Violence psychologique contre une handicapée

[pucinette]

Violence psychologique contre une handicapée

Mise à jour le lundi 24 novembre 2003 à 7 h 46
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L'histoire se passe à Montréal, à l'hôpital Saint-Charles-Borromée. Deux employés de l'établissement entrent dans la chambre d'une résidante handicapée de 51 ans et lui font croire qu'un maniaque sexuel la regarde depuis sa fenêtre en se masturbant : «Il joue avec son pénis dans la fenêtre! Il te regarde... un vrai cochon!».

La patiente, qui souffre d'un traumatisme crânien depuis qu'elle a été renversée par une automobile à l'âge de 18 ans, vit alors des nuits d'angoisse et réclame que les rideaux soient tirés et la porte ouverte.

On aimerait croire qu'il s'agit là de l'intrigue d'une mauvaise série télévisée, mais un tel comportement semble pourtant avoir été véritablement constaté dans cette institution qui accueille 200 patients en lourde perte d'autonomie.


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Soupçonnant le personnel hospitalier de faire subir des mauvais traitements à leur soeur, les membres d'une famille ont caché un magnétophone dans sa chambre afin de prendre des employés en défaut.

Le résultat est surprenant: menaces, moqueries, propos méprisants, violents et à caractère sexuel à l'endroit de la patiente.

La famille a remis à la radio de Radio-Canada et au journal La Presse ces enregistrements audio ainsi réalisés.


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La direction de l'établissement, appelé aussi Centre d'hébergement et de soins de longue durée Centre-Ville, a été informée de ce comportement. Deux employés ont alors été suspendus durant trois jours et une note a été déposée au dossier d'un troisième. Quant à la patiente, elle a été transférée dans un autre établissement.

Ce n'est pas la première fois que l'hôpital Saint-Charles Borromée, est dénoncé. Il y a huit ans, le Conseil canadien d'agrément avait estimé qu'il ne répondait pas aux normes et un recours collectif avait été déposé.

Pour en savoir davantage, les auditeurs montréalais pourront entendre un reportage plus détaillé préparé par Danny Braün à l'émission Désautels à 16 heures 45 au 95,1 FM.


http://www.radio-canada.ca/url.asp?/nou ... CAPE.shtml

                 
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Ca met en beau maudit des affaires de même
Je peux pas croire que des humaines peuvent faire de tel chose ça me dépasse ! --Message edité par pucinette --

[lolilou]

ouai j'ai vu cette nouvelle sur cyberpresse... vraiment choquant

[Fourmi]

Incroyable!!! Il faut vraiment être méchant et dérangé pour agir de la sorte! Ils mériteraient de ne plus jamais pouvoir exercé leur profession!

Quelqu'un de mon entourage proche occupe un poste très important à cet hôpital... Et cette personne a décidé de prendre une sabbatique parce que, justement, elle trouve que cet endroit devient très difficile à gérer, et je crois qu'elle est un peu à boutte!  Je ne connais pas en détail ce qui se passe là-bas, mais ça ne semble pas être le paradis tous les jours...

[Super Merlin]

A ben c'est de ça que je parlais dans mon topic, lorsque je disait que j'écoutais la radio cette nuit et j'ai entendu cette nouvelles afreuse.

[Super Merlin]

Tabarnac de tabarnac sa pas de crisse de bon sens, l'estie d'épais de directeur qu'on entend dire que les 2 employés se sont juste amusé méchament, mais ils ne croient pas qu'ils voulaient faire du mal.

Estie de cave sale le mal est déjà fait crisse de sans génie, c'est 2 batars la sont seulement suspendu. La sentence ça vas être encore une fois une vraie cisse de joke que le monde vont oublier dans 3 jours. Peut-être à purgé dans la société de cave que nous sommes tabarnac.

C'est 2 batars mériteraient 10 de prison ferme pour donner une leçon aux autres croté qui abusent les patient de n'importe quel maniere. Pis le directeur qu'est-cé qui fait maudit imbécile c'est pas la premiere foi crisse.

Maintenant pensez y comme il faut, ils l'ont faite à combien d'autre patient ce petit jeu hein ???????? Ça fait combien de temps qu'il travaillent la ces chiens galeux.

Le trou de cul de directeur, je sais pas si ça aurait été ça mere si y'aurait pris ça de la même maniere ????????????????

Estie je suis bleu j'aimerais tellement leurs caliser une ostie de bonne garnotte, des croté comme ça les prisoniers arrange ça en dedans.

Non mais avez vous écoutez l'entrevue

Sa arrive trop souvent crisse une foi c'est déjà trop

Excusez mon language mais la je me sent comme dans la tourette. --Message edité par super merlin--

[Abysse]

Je trouve ca aberrant moi aussi.      
et la seule conséquence des employés, 3 jours de suspensions?!?? Ca mériterait presque un renvoi. C'est a se demander ce que certaines personnes ont entre les deux oreilles... --Message edité par abysse--

[katry]

je suis de la même avie que toi merlin .
je trouve sa dégeulasse puis il vont même pas être punis il vont contunier le même manage avec dautre.ses déplorable

[Super Merlin]

Abysse  a écritJe truove ca aberrant moi aussi.      
et la seule conséquence des employés, 3 jours de suspensions?!?? Ca mériterait presque un renvoi. C'est a se demander ce que certaines personnes ont entre les deux oreilles...

Non mais j'ai tellement entendu des histoires de la sorte, c'est tellement méchant. Mon dieu je me met à la place de cette dame. Moi je me dit un jour je vais viellir moi aussi, et c'est pas tres rassurant. Moi je leurs souhaites plus que de perdre leurs emplois ils doivent payer.

[Abysse]

Super Merlin  a écrit

Non mais j'ai tellement entendu des histoires de la sorte, c'est tellement méchant. Mon dieu je me met à la place de cette dame. Moi je me dit un jour je vais viellir moi aussi, et c'est pas tres rassurant. Moi je leurs souhaites plus que de perdre leurs emplois ils doivent payer.  

Exactement, ca donne pas du tout envie de penser à notre vieillesse dans un CHSLD par exemple, évidemment ce n'est pas partout qu'il y a des abus de la sorte, mais je suis tout de même consternée de voir ce que certaines personnes peuvent faire à des personnes qui ont certaines déficiences cognitives. Profiter du fait qu'une personne ne puisse pas se défendre...

[katry]

elle a été chanseuse davoir qu'elle qu'un qui laime qui a peu la protèger parle dont de  qu'elle qu'un qui est seul pauvre personne que sa doit faire pitier je suis dacore avec vous autre jais pas hâte daitre mise dans un foyer.

[Super Merlin]

Abysse  a écrit

Exactement, ca donne pas du tout envie de penser à notre vieillesse dans un CHSLD par exemple, évidemment ce n'est pas partout qu'il y a des abus de la sorte, mais je suis tout de même consternée de voir ce que certaines personnes peuvent faire à des personnes qui ont certaines déficiences cognitives. Profiter du fait qu'une personne ne puisse pas se défendre...

Oui comme tu dis une chance que ce n'est pas partout

[Slick27]

[Slick27]

[Zoukie]

Et le directeur qui dit.......Ils ont juste voulu s'amuser méchament......!!!!!!!!!        

C'est épouvantable dire ca!!! Il aurait tres bien pu dire aussi qu'il approuvait ce genre de comportement !!!

Seulement 3 jours de suspension en plus...Je trouve ca scandaleux!!
Je pense a mes parents qui devront probablement aller en maison de retraite plus tard ou en soin prolongé et ca me fait peur.........!!

[Yautja88]

En effet c'est terrible, il devrait y avoir un genre de conseil supérieur ou je sais pas quoi et il devrai congédié sur le champ le directeur et les employés concernés!!! Ça serait déjà ça de fait et ensuite la justice (si il y en a une) fera le reste de la job!

[Slick27]

Directeur de l'hôpital Saint-Charles-Borromée
Un avis de recherche est lancé pour Léon Lafleur
Presse Canadienne
Montréal

La police de Montréal confirme qu'elle enquête sur la disparition de Léon Lafleur, le directeur de l'hôpital Saint-Charles-Borromée.

M. Lafleur est au coeur de la tourmente entourant les mauvais traitements infligés à une patiente de 51 ans à l'établissement qu'il dirige. Selon les policiers, il se serait présenté au bureau mardi, à une heure qu'elle n'a pas déterminée, mais n'a pas été revu par la suite. Sa famille n'a eu aucun contact avec lui depuis plus de 24 heures.

Rappelons que le ministre de la Santé, Philippe Couillard, a ordonné une enquête sur la gestion de la crise à l'hôpital Saint-Charles-Borromée, enquête confiée à Jean-Jacques Camera