autre,celle de la trévaresse de direction E.W,qui à engendré le plus grave séisme enregistré en france, il y a presque 100 ans.
l'inventaire des fichiers des séismes répertorié en provence démontre aussi un grand nombre de séismes actuels ont leur foyer
à grande profondeur,souvent superieure à 10 000 métres,c'est à dire au niveau du socle,l'éxamen comparatif des documents géologiques et géophysiques vient appuyer encore cette évidence des anomalies gravimétriques à fort rejet vertical se calquent sur le réseau de failles de surface,tant à l'ouest de la faille d'aix-en-provence-durance qu'a l'est de celle-ci.
la tentative du C.E.A ,de minimiser les risques sismiques à cadarache à conduit également les nombreux experts du sérial nucléaire financé par le C.E.A,à passer sous silence l'existence des"faille capable" de maragrate et de vinon qui sont à proximité immédiate de cadarache et dont l'une chevauchante,passe sous le site nucléaire.elle sont effectivement capables de rejouer dans le futur,comme elle l'ont fait dans un passé récent ,c'est pourquoi l'A.I.E.A proscrit l'implantation de site sensible à proximité de telle faille.
la france posséde aujourd'hui 58 réacteurs nucléaires en activité sur 19 sites répartis à travers toute la france,
un surgénérateur en cour de révision(phénix).
un surgénérateur définitivement arrété(super phénix)
deux usines de retraitement,trois usines de fabrications de combustible,des centrales en démantellement,en 2003,on comptait officiellement en france plus de 11000 sites renferment des dechets nucléaires . la france le pays le plus nucléarisé au monde.
source"sortire du nucléaire"
C'est comme placer un chaudron d'eau bouillante sur une chaise à 3 pattes......
J'ignorais que la France vivait cette problèmatique...il y a-t-il d'autres énergies en voies de recherche et développement ?
Et la population...comment vit-elle cela? --Message edité par tuberale le 2004-11-29 09:28:12--
J'ignorais que la France vivait cette problèmatique...il y a-t-il d'autres énergies en voies de recherche et développement ?
Et la population...comment vit-elle cela? --Message edité par tuberale le 2004-11-29 09:28:12--