Karine Vanasse et un proprio de TQS
Tout ce que j'ai à dire c'est que j'ai vu Manon au Ikéa de Boucherville il y a environ 3 semaines. Elle était avec un homme qui ressemble bc au ameux Lucien Rémillard en question. J'suis pas mal sûre que c'était lui.
PS : Laissez moi vous dire que son panier était plein en titi ! ;)
PS : Laissez moi vous dire que son panier était plein en titi ! ;)
"...Dis-moi de tes silences lesquels sont habités par moi..." Dis-moi/Stéphanie Lapointe :-)
Non mais franchement les décos de Manon m'inspire pas pantoute. C'est toujours laid !!! C'est sur qu'elle ne fait pas ca chez elle... c'est ben trop affreux.
Moi des vieilles affaires laides et hideuses remis au "gout du jour" ... pas capable. Je mettrais même pas ca dans mon chalet ni dans mon sous sol.
Moi des vieilles affaires laides et hideuses remis au "gout du jour" ... pas capable. Je mettrais même pas ca dans mon chalet ni dans mon sous sol.
Pour celles et ceux qui s'intéressent aux performances sur glace de Julien Rémilliard. Visionnez ceci à 1m30 environ.
http://www.youtube.com/watch?v=7_Kkwjw3qtk
http://www.youtube.com/watch?v=7_Kkwjw3qtk
Dans le Journal de Montréal d'aujourd'hui:
ACHAT DE TQS
Les Rémillard, des entrepreneurs avisés
MAXIME DEMERS
Le Journal de Montréal
24-03-2008 | 12h48
Mais qui sont donc Maxime et Julien Rémillard, ces deux frères propriétaires de Remstar, entreprise qui vient de faire l'achat de TQS? Fils du riche homme d'affaires Lucien Rémillard, qui a fait sa fortune dans la gestion des déchets, ils arrivent dans le merveilleux monde de la télévision avec un bon bagage d'expérience, acquis surtout dans l'industrie du cinéma.
Avec un père comme le leur, ils étaient destinés à devenir hommes d'affaires. Mais plutôt que de suivre les traces de leur paternel, un important entrepreneur propriétaire du chic hôtel Le St-James et de RCI Environnement (la plus grande entreprise au Québec dans le transport et le traitement des déchets), Maxime et Julien Rémillard ont décidé de se faire leur cinéma.
Ainsi, en 1997, fraîchement sortis de l'université, les deux frérots font l'acquisition d'une petite boîte de distribution, Prima Films, et s'en servent pour fonder Remstar. Maxime et Julien ont alors respectivement 22 et 24 ans. Les premières années de Remstar sont consacrées à la distribution de films. Mais les frangins ambitieux élaborent rapidement un plan d'affaires qui leur permettra enfin, en 2001, de se lancer vers ce qui les attire vraiment depuis le début: la production de films.
Coproductions internationales
Leur premier long métrage: No Good Deed, un thriller de 25 millions de dollars réalisé par Bob Rafelson et mettant en vedette Samuel L. Jackson et Milla Jovovich. Un film coproduit par des Américains et tourné à Montréal.
La porte de la coproduction internationale est désormais bien ouverte pour Remstar, qui enchaîne rapidement avec des films ambitieux internationaux ou hollywoodiens (dont Head in the Clouds, coproduit avec l'Angleterre et mettant en vedette Charlize Theron et Penélope Cruz, et Les Triplettes de Belleville, une coproduction Canada-Belgique-France nommée aux Oscars).
Leurs deux plus récentes coproductions internationales sont Battle in Seattle, qui met en vedette Charlize Theron et qui a été réalisé par son copain, Stuart Townsend, et les deux films sur la vie du célèbre criminel Mesrine, L'Instinct de mort et L'Ennemi public no 1, qui ont été coproduits avec la France et dont plusieurs scènes ont été tournées au Québec.
Films québécois
Ce n'est qu'en 2004 que Remstar se lance dans la production de films québécois, avec Elles étaient cinq, de Ghyslaine Côté. Le succès du film les incitera à poursuivre sur cette lancée. Depuis Elles étaient cinq, Remstar a ajouté à sa filmographie québécoise Le Secret de ma mère et Ma fille mon ange, deux succès commerciaux.
Deux autres sont présentement en chantier: Polytechnique, de Denis Villeneuve, qui est actuellement en tournage, et Les Doigts croches, de Ken Scott, qui entrera en production dans quelques semaines et qui réunira à l'écran Roy Dupuis, Claude Legault et Patrice Robitaille.
Il est important de préciser que depuis quelques années, Remstar compte aussi une branche musique. La compagnie a récemment produit (ou distribué) les plus récents albums de Bran Van 3000, de l'actrice Victoria Abril et d'Ultra Orange, groupe musical de la comédienne Emmanuelle Seigner.
Remstar a également tenté il y a deux ans de mettre la main sur les quatre hippodromes du Québec. Le projet a finalement échoué. Dans le site Internet de Remstar, on nous indique d'ailleurs que l'entreprise compte trois champs d'activités: le cinéma, la musique et la télévision. Sauf que quand on clique sur «Télévision», on peut lire «À venir». Voilà qui résume assez bien la situation actuelle...
Les fistons sont autonomes
Même si le paternel Lucien Rémillard agit à titre de président du conseil d'administration de Remstar, ses deux fils, Maxime et Julien, sont les véritables maîtres à bord de l'entreprise.
Quoi qu'en pensent certains, Lucien Rémillard n'est donc pas du tout impliqué financièrement dans l'achat de TQS.
Titre honorifique
Maxime Rémillard l'a d'ailleurs répété la semaine dernière à un chroniqueur d'un autre quotidien montréalais: le poste de Lucien Rémillard à la présidence du C.A. lui a été confié à titre honorifique seulement. Ce sont donc les deux frères qui font l'acquisition de TQS avec leur compagnie et leur argent.
M. Rémillard père a fait fortune dans le domaine du transport et de l'enlèvement des déchets. Remstar fait partie de son groupe, qui compte aussi les entreprises Fiducie Remdev, Groupe Intersan et RCI Environnement.
Il est aussi propriétaire du chic et luxueux hôtel Le St-James (un établissement chouchou des stars qui a entre autres vu défiler au fil des années Madonna et les Rolling Stones) et de plusieurs autres immeubles à logements.
On se doute bien que sans lui (et son argent), Remstar n'aurait forcément jamais vu le jour. C'est ce qu'ont confirmé Maxime et Julien Rémillard lors d'une entrevue accordée au Journal de Montréal en janvier 2004:
«On ne se fera pas de cachette: on n'aurait jamais eu la capitalisation dont on a bénéficié si le paternel n'avait pas été derrière nos projets», disait Maxime Rémillard
Débuts
«Par exemple, on a débuté en distribution en achetant Prima Films. Pas sûr qu'on aurait trouvé une banque pour nous prêter l'argent nécessaire à cette acquisition avec le peu d'expérience qu'on avait.»
Les deux frères n'ont jamais caché non plus que leur père avait émis quelques doutes quand ils lui ont annoncé qu'ils souhaitaient s'orienter vers le 7e art.
«C'est certain qu'il trouvait ça pas mal différent de la gestion environnementale, où les contrats sont garantis avec les entreprises et les villes!» a admis Julien Rémillard lors de cette même entrevue accordée au Journal de Montréal.
" Il a pourtant été très réceptif. Il nous a demandé un plan d'affaires concret, des preuves qu'il s'agissait d'un investissement réfléchi. "
ACHAT DE TQS
Les Rémillard, des entrepreneurs avisés
MAXIME DEMERS
Le Journal de Montréal
24-03-2008 | 12h48
Mais qui sont donc Maxime et Julien Rémillard, ces deux frères propriétaires de Remstar, entreprise qui vient de faire l'achat de TQS? Fils du riche homme d'affaires Lucien Rémillard, qui a fait sa fortune dans la gestion des déchets, ils arrivent dans le merveilleux monde de la télévision avec un bon bagage d'expérience, acquis surtout dans l'industrie du cinéma.
Avec un père comme le leur, ils étaient destinés à devenir hommes d'affaires. Mais plutôt que de suivre les traces de leur paternel, un important entrepreneur propriétaire du chic hôtel Le St-James et de RCI Environnement (la plus grande entreprise au Québec dans le transport et le traitement des déchets), Maxime et Julien Rémillard ont décidé de se faire leur cinéma.
Ainsi, en 1997, fraîchement sortis de l'université, les deux frérots font l'acquisition d'une petite boîte de distribution, Prima Films, et s'en servent pour fonder Remstar. Maxime et Julien ont alors respectivement 22 et 24 ans. Les premières années de Remstar sont consacrées à la distribution de films. Mais les frangins ambitieux élaborent rapidement un plan d'affaires qui leur permettra enfin, en 2001, de se lancer vers ce qui les attire vraiment depuis le début: la production de films.
Coproductions internationales
Leur premier long métrage: No Good Deed, un thriller de 25 millions de dollars réalisé par Bob Rafelson et mettant en vedette Samuel L. Jackson et Milla Jovovich. Un film coproduit par des Américains et tourné à Montréal.
La porte de la coproduction internationale est désormais bien ouverte pour Remstar, qui enchaîne rapidement avec des films ambitieux internationaux ou hollywoodiens (dont Head in the Clouds, coproduit avec l'Angleterre et mettant en vedette Charlize Theron et Penélope Cruz, et Les Triplettes de Belleville, une coproduction Canada-Belgique-France nommée aux Oscars).
Leurs deux plus récentes coproductions internationales sont Battle in Seattle, qui met en vedette Charlize Theron et qui a été réalisé par son copain, Stuart Townsend, et les deux films sur la vie du célèbre criminel Mesrine, L'Instinct de mort et L'Ennemi public no 1, qui ont été coproduits avec la France et dont plusieurs scènes ont été tournées au Québec.
Films québécois
Ce n'est qu'en 2004 que Remstar se lance dans la production de films québécois, avec Elles étaient cinq, de Ghyslaine Côté. Le succès du film les incitera à poursuivre sur cette lancée. Depuis Elles étaient cinq, Remstar a ajouté à sa filmographie québécoise Le Secret de ma mère et Ma fille mon ange, deux succès commerciaux.
Deux autres sont présentement en chantier: Polytechnique, de Denis Villeneuve, qui est actuellement en tournage, et Les Doigts croches, de Ken Scott, qui entrera en production dans quelques semaines et qui réunira à l'écran Roy Dupuis, Claude Legault et Patrice Robitaille.
Il est important de préciser que depuis quelques années, Remstar compte aussi une branche musique. La compagnie a récemment produit (ou distribué) les plus récents albums de Bran Van 3000, de l'actrice Victoria Abril et d'Ultra Orange, groupe musical de la comédienne Emmanuelle Seigner.
Remstar a également tenté il y a deux ans de mettre la main sur les quatre hippodromes du Québec. Le projet a finalement échoué. Dans le site Internet de Remstar, on nous indique d'ailleurs que l'entreprise compte trois champs d'activités: le cinéma, la musique et la télévision. Sauf que quand on clique sur «Télévision», on peut lire «À venir». Voilà qui résume assez bien la situation actuelle...
Les fistons sont autonomes
Même si le paternel Lucien Rémillard agit à titre de président du conseil d'administration de Remstar, ses deux fils, Maxime et Julien, sont les véritables maîtres à bord de l'entreprise.
Quoi qu'en pensent certains, Lucien Rémillard n'est donc pas du tout impliqué financièrement dans l'achat de TQS.
Titre honorifique
Maxime Rémillard l'a d'ailleurs répété la semaine dernière à un chroniqueur d'un autre quotidien montréalais: le poste de Lucien Rémillard à la présidence du C.A. lui a été confié à titre honorifique seulement. Ce sont donc les deux frères qui font l'acquisition de TQS avec leur compagnie et leur argent.
M. Rémillard père a fait fortune dans le domaine du transport et de l'enlèvement des déchets. Remstar fait partie de son groupe, qui compte aussi les entreprises Fiducie Remdev, Groupe Intersan et RCI Environnement.
Il est aussi propriétaire du chic et luxueux hôtel Le St-James (un établissement chouchou des stars qui a entre autres vu défiler au fil des années Madonna et les Rolling Stones) et de plusieurs autres immeubles à logements.
On se doute bien que sans lui (et son argent), Remstar n'aurait forcément jamais vu le jour. C'est ce qu'ont confirmé Maxime et Julien Rémillard lors d'une entrevue accordée au Journal de Montréal en janvier 2004:
«On ne se fera pas de cachette: on n'aurait jamais eu la capitalisation dont on a bénéficié si le paternel n'avait pas été derrière nos projets», disait Maxime Rémillard
Débuts
«Par exemple, on a débuté en distribution en achetant Prima Films. Pas sûr qu'on aurait trouvé une banque pour nous prêter l'argent nécessaire à cette acquisition avec le peu d'expérience qu'on avait.»
Les deux frères n'ont jamais caché non plus que leur père avait émis quelques doutes quand ils lui ont annoncé qu'ils souhaitaient s'orienter vers le 7e art.
«C'est certain qu'il trouvait ça pas mal différent de la gestion environnementale, où les contrats sont garantis avec les entreprises et les villes!» a admis Julien Rémillard lors de cette même entrevue accordée au Journal de Montréal.
" Il a pourtant été très réceptif. Il nous a demandé un plan d'affaires concret, des preuves qu'il s'agissait d'un investissement réfléchi. "
Je touve Maxime très beau puis pour Julien... Regardez la vidéo, au bas de l'article. Il n'a pas vraiment changé juste vieilli!!
http://www.cyberpresse.ca/article/20080 ... /803260808
http://www.cyberpresse.ca/article/20080 ... /803260808