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Publié : mer. nov. 28, 2012 9:29 am
par Anya
Tout lire >>Beauchamp et Tomassi sous la loupe de la Commission 
Pierre-André Normandin, Denis Lessard et Bruno Bisson
La Presse
Deux anciens ministres libéraux, Line Beauchamp et Tony Tomassi, se retrouvent sous la loupe de la commission Charbonneau. Les deux ont participé à des rencontres dans un club privé de Montréal avec des représentants de firmes de génie et des entrepreneurs en construction, a appris La Presse mardi soir, au terme d'une journée marquée par des échanges acrimonieux entre l'avocat du Parti libéral du Québec et la commissaire France Charbonneau.
La Commission s'est récemment intéressée au club privé 357c, où des entrepreneurs, ingénieurs, élus et fonctionnaires municipaux ont tenu depuis 2005 de nombreuses rencontres à l'abri des regards. Le 26 octobre dernier, cinq enquêteurs ont inspecté le chic établissement du Vieux-Montréal et mis la main sur la liste des visiteurs.
Publié : mer. nov. 28, 2012 9:31 am
par Anya
Tout lire >>Le prix à payer 
Michèle Ouimet - La Presse
Les avocats qui participent à la commission Charbonneau sont frustrés et en colère. Ils reçoivent les documents à la dernière minute, ils apprennent parfois le nom des témoins après les journalistes et ils doivent préparer leur contre-interrogatoire sur la gueule.
Mardi, l'avocat du Parti libéral, Michel Décary, et la commissaire France Charbonneau se sont affrontés sur une question d'ordonnance de non-publication, mais le fond du litige était ailleurs: Décary se plaignait d'avoir reçu une liste de noms à la dernière minute et de manquer de temps pour l'examiner et en parler à son client. Il fulminait.
Publié : mer. nov. 28, 2012 10:29 pm
par Anya
Tout lire >>L’argent des autres 
Josée Legault - L'actualité
Au-delà de ce que certains ont qualifié d’atmosphère de «télé-réalité», il reste qu’en frappant clairement à la porte du politique, l’audience de mercredi de la Commission Charbonneau marque un point tournant.
Cette fameuse liste de rencontres discrètes tenues au Club privé 357c de 2007 à 2011 entre entrepreneurs en construction, dirigeants de firmes de génie-conseil, hauts- fonctionnaires, élus, maires et ministres, est un véritable voyage dans le ventre de la bête.
Cette liste est en fait un microcosme du modus operandi de l’influence de la grande entreprise sur le politique.
D’avoir participé, voire même d’avoir convoqué elle-même, selon ses propres dires, ce genre de rencontres privées, tenues en plus flanquée d’un organisateur du PLQ, soulève de graves questions sur les plans de l’éthique et de l’intégrité de sa fonction même de ministre.
En entrevue chez Benoît Dutrizac, Mme Beauchamp jurait même que lorsqu’elle était ministre, elle avait eu autant d’écoute pour les «poètes» que les entrepreneurs! Et que si Pierre Bibeau était présent à ces rencontres, insistait-elle, c’était strictement parce qu’il était son conjoint à l’époque.
De toute évidence, l’ex-ministre ne semble pas comprendre que c’est exactement ce genre de déclarations absurdes qui insultent l’intelligence des citoyens.
Au fait, que faisait une ministre et un organisateur influent du PLQ à discuter privément avec un Catania, un Zampino, un Minicucci, un Rosaire Sauriol de Dessau ou un Bernard Trépanier, argentier d’Union Montréal? Que faisait une élue, une ministre, avec une telle brochette d’entrepreneurs et de collecteurs de fonds?
Peut-on vraiment croire que ces rencontres, comme l’affirmait l’ex-ministre par communiqué, lui «permettaient d’obtenir des points de vue diversifiés sur la situation du Québec et sur les politiques du gouvernement»?
Publié : mer. nov. 28, 2012 10:56 pm
par Beppo
Au fait, que faisait une ministre et un organisateur influent du PLQ à discuter privément avec un Catania, un Zampino, un Minicucci, un Rosaire Sauriol de Dessau ou un Bernard Trépanier, argentier d’Union Montréal? Que faisait une élue, une ministre, avec une telle brochette d’entrepreneurs et de collecteurs de fonds?
Peut-on vraiment croire que ces rencontres, comme l’affirmait l’ex-ministre par communiqué, lui «permettaient d’obtenir des points de vue diversifiés sur la situation du Québec et sur les politiques du gouvernement»?
Est-ce que Josée Legault, dans sa grande sagesse, pourrait nous confirmer qu'elle était au courant que tous ces messieurs trempaient dans la collusion et la corruption à cette époque-là (soit en 2006-2007)? Aujourd'hui, on peut faire cette déduction mais il y a 6 ou 7 ans passés? Pas sûr.
Publié : mer. nov. 28, 2012 10:58 pm
par tuberale
Ben difficile en effet d'avoir une raison valable pour rencontrer Catania quand on lit tout ce qu'on apprend sur lui mais ceci dit en-dehors de toute malversation j'approuve QS sur le sujet du club privé : c'est de l'élitisme déplacé....bon ça ne mérite pas une commission d'enquête, encore d'autres argents dépensés pour rien mais définitivement que les députés et/ou ministre n'ont pas d'affaires à prendre nos taxes pour payer des repas hors prix à qui tu veux et ce peut importe le pourquoi de la rencontre. Ce sont de petites modes qui se développent selon le temps dans le milieu de la politique, des affaires, etc.....et j'espère que ça va leur donner une petite gêne d'y retourner avec ce qui ressort de la commission sur le sujet
Publié : jeu. nov. 29, 2012 10:45 am
par Anya
Tout lire >>Club 357c: être membre a ses privilèges 
Vincent Marissal - La Presse
Mme Beauchamp dit qu'elle ne pouvait pas savoir que ces gens étaient peu fréquentables. Soit, bénéfice du doute. Mais elle devait bien savoir - sinon son conjoint de l'époque, Pierre Bibeau, aurait pu le lui dire - que la famille Catania compte parmi les plus généreux donateurs à la caisse du Parti libéral du Québec.
Entre 2000 et 2010, la grande famille Catania a versé près de 55 000$ au PLQ, dont 8000$ en 2007, année des petits déjeuners au 357c, et 12 500$ l'année suivante. Le PQ avait estimé, plus tôt cette année, que les dirigeants de Frank Catania Construction ont versé 40 000$ au PLQ en 2008.
Rien d'illégal, soit, mais ça donne tout de même un petit avantage quand on veut rencontrer la ministre responsable de Montréal et, accessoirement, conjointe d'un influent organisateur. Être membre a ses privilèges. Membre du club privé ayant accès aux ministres du gouvernement.
Publié : lun. déc. 03, 2012 2:44 pm
par Anya
Publié : lun. déc. 03, 2012 8:54 pm
par Chattou
Re: La commission d'enquête Charbonneau
Publié : mer. déc. 12, 2012 7:49 am
par lucide
On va peut etre avancer .....
http://www.lapresse.ca/actualites/quebe ... cueil_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
Publié : mer. déc. 12, 2012 11:32 am
par tuberale
Oui c'est vrai que c'est nébuleux cette histoire
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" les fonds n'auraient pas été utilisés à des fins personnelles"......mais à quoi ont-ils servit alors?....acheter des silences ????
Publié : jeu. déc. 13, 2012 4:53 pm
par Fanfoi
Ça explique un peu mieux pourquoi Marois a changé le grand patron de la SQ. Et peut-être aussi pourquoi Robert Poeti est en tabarn...
a ce sujet. ;-)
Publié : mar. janv. 15, 2013 9:34 am
par Anya
Tout lire >>Applebaum au resto de la mafia 
Kathleen Lévesque , Brian Myles - Le Devoir
Le nouveau maire de Montréal reconnaît avoir pris part à une activité de financement à La Cantina en 2003, lorsqu’il était conseiller.
Les enquêteurs de la commission Charbonneau ont de bonnes raisons de s’intéresser au maire Michael Applebaum. En 2003, il a participé à une activité de financement très privée au restaurant La Cantina, un point de chute du clan mafieux des Rizzuto.
Publié : dim. janv. 20, 2013 9:54 am
par Anya
Tout lire >>Regards sur la corruption - Montréal, ville viciée 
Stéphane Baillargeon - Le Devoir
Une commission d’enquête sur la corruption reprend ses travaux lundi à Montréal. Une autre achevait les siens dans la même ville il y a 60 ans. Plus ça change…
Autres temps, mêmes moeurs, ou presque. Et aux maux persistants, les mêmes remèdes obstinés. D’abord des pressions publiques, relayées par les médias. Puis une commission d’enquête et des recommandations plus ou moins appliquées par la politique. Et finalement, tout recommence.
La corruption fait de nouveau l’objet d’un examen ici, maintenant. Comme elle l’a été dans les années 1970 avec la Commission d’enquête sur le crime organisé (CECO). Comme elle le fut avec les enquêtes Taschereau (1905), Cannon (1909) et Coderre (1924-1925). Comme elle l’était avec la commission Caron (1950-1953).
Publié : lun. janv. 21, 2013 1:25 pm
par luckystar
le site internet est boggué pour moi :O sé tu pareil vous autres?
https://www.ceic.gouv.qc.ca/audiences/en-direct.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Publié : lun. janv. 21, 2013 1:50 pm
par Anya
Publié : lun. janv. 21, 2013 2:46 pm
par luckystar
Anya a écrit : [...]
Pour moi aussi
c'est revenu
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c'est sur il témoigne plus

Publié : mer. janv. 23, 2013 5:17 pm
par xilef
La Commission a dû faire du "domage control" sur le cas Dumont.
Espérons que la leçon servira pour la suite de l'enquête publique.
Publié : mer. janv. 23, 2013 5:22 pm
par xilef
Publié le 23 janvier 2013
Dumont a passé deux jours aux urgences après son interrogatoire
http://www.lapresse.ca/actualites/dossi ... atoire.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Publié : jeu. janv. 24, 2013 7:33 pm
par Anya
Tout lire >>La Sainte Trinité de la corruption 
Michèle Ouimet - La Presse
Mercredi, la commission Charbonneau a enfin abordé le coeur de la corruption: le financement des partis politiques.
Le président d'une firme de génie, Michel Lalonde, a avoué qu'il avait versé 3 % de la valeur de ses contrats à Bernard Trépanier, grand argentier d'Union Montréal, le parti de Gérald Tremblay. De 2004 à 2009. Pendant cinq ans, cinq longues années. Et il n'était pas le seul à obéir à la règle du 3 % pour obtenir des contrats de la Ville.
Après les fonctionnaires et les entrepreneurs véreux, les firmes de génie, la Sainte Trinité de la corruption. La boucle est bouclée. Ou, comme dit mon vieux père, tout est dans tout.
Publié : mer. févr. 20, 2013 12:52 pm
par Anya
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Y a-t-il un virus à la commission Charbonneau qui fait en sorte que les témoins perdent tous la mémoire!?!
Dr Gilles Chamberland,psychiatre et Jean-Pierre Charbonneau,journaliste
http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=164735" onclick="window.open(this.href);return false;