Rencontre autochtone - Harper et les Premières Nations

[Anya]

Tout lire >>Rencontre autochtone - Présences essentielles 
Il a beaucoup été question d’engagements dans les heures qui ont précédé la rencontre, vendredi, entre des représentants de l’Assemblée des Premières Nations et le gouvernement conservateur. Mais l’engagement fondamental, c’était encore que le premier ministre y soit. Pour de bon. Ce fut finalement, et heureusement, le cas.
Il n’y a pas de mal à changer d’avis et à accepter des rendez-vous qu’on a un jour refusés. Prenons comme exemple le sommet de Kelowna, que nous ont si souvent rappelé ces jours-ci les leaders autochtones.

[Anya]

Tout lire >>Le fédéral étudie sept projets de loi qui touchent les Autochtones 
Sept projets de loi sur des questions autochtones sont à l'étude au Parlement fédéral, selon une liste préparée par le cabinet d'avocats spécialisé en droit autochtone, Olthuis Kleer Townshend, de Toronto. Ils touchent de nombreux aspects de la vie quotidienne et de la gouvernance des Autochtones.
Ces projets ont souvent de bonnes intentions et tentent de régler des problèmes réels, croit Me Lorraine Land, du bureau Olthuis Kleer Townshend. Elle déplore toutefois que l'opinion des Autochtones ne soit pas suffisamment sollicitée. Selon elle, le processus démocratique d'adoption des lois devrait inclure une véritable consultation des personnes touchées.

[Anya]

Tout lire >>Pèlerinages chez Mme Spence 
Lysiane Gagnon - La Presse
L'ancien premier ministre Paul Martin est allé faire son petit pèlerinage auprès de la chef Theresa Spence. «Vous êtes une inspiration pour tous les Canadiens», lui a-t-il dit.
Je dirais plutôt, excusez-la, que Mme Spence est le genre de chef qui nuit à l'image des autochtones.
Le lendemain d'ailleurs, le rapport de la firme Deloitte couvrait de ridicule notre pèlerin, tout comme d'ailleurs les Justin Trudeau et les André Frappier de Québec solidaire, qui étaient allés pieusement s'agenouiller sous la tente où Mme Spence poursuivait sa diète au bouillon de poisson.

[Mousse]

"À même les 100 millions versés par Ottawa depuis 2005 à la réserve d'Attawapiskat, Mme Spence et son conjoint Clayton Kennedy empochent des revenus de 250 000$ par année libres d'impôt, ce qui équivaut à près d'un demi-million de dollars par année. Cela, pour gérer une réserve de quelque 1600 habitants."
Merci Anya!

[viky]

C'est un sujet délicat....
il faut éviter de parler en mal des autochtones parce qu'on passe pour des racistes mais en même temps, habitant tout près d'une réserve indienne et connaissant le mode de vie, les magouilles et autres saloperies qui se passent sur cette réserve, j'ai beaucoup de difficulté à être empathique à leur cause...

Je ne met pas tout le monde dans le même panier... mais malheureusement, plusieurs d'entre eux paraissent bien mal et n'aident pas leur image...

[Anya]

Tout lire >>Droits des autochtones: l'ONU dépêche un envoyé au Canada 
Steve Rennie - La Presse Canadienne
Le rapporteur spécial de l'ONU sur les droits des populations autochtones sera au Canada à compter de lundi pour dresser un constat de la situation précaire de ces communautés au pays.
Le professeur de droit James Anaya, qui élaborera un rapport à ce sujet à la demande de l'ONU, doit s'entretenir avec des représentants autochtones et gouvernementaux au cours de son passage au Canada.
«L'idée derrière cette démarche est d'avoir des renseignements de première main sur la situation des peuples autochtones du Canada en m'entretenant directement avec eux aussi souvent que possible», a-t-il souligné en entrevue téléphonique avec La Presse Canadienne.

[Anya]

Tout lire >>Droits des autochtones: le rapporteur de l'ONU appelle à une commission d'enquête 
Ottawa — Le gouvernement fédéral doit créer une commission d'enquête nationale sur le troublant phénomène des femmes autochtones disparues ou assassinées au pays, a plaidé mardi le rapporteur spécial des Nations unies sur les droits des populations autochtones.
James Anaya a mis fin à un séjour de neuf jours au Canada, mardi, au cours duquel il a visité plusieurs communautés autochtones et discuté avec des représentants des gouvernements fédéral et provinciaux.
Et bien que les gouvernements des provinces se soient engagés à adopter une série de mesures concernant ces femmes disparues, ce n'est pas suffisant, a lancé M. Anaya lors d'un point de presse à Ottawa.