AGENCE DE PRESSE OLYMPIQUE...!
Athlétisme :/
Haile Gebrselassie pourrait ne pas défendre son titre olympique du 10 000m
Associated Press (AP)
16/08/2004 15h06 - Mise à jour
Haile Gebrselassie lors des Jeux olympiques de Sydney, en 2000.
© AP - Laura Rauch
L'Éthiopien Haile Gebrselassie pourrait être dans l'incapacité de défendre son titre olympique du 10 000m en raison d'une blessure au talon d'Achille et pourrait déclarer forfait, selon son entraîneur.
«Il ne va pas très fort, a déclaré lundi Jos Hermens. Il pourrait rater les Jeux, il souffre de cette blessure depuis trois-quatre semaines.»
Gebrselassie, l'un des plus grands coureurs de fond de tous les temps -il va tenter d'être le premier coureur à remporter un troisième titre olympique d'affilée dans la même épreuve -, a consulté un spécialiste allemand, le Dr Hans-Wilhelm Mueller-Wohlfahrt, médecin du Bayern Munich.
«Il va un peu mieux, mais ça pourrait ne pas être suffisant, selon Jos Hermens. Il va bien à l'entraînement, mais c'est le tendon d'Achille gauche: c'est difficile de faire des prévisions.»
Les athlètes éthiopiens doivent arriver à Athènes mercredi, et la finale du 10 000m est prévue vendredi. --Message edité par slick27 le 2004-08-17 10:34:05--
Haile Gebrselassie pourrait ne pas défendre son titre olympique du 10 000m
Associated Press (AP)
16/08/2004 15h06 - Mise à jour
Haile Gebrselassie lors des Jeux olympiques de Sydney, en 2000.
© AP - Laura Rauch
L'Éthiopien Haile Gebrselassie pourrait être dans l'incapacité de défendre son titre olympique du 10 000m en raison d'une blessure au talon d'Achille et pourrait déclarer forfait, selon son entraîneur.
«Il ne va pas très fort, a déclaré lundi Jos Hermens. Il pourrait rater les Jeux, il souffre de cette blessure depuis trois-quatre semaines.»
Gebrselassie, l'un des plus grands coureurs de fond de tous les temps -il va tenter d'être le premier coureur à remporter un troisième titre olympique d'affilée dans la même épreuve -, a consulté un spécialiste allemand, le Dr Hans-Wilhelm Mueller-Wohlfahrt, médecin du Bayern Munich.
«Il va un peu mieux, mais ça pourrait ne pas être suffisant, selon Jos Hermens. Il va bien à l'entraînement, mais c'est le tendon d'Achille gauche: c'est difficile de faire des prévisions.»
Les athlètes éthiopiens doivent arriver à Athènes mercredi, et la finale du 10 000m est prévue vendredi. --Message edité par slick27 le 2004-08-17 10:34:05--
NONNNNNNNNNN
Le 10,000 m sans Haile Gebrselassie ce n'est pas la même chose. Ce coureur éthiopien est une véritable légende et ce serait bien triste qu'il ne puisse défendre son titre.
Le 10,000 m sans Haile Gebrselassie ce n'est pas la même chose. Ce coureur éthiopien est une véritable légende et ce serait bien triste qu'il ne puisse défendre son titre.
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Jeux d'été 2004
Mauvaise traduction?
Associated Press (AP)
15/08/2004 18h28
L'entraîneur de l'équipe de basket de la Serbie-Montenegro, Zeljko Obradovic, s'en est pris au traducteur avant de quitter théâtralement la conférence de presse donnée après la défaite de son équipe battue dimanche 83-82 à la dernière seconde par l'Argentine.
«C'est ridicule. Je ne veux pas parler parce que l'interprète est très mauvais», a hurlé, furieux, Zeljko Obradovic, en anglais, avant de quitter l'estrade.
«Je sais parler anglais, mais je n'en ai pas envie. J'ai le droit de parler dans ma propre langue».
Il a ensuite adressé un bref commentaire en espagnol à l'entraîneur argentin Ruben Magnano avant de quitter la salle... suivi par les trois-quarts des journalistes.
«Tout ce que je peux dire, c'est que quand mon équipe a perdu la finale des championnats du monde, je suis resté tout au long de la conférence de presse», remarquait Ruben Magnano, l'air amusé devant cet auditoire soudain réduit.
«Mais je peux comprendre qu'il veuille une traduction exacte».
Mauvaise traduction?
Associated Press (AP)
15/08/2004 18h28
L'entraîneur de l'équipe de basket de la Serbie-Montenegro, Zeljko Obradovic, s'en est pris au traducteur avant de quitter théâtralement la conférence de presse donnée après la défaite de son équipe battue dimanche 83-82 à la dernière seconde par l'Argentine.
«C'est ridicule. Je ne veux pas parler parce que l'interprète est très mauvais», a hurlé, furieux, Zeljko Obradovic, en anglais, avant de quitter l'estrade.
«Je sais parler anglais, mais je n'en ai pas envie. J'ai le droit de parler dans ma propre langue».
Il a ensuite adressé un bref commentaire en espagnol à l'entraîneur argentin Ruben Magnano avant de quitter la salle... suivi par les trois-quarts des journalistes.
«Tout ce que je peux dire, c'est que quand mon équipe a perdu la finale des championnats du monde, je suis resté tout au long de la conférence de presse», remarquait Ruben Magnano, l'air amusé devant cet auditoire soudain réduit.
«Mais je peux comprendre qu'il veuille une traduction exacte».
Un athlète danois tue un touriste britannique dans un accident
Un athlète danois de 23 ans, qui conduisait une voiture sur une avenue du bord de mer à Alimos, dans la banlieue sud d'Athènes, a heurté et tué dimanche soir un piéton britannique qui traversait la rue, a-t-on appris lundi de source policière.
La victime, Erol Antony Ftrahn, 45 ans, a été aussitôt transférée à l'hôpital, où les médecins ont constaté sa mort, selon la même source.
L'athlète danois, Nicklas Holm, participait aux compétitions de voile des jeux Olympiques d'Athènes.
L'accident a eu lieu vers 21h00 locales (18h00 GMT) sur la grande avenue Posidonos qui longe les sites olympiques d'Agios Cosmas (voile) et d'Hellinikon (escrime, basket-ball, slalom canoë-kayak, base-ball) ainsi que le complexe de Faliro (beach-volley, taekwondo).
Un athlète danois de 23 ans, qui conduisait une voiture sur une avenue du bord de mer à Alimos, dans la banlieue sud d'Athènes, a heurté et tué dimanche soir un piéton britannique qui traversait la rue, a-t-on appris lundi de source policière.
La victime, Erol Antony Ftrahn, 45 ans, a été aussitôt transférée à l'hôpital, où les médecins ont constaté sa mort, selon la même source.
L'athlète danois, Nicklas Holm, participait aux compétitions de voile des jeux Olympiques d'Athènes.
L'accident a eu lieu vers 21h00 locales (18h00 GMT) sur la grande avenue Posidonos qui longe les sites olympiques d'Agios Cosmas (voile) et d'Hellinikon (escrime, basket-ball, slalom canoë-kayak, base-ball) ainsi que le complexe de Faliro (beach-volley, taekwondo).
Un piéton écrasé par le nouveau tramway
Un piéton a été grièvement blessé après avoir été écrasé par un tramway à Faliron, dans le sud d'Athènes, près du complexe de Faliron, où se déroulent les compétitions de taekwondo et handball, selon des sources policières.
La personne a été bloquée sous le tramway et une grue a été dépêchée sur place pour soulever la rame.
Ce drame est le premier accident grave impliquant le nouveau tramway inauguré à l'occasion des Jeux olympiques d'Athènes. Depuis sa mise en service le 19 juillet, 13 accidents le concernant ont été répertoriés, mais aucun n'avait fait jusqu'à présent de blessé sérieux.
Un piéton a été grièvement blessé après avoir été écrasé par un tramway à Faliron, dans le sud d'Athènes, près du complexe de Faliron, où se déroulent les compétitions de taekwondo et handball, selon des sources policières.
La personne a été bloquée sous le tramway et une grue a été dépêchée sur place pour soulever la rame.
Ce drame est le premier accident grave impliquant le nouveau tramway inauguré à l'occasion des Jeux olympiques d'Athènes. Depuis sa mise en service le 19 juillet, 13 accidents le concernant ont été répertoriés, mais aucun n'avait fait jusqu'à présent de blessé sérieux.
Une grande fête pour la cérémonie de clôture
La cérémonie de clôture des Jeux olympiques d'Athènes sera "une bacchanale" (fête orgiaque) distrayante, à contre-pied de celle d'ouverture, plus versée dans les symboles, a indiqué son directeur artistique Dimitris Papaïoannou dans des entretiens parus lundi dans la presse.
Cette cérémonie "aura un caractère différent de celle de l'ouverture. Ce n'est pas le moment où nous recevons nos invités, mais la fête qu'on fait sur la terrasse", indique le chorégraphe, peintre et réalisateur au journal Ta Néa.
Dimanche, M. Papaïoannou avait indiqué à la radio privée Flash que la cérémonie de clôture serait "une fête où nous allons défaire les noeuds de nos cravates" alors que celle de l'ouverture avait eu un caractère "spirituel."
Admirateur du Français Philippe Découfflé, M. Papaïoannou avait prévu un "début apollinien" (en référence au dieu antique Apollon) pour l'ouverture et un élément "des bacchanales" (les fêtes orgiaques du dieu Bacchus) pour la clôture.
La cérémonie de clôture des Jeux olympiques d'Athènes sera "une bacchanale" (fête orgiaque) distrayante, à contre-pied de celle d'ouverture, plus versée dans les symboles, a indiqué son directeur artistique Dimitris Papaïoannou dans des entretiens parus lundi dans la presse.
Cette cérémonie "aura un caractère différent de celle de l'ouverture. Ce n'est pas le moment où nous recevons nos invités, mais la fête qu'on fait sur la terrasse", indique le chorégraphe, peintre et réalisateur au journal Ta Néa.
Dimanche, M. Papaïoannou avait indiqué à la radio privée Flash que la cérémonie de clôture serait "une fête où nous allons défaire les noeuds de nos cravates" alors que celle de l'ouverture avait eu un caractère "spirituel."
Admirateur du Français Philippe Découfflé, M. Papaïoannou avait prévu un "début apollinien" (en référence au dieu antique Apollon) pour l'ouverture et un élément "des bacchanales" (les fêtes orgiaques du dieu Bacchus) pour la clôture.
(Photo La Presse) Coucher de soleil dans le smog d'Athènes. La photo est prise à partir du mont Lycabethe.
La pollution coupe le souffle aux athlètes
Paul Journet
La Presse
À Athènes, les athlètes auront les poumons qui brûlent et le souffle coupé. Et pour une fois, l'effort physique intense ne sera pas le seul responsable. Un cocktail explosif d'air vicié et de chaleur accablante compliquera en effet chaque respiration des athlètes. Au point de nuire sérieusement à leur performance dans les épreuves extérieures d'endurance.
La capitale grecque trône au palmarès des villes les plus polluées d'Europe. Le problème y est tellement grave que Richard Pound a admis avoir voté en 1997 pour que les Jeux de 2004 soient attribués à Rome. M. Pound, qui était alors vice-président du Comité international olympique (CIO), avait boudé Athènes par crainte que sa pollution ne rende les athlètes malades.
Martin Laurendeau, l'entraîneur de l'équipe masculine de tennis, prévoit même que les arbitres alloueront de plus longues pauses aux joueurs entre les points. «Le délai visera à contrer les effets de la pollution atmosphérique», précise l'ancien joueur professionnel.
Le Dr Robert Foxford, médecin en chef de la délégation canadienne, remarque la piètre qualité de l'air depuis son arrivée à Athènes. «Hier, j'ai dîné dans un café au centre-ville, raconte-t-il. Des particules y flottent dans l'air en permanence. En moins d'une heure, les autos en étaient recouvertes d'une couche visible à l'oeil nu !»
Dans ces conditions, respirer devient difficile. D'après le Dr Foxford, les athlètes asthmatiques et allergiques sont les plus vulnérables. La délégation canadienne compte 26 asthmatiques sur un total de 275 athlètes. En comparaison, 60 Australiens sur 485 sont asthmatiques.
L'entraîneur Martin Laurendeau comprend ce qui les attend. Lorsqu'il jouait pour un collège américain dans la région de Los Angeles, le tennisman, asthmatique lui aussi, a plus d'une fois souffert de la mauvaise qualité de l'air. «J'avais les poumons qui brûlaient, la gorge irritée, je toussais et trouver mon souffle devenait difficile», se souvient-il.
Épreuves d'endurance
C'est dans les épreuves d'endurance surtout que l'impact de la pollution se fera sentir : plus la quantité d'air inhalée est grande, plus l'effet de la pollution est important.
Émilie Mondor, qui court le 5000 mètres, ne se fait pas d'illusions. «Je serai l'une des Canadiennes qui parcourent la plus longue distance, et donc parmi les plus affectées par la pollution, explique la résidante de Mascouche âgée de 23 ans. Il n'y aura presque pas d'air à respirer. Ce sera très difficile.»
Briser des records olympiques sera plus ardu dans ces conditions. «La course du 5000 mètres sera lente et tactique», anticipe Émilie Mondor. Daniel St-Hilaire, l'entraîneur canadien d'athlétisme, croit aussi que les performances risquent d'être moins bonnes aux épreuves de 1500 mètres et plus. «Or, c'est le classement qui compte, pas le temps», rassure-t-il.
Contrairement à la chaleur et à l'altitude, la pollution est un facteur auquel il est impossible de s'acclimater. Au contraire, pour limiter les dégâts, il faut éviter de s'y exposer. Le Comité olympique canadien a déjà fait à cet égard plusieurs recommandations pour protéger ses athlètes. «On nous a conseillé d'écourter nos entraînements et de les tenir le matin ou le soir, quand la pollution est plus faible, indique Daniel Saint-Hilaire. De plus, nos athlètes doivent éviter de s'exposer à la pollution en s'aventurant inutilement au centre-ville.»
Rester dans le village olympique, situé à environ 20 kilomètres du centre-ville, est en effet un choix sage. La pollution y est nettement inférieure. «Des lieux d'entraînements ont même été prévus dans le village», affirme le Dr Foxford.
L'anneau vert manquera au drapeau olympique
Quand les Jeux olympiques ont été attribués à Athènes, les organisateurs avaient promis de diminuer la pollution. La situation s'est améliorée, concède Greenpeace, notamment avec la baisse du smog et l'implantation d'un vaste réseau de transport en commun, gratuit pour tous les détenteurs de billets.
«Or, plusieurs problèmes demeurent, soutient le porte-parole Nikos Charalambides. Par exemple, l'usage de machinerie lourde lors des travaux de préparation a fait bondir les émanations de benzène, et la promesse de planter 2000 arbres n'a pas été tenue. De plus, le projet d'utilisation d'énergie solaire pour le village olympique a été abandonné.»
Bilan : Athènes n'a pu faire mieux qu'une note de un sur 10 dans l'échelle de Greenpeace. En comparaison, Sydney avait reçu la note de cinq sur 10 en 2000.
Richard Pound reste lui aussi sceptique. «Les organisateurs prétendent que le vent va souffler l'air pollué vers la Méditerranée, loin de la ville, a déclaré en juillet l'ancien vice-président du CIO. Nous attendons tous ce miracle.»
Divers - Piscine olympique
Un spectateur canadien à l'eau !
17 août 2004 – Les organisateurs d'Athènes ont accru la sécurité sur tous les sites olympiques après qu'un spectateur canadien se fut offert un plongeon dans la piscine olympique, lundi soir, à l'issue des épreuves de plongeon synchronisé.
L'homme de 31 ans, dont l'identité n'a pas été révélée, a été arrêté par les services de sécurité. Par son forfait, il cherchait, selon le responsable du comité d'organisation, Marton Simitsek, à envoyer un message d'amour à sa femme en passant à la télévision.
Simitsek a précisé que l'individu avait acheté son billet pour l'événement, où Émilie Heymans et Blythe Hartley ont remporté le bronze à la tour synchronisée. « Il est entré et a choisi d'envoyer un message à sa femme chérie en plongeant dans la piscine, a-t-il indiqué. Il a enlevé son T-shirt et avait un message sur le torse. »
Le spectateur, qui comparaîtra mardi, a passé la nuit dans un poste de police.
Un spectateur canadien à l'eau !
17 août 2004 – Les organisateurs d'Athènes ont accru la sécurité sur tous les sites olympiques après qu'un spectateur canadien se fut offert un plongeon dans la piscine olympique, lundi soir, à l'issue des épreuves de plongeon synchronisé.
L'homme de 31 ans, dont l'identité n'a pas été révélée, a été arrêté par les services de sécurité. Par son forfait, il cherchait, selon le responsable du comité d'organisation, Marton Simitsek, à envoyer un message d'amour à sa femme en passant à la télévision.
Simitsek a précisé que l'individu avait acheté son billet pour l'événement, où Émilie Heymans et Blythe Hartley ont remporté le bronze à la tour synchronisée. « Il est entré et a choisi d'envoyer un message à sa femme chérie en plongeant dans la piscine, a-t-il indiqué. Il a enlevé son T-shirt et avait un message sur le torse. »
Le spectateur, qui comparaîtra mardi, a passé la nuit dans un poste de police.
Selon les organisateurs
Plus de la moitié des billets vendus
Associated Press
Athènes
Les organisateurs des Jeux d'Athènes ont annoncé que plus de la moitié des places disponibles pour les JO avaient été vendues.
Un total de 3,1 millions de billets ont été vendus, sur un total de 5,3 millions.
Les organisateurs avaient annoncé que leur objectif était d'en vendre 3,4 millions, pour un montant de 183 millions d'euros (environ 295 millions de dollars canadiens). Ils avaient ensuite revu leur ambition à la baisse, se fixant un objectif entre 3,1 et 3,4 millions.
«Les choses s'améliorent rapidement», a déclaré Marton Simitsek, un responsable du comité d'organisation.
Simitsek a précisé que les ventes avaient rapporté 181 millions d'euros (environ 292 millions de dollars canadiens) jusqu'à présent. --Message edité par slick27 le 2004-08-17 12:12:32--
Plus de la moitié des billets vendus
Associated Press
Athènes
Les organisateurs des Jeux d'Athènes ont annoncé que plus de la moitié des places disponibles pour les JO avaient été vendues.
Un total de 3,1 millions de billets ont été vendus, sur un total de 5,3 millions.
Les organisateurs avaient annoncé que leur objectif était d'en vendre 3,4 millions, pour un montant de 183 millions d'euros (environ 295 millions de dollars canadiens). Ils avaient ensuite revu leur ambition à la baisse, se fixant un objectif entre 3,1 et 3,4 millions.
«Les choses s'améliorent rapidement», a déclaré Marton Simitsek, un responsable du comité d'organisation.
Simitsek a précisé que les ventes avaient rapporté 181 millions d'euros (environ 292 millions de dollars canadiens) jusqu'à présent. --Message edité par slick27 le 2004-08-17 12:12:32--
Slick27 a écritSelon les organisateurs
Plus de la moitié des billets vendus
Associated Press
Athènes
Les organisateurs des Jeux d'Athènes ont annoncé que plus de la moitié des places disponibles pour les JO avaient été vendues.
Un total de 3,1 millions de billets ont été vendus, sur un total de 5,3 millions.
Les organisateurs avaient annoncé que leur objectif était d'en vendre 3,4 millions, pour un montant de 183 millions d'euros (environ 295 millions de dollars canadiens). Ils avaient ensuite revu leur ambition à la baisse, se fixant un objectif entre 3,1 et 3,4 millions.
«Les choses s'améliorent rapidement», a déclaré Marton Simitsek, un responsable du comité d'organisation.
Simitsek a précisé que les ventes avaient rapporté 181 millions d'euros (environ 292 millions de dollars canadiens) jusqu'à présent. --Message edité par slick27 le 2004-08-17 12:12:32--
justement hier ils en parlaient ...les billets ne vendent pas assez et ils ont sorti des publicité genre ; un résident d,Athene écoute les jeux chez-lui a la télévision ...son téléphone sonne et c'est son cousin d,amérique qui lui dit ...-comme t'es chanceux de pouvoir aller voir les compétitions sur place tandis que moi je ne peux que les écouter a la télévision....
donc est ce que le sentiment de culpabilité de ces annonces publicitaire va fonctionné sur les Atheniens???????
Plus de la moitié des billets vendus
Associated Press
Athènes
Les organisateurs des Jeux d'Athènes ont annoncé que plus de la moitié des places disponibles pour les JO avaient été vendues.
Un total de 3,1 millions de billets ont été vendus, sur un total de 5,3 millions.
Les organisateurs avaient annoncé que leur objectif était d'en vendre 3,4 millions, pour un montant de 183 millions d'euros (environ 295 millions de dollars canadiens). Ils avaient ensuite revu leur ambition à la baisse, se fixant un objectif entre 3,1 et 3,4 millions.
«Les choses s'améliorent rapidement», a déclaré Marton Simitsek, un responsable du comité d'organisation.
Simitsek a précisé que les ventes avaient rapporté 181 millions d'euros (environ 292 millions de dollars canadiens) jusqu'à présent. --Message edité par slick27 le 2004-08-17 12:12:32--
justement hier ils en parlaient ...les billets ne vendent pas assez et ils ont sorti des publicité genre ; un résident d,Athene écoute les jeux chez-lui a la télévision ...son téléphone sonne et c'est son cousin d,amérique qui lui dit ...-comme t'es chanceux de pouvoir aller voir les compétitions sur place tandis que moi je ne peux que les écouter a la télévision....
donc est ce que le sentiment de culpabilité de ces annonces publicitaire va fonctionné sur les Atheniens???????
Jeux d'Athènes
Le village olympique est apprécié par les athlètes
Associated Press
Athènes
Le village olympique, nouveau village global. L'entrée du village olympique d'Athènes est entourée des 202 drapeaux des pays présents dans l'enceinte, et les meilleurs athlètes du monde entier y mangent, s'y entraînent et s'y reposent en toute quiétude.
Pour se rendre aux repas, les Néerlandais n'hésitent pas à enfourcher des bicyclettes orange. Les Britanniques se déplacent dans des voitures de golf peintes aux couleurs de l'Union Jack qui plairaient sans doute à Austin Power.
«J'ai un peu l'impression de voyager, de voir le monde en étant juste dans le village», témoigne la joueuse de softball américaine Jessica Mendoza, qui a même avoué avoir pris son courage à deux mains pour établir le contact avec la délégation turkmène.
Le tennisman américain Andy Roddick regrette d'ailleurs le choix de certaines grandes stars de s'être établies en dehors du village, dans des hôtels de luxe. «Ils passent à côté d'une expérience plutôt cool», estime-t-il.
Le village olympique est apprécié par les athlètes
Associated Press
Athènes
Le village olympique, nouveau village global. L'entrée du village olympique d'Athènes est entourée des 202 drapeaux des pays présents dans l'enceinte, et les meilleurs athlètes du monde entier y mangent, s'y entraînent et s'y reposent en toute quiétude.
Pour se rendre aux repas, les Néerlandais n'hésitent pas à enfourcher des bicyclettes orange. Les Britanniques se déplacent dans des voitures de golf peintes aux couleurs de l'Union Jack qui plairaient sans doute à Austin Power.
«J'ai un peu l'impression de voyager, de voir le monde en étant juste dans le village», témoigne la joueuse de softball américaine Jessica Mendoza, qui a même avoué avoir pris son courage à deux mains pour établir le contact avec la délégation turkmène.
Le tennisman américain Andy Roddick regrette d'ailleurs le choix de certaines grandes stars de s'être établies en dehors du village, dans des hôtels de luxe. «Ils passent à côté d'une expérience plutôt cool», estime-t-il.
Jael a écritDivers - Piscine olympique
Un spectateur canadien à l'eau !
17 août 2004 – Les organisateurs d'Athènes ont accru la sécurité sur tous les sites olympiques après qu'un spectateur canadien se fut offert un plongeon dans la piscine olympique, lundi soir, à l'issue des épreuves de plongeon synchronisé.
L'homme de 31 ans, dont l'identité n'a pas été révélée, a été arrêté par les services de sécurité. Par son forfait, il cherchait, selon le responsable du comité d'organisation, Marton Simitsek, à envoyer un message d'amour à sa femme en passant à la télévision.
Simitsek a précisé que l'individu avait acheté son billet pour l'événement, où Émilie Heymans et Blythe Hartley ont remporté le bronze à la tour synchronisée. « Il est entré et a choisi d'envoyer un message à sa femme chérie en plongeant dans la piscine, a-t-il indiqué. Il a enlevé son T-shirt et avait un message sur le torse. »
Le spectateur, qui comparaîtra mardi, a passé la nuit dans un poste de police.
Divers - Athènes
Cinq mois de prison avec sursis pour le plongeur en tutu
18 août 2004 – Le Montréalais qui a plongé en tutu dans la piscine où se déroulait l'épreuve de plongeon synchronisé lundi a écopé d'une peine de cinq mois de prison.
Ron Bensimhon a toutefois pu recouvrer sa liberté en appelant de la décision du tribunal. Selon le système judiciaire grec, une telle procédure peut en effet prendre jusqu'à deux ans.
Le plongeur téméraire, qui a également été mis à l'amende pour 3225 $CAN, a dit avoir agi seulement pour la célébrité et qu'il ne pensait jamais que le dénouement serait aussi désastreux.
L'homme de 31 ans arborait sur son dos les lettres d'un casino Internet pour qui il avait déjà défrayé les manchettes. Les responsables du site ont toutefois nié que Bensimhon ait agi en leur nom.
Un spectateur canadien à l'eau !
17 août 2004 – Les organisateurs d'Athènes ont accru la sécurité sur tous les sites olympiques après qu'un spectateur canadien se fut offert un plongeon dans la piscine olympique, lundi soir, à l'issue des épreuves de plongeon synchronisé.
L'homme de 31 ans, dont l'identité n'a pas été révélée, a été arrêté par les services de sécurité. Par son forfait, il cherchait, selon le responsable du comité d'organisation, Marton Simitsek, à envoyer un message d'amour à sa femme en passant à la télévision.
Simitsek a précisé que l'individu avait acheté son billet pour l'événement, où Émilie Heymans et Blythe Hartley ont remporté le bronze à la tour synchronisée. « Il est entré et a choisi d'envoyer un message à sa femme chérie en plongeant dans la piscine, a-t-il indiqué. Il a enlevé son T-shirt et avait un message sur le torse. »
Le spectateur, qui comparaîtra mardi, a passé la nuit dans un poste de police.
Divers - Athènes
Cinq mois de prison avec sursis pour le plongeur en tutu
18 août 2004 – Le Montréalais qui a plongé en tutu dans la piscine où se déroulait l'épreuve de plongeon synchronisé lundi a écopé d'une peine de cinq mois de prison.
Ron Bensimhon a toutefois pu recouvrer sa liberté en appelant de la décision du tribunal. Selon le système judiciaire grec, une telle procédure peut en effet prendre jusqu'à deux ans.
Le plongeur téméraire, qui a également été mis à l'amende pour 3225 $CAN, a dit avoir agi seulement pour la célébrité et qu'il ne pensait jamais que le dénouement serait aussi désastreux.
L'homme de 31 ans arborait sur son dos les lettres d'un casino Internet pour qui il avait déjà défrayé les manchettes. Les responsables du site ont toutefois nié que Bensimhon ait agi en leur nom.
Slick27 a écritJeux d'Athènes
Le village olympique est apprécié par les athlètes
Associated Press
Athènes
Le village olympique, nouveau village global. L'entrée du village olympique d'Athènes est entourée des 202 drapeaux des pays présents dans l'enceinte, et les meilleurs athlètes du monde entier y mangent, s'y entraînent et s'y reposent en toute quiétude.
Pour se rendre aux repas, les Néerlandais n'hésitent pas à enfourcher des bicyclettes orange. Les Britanniques se déplacent dans des voitures de golf peintes aux couleurs de l'Union Jack qui plairaient sans doute à Austin Power.
«J'ai un peu l'impression de voyager, de voir le monde en étant juste dans le village», témoigne la joueuse de softball américaine Jessica Mendoza, qui a même avoué avoir pris son courage à deux mains pour établir le contact avec la délégation turkmène.
Le tennisman américain Andy Roddick regrette d'ailleurs le choix de certaines grandes stars de s'être établies en dehors du village, dans des hôtels de luxe. «Ils passent à côté d'une expérience plutôt cool», estime-t-il.
C'est surement une expérience que je ne voudrais pas manquer si j'étais à leur place. Cotoyer toutes ces nationalités dans le quotidien, il n'y a que dans un village olympique que ça peut arriver. Passer à côté, c'est manquer une chance de s'enrichir.
Le village olympique est apprécié par les athlètes
Associated Press
Athènes
Le village olympique, nouveau village global. L'entrée du village olympique d'Athènes est entourée des 202 drapeaux des pays présents dans l'enceinte, et les meilleurs athlètes du monde entier y mangent, s'y entraînent et s'y reposent en toute quiétude.
Pour se rendre aux repas, les Néerlandais n'hésitent pas à enfourcher des bicyclettes orange. Les Britanniques se déplacent dans des voitures de golf peintes aux couleurs de l'Union Jack qui plairaient sans doute à Austin Power.
«J'ai un peu l'impression de voyager, de voir le monde en étant juste dans le village», témoigne la joueuse de softball américaine Jessica Mendoza, qui a même avoué avoir pris son courage à deux mains pour établir le contact avec la délégation turkmène.
Le tennisman américain Andy Roddick regrette d'ailleurs le choix de certaines grandes stars de s'être établies en dehors du village, dans des hôtels de luxe. «Ils passent à côté d'une expérience plutôt cool», estime-t-il.
C'est surement une expérience que je ne voudrais pas manquer si j'étais à leur place. Cotoyer toutes ces nationalités dans le quotidien, il n'y a que dans un village olympique que ça peut arriver. Passer à côté, c'est manquer une chance de s'enrichir.
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nicki a écrit
C'est surement une expérience que je ne voudrais pas manquer si j'étais à leur place. Cotoyer toutes ces nationalités dans le quotidien, il n'y a que dans un village olympique que ça peut arriver. Passer à côté, c'est manquer une chance de s'enrichir.
...quand je pense que ma soeur s'y promène allégrement depuis une semaine...elle a d'ailleurs rencontré plusieurs athlètes de tous les coins du monde...
C'est surement une expérience que je ne voudrais pas manquer si j'étais à leur place. Cotoyer toutes ces nationalités dans le quotidien, il n'y a que dans un village olympique que ça peut arriver. Passer à côté, c'est manquer une chance de s'enrichir.
...quand je pense que ma soeur s'y promène allégrement depuis une semaine...elle a d'ailleurs rencontré plusieurs athlètes de tous les coins du monde...
Slick27 a écrit
Divers - Athènes
Cinq mois de prison avec sursis pour le plongeur en tutu
18 août 2004 – Le Montréalais qui a plongé en tutu dans la piscine où se déroulait l'épreuve de plongeon synchronisé lundi a écopé d'une peine de cinq mois de prison.
Ron Bensimhon a toutefois pu recouvrer sa liberté en appelant de la décision du tribunal. Selon le système judiciaire grec, une telle procédure peut en effet prendre jusqu'à deux ans.
Le plongeur téméraire, qui a également été mis à l'amende pour 3225 $CAN, a dit avoir agi seulement pour la célébrité et qu'il ne pensait jamais que le dénouement serait aussi désastreux.
L'homme de 31 ans arborait sur son dos les lettres d'un casino Internet pour qui il avait déjà défrayé les manchettes. Les responsables du site ont toutefois nié que Bensimhon ait agi en leur nom.
J'espère qu'ils lui serviront une leçon surtout que c'est la deuxième fois qu'il fait ça. Ce n'était vraiment pas l'endroit ni le moment pour faire le clown.
Divers - Athènes
Cinq mois de prison avec sursis pour le plongeur en tutu
18 août 2004 – Le Montréalais qui a plongé en tutu dans la piscine où se déroulait l'épreuve de plongeon synchronisé lundi a écopé d'une peine de cinq mois de prison.
Ron Bensimhon a toutefois pu recouvrer sa liberté en appelant de la décision du tribunal. Selon le système judiciaire grec, une telle procédure peut en effet prendre jusqu'à deux ans.
Le plongeur téméraire, qui a également été mis à l'amende pour 3225 $CAN, a dit avoir agi seulement pour la célébrité et qu'il ne pensait jamais que le dénouement serait aussi désastreux.
L'homme de 31 ans arborait sur son dos les lettres d'un casino Internet pour qui il avait déjà défrayé les manchettes. Les responsables du site ont toutefois nié que Bensimhon ait agi en leur nom.
J'espère qu'ils lui serviront une leçon surtout que c'est la deuxième fois qu'il fait ça. Ce n'était vraiment pas l'endroit ni le moment pour faire le clown.
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nicki a écrit
J'espère qu'ils lui serviront une leçon surtout que c'est la deuxième fois qu'il fait ça. Ce n'était vraiment pas l'endroit ni le moment pour faire le clown.
J,ai trouvé ça tellement moche pour les plongeurs qui allaient s'exécuter! IL l'avait fait également en patinage artistique, avant une performance de Michelle Kwan... Pas fort fort... Un peu honteux que ce soit un Montréalais en plus...
J'espère qu'ils lui serviront une leçon surtout que c'est la deuxième fois qu'il fait ça. Ce n'était vraiment pas l'endroit ni le moment pour faire le clown.
J,ai trouvé ça tellement moche pour les plongeurs qui allaient s'exécuter! IL l'avait fait également en patinage artistique, avant une performance de Michelle Kwan... Pas fort fort... Un peu honteux que ce soit un Montréalais en plus...
Slick27 a écritJeux d'Athènes
Le village olympique est apprécié par les athlètes
Associated Press
Athènes
Le village olympique, nouveau village global. L'entrée du village olympique d'Athènes est entourée des 202 drapeaux des pays présents dans l'enceinte, et les meilleurs athlètes du monde entier y mangent, s'y entraînent et s'y reposent en toute quiétude.
Pour se rendre aux repas, les Néerlandais n'hésitent pas à enfourcher des bicyclettes orange. Les Britanniques se déplacent dans des voitures de golf peintes aux couleurs de l'Union Jack qui plairaient sans doute à Austin Power.
«J'ai un peu l'impression de voyager, de voir le monde en étant juste dans le village», témoigne la joueuse de softball américaine Jessica Mendoza, qui a même avoué avoir pris son courage à deux mains pour établir le contact avec la délégation turkmène.
Le tennisman américain Andy Roddick regrette d'ailleurs le choix de certaines grandes stars de s'être établies en dehors du village, dans des hôtels de luxe. «Ils passent à côté d'une expérience plutôt cool», estime-t-il.
Le Village Olympique est une prison, pour une judoka belge
Cyberpresse, AFP
Athènes
Contrairement aux néophytes qui s'émerveillent généralement de la prestance de l'endroit, la judoka belge Catherine Jacques n'apprécie que très modérément le village olympique.
«C'est une prison», n'hésite pas à dire celle qui partage l'appartement de la numéro un du tennis mondial, Justine Henin-Hardenne.
«Cet endroit manque de verdure. Et je m'y embête. Je ne suis pas du genre à lire ou à passer des heures devant mon ordinateur. Et comme il n'est pas facile d'assister aux compétitions...»
Le village olympique est apprécié par les athlètes
Associated Press
Athènes
Le village olympique, nouveau village global. L'entrée du village olympique d'Athènes est entourée des 202 drapeaux des pays présents dans l'enceinte, et les meilleurs athlètes du monde entier y mangent, s'y entraînent et s'y reposent en toute quiétude.
Pour se rendre aux repas, les Néerlandais n'hésitent pas à enfourcher des bicyclettes orange. Les Britanniques se déplacent dans des voitures de golf peintes aux couleurs de l'Union Jack qui plairaient sans doute à Austin Power.
«J'ai un peu l'impression de voyager, de voir le monde en étant juste dans le village», témoigne la joueuse de softball américaine Jessica Mendoza, qui a même avoué avoir pris son courage à deux mains pour établir le contact avec la délégation turkmène.
Le tennisman américain Andy Roddick regrette d'ailleurs le choix de certaines grandes stars de s'être établies en dehors du village, dans des hôtels de luxe. «Ils passent à côté d'une expérience plutôt cool», estime-t-il.
Le Village Olympique est une prison, pour une judoka belge
Cyberpresse, AFP
Athènes
Contrairement aux néophytes qui s'émerveillent généralement de la prestance de l'endroit, la judoka belge Catherine Jacques n'apprécie que très modérément le village olympique.
«C'est une prison», n'hésite pas à dire celle qui partage l'appartement de la numéro un du tennis mondial, Justine Henin-Hardenne.
«Cet endroit manque de verdure. Et je m'y embête. Je ne suis pas du genre à lire ou à passer des heures devant mon ordinateur. Et comme il n'est pas facile d'assister aux compétitions...»
Une manifestation contre l'exploitation des travailleurs du vêtement de sport a eu lieu à Athènes le 10 août dernier, à l'invitation des organismes Clean Clothes Campaign, Oxfam et Global Unions(Photo La Presse)
Quand le CIO refuse d'en découdre avec ses fournisseurs
La SUEUR des Jeux
Tristan Péloquin
La Presse
Nike, Adidas, Puma, ASICS, Roots. Que de noms associés à la performance sportive, au dépassement de soi et au rêve olympique. Mais ces marques sont aussi, à tort ou à raison, indissociablement liées aux sweatshops des pays en développement. Et le CIO ne semble pas pressé de changer cette impression.
Quatre-vingt-un millions de dollars américains. C'est la somme totale versée par les grandes multinationales du vêtement de sport au Comité international olympique (CIO) pour acquérir le droit d'apposer l'emblème des Jeux olympiques à leur collection 2004.
S'ajoutent à cela des dizaines d'autres millions déboursés par ces mêmes entreprises pour obtenir le privilège de parsemer leurs logos un peu partout autour des installations sportives d'Athènes. Sans oublier les imposantes sommes payées aux comités nationaux pour devenir leur fournisseur officiel et les autres millions en publicité versés aux grands réseaux de télévision.
Tout cela, sans même que le CIO n'ait fait la moindre vérification auprès de ces partenaires, qui sont pourtant nombreux à avoir vu leur réputation entachée au cours des dernières années par les scandales liés aux conditions de travail dans les ateliers qui confectionnent la majorité de leurs marchandises.
«Nous tentons d'attirer le regard des gens sur cette réalité qui nous paraît complètement contraire aux valeurs et à la Charte olympiques», explique Justine Lepage, d'Oxfam Québec, une des nombreuses ONG participant à la campagne internationale Éthique aux Olympiques (Play Fair at the Olympics), lancée en mars.
Présente dans 35 pays occidentaux, la coalition organise depuis plusieurs mois des séances d'information auprès des médias et des regroupements sportifs. Un imposant rapport sur les conditions de travail parfois troublantes -faisant état de harcèlement sexuel, de travail forcé et de salaires de misère dans plusieurs ateliers des géants du vêtement de sport- a été également publié au printemps.
Les tactiques de la coalition sont simples: forcer le CIO à ajouter les droits fondamentaux des travailleurs à la Charte olympique et l'obliger à ce que le code du travail de l'International Labour Organization (qui relève de l'ONU) soit imposé à ses fournisseurs officiels et licenciés.
Mais cinq mois après le début des démarches, malgré de nombreuses approches, une motion d'appui à la campagne votée par l'Union européenne, l'appui du cycliste Miguel Indurain et le dépôt d'une pétition signée par près de 500000 personnes, le CIO «refuse toujours de prendre ses responsabilités en utilisant l'immense influence qu'il a dans l'univers du sport et en contrôlant l'utilisation de son logo par les fabricants d'articles de sport», déplore la coalition sur son site officiel (www.fairolympics.org).
«Même si plusieurs marques (Nike, Adidas, Reebok et Puma) ont répondu favorablement à nos préoccupations, Éthique aux Olympiques s'est systématiquement buté au refus du CIO», ajoute la coalition.
Dans une réponse écrite envoyée à la coalition, le CIO affirme «condamner les pratiques injustes envers les travailleurs, qui sont contraires aux valeurs olympiques».
«Mais en ce qui a trait à la gestion des programmes de licence, en vertu de la constitution du Mouvement olympique, il revient aux 202 comités nationaux de gérer cette question. Le Comité international olympique n'a pas de contrôle direct sur ces contrats de partenariat», indique la lettre, signée par le directeur de la coopération internationale et développement au sein du CIO, Ganda Sithole.
Pour les responsable de la campagne, «cette situation est d'autant plus gênante que le CIO a toujours été très préoccupé par la défense des droits de l'Homme, par les questions d'égalité homme/femme et par les enjeux liés au dopage sportif, affirme Justine Lepage. Curieusement, lorsque vient le temps de se pencher sur les questions qui touchent directement ses partenaires financiers, le CIO devient complètement muet.»
Roots ciblé au Canada
Au Canada, où Roots a obtenu le droit exclusif d'habiller l'équipe olympique, la campagne menée auprès du Comité olympique canadien (COC) a pris des allures semblables à celle menée au niveau international.
Après de multiples approches, le COC a refusé d'imposer à son fournisseur le respect du code de l'International Labour Organization, tel que réclamé par la coalition composée de Maquila Solidarity Network, d'Oxfam et du Congrès du travail du Canada.
«Les questions que nous soulevons sont pourtant sérieuses. Nous reprochons notamment à Roots de manquer de transparence, explique Tullia Marcolongo, de Maquila Solidarity Network. D'une part, Roots affirme que toute sa collection olympique est faite au Canada, ce qui n'est pas vrai, puisque certains de ses accessoires sont fabriqués en Chine, et, d'autre part, l'entreprise refuse de se soumettre à un système de surveillance reconnu de ses installations. Rien ne prouve donc que Roots respecte le droit de ses travailleurs.»
Les participants à la campagne canadienne aimeraient notamment obtenir, pour fins de vérifications, la liste exhaustive des ateliers où sont fabriqués les vêtements de Roots.
La position du COC à ce sujet est on ne peut plus claire: «Nous reconnaissons que l'enjeu soulevé par cette campagne est important. Mais d'ici 2012, toutes les questions relatives au marketing sont entièrement entre les mains du comité organisateur des Jeux de Vancouver 2010. L'imposition de règles d'éthique ne relève donc pas de nous», explique Nick Marrone, chef de la direction-marketing au COC. Et comme ce comité organisateur de Vancouver 2010 ne sera créé qu'en 2006, la question est en quelque sorte tombée dans les limbes...
D'ici là, Roots entend bien tout faire pour prouver au public que les ateliers qui confectionnent ses vêtements en sous-traitance respectent les droits des travailleurs. L'entreprise a notamment accepté qu'une firme indépendante de surveillance, Cal Safety Compliance Corporation, inspecte ses installations.
«C'est sûr qu'il y a place à l'amélioration dans nos usines et nous allons tout faire pour que les conditions de travail soient meilleures, affirme le porte-parole de l'entreprise, Robert Sarner. Mais ne comptez pas sur l'idée que nous diffusions la liste de nos sous-traitants. Ce sont des données de nature secrète et il n'est pas question que nous diffusions cette information, comme le demandent les groupes de pression.»
Jeux d'Athènes
Votre huile d'olive contre nos céréales
André Duchesne
La Presse
Devinette. Qu'est-ce que le Canada importe-t-il le plus de la Grèce ? Des fruits, des olives, de l'huile d'olive. Bonne réponse! Mais ajoutez aussi des produits d'aluminium transformé, de la bentonite, des pierres de construction, des vêtements.
Entre la Grèce et le Canada, les échanges économiques sont variés et en constante augmentation, constate-t-on à la lecture de documents fédéraux consacrés à la question.
«Au cours des dix dernières années, les échanges commerciaux bilatéraux entre le Canada et la Grèce ont connu une croissance régulière, et leur valeur s'élevait à 288 millions de dollars en 2003», indique-t-on dans un document du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI).
La balance commerciale de ces échanges est largement en faveur du Canada. Ainsi, en 2003, les exportations de produits canadiens atteignaient 174,8 millions de dollars (dont 13,2 millions provenant du Québec) comparativement à des importations de 113,3 millions.
Durant la dernière décennie, 2001 fut de loin la plus fructueuse année pour le Canada, dont les ventes en Grèce ont atteint 256 millions de dollars, un bond imputable à d'importantes transactions dans le domaine aéronautique.
Le MAECI fait remarquer que Bombardier est une des principales enseignes canadiennes à faire affaires en Grèce, à qui elle a vendu 24 avions amphibies (CL-215 et CL-415) pour combattre les incendies de forêt.
«Nous souffrons terriblement de ces incendies. (...) Nous sommes donc un client stable (de Bombardier) parce que notre flotte a un besoin permanent de renouvellement et de modernisation», confirme Georgios Ayfantis, conseiller politique durant quatre ans de l'ambassade grecque au Canada.
Chez Bombardier Aéronautique, on précise que la Grèce a commandé dix avions CL-415 en janvier 1999, un contrat d'une valeur de 380 millions. «Avec l'Italie, la France et bien entendu le Canada, la Grèce est un de nos plus importants clients pour les avions amphibies», indique la responsable des communications externes Sylvie Gauthier.
Nortel, SNS-Lavalin, Seagrams et McCain font aussi partie des entreprises d'envergure faisant affaires en Grèce, rapporte aussi le MAECI. Céréales, fourrures, papier, carton, copeaux de bois, machinerie, équipements électriques et matériel médical font partie des principaux produits d'exportations. De 2002 à 2003, la valeur des ventes de céréales a littéralement explosé, passant de 9,4 à 72,8 millions de dollars.
Quant à la Grèce, elle nous envoie vins, fromages, produits chimiques, miel, certains produits de la ferme, etc. La Grèce compte quelques entreprises au Canada dont Neoset, un fabricant de meubles, dans la région de Toronto. Selon M. Eyfantis, d'autres investissements sont à prévoir. «En ce moment, en Grèce et en Europe, il y a accumulation de capital. Il y a des investisseurs qui cherchent où diriger leur capital. Le Canada est une de ces destinations.»
Enfin, la Grèce sert de porte d'entrée à des biens fabriqués au Canada et destinés à la reconstruction dans les pays des Balkans ravagés par la guerre durant les années 1990.
Au plan politique, M. Ayfantis qualifie de «tranquilles et productives» les relations entre les deux pays. Celles-ci s'articulent principalement dans le cadre des échanges Canada-Union européenne (EU) et au sein de l'OTAN.
La Grèce s'est visiblement réjouie de la visite faite à Athènes par l'ancien premier ministre Jean Chrétien en mai 2003, en marge du sommet Canada-EU, une première en 20 ans.
Enfin, les deux pays ont également des échanges tant sur le plan culturel qu'éducatif. À ce titre, la Grèce a contribué financièrement à la mise sur pied d'une chaire en études néo-helléniques canadiennes à l'Université McGill (en collaboration avec l'Université de Montréal et Concordia) alors que le Canada a un institut d'archéologie à Athènes.
Votre huile d'olive contre nos céréales
André Duchesne
La Presse
Devinette. Qu'est-ce que le Canada importe-t-il le plus de la Grèce ? Des fruits, des olives, de l'huile d'olive. Bonne réponse! Mais ajoutez aussi des produits d'aluminium transformé, de la bentonite, des pierres de construction, des vêtements.
Entre la Grèce et le Canada, les échanges économiques sont variés et en constante augmentation, constate-t-on à la lecture de documents fédéraux consacrés à la question.
«Au cours des dix dernières années, les échanges commerciaux bilatéraux entre le Canada et la Grèce ont connu une croissance régulière, et leur valeur s'élevait à 288 millions de dollars en 2003», indique-t-on dans un document du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI).
La balance commerciale de ces échanges est largement en faveur du Canada. Ainsi, en 2003, les exportations de produits canadiens atteignaient 174,8 millions de dollars (dont 13,2 millions provenant du Québec) comparativement à des importations de 113,3 millions.
Durant la dernière décennie, 2001 fut de loin la plus fructueuse année pour le Canada, dont les ventes en Grèce ont atteint 256 millions de dollars, un bond imputable à d'importantes transactions dans le domaine aéronautique.
Le MAECI fait remarquer que Bombardier est une des principales enseignes canadiennes à faire affaires en Grèce, à qui elle a vendu 24 avions amphibies (CL-215 et CL-415) pour combattre les incendies de forêt.
«Nous souffrons terriblement de ces incendies. (...) Nous sommes donc un client stable (de Bombardier) parce que notre flotte a un besoin permanent de renouvellement et de modernisation», confirme Georgios Ayfantis, conseiller politique durant quatre ans de l'ambassade grecque au Canada.
Chez Bombardier Aéronautique, on précise que la Grèce a commandé dix avions CL-415 en janvier 1999, un contrat d'une valeur de 380 millions. «Avec l'Italie, la France et bien entendu le Canada, la Grèce est un de nos plus importants clients pour les avions amphibies», indique la responsable des communications externes Sylvie Gauthier.
Nortel, SNS-Lavalin, Seagrams et McCain font aussi partie des entreprises d'envergure faisant affaires en Grèce, rapporte aussi le MAECI. Céréales, fourrures, papier, carton, copeaux de bois, machinerie, équipements électriques et matériel médical font partie des principaux produits d'exportations. De 2002 à 2003, la valeur des ventes de céréales a littéralement explosé, passant de 9,4 à 72,8 millions de dollars.
Quant à la Grèce, elle nous envoie vins, fromages, produits chimiques, miel, certains produits de la ferme, etc. La Grèce compte quelques entreprises au Canada dont Neoset, un fabricant de meubles, dans la région de Toronto. Selon M. Eyfantis, d'autres investissements sont à prévoir. «En ce moment, en Grèce et en Europe, il y a accumulation de capital. Il y a des investisseurs qui cherchent où diriger leur capital. Le Canada est une de ces destinations.»
Enfin, la Grèce sert de porte d'entrée à des biens fabriqués au Canada et destinés à la reconstruction dans les pays des Balkans ravagés par la guerre durant les années 1990.
Au plan politique, M. Ayfantis qualifie de «tranquilles et productives» les relations entre les deux pays. Celles-ci s'articulent principalement dans le cadre des échanges Canada-Union européenne (EU) et au sein de l'OTAN.
La Grèce s'est visiblement réjouie de la visite faite à Athènes par l'ancien premier ministre Jean Chrétien en mai 2003, en marge du sommet Canada-EU, une première en 20 ans.
Enfin, les deux pays ont également des échanges tant sur le plan culturel qu'éducatif. À ce titre, la Grèce a contribué financièrement à la mise sur pied d'une chaire en études néo-helléniques canadiennes à l'Université McGill (en collaboration avec l'Université de Montréal et Concordia) alors que le Canada a un institut d'archéologie à Athènes.