Elle est décédée d'un cancer à l'âge de 88 ans. Elle a tenu pendant de nombreuses années un courrier dans différents médias. Elle a été animatrice d'une émission sur la sexualité aussi je crois.
Sympathies à sa famille.
Huguette Proulx décès
Huguette Proulx décès
Dernière modification par Swanny le mer. août 10, 2011 1:49 pm, modifié 1 fois.
HUGHETTE PROULX
Une figure incontournable de radio et de la télévision
MONTRÉAL - Hughette Proulx, qui est décédée lundi soir à l’âge de 89 ans, était l’une des grandes figures du monde de la radio et de la télévision.
Beaucoup s’en souviennent comme d’une pionnière de Télé-Métropole, le canal 10, comme on appelait alors la première station privée francophone du Québec. Elle a été connue aussi pour l’émission Radio-Sexe qu’elle a animée pendant plus de 10 ans.
Née le 4 janvier 1922, elle décrochera un premier petit boulot au sein d’un organisme Les Amis de l’Art. L’organisme obtenait des billets de spectacle à prix réduit pour les étudiants.
Elle fera ses premières armes en journalisme dans la presse artistique, notamment à Radio Monde et comme titulaire de pages féminines au Petit Journal et à La Patrie.
C’est cette notoriété qui lui vaudra d’être approchée pour être animatrice de télé. Elle sera de toutes les émissions du matin à la station de la rue Alexandre De Sève.
Les plus vieux se souviendront de ses prestations remarquées dans les émissions Tout pour la femme et Domino.
Les téléspectateurs l'ont tellement appréciée qu’ils l’ont couronné en 1963 Miss Radio Télévision. L’autre vedette du canal 10 était Janette Bertrand, qui animait une émission en soirée. Lors d’une entrevue sur les ondes de Radio Ville-Marie, invitée de l’émission Au gré du temps Hughette Proulx avant raconté ses souvenirs: «Je faisais tout toute seule: la recherche, l’animation. Je choisissais mes sujets, mes chroniqueurs. Tandis que Janette Bertrand disposait de recherchistes qui m’ont avoué que je faisais leur bonheur puisque je préparais le terrain pour elle.»
Janette Bertrand et elle n’étaient pas des rivales, loin de là. Hughette Proulx a témoigné du grand talent de femme d’affaires de Mme Bertrand, médusée même que cette dernière ait pu obtenir un chèque pour la participation de son chien Macaire dans le téléroman Quelle famille!.
De bon conseil
De son côté, Lise Payette avait raconté ceci: «Hughette Proulx et Janette Bertrand faisaient le même métier, avaient les mêmes préoccupations quant aux rapports homme-femme, mais ne travaillaient pas de la même façon. Hughette Proulx était aussi une femme de bon conseil. C’était une personne proche du peuple. D’ailleurs si je me souviens bien, une de ses rubriques était intitulée, la petite du populo.»
Un des traits de caractère d’Hughette Proulx était l’audace. Et il en fallait pour parler ouvertement de sexe à la radio au début des années 70.
Pour la première fois, on entendait parler de masturbation, de sadomasochisme et d’homosexualité. De quoi scandaliser bien des oreilles chastes. L’animatrice au verbe haut n’avait aucun tabou. Et elle invitait les femmes à redresser la tête ailleurs que sur leurs chaudrons.
Sur son blogue du portail de lametropole.com, Michel Girouard se souvient qu’elle avait totalement approuvé son «mariage» avec le pianiste Réjean Tremblay. C’était en 1972.
«Je me souviens d’une présentation que je faisais au restaurant de fruits de mer Chez Pauzé, dans l’ouest de la ville, raconte Michel Girouard. J’avais fait venir pour la circonstance un très beau modèle des États-Unis qui défilait en maillot de bain, très près du corps, si vous voyez ce que je veux dire. Hughette Proulx m’avait dit en le voyant: "Si j’avais 30 ans…", avec un regard appuyé qui en disait long.»
Gilles Proulx
Les cotes d’écoute de Radio Sexe étant à la baisse, c’est Gilles Proulx qui lui succédera. Il retient que c’était une femme de tempérament qui avait une correction de langage exemplaire qui faisait honneur à la langue française.
«Elle nous taquinait continuellement moi et mon frère Jacques, du fait de la similitude de nos noms de famille. Tantôt elle se présentait comme notre mère ou notre grand-mère. C’était une excellente camarade de travail et aucunement arriviste.»
On la verra aussi brièvement comme chroniqueuse sur l’équipe de Femme d’aujourd'hui à l’antenne de Radio-Canada.
Fin de vie
Les dernières années de sa vie auront été difficiles. Hughette Proulx considérait la vieillesse comme rien de moins qu'une maladie, avec son cortège d’humiliations.
Dès l’année dernière, les ennuis ont commencé à se succéder. À commencer par la mort de son mari adoré, Thaddée Trottier, avec lequel elle a été mariée durant 52 ans. Souffrant de la maladie de Parkinson, ce dernier avait été placé à l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal.
Il restait ses trois enfants, Caroline, Hugo et Christophe. Mais avant même le décès de son mari, dont elle ne s’est jamais vraiment relevée, on lui avait diagnostiqué un cancer du sein pour lequel elle refusait tout traitement de choc. Vivant en résidence, elle souhaitait terminer ses jours en douceur.
Mais un dernier coup du sort l’a accablée: elle figurera au triste palmarès des victimes de Norbourg. Hughette Proulx y a perdu la presque totalité de ses économies.
............................
http://fr.canoe.ca/divertissement/tele- ... 6-qmi.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Une figure incontournable de radio et de la télévision
MONTRÉAL - Hughette Proulx, qui est décédée lundi soir à l’âge de 89 ans, était l’une des grandes figures du monde de la radio et de la télévision.
Beaucoup s’en souviennent comme d’une pionnière de Télé-Métropole, le canal 10, comme on appelait alors la première station privée francophone du Québec. Elle a été connue aussi pour l’émission Radio-Sexe qu’elle a animée pendant plus de 10 ans.
Née le 4 janvier 1922, elle décrochera un premier petit boulot au sein d’un organisme Les Amis de l’Art. L’organisme obtenait des billets de spectacle à prix réduit pour les étudiants.
Elle fera ses premières armes en journalisme dans la presse artistique, notamment à Radio Monde et comme titulaire de pages féminines au Petit Journal et à La Patrie.
C’est cette notoriété qui lui vaudra d’être approchée pour être animatrice de télé. Elle sera de toutes les émissions du matin à la station de la rue Alexandre De Sève.
Les plus vieux se souviendront de ses prestations remarquées dans les émissions Tout pour la femme et Domino.
Les téléspectateurs l'ont tellement appréciée qu’ils l’ont couronné en 1963 Miss Radio Télévision. L’autre vedette du canal 10 était Janette Bertrand, qui animait une émission en soirée. Lors d’une entrevue sur les ondes de Radio Ville-Marie, invitée de l’émission Au gré du temps Hughette Proulx avant raconté ses souvenirs: «Je faisais tout toute seule: la recherche, l’animation. Je choisissais mes sujets, mes chroniqueurs. Tandis que Janette Bertrand disposait de recherchistes qui m’ont avoué que je faisais leur bonheur puisque je préparais le terrain pour elle.»
Janette Bertrand et elle n’étaient pas des rivales, loin de là. Hughette Proulx a témoigné du grand talent de femme d’affaires de Mme Bertrand, médusée même que cette dernière ait pu obtenir un chèque pour la participation de son chien Macaire dans le téléroman Quelle famille!.
De bon conseil
De son côté, Lise Payette avait raconté ceci: «Hughette Proulx et Janette Bertrand faisaient le même métier, avaient les mêmes préoccupations quant aux rapports homme-femme, mais ne travaillaient pas de la même façon. Hughette Proulx était aussi une femme de bon conseil. C’était une personne proche du peuple. D’ailleurs si je me souviens bien, une de ses rubriques était intitulée, la petite du populo.»
Un des traits de caractère d’Hughette Proulx était l’audace. Et il en fallait pour parler ouvertement de sexe à la radio au début des années 70.
Pour la première fois, on entendait parler de masturbation, de sadomasochisme et d’homosexualité. De quoi scandaliser bien des oreilles chastes. L’animatrice au verbe haut n’avait aucun tabou. Et elle invitait les femmes à redresser la tête ailleurs que sur leurs chaudrons.
Sur son blogue du portail de lametropole.com, Michel Girouard se souvient qu’elle avait totalement approuvé son «mariage» avec le pianiste Réjean Tremblay. C’était en 1972.
«Je me souviens d’une présentation que je faisais au restaurant de fruits de mer Chez Pauzé, dans l’ouest de la ville, raconte Michel Girouard. J’avais fait venir pour la circonstance un très beau modèle des États-Unis qui défilait en maillot de bain, très près du corps, si vous voyez ce que je veux dire. Hughette Proulx m’avait dit en le voyant: "Si j’avais 30 ans…", avec un regard appuyé qui en disait long.»
Gilles Proulx
Les cotes d’écoute de Radio Sexe étant à la baisse, c’est Gilles Proulx qui lui succédera. Il retient que c’était une femme de tempérament qui avait une correction de langage exemplaire qui faisait honneur à la langue française.
«Elle nous taquinait continuellement moi et mon frère Jacques, du fait de la similitude de nos noms de famille. Tantôt elle se présentait comme notre mère ou notre grand-mère. C’était une excellente camarade de travail et aucunement arriviste.»
On la verra aussi brièvement comme chroniqueuse sur l’équipe de Femme d’aujourd'hui à l’antenne de Radio-Canada.
Fin de vie
Les dernières années de sa vie auront été difficiles. Hughette Proulx considérait la vieillesse comme rien de moins qu'une maladie, avec son cortège d’humiliations.
Dès l’année dernière, les ennuis ont commencé à se succéder. À commencer par la mort de son mari adoré, Thaddée Trottier, avec lequel elle a été mariée durant 52 ans. Souffrant de la maladie de Parkinson, ce dernier avait été placé à l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal.
Il restait ses trois enfants, Caroline, Hugo et Christophe. Mais avant même le décès de son mari, dont elle ne s’est jamais vraiment relevée, on lui avait diagnostiqué un cancer du sein pour lequel elle refusait tout traitement de choc. Vivant en résidence, elle souhaitait terminer ses jours en douceur.
Mais un dernier coup du sort l’a accablée: elle figurera au triste palmarès des victimes de Norbourg. Hughette Proulx y a perdu la presque totalité de ses économies.
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Re: Huguette Proulx décès
Bonjour ...Je dois avouer que j'aimais bien son émission car elle ne se gênait pas du tout pour parler de sexe surtout à cette époque là ...
et elle avait une facon de dire les choses vraiment comme elles étaient
son émission RADIO SEX fut l'émission qu'on écoutait
elle allait directement au but avec ses questions osées
et elle avait une facon de dire les choses vraiment comme elles étaient
son émission RADIO SEX fut l'émission qu'on écoutait
elle allait directement au but avec ses questions osées
Un hommage gênant
Hughette Proulx
Photothèque La Presse
Gênant, hier, de voir «l’hommage» rendu à Hughette Proulx, par la chroniqueuse culturelle Virginie Roy à TVA.
D’abord, son reportage ne rendait pas justice à la dame de radio et de télévision qu’était Mme Proulx. Il faut dire que les archives dont dispose TVA font dur. On aurait dû laisser faire l’extrait d’une pub de Fiables, accompagné de ce commentaire: «Dans les publicités, on l’a même vue faire la promotion des couches pour incontinents.» Il y avait un tas de choses à dire sur Hughette Proulx, pas mal plus importantes que sa publicité de couches.
Et puis, en direct au bulletin de 18h, la journaliste a éclaté de rire au retour d’un topo sur le même sujet, remise à l’ordre par le chef d’antenne, Pierre Jobin. On parle ici d’une personne décédée, un peu de contenance. Décidément, on a de la misère à TVA avec Hughette Proulx, qu’on a fait mourir par erreur cinq ans trop tôt.
À Radio-Canada, le reportage de Martine Defoy faisait état de la carrière d’Hughette Proulx avec un tas d’images d’archives intéressantes, notamment alors qu’elle tenait le rôle-titre du téléthéâtre Sous le règne d’Augusta à Radio-Canada. On aurait quand même pu souligner son passage à Télé-Métropole.
Hughette Proulx
Photothèque La Presse
Gênant, hier, de voir «l’hommage» rendu à Hughette Proulx, par la chroniqueuse culturelle Virginie Roy à TVA.
D’abord, son reportage ne rendait pas justice à la dame de radio et de télévision qu’était Mme Proulx. Il faut dire que les archives dont dispose TVA font dur. On aurait dû laisser faire l’extrait d’une pub de Fiables, accompagné de ce commentaire: «Dans les publicités, on l’a même vue faire la promotion des couches pour incontinents.» Il y avait un tas de choses à dire sur Hughette Proulx, pas mal plus importantes que sa publicité de couches.
Et puis, en direct au bulletin de 18h, la journaliste a éclaté de rire au retour d’un topo sur le même sujet, remise à l’ordre par le chef d’antenne, Pierre Jobin. On parle ici d’une personne décédée, un peu de contenance. Décidément, on a de la misère à TVA avec Hughette Proulx, qu’on a fait mourir par erreur cinq ans trop tôt.
À Radio-Canada, le reportage de Martine Defoy faisait état de la carrière d’Hughette Proulx avec un tas d’images d’archives intéressantes, notamment alors qu’elle tenait le rôle-titre du téléthéâtre Sous le règne d’Augusta à Radio-Canada. On aurait quand même pu souligner son passage à Télé-Métropole.
Elle avait perdu beaucoup d'argent avec Norbourg, dans les dernières années elle demeurait dans un 1 et demi.
Entrevue avec Gilles Proulx, Michel Jasmin et Michel Girouard
08/10/11 @ 16:04
http://tvanouvelles.ca/video/entrevue-a ... 2983572001" onclick="window.open(this.href);return false;
Entrevue avec Gilles Proulx, Michel Jasmin et Michel Girouard
08/10/11 @ 16:04
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geneviève-2
- Immortel du Domaine
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Soleil47 a écrit : Un hommage gênant
Hughette Proulx
Photothèque La Presse
Gênant, hier, de voir «l’hommage» rendu à Hughette Proulx, par la chroniqueuse culturelle Virginie Roy à TVA.
D’abord, son reportage ne rendait pas justice à la dame de radio et de télévision qu’était Mme Proulx. Il faut dire que les archives dont dispose TVA font dur. On aurait dû laisser faire l’extrait d’une pub de Fiables, accompagné de ce commentaire: «Dans les publicités, on l’a même vue faire la promotion des couches pour incontinents.» Il y avait un tas de choses à dire sur Hughette Proulx, pas mal plus importantes que sa publicité de couches.
Et puis, en direct au bulletin de 18h, la journaliste a éclaté de rire au retour d’un topo sur le même sujet, remise à l’ordre par le chef d’antenne, Pierre Jobin. On parle ici d’une personne décédée, un peu de contenance. Décidément, on a de la misère à TVA avec Hughette Proulx, qu’on a fait mourir par erreur cinq ans trop tôt.
À Radio-Canada, le reportage de Martine Defoy faisait état de la carrière d’Hughette Proulx avec un tas d’images d’archives intéressantes, notamment alors qu’elle tenait le rôle-titre du téléthéâtre Sous le règne d’Augusta à Radio-Canada. On aurait quand même pu souligner son passage à Télé-Métropole.
C'est pas le temps de rire quand on annonce un décèsJe ne reçois pas les messages éclairs
Décès de Madame Huguette Proulx
12 août, 2011 par simplecitoyenne
Madame Huguette Proulx, femmes de lettres et de communications, est décédée des suites d’un cancer généralisé à l’âge de 89 ans. Comme simple citoyenne, je pose mon simple regard sur cette actualité puisque cette femme a servi de modèle à bien d’autres femmes au Québec. Une femme qui n’avait pas la langue dans sa poche. Une femme qui se questionnait sur tout et invitait presque les autres à en faire autant. Une femme qui a su se tailler une place crédible dans les médias québécois puisqu’elle n’avait pas besoin de faire des sorties politiques pour se faire voir et entendre comme c’est devenu presqu’une mode de nos jours.
Comme simple citoyenne, je considère qu’Huguette Proulx est une grande dame du Québec qui a participé à libérer les femmes des dictées des hommes et des prêtres dans leur propre sexualité. Une femme qui a incité à utiliser le vocabulaire requis pour parler de sexualité qui était classée tabou parce qu’elle représentait honte et péché surtout pour les femmes et qu’il fallait la garder dans l’ombre la plus totale.
Madame Huguette Proulx mérite des hommages. C’est une belle figure de femme québécoise qui a su autant par sa plume que par son propre discours influencer les québécoises et les québécois. Une autre femme forte du Québec vient de disparaître et elle mérite qu’on se souvienne d’elle.
Comme simple citoyenne, j’offre mes sympathies à ses enfants et à sa famille. Cette femme a su partager une partie de sa vie avec le Québec tout entier par sa présence médiatique constante et bien animée. Je crois qu’il est la moindre des choses de dire merci à Madame Huguette Proulx et à tous les siens pour ce partage.
http://simplecitoyenne.unblog.fr/2011/0 ... te-proulx/" onclick="window.open(this.href);return false;
12 août, 2011 par simplecitoyenne
Madame Huguette Proulx, femmes de lettres et de communications, est décédée des suites d’un cancer généralisé à l’âge de 89 ans. Comme simple citoyenne, je pose mon simple regard sur cette actualité puisque cette femme a servi de modèle à bien d’autres femmes au Québec. Une femme qui n’avait pas la langue dans sa poche. Une femme qui se questionnait sur tout et invitait presque les autres à en faire autant. Une femme qui a su se tailler une place crédible dans les médias québécois puisqu’elle n’avait pas besoin de faire des sorties politiques pour se faire voir et entendre comme c’est devenu presqu’une mode de nos jours.
Comme simple citoyenne, je considère qu’Huguette Proulx est une grande dame du Québec qui a participé à libérer les femmes des dictées des hommes et des prêtres dans leur propre sexualité. Une femme qui a incité à utiliser le vocabulaire requis pour parler de sexualité qui était classée tabou parce qu’elle représentait honte et péché surtout pour les femmes et qu’il fallait la garder dans l’ombre la plus totale.
Madame Huguette Proulx mérite des hommages. C’est une belle figure de femme québécoise qui a su autant par sa plume que par son propre discours influencer les québécoises et les québécois. Une autre femme forte du Québec vient de disparaître et elle mérite qu’on se souvienne d’elle.
Comme simple citoyenne, j’offre mes sympathies à ses enfants et à sa famille. Cette femme a su partager une partie de sa vie avec le Québec tout entier par sa présence médiatique constante et bien animée. Je crois qu’il est la moindre des choses de dire merci à Madame Huguette Proulx et à tous les siens pour ce partage.
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