ZazaGabor a écritJ'ai fait les deux. Avant de devenir enseignante, j'ai fait mes sciences pures et j'ai étudié à McGill au bacc. en ergothérapie (qui faisait aussi partie de la fac de médecine).
Les deux demandent des aptitudes différentes. Et l'un comme l'autre a ses difficultés. Mais il ne faut pas sous-estimer les emplois de sciences parce que les emplois reliés au sciences humaines sont souvent dévalorisées.
Les deux sont importantes, tout comme mon plombier et mon électricien sont importants, même s'ils n'ont jamais mis les pieds au cégep et à l'université.
J'ai fait les deux également; un bac en études littéraires et deux certificats en informatique. Je dois avouer que les études littéraires étaient assez faciles pour moi contrairement èa mes cours en informatique (surtout les cours de base qui demandent beaucoup).
Or, certains camarades en études littéraires "rushaient" comme des malades alors que je trouvais cela très facile, et à l'inverse, je trouvais le temps long dans mes cours d'assembleur et de math alors que d'autres trouvaient cela bien niaiseux!
Ca dépend vraiment des aptitudes de chacun mais il faut admettre que la charge de travail est beaucoup plus grosse en sciences...
Les profs: Journal de Montréal
- Char Aznable
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Voici un commentaire que quelqu`un a envoyé au Journal de Montréal(11-02-04).Je suis un élève de secondaire IV et je ne me rappelle pas avoir vécu de situation semblable à celle que vous présenter.Et ce que je trouve dommage dans tout ça,c`est que les parents sont du genre à généraliser.C`est le fun de voir que certain accepte pas juste l`opinion des professeurs(ceux du terrain comme vous les appelez.)
Je crois qu'il faut garder à l'idée qu'il y a des écoles plus difficiles que d'autres. Si les enseignants de l'école en question ont fait appel au journaliste, c'est qu'ils voulaient dénoncer une réalité.
Ça se peut que certains n'aient pas vécu cela au secondaire. Mais ça ne veut pas dire que ça n'existe pas ailleurs...
Ça se peut que certains n'aient pas vécu cela au secondaire. Mais ça ne veut pas dire que ça n'existe pas ailleurs...
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Pierre Reid est catégorique; pas question de compter sur lui!
Sébastien Ménard - Journal de Montréal 11/02/2004 06h53
Les enseignants québécois ne doivent pas s’attendre à davantage d’appui du ministre de l’Éducation, malgré l’enfer dans lequel ils baignent actuellement.
En entrevue au Journal hier, le ministre Pierre Reid a indiqué qu’il ne prendrait aucun nouvel engagement visant à améliorer le sort des profs québécois.
Pas de nouvelle consultation, pas de changement de cap.
Tout au plus, le ministre Reid a-t-il réitéré sa promesse d’investir 10 millions de dollars par année dans les écoles, afin qu’elles recommencent à embaucher des professionnels, dès septembre 2004.
«C’est le temps d’arrêter de faire des réformes en éducation», a-t-il plaidé.
Pas rose, la réalité
Depuis six jours, un reportage publié dans nos pages témoigne de la réalité quotidienne de bon nombre d’enseignants. Une réalité dure, où abondent les manques de respect, les propos sexuellement explicites, voire grossiers, et la déprime…
«Je ne dis pas que la situation est rose, se défend Pierre Reid. Mais l’école est un peu le reflet de notre société, une belle société qui dit de gros mots.
«Je pense que la réforme que nous implantons actuellement va amener des réponses à beaucoup de situations problématiques que vous avez vécues», dit-il
«Il faut être patient, car ces changements ne se font pas du jour au lendemain.»
Implication des parents
Même s’il reconnaît que le métier d’enseignant «est parfois exigeant et ingrat», Pierre Reid ne pense pas que le Québec doive redouter une pénurie de profs à moyen terme, malgré l’opinion contraire émise par certains experts.
Il nie aussi que le gouvernement soit «allé vite en affaires» en éliminant le cours d’éducation à la sexualité, comme l’ont souligné d’autres spécialistes.
«C’est une décision qui a été prise en équipe», dit-il.
«Je pense qu’il est préférable pour l’élève d’entendre parler un peu de sexualité chaque jour, comme ce sera le cas avec la réforme, que seulement une heure par semaine.»
Le ministre de l’Éducation avoue cependant qu’une plus grande implication des parents à l’école réglerait une partie des problèmes vécus par les profs.
«Lorsque les parents font partie du conseil d’établissement par exemple, ils voient ce qui se passe à l’école et travaillent en synergie avec les enseignants.»
«Ils ont un vrai pouvoir pour améliorer la situation, dit-il. Ce sont eux qui prennent les décisions pour rendre le climat de l’école plus agréable pour tout le monde.»
Pas le ministre de l’Éducation.
Sébastien Ménard - Journal de Montréal 11/02/2004 06h53
Les enseignants québécois ne doivent pas s’attendre à davantage d’appui du ministre de l’Éducation, malgré l’enfer dans lequel ils baignent actuellement.
En entrevue au Journal hier, le ministre Pierre Reid a indiqué qu’il ne prendrait aucun nouvel engagement visant à améliorer le sort des profs québécois.
Pas de nouvelle consultation, pas de changement de cap.
Tout au plus, le ministre Reid a-t-il réitéré sa promesse d’investir 10 millions de dollars par année dans les écoles, afin qu’elles recommencent à embaucher des professionnels, dès septembre 2004.
«C’est le temps d’arrêter de faire des réformes en éducation», a-t-il plaidé.
Pas rose, la réalité
Depuis six jours, un reportage publié dans nos pages témoigne de la réalité quotidienne de bon nombre d’enseignants. Une réalité dure, où abondent les manques de respect, les propos sexuellement explicites, voire grossiers, et la déprime…
«Je ne dis pas que la situation est rose, se défend Pierre Reid. Mais l’école est un peu le reflet de notre société, une belle société qui dit de gros mots.
«Je pense que la réforme que nous implantons actuellement va amener des réponses à beaucoup de situations problématiques que vous avez vécues», dit-il
«Il faut être patient, car ces changements ne se font pas du jour au lendemain.»
Implication des parents
Même s’il reconnaît que le métier d’enseignant «est parfois exigeant et ingrat», Pierre Reid ne pense pas que le Québec doive redouter une pénurie de profs à moyen terme, malgré l’opinion contraire émise par certains experts.
Il nie aussi que le gouvernement soit «allé vite en affaires» en éliminant le cours d’éducation à la sexualité, comme l’ont souligné d’autres spécialistes.
«C’est une décision qui a été prise en équipe», dit-il.
«Je pense qu’il est préférable pour l’élève d’entendre parler un peu de sexualité chaque jour, comme ce sera le cas avec la réforme, que seulement une heure par semaine.»
Le ministre de l’Éducation avoue cependant qu’une plus grande implication des parents à l’école réglerait une partie des problèmes vécus par les profs.
«Lorsque les parents font partie du conseil d’établissement par exemple, ils voient ce qui se passe à l’école et travaillent en synergie avec les enseignants.»
«Ils ont un vrai pouvoir pour améliorer la situation, dit-il. Ce sont eux qui prennent les décisions pour rendre le climat de l’école plus agréable pour tout le monde.»
Pas le ministre de l’Éducation.
Les parents aussi responsables de l’enfer que vivent les enseignants
Sébastien Ménard - Journal de Montréal 10/02/2004 06h57
Manque d’autorité. Incompréhension du rôle des profs. Tolérance face au manque de respect de leurs enfants… Les parents ont une grande part de responsabilité dans l’enfer que vivent chaque jour les enseignants de la province.
C’est en tout cas ce que croient les profs et spécialistes interrogés par Le Journal de Montréal.
«On n’a pas l’apport des parents, lance Mélanie Giguère», qui enseigne les mathématiques à la Nouvelle école secondaire de Sainte-Marthe-sur-le-Lac.
«On doit toujours se justifier», ajoute Catherine Lavallée, une autre prof de maths.
«J’ai déjà entendu des histoires d’horreur, de parents qui filmaient des enseignants durant les récréations afin de les prendre en défaut, raconte Angelo Soares, professeur au département de gestion des ressources humaines de l’UQAM. «Les parents sont de plus en plus méfiants envers les profs et c’est malsain.»
On leur sacre après…
La tolérance de papa et maman pour l’irrespect de leurs enfants est aussi à la source du calvaire vécu par les profs dans la salle de classe.
«Quand ils acceptent que leurs enfants leur sacrent après ou qu’ils leur donnent un téléphone cellulaire parce qu’ils se sont bien comportés durant UNE journée, dit Mélanie Giguère, ils ne nous aident vraiment pas.»
«On dirait que les parents ont moins de pogne qu’avant», tranche Martin Dubé, enseignant d’histoire et de géographie.
«Ils sont dépassés par les événements et ne savent plus comment motiver leurs jeunes», croit-il.
«Au même moment, ils demandent à l’école de faire de leurs enfants des personnes civilisées, souligne Julie Courchesne, enseignante de français.
«C’est un grand mandat, dit-elle. Mais le problème, c’est que l’école ne peut pas y arriver seule.»
Pas tous les parents
Ce ne sont toutefois pas tous les parents qui «font mal leur job», précisent les enseignants interviewés par le Journal. Bien au contraire.
«Et chose certaine, ils ne sont pas les seuls responsables de ce qui arrive», dit Éric Robitaille, prof d’enseignement moral et religieux.
«C’est un problème systémique, toute la société a sa part de responsabilité», croit Diane Pacom, professeure de sociologie à l’Université d’Ottawa.
Sébastien Ménard - Journal de Montréal 10/02/2004 06h57
Manque d’autorité. Incompréhension du rôle des profs. Tolérance face au manque de respect de leurs enfants… Les parents ont une grande part de responsabilité dans l’enfer que vivent chaque jour les enseignants de la province.
C’est en tout cas ce que croient les profs et spécialistes interrogés par Le Journal de Montréal.
«On n’a pas l’apport des parents, lance Mélanie Giguère», qui enseigne les mathématiques à la Nouvelle école secondaire de Sainte-Marthe-sur-le-Lac.
«On doit toujours se justifier», ajoute Catherine Lavallée, une autre prof de maths.
«J’ai déjà entendu des histoires d’horreur, de parents qui filmaient des enseignants durant les récréations afin de les prendre en défaut, raconte Angelo Soares, professeur au département de gestion des ressources humaines de l’UQAM. «Les parents sont de plus en plus méfiants envers les profs et c’est malsain.»
On leur sacre après…
La tolérance de papa et maman pour l’irrespect de leurs enfants est aussi à la source du calvaire vécu par les profs dans la salle de classe.
«Quand ils acceptent que leurs enfants leur sacrent après ou qu’ils leur donnent un téléphone cellulaire parce qu’ils se sont bien comportés durant UNE journée, dit Mélanie Giguère, ils ne nous aident vraiment pas.»
«On dirait que les parents ont moins de pogne qu’avant», tranche Martin Dubé, enseignant d’histoire et de géographie.
«Ils sont dépassés par les événements et ne savent plus comment motiver leurs jeunes», croit-il.
«Au même moment, ils demandent à l’école de faire de leurs enfants des personnes civilisées, souligne Julie Courchesne, enseignante de français.
«C’est un grand mandat, dit-elle. Mais le problème, c’est que l’école ne peut pas y arriver seule.»
Pas tous les parents
Ce ne sont toutefois pas tous les parents qui «font mal leur job», précisent les enseignants interviewés par le Journal. Bien au contraire.
«Et chose certaine, ils ne sont pas les seuls responsables de ce qui arrive», dit Éric Robitaille, prof d’enseignement moral et religieux.
«C’est un problème systémique, toute la société a sa part de responsabilité», croit Diane Pacom, professeure de sociologie à l’Université d’Ottawa.
Jael a écritPierre Reid est catégorique; pas question de compter sur lui!
Sébastien Ménard - Journal de Montréal 11/02/2004 06h53
Les enseignants québécois ne doivent pas s’attendre à davantage d’appui du ministre de l’Éducation, malgré l’enfer dans lequel ils baignent actuellement.
En entrevue au Journal hier, le ministre Pierre Reid a indiqué qu’il ne prendrait aucun nouvel engagement visant à améliorer le sort des profs québécois.
Pas de nouvelle consultation, pas de changement de cap.
Tout au plus, le ministre Reid a-t-il réitéré sa promesse d’investir 10 millions de dollars par année dans les écoles, afin qu’elles recommencent à embaucher des professionnels, dès septembre 2004.
«C’est le temps d’arrêter de faire des réformes en éducation», a-t-il plaidé.
Pas rose, la réalité
Depuis six jours, un reportage publié dans nos pages témoigne de la réalité quotidienne de bon nombre d’enseignants. Une réalité dure, où abondent les manques de respect, les propos sexuellement explicites, voire grossiers, et la déprime…
«Je ne dis pas que la situation est rose, se défend Pierre Reid. Mais l’école est un peu le reflet de notre société, une belle société qui dit de gros mots.
«Je pense que la réforme que nous implantons actuellement va amener des réponses à beaucoup de situations problématiques que vous avez vécues», dit-il
«Il faut être patient, car ces changements ne se font pas du jour au lendemain.»
Implication des parents
Même s’il reconnaît que le métier d’enseignant «est parfois exigeant et ingrat», Pierre Reid ne pense pas que le Québec doive redouter une pénurie de profs à moyen terme, malgré l’opinion contraire émise par certains experts.
Il nie aussi que le gouvernement soit «allé vite en affaires» en éliminant le cours d’éducation à la sexualité, comme l’ont souligné d’autres spécialistes.
«C’est une décision qui a été prise en équipe», dit-il.
«Je pense qu’il est préférable pour l’élève d’entendre parler un peu de sexualité chaque jour, comme ce sera le cas avec la réforme, que seulement une heure par semaine.»
Le ministre de l’Éducation avoue cependant qu’une plus grande implication des parents à l’école réglerait une partie des problèmes vécus par les profs.
«Lorsque les parents font partie du conseil d’établissement par exemple, ils voient ce qui se passe à l’école et travaillent en synergie avec les enseignants.»
«Ils ont un vrai pouvoir pour améliorer la situation, dit-il. Ce sont eux qui prennent les décisions pour rendre le climat de l’école plus agréable pour tout le monde.»
Pas le ministre de l’Éducation.
Crisse qu'ils me font rire avec leur idéalisation de la réforme actuelle
Quand tu te fais dire à chaque formation que ça va prend au moins 5 ans pour tout assimiler les changements et 10 ans pour que la réforme touche à tous les niveaux de scolarité, tu ne peux pas faire autrement que de penser que tout ça a bien le temps de changer encore...
Sébastien Ménard - Journal de Montréal 11/02/2004 06h53
Les enseignants québécois ne doivent pas s’attendre à davantage d’appui du ministre de l’Éducation, malgré l’enfer dans lequel ils baignent actuellement.
En entrevue au Journal hier, le ministre Pierre Reid a indiqué qu’il ne prendrait aucun nouvel engagement visant à améliorer le sort des profs québécois.
Pas de nouvelle consultation, pas de changement de cap.
Tout au plus, le ministre Reid a-t-il réitéré sa promesse d’investir 10 millions de dollars par année dans les écoles, afin qu’elles recommencent à embaucher des professionnels, dès septembre 2004.
«C’est le temps d’arrêter de faire des réformes en éducation», a-t-il plaidé.
Pas rose, la réalité
Depuis six jours, un reportage publié dans nos pages témoigne de la réalité quotidienne de bon nombre d’enseignants. Une réalité dure, où abondent les manques de respect, les propos sexuellement explicites, voire grossiers, et la déprime…
«Je ne dis pas que la situation est rose, se défend Pierre Reid. Mais l’école est un peu le reflet de notre société, une belle société qui dit de gros mots.
«Je pense que la réforme que nous implantons actuellement va amener des réponses à beaucoup de situations problématiques que vous avez vécues», dit-il
«Il faut être patient, car ces changements ne se font pas du jour au lendemain.»
Implication des parents
Même s’il reconnaît que le métier d’enseignant «est parfois exigeant et ingrat», Pierre Reid ne pense pas que le Québec doive redouter une pénurie de profs à moyen terme, malgré l’opinion contraire émise par certains experts.
Il nie aussi que le gouvernement soit «allé vite en affaires» en éliminant le cours d’éducation à la sexualité, comme l’ont souligné d’autres spécialistes.
«C’est une décision qui a été prise en équipe», dit-il.
«Je pense qu’il est préférable pour l’élève d’entendre parler un peu de sexualité chaque jour, comme ce sera le cas avec la réforme, que seulement une heure par semaine.»
Le ministre de l’Éducation avoue cependant qu’une plus grande implication des parents à l’école réglerait une partie des problèmes vécus par les profs.
«Lorsque les parents font partie du conseil d’établissement par exemple, ils voient ce qui se passe à l’école et travaillent en synergie avec les enseignants.»
«Ils ont un vrai pouvoir pour améliorer la situation, dit-il. Ce sont eux qui prennent les décisions pour rendre le climat de l’école plus agréable pour tout le monde.»
Pas le ministre de l’Éducation.
Crisse qu'ils me font rire avec leur idéalisation de la réforme actuelle
Quand tu te fais dire à chaque formation que ça va prend au moins 5 ans pour tout assimiler les changements et 10 ans pour que la réforme touche à tous les niveaux de scolarité, tu ne peux pas faire autrement que de penser que tout ça a bien le temps de changer encore...
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- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1719
- Inscription : jeu. avr. 03, 2003 1:00 am
Mamzelle tournesol a écritEncore pas si mal ... mon conseiller pédagogique est même pas capable de m'expliquer comment fonctionne notre nouveau programme qui sera mis en appropriation dès le mois d'août
Je suis supposée faire quoi moi encore .. Wonderwoman ???
Quoi? Tu ne le savais pas? On en est des wonderwoman!
C'est pour ça que je suis supposée être capable d'évaluer les sciences et technologie et l'univers social avec des volumes qui date de 1995 et qui ne répondent en rien aux nouvelles compétencees du programme
Faut pas trop que j'en parle, parce que je me pompe facilement
Je suis supposée faire quoi moi encore .. Wonderwoman ???
Quoi? Tu ne le savais pas? On en est des wonderwoman!
C'est pour ça que je suis supposée être capable d'évaluer les sciences et technologie et l'univers social avec des volumes qui date de 1995 et qui ne répondent en rien aux nouvelles compétencees du programme
Faut pas trop que j'en parle, parce que je me pompe facilement
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